Rencontres gay au cinéma
Récit érotique écrit par Bonobo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontres gay au cinéma
<p>Je suis retourné plusieurs fois dans ce même cinéma pour revivre ce moment d'émotion intense qu'est une fellation dans le noir d'une salle obscure. Peut-être pour être parti précipitamment la dernière fois, je n'ai plus eu de contact pendant un bon bout de temps. Je voyais des hommes qui parcouraient les coursives du cinéma, entrant et sortant sans cesse de la salle. Celle-ci avait deux issues sur le devant. Comme ces hommes entraient par une porte et sortaient par l'autre, j'en déduisis qu'il y avait un passage au fond de la salle. De ma place, je ne voyais rien.
Quelque temps plus tard, j'ai décidé de m'aventurer vers cet endroit. Je me suis assis au dernier rang en me retournant de temps en temps pour voir ce qu'il pouvait bien se passer. Il y avait effectivement une sorte de couloir entre les derniers fauteuils et le mur du fond de la salle. Une porte était ouverte, faisant une tache claire dans l'obscurité. Des hommes étaient debout derrière les fauteuils, certains, les bras croisés, posés sur les dossiers. D'autres étaient adossés au mur. Au bout d'un moment, j'ai vu l'un d'entre eux se mettre à genoux dans une position qui ne pouvait laisser aucun doute : Il suçait la bite de celui qui lui faisait face. Mon sexe se raidit immédiatement.
Cependant, j'avais encore peur de les rejoindre. Pourtant mon sexe me faisait mal. N'y tenant plus, j'ai ouvert ma braguette, j'ai sorti mon sexe et commencé à l'agiter. Je n'avais pas vu que quelqu'un s'était approché de moi. Le regard tourné vers la scène de fellation, j'avais mon sexe à la main quand une autre main se posa sur la mienne. Une voix susurra à mon oreille :
- C'est meilleur quand c'est quelqu'un d'autre qui le fait !
Il écarta doucement ma main et s'empara de l'objet de son désir. Sa main était chaude sur ma peau et mon sexe se durcit encore plus. Sa main glissait de bas en haut et arrivée à la pointe, ses doigts frôlaient la fente du gland. Chaque passage était ponctué d'un soubresaut de mes hanches à mesure que l'orgasme venait. Il passa un bras derrière moi et d'une poussée sur les fesses, il me fit m'asseoir au bord du fauteuil. Quelques minutes plus tard, j'inondais sa main de mon sperme. Il continua son mouvement jusqu'à l'arrêt complet de mon état convulsif. Mes couilles enfin vides, j'ai cru que c'était fini mais il continua. Je n'ai pas osé me dégager. En fin de compte, j'ai éjaculé trois fois d'affilée. A chaque fois, l'orgasme était plus violent. Je n'avais jamais connu ça. Il s'est arrêté quand il m'a senti vaciller sur mes jambes. Je tremblais comme si j'avais froid.
- Eh ! dit-il. Tu étais en forme. Bravo. Trois fois. Ca t'arrive souvent ?
- Non, c'est la première fois.
- Tu reviendras ?
- Bien sûr !
Mon compagnon est parti et je me suis rhabillé. Je me suis retourné de nouveau. Derrière moi, un homme était debout, la tête penchée en avant. Il semblait regarder par terre. Sa tête remuait sensiblement et je croyais qu'il était en train de se masturber. Je me suis demandé si c'était parce qu'il nous avait regardé faire. Mais, j'ai entendu des soupirs rauques. Je me suis levé et suis passé derrière les fauteuils.
L'homme debout était en train de sodomiser un autre, penché en avant, les jambes écartées et les fesses en l'air. Le sexe était gros et coulissait aisément. Ma première pensée fut que l'enculé devait l’être souvent. Jaloux du spectacle, je suis allé m'adosser au mur, conscient de faire comme une pute qui attend le client. J'ai recueilli plusieurs tentatives mais je vous les raconterais une autre fois.
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Quelque temps plus tard, j'ai décidé de m'aventurer vers cet endroit. Je me suis assis au dernier rang en me retournant de temps en temps pour voir ce qu'il pouvait bien se passer. Il y avait effectivement une sorte de couloir entre les derniers fauteuils et le mur du fond de la salle. Une porte était ouverte, faisant une tache claire dans l'obscurité. Des hommes étaient debout derrière les fauteuils, certains, les bras croisés, posés sur les dossiers. D'autres étaient adossés au mur. Au bout d'un moment, j'ai vu l'un d'entre eux se mettre à genoux dans une position qui ne pouvait laisser aucun doute : Il suçait la bite de celui qui lui faisait face. Mon sexe se raidit immédiatement.
Cependant, j'avais encore peur de les rejoindre. Pourtant mon sexe me faisait mal. N'y tenant plus, j'ai ouvert ma braguette, j'ai sorti mon sexe et commencé à l'agiter. Je n'avais pas vu que quelqu'un s'était approché de moi. Le regard tourné vers la scène de fellation, j'avais mon sexe à la main quand une autre main se posa sur la mienne. Une voix susurra à mon oreille :
- C'est meilleur quand c'est quelqu'un d'autre qui le fait !
Il écarta doucement ma main et s'empara de l'objet de son désir. Sa main était chaude sur ma peau et mon sexe se durcit encore plus. Sa main glissait de bas en haut et arrivée à la pointe, ses doigts frôlaient la fente du gland. Chaque passage était ponctué d'un soubresaut de mes hanches à mesure que l'orgasme venait. Il passa un bras derrière moi et d'une poussée sur les fesses, il me fit m'asseoir au bord du fauteuil. Quelques minutes plus tard, j'inondais sa main de mon sperme. Il continua son mouvement jusqu'à l'arrêt complet de mon état convulsif. Mes couilles enfin vides, j'ai cru que c'était fini mais il continua. Je n'ai pas osé me dégager. En fin de compte, j'ai éjaculé trois fois d'affilée. A chaque fois, l'orgasme était plus violent. Je n'avais jamais connu ça. Il s'est arrêté quand il m'a senti vaciller sur mes jambes. Je tremblais comme si j'avais froid.
- Eh ! dit-il. Tu étais en forme. Bravo. Trois fois. Ca t'arrive souvent ?
- Non, c'est la première fois.
- Tu reviendras ?
- Bien sûr !
Mon compagnon est parti et je me suis rhabillé. Je me suis retourné de nouveau. Derrière moi, un homme était debout, la tête penchée en avant. Il semblait regarder par terre. Sa tête remuait sensiblement et je croyais qu'il était en train de se masturber. Je me suis demandé si c'était parce qu'il nous avait regardé faire. Mais, j'ai entendu des soupirs rauques. Je me suis levé et suis passé derrière les fauteuils.
L'homme debout était en train de sodomiser un autre, penché en avant, les jambes écartées et les fesses en l'air. Le sexe était gros et coulissait aisément. Ma première pensée fut que l'enculé devait l’être souvent. Jaloux du spectacle, je suis allé m'adosser au mur, conscient de faire comme une pute qui attend le client. J'ai recueilli plusieurs tentatives mais je vous les raconterais une autre fois.
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