RENCONTRE IMPROBABLE - histoire érotique

( ** RENCONTRE IMPROBABLE ** )
L'histoire débute bien dans le mois d'octobre. Dans la joie et l'euphorie relatives à l'atmosphère de mon anniversaire, il eut un énième jour où l’ennui était omniprésent.

Un soir d'octobre, je me suis laissé tenter par des échanges avec mes lectrices. Je faisais coucou ici et là quand je fus stupéfait d'avoir réponses.
Je me prénomme STÉPHANE, et malgré mes 33 ans, le temps n'a pas eut un impact sur ma libido.
Ayant ce compte pour la publication de mes écrits, en cherchant à échanger, je suis tombé sur le profil avatar probablement d’une jeune femme avec une magnifique photo de profil montrant une bouche et un descriptif plus qu’interpélateur.
Par curiosité, je lui ai envoyé un message comme on lance une bouteille à la mer, sans attendre la moindre réponse de sa part.

*-* : Bonjour, content de vous avoir comme lectrice.

Ne connaissant ni son visage, ni son âge, ni même son nom, je m’aventurais à l’aveuglète dans une discussion avec une pure inconnue et cela m'était confortable.
Je dois avouer que discuter à l’aveugle m'a toujours bien plu, on peut être soi-même et tant pis si cela ne dure pas où n'abouti à rien. J'étais là, rivé sur mon écran. Il ne lui fallut qu’une minute pour répondre, et cela était pour mon plus grand plaisir.

:-) : Bonjour, le plaisir est mien.

Quelques messages suffirent pour installer une discussion plus qu’improbable sur le sujet de mes récits.
Nous parlions sur un ton léger, beaucoup d’humour et des bonnes réparties. Aucune allusion sexuelle directe.
C'était presque étrange en comparaison aux autres discussions que j’avais pu avoir avec d’autres femmes.
Ce soir-là, nous avons discuté plus de quatre (4) heures sans trop toucher le sujet de prédilection... Le SEXE.
Petit à petit, elle lâcha un peu la bride en y faisant des allusions dans ses réparties, en parlant de mes écrits, de la description faite de mon sexe, de son amour pour les grosses et longues pine.
Toutes ces informations s’enregistraient dans un coin de mon cerveau, et je commencais à me dire que d’une discussion sans but, nous pouvions arriver à quelque chose de plus excitant.

Vers minuit, tout basculât.
Nous voguions sur des scénarii improbables tel que : Moi invité dans les locaux d'une radio pour y lire en direct mes recits.
On allait dans ce rêve, chacun proposant des délires.

*-* : Je choisirai chaque weekend une lectrice assidue à qui j'offrirai un merveilleux cunnilingus...

:-) : C'est sûre que je ne manquerai jamais alors l'émission.

*-* : Pourquoi ne pas être dans le studio avec moi en qualité d'assistante?

:-) : Pas mal comme idée...

*-* : Tu y seras plus utile qu'en tant que simple auditrice.

:-) : Oui, je pourrai me mettre sous la table tout le temps de ta lecture pour t'encourager avec une fellation.

Je commençais à devenir fou, je parlais à une femme totalement inconnue, vraisemblablement moins âgée que moi, avec une belle façon de parler, drôle avec de la répartie, et cela commençait à me chauffer.
Elle me détailla la manière dont elle voulait faire les choses.
Je la sentais timide, ou réservée car ses propos restaient softs. Je lisais avec délectation ses mots, ses envies.

:-) : Je me vois te caresser avec ma langue, commencer par lécher ta longue queue au bout rose, la mouiller jusqu’aux testicules et remonter pour te prendre dans ma bouche.

Ma queue commencait à réagir à tel point que mon caleçon se faisait trop petit.

Elle poursuivit;
:-) : Je veux que durant tout ce temps, tu ne me tiennes par les cheveux car j’adore ça. Je te lécherai en te branlant puis descendant sur tes testicules, je les embrasserai et les lécherai avant de remonter pour te sucer plus fort...

À ce moment là, pour mieux vivre la chose mentalement et pour l'encourager à continuer j'ai dis ;
*-* : Je glisserai moi du fauteuil pour mieux te présenter ma queue et je donnerai un rythme.

:-) : Donnes-moi ta queue maintenant !

