Rendez-vous chez une pro - 2
Récit érotique écrit par Soumiso [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 3 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Rendez-vous chez une pro - 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mademoiselle Véronique ouvre le rideau pour me laisser le passage. J’avance dans ce long couloir toujours à quatre pattes. Je remarque des portes à droite et à gauche ; certainement des chambres dans lesquelles officient les hôtesses. Mademoiselle Véronique ouvre l’une d’entre elles et me demande d’entrer, ce que je fais. Elle entre à son tour, s’assoit directement sur le lit sans même refermer la porte.
- Viens ici me dit-elle en me désignant le sol, entre ses pieds.
Je m’exécute, me met à genoux face à elle et, instinctivement positionne mes mains dans le dos. Elle me relève la tête en plaçant son index sous mon menton.
Je découvre enfin cette femme magnifique. Elle est brune, les cheveux courts, les yeux d’un bleu perçant. Elle porte un chemisier blanc ouvert sur un soutien-gorge noir finement agrémenté de dentelle blanche. De par sa position assise, sa courte jupe découvre largement ses cuisses qu’elle a ouvertes pour me faire place. De là où je suis-je pourrais aisément découvrir sa culotte ou son sexe ; mais je m’en garde bien de peur de lui manquer de respect.
- Comme je te l’ai dit tout à l’heure au téléphone, durant ta séance, tu n’auras le droit à aucune relation sexuelle avec moi. Tu m’as dit que tu souhaitais une domination plus cérébrale que physique mais je tiens à t’informer que toute désobéissance sans fondement sera punie ; est-ce clair ?
- Oui ; dis-je intimidé
Une gifle me fit basculer sur le côté. C’était la première fois en tant qu’adulte, que je recevais ce châtiment. J’ignore si c’était la douleur, les nerfs ou l’humiliation mais mes yeux se sont mis à pleurer. Malgré tout je repris ma place initiale.
- Oui qui ? Me demanda-t-elle avec un calme qui tranchait littéralement avec la violence de l’acte précédent
- Oui Mademoiselle Véronique
- Pour commencer tu vas retirer tout ce qui te sert de vêtement. Je te veux nu.
Ce premier ordre me mis mal à l’aise de par le fait que la porte était toujours ouverte. Je commençais néanmoins à retirer ma veste en regardant vers le couloir. Mademoiselle Véronique a remarqué mon mal-être mais n’a rien fait pour y remédier, au contraire. J’étais en train d’ôter ma chemise, toujours aussi tendu, lorsqu’elle a pris ma tête entre ses mains et, en me regardant droit dans les yeux m’a dit de façon toujours aussi posée :
- Tu es venu ici pour te soumettre ; tu as déboursé une somme assez rondelette pour vivre un moment d’abandon total. Tu en es toujours d’accord ?
- Oui Mademoiselle Véronique.
- Très bien, alors je veux que tu fasses abstraction de tout ce qui se passe autour de nous et que tu te concentre sur une seule chose : moi ! Les exigences que je vais avoir vont certainement te bousculer mais je m’appuierais sur les fantasmes que tu m’as confiée pour t’aider à passer de tes fantasmes aux actes. Je te demande de faire confiance à ta Maîtresse du moment. Me fais-tu confiance ?
- Oui Mademoiselle Véronique.
Histoire de me mettre une pression supplémentaire, elle ajouta :
- Tu as payé pour une séance de deux heures mais si tu souhaites l’arrêter tu n’auras qu’un mot et un seul mot à dire : « stop ». Dans ce cas tu prendras tes cliques et tes clacs et tu rentreras chez toi. Mais réfléchi bien avant de prononcer ce mot car il sera irrévocable. As-tu bien compris ?