C'était un ordre réel ça.
Notre imagination parti en vrille dans une histoire ou je commencais à lui lécher le vagin allant de doucement au plus fort. Je la lèchais en la caressant et en introduisant mes doigts dans chacun de ses trous avant de finir par la prendre de différentes manières là dans le studio de la radio.
Surprise par mes propos et mon imagination, elle resta silencieuse, et m'avoua qu'elle se touchait jusqu'à ce qu'elle atteigne la jouissance.

Les jours passèrent, je n’en appris pas beaucoup plus sur cette inconnue, hormis le fait que nous n’habitions pas très loin l’un de l’autre, qu’elle était célibataire, s'appelait CHAMPAGNE (nom d'emprunt ) et j’ai eu le droit à une photo de ces deux beaux seins.

Un soir, en m'écrivant, elle me dit que ces pensées n’étaient plus stables, elle voulait passer à quelque chose de plus physique. On échangea donc nos numéros de téléphone et elle décida de m'inviter à passer une soirée chez elle. Chose que j'ai accepté après quelque temps d'hésitation.
Je savais que cette étape pouvait être compliquée pour elle, car de caractère timide, et ne connaissant ma personne qu’à travers mes récits érotiques.

Le lendemain soir, après m'être préparé comme jamais, bien habillé, le pubis rasé jusqu’au bout des testicules, parfumé, coiffé, je suis arrivé devant chez elle, et qu’elle fût ma surprise de voir une magnifique jeune dame aux formes généreuses.
Ses yeux et ses lèvres m'ont cloués direct sur place.
Elle avait les lèvres à la ANGELINA JOLIE, ce qui me fit deviner les sensations qu'elle pouvait procurer en pipant.
J’étais ravi, et elle aussi visiblement car elle me sourit, validant que je lui plaisais physiquement.

Elle m’invita à entrer dans son intimité. Elle me fit m’installer sur son canapé dans son salon.
Je ne pouvais que contempler la beauté de mon hôte, ma lectrice avatar était devant moi, dans sa belle robe mi-longue assez décolletée.
Par curiosité, j'ai essayé de voir si elle portait des sous-vêtements, mais je ne voyais aucun indice d’une petite culotte.
Après avoir proposé à boire, elle m'a rejoint sur le sofa, mais sa timidité se faisait sentir. Après quelques banalités, j'étais moi plutôt envouté par cette femme alors en un mouvement automatique, j'ai placé ma main sur sa cuisse, ce qui fit vibrer chaque centimètre de son corps.
J’y allais doucement et à tâton pour ne pas l’effrayer. Au bout d'un certain temps, je l'ai senti se détendre et petit à petit, elle posa sa main sur la mienne comme pour approuver ce contact.
Ma main sur sa cuisse m’enhardi de jouer un peu plus et faisait monter la tension sexuelle qui s’installait.
Tout en caressant sa cuisse, moralement, je m'abandonnais à cette jeune dame. Ma main remontait délicatement, faisant par la même occasion remonter sa robe.
Elle se laissait faire, faisant basculer sa tête en arrière pour mieux ressentir chacun de mes mouvements, je pouvais la voir se mordre les lèvres. Mon corps loin d'être frigide, réagissait aussi à l'effet de sa peau sous mes doigts.
Ma bouche vint vers son cou, laissant quelques mots s’échapper.

*-* : Tu es toute douce.

Pour seul réponse, je n’ai eu qu’un léger son presque avalé ;
:-) : Hummmm...

J'ai commencé par lui lécher le cou avant d'y déposer de petits bisous. Mais, j’avais une idée première en tête, savoir ce qui se cachait sous cette robe, savoir si ma belle inconnue était si coquine qu’elle me l'avait laissé voir au travers de nos échanges.
Culotte ou nue ?
bientôt cette question aura une réponse.
Ma main traînant toujours sur sa cuisse, je l'ai remontée jusqu'à ce qu'elle vienne au contact avec du tissu. Elle avait une culotte alors, mais de quel type ?
Mais sens étaient tous en alerte. Je voulais cette femme, la posséder, lui faire l’amour, la combler, la baiser.
Je connaissais ses goûts, mais je ne l'avais encore jamais goûtée.
Je pouvais percevoir son envie de par le niveau d’humidité que j'ai senti sur sa culotte. Je jouais à effleurer son dessous quand elle a tourné la tête afin de me faire face.
Sans mots dire, nos lèvres se sont soudées comme des aimants. La douceur de ses voulumineuses lèvres était enivrante.

Je l'embrassais avec fougue, son haleine était douce et fraîche ce qui m'y encourageait. Pendant ce temps, mes mains parcouraient son corps, touchant ses seins toujours cachés sous sa robe. Je les malaxais, les caressais avec autant de fougue qu’un jeune de 25 ans peut avoir.
Ce moment dura un certain temps, le temps était comme figé, mais ce fût une très belle mise en bouche.
Elle fini par se lever, me prit la main pour me conduire vers sa chambre. Je la suivais du regard, voyant ses fesses bouger à chaque pas. Cela était accentué par sa démarche sensuelle qui lui faisait danser tout le corps.
Une fois dans sa chambre, elle s’est assise sur le lit avant de prononcer quelques mots.

:-) : Viens mon bel étalon, approche-toi, tu as quelque chose que je dois découvrir.

Mon sexe s'était tendu à son maximum en entendant cela. Mon corps, comme hypnotisé par cette jeune dame, s'avancait vers elle, pendant qu'elle souriait.
CHAMPAGNE connaissait le but de ma venue, et allait bientôt atteindre son objectif.
Arrivant à sa hauteur, je pris sa tête dans mes mains pour lui administrer un bécot plein de passions. Nous échangions littéralement nos langues 👅 tant chacun offrait entièrement sa bouche.
Je continuais à l'embrasser quand elle posa ses mains sur mon jean, arrêta de m'embrasser, avant de le lancer un sourire coquin quand sa main eu un contact direct avec ma pine.
En un rien de temps, avec la dextérité qui est elle, elle fît sauter la boucle de ma ceinture, avant de défaire le bouton de mon pantalon pour le laisser glisser le long de mes jambes.
J'étais à moitié nu, à la merci de CHAMPAGNE qui continuant son œuvre déposa un bisou sur mon sexe à travers mon caleçon.

Juste après le bisou, elle descendit la dernière barrière, laissant jaillir mes 26 centimètres de nerf à quelques centimètres de son visage.
À la vue de mon gland rose bonbon, elle passa sa langue 👅 sur ses lèvres 👄 avant de les mordiller et de déposer enfin sa bouche sur mon Bazouzou.
Elle me lèchait, me procurait le même traitement tel que décrit lors de notre moment de rêverie d'il y'a quelques jours.
Le contact de sa langue vagabondant autour de mon gland était un avant-gout du paradis.

*-* : Hummm c’est trop bon, tu fais ça si bien CHAMPAGNE .

J'avais comme MULA le dit fièrement dans sa chanson, j'avais trouvé mon paradis terrestre à ce moment là.
Elle me regardait droit dans les yeux ce qui accentuait son érotisme. Me souvenant de son plaisir, jai prit ses cheveux en mains avant de faire un chignon improvisé autour de mes paumes. Ce geste eut pour effet de lui faire fermer les yeux pour se laisser guider au rythme que mes bras lui imposaient.
Je découvrais CHAMPAGNE dans sa plus naturelle splendeur. Sa timidité était déjà loin derrière elle. Je la voyais engloutir mon sexe aussi loin qu’elle le pouvait au point où quelques filets de bave coulaient aux coins de sa bouche.

:-) : Tu aimes ça mon écrivain?

Les yeux à moitié révulsés je ne pus que laisser échapper ;
*-* : Oui c’est si bon ce que tu me fais...

Je sentais chaque centimètre de ma queue recouvert par ses soins. La gourmandise avec laquelle elle me suçait était un doux rêve. Mon gland en bouche, elle me branlait en me caressant les couilles.
Quels talents !!!
Je ne voulais pas jouir trop vite, et elle le comprit. Elle lâcha prise, me tira sur le lit, et enleva sa robe en me regardant droit, les yeux dans yeux.
CHAMPAGNE, fît tomber sa robe à ses pieds et je pus enfin voir son corps. Ses seins généreux, ses belles hanches, cachées sous un ensemble noir en dentelle. Elle m’excitait comme un fou.

:-) : Tu aimes ce que tu vois ?

*-* : Tu es bandante, viens ici que je m’occupe de toi !