Les choses étaient clairement posées. Je me demandais soudainement si j’avais eu raison de confier si précisément mes fantasmes quelques heures avant. En même temps je rêvais de cette situation depuis si longtemps sans jamais pouvoir les assouvir…. C’est sans hésitation mais avec émotion que je répondais :
- Oui Mademoiselle Véronique
- Continues ton déshabillage
J’obéissais en restant concentré sur la chance que j’avais d’être soumis à cette magnifique Maîtresse. Néanmoins j’entendais des vas et viens dans le couloir. Une fois nu, Mademoiselle Véronique toujours assise sur le lit et faisant face à la porte, me demanda de reculer un peu afin qu’elle puisse « juger de la marchandise ». J’obtempérais.
- Mets tes mains derrière la tête ; rentre ton ventre ; cambre tes reins pour faire ressortir ton cul, écartes tes cuisses.
J’obéissais tel un pantin à chacun de ses ordres. Cette situation, bien qu’humiliante m’excitait et je sentais mon sexe qui commençait à réagir. Mademoiselle jouait avec mes parties intimes de la pointe de ces escarpins.
- Et bien, avec un petit sexe comme ça, tu ne dois pas faire que des heureuses. Regarde-moi cette misérable chose.
Elle frottait le dessus de son escarpin sous mes bourses ; je sentais la pointe de celui-ci flirter mon anus. Ma verge maintenant tendue laissa échapper du liquide séminal qui vint souiller le soulier de ma Maîtresse.
- Non mais je rêve, monsieur mouille comme une véritable salope et en plus il en met partout.
Mademoiselle parlait toujours aussi calmement mais le ton avait grimpé en volume à un tel point que je me suis demandé si on ne l’avait pas entendu depuis l’accueil.
- Nettoie- moi ça rapidement petite lope.
Malgré l’injure je me mis à quatre pattes pour nettoyer son escarpin. Pendant que j’œuvrais, Mademoiselle Véronique appuya sur mon épaule avec son autre pied comme pour m’empêcher de me relever.
Mademoiselle Véronique ouvre le rideau pour me laisser le passage. J’avance dans ce long couloir toujours à quatre pattes. Je remarque des portes à droite et à gauche ; certainement des chambres dans lesquelles officient les hôtesses. Mademoiselle Véronique ouvre l’une d’entre elles et me demande d’entrer, ce que je fais. Elle entre à son tour, s’assoit directement sur le lit sans même refermer la porte.
- Viens ici me dit-elle en me désignant le sol, entre ses pieds.
Je m’exécute, me met à genoux face à elle et, instinctivement positionne mes mains dans le dos. Elle me relève la tête en plaçant son index sous mon menton.
Je découvre enfin cette femme magnifique. Elle est brune, les cheveux courts, les yeux d’un bleu perçant. Elle porte un chemisier blanc ouvert sur un soutien-gorge noir finement agrémenté de dentelle blanche. De par sa position assise, sa courte jupe découvre largement ses cuisses qu’elle a ouvertes pour me faire place. De là où je suis-je pourrais aisément découvrir sa culotte ou son sexe ; mais je m’en garde bien de peur de lui manquer de respect.
- Comme je te l’ai dit tout à l’heure au téléphone, durant ta séance, tu n’auras le droit à aucune relation sexuelle avec moi. Tu m’as dit que tu souhaitais une domination plus cérébrale que physique mais je tiens à t’informer que toute désobéissance sans fondement sera punie ; est-ce clair ?
- Oui ; dis-je intimidé
Une gifle me fit basculer sur le côté. C’était la première fois en tant qu’adulte, que je recevais ce châtiment. J’ignore si c’était la douleur, les nerfs ou l’humiliation mais mes yeux se sont mis à pleurer. Malgré tout je repris ma place initiale.
- Oui qui ? Me demanda-t-elle avec un calme qui tranchait littéralement avec la violence de l’acte précédent
- Oui Mademoiselle Véronique
- Pour commencer tu vas retirer tout ce qui te sert de vêtement. Je te veux nu.
Ce premier ordre me mis mal à l’aise de par le fait que la porte était toujours ouverte. Je commençais néanmoins à retirer ma veste en regardant vers le couloir. Mademoiselle Véronique a remarqué mon