Elle vint à califourchon sur moi, s'est assise sur ma queue avant de prendre mes mains pour les portaient à ses seins. Je ne pourrai jamais oublier la douceur de sa peau.
Je malaxais sa poitrine avec énergie quand pour m'aider dans mon entreprise, elle dégrafa son soutien-gorge, me laissant enfin voir en vrai ces deux grosses auréoles ornés de beaux tétons déjà bien dure.
Elle se pencha sur moi et mit ses seins au contact de ma bouche. Mes mains sur ses fesses, je mangeait enfin sa poitrine.
Cette poitrine sur laquelle j'avais quelques jours avant fantasmé virtuellement était à portée de ma bouche, de ma langue 👅.
Mélissa aimait le jeu, elle aimait que je lui suce les seins. Je pouvais l'entendre dire;
:-) : Tu aimes mes seins. Vas y, mange les bien.

Je la sentais onduler son corps de telle sorte que son vagin caresse ma queue. Elle joua à ce jeu allumeur jusqu'à ce qu'elle descende par la suite sa culotte toute mouillée avant de venir s’assoir sur mon visage, m'offrant son vagin pour que je le léche comme elle aime tant.
Je buvais son jus d’amour, plantais ma langue au plus profond de son sexe, accentuais les mouvements sur son clitoris.
Elle jouissait littéralement sur ma tête.
Quel bonheur que c'était de voir ma lectrice s’abandonner autant à ma passion.
N’en pouvant plus, elle redescendit, pris mon Bazouzou une dernière fois en bouche avant de venir s’empaler d’un coup sûr lui, unissant enfin nos deux corps.

:-) : Hummmm, te sentir en moi est divin, j’adore ta queue.

Je la voyais bouger sur ma queue, ses seins bougeant au même rythme.
Ne voulant pas finir dans cette posture, je l'ai retournée pour la prendre en tue moi.
Ma tête entre ses énormes seins, ses jambes enlacées autour de ma taille, accentuaient le lien qui nous unissait.
Je la baisais en lui donnant des coups de plus en plus vigoureux jusqu'à sentir un début de montée de sève.
À ce moment là, voulant varier la position comme à mon habitude, je l'ai relevée pour l'installer debout, les mains posées sur le rebord du lit.
Je comptais finir notre ébat en levrette, son gros fessier à ma merci. Je la besognais de toutes mes forces. La tenant par les cheveux pendant que j'étais comme en transe.
Elle devait avoir mal, car elle cherchait désespérément à se relever. À cet moment là, pour la garder sous mon joug, j'ai avec mon coude droit, tapé dans le milieu de son dos. Cela eut pour effet de l'amener à le casser convenablement afin de faciliter ma pénétration.

:-) : Attend, changeons de position pour que tu me prennes plus fort, j’aime ça.

Là, après s'être levée, elle s'est mise à quatre pattes sur le lit, la tête contre l'oreiller avant de me dire;
:-) : Viens maintenant, baise moi !

Après lui avoir proprement doigté le vagin dans cette posture, j'ai frotté ma queue contre sa petite chatte lentement. Elle était encore toute humide. Cela l'a fit gémir.
Puis je l'ai pénétré en faisant lentement des va-et-vient. Son sexe étroit malgré tout, m'invitait à le pénétrer maintenant profondément.
La prenant par les hanches, j'ai commencé à accélérer mes mouvements. Sa position mettait bien en valeur ses fesses, ce qui m'amena à lui administrer une petite claque.
Elle poussa un petit cri et me dit;
:-) : Encore !

J'obeis car elle avait l'air d'aimer ça. Elle gémissait de plus en plus et nos deux sexes claquaient maintenant l'un contre l'autre à chaque fois qu'elle accompagnait de ses fesses mes mouvements .
Elle criait de plus en plus, puis son corps s'est mis à trembler, elle s'est cambrée en arrière et a joui fortement .
Alors qu'elle continuait à jouir je lui ai encore donné quelques grands va et vient.
Puis ne tenant plus, j'ai joui longuement en de longs jets de sperme.
Nous nous sommes ecroulés tous les deux sur le lit en restant enlacés un long moment.
Je l'embrassais en mêlant ma langue à la sienne comme un premier baiser.
Elle était à cet instant là, encore plus belle.

*-* : Merci pour tout, j'en avais tres envi.

:-) : Moi aussi, j'avais envi de toi depuis la première fois que j'ai lu tes récits. Et je ne regrette pas.

Nous nous sommes couchés, sans plus refaire l'amour car selon elle, son bas ventre lui faisait mal.
Au réveil à 6H, après lui avoir administré un bisou sur le front, j'ai pris congé d'elle avec la forte envie de la revoir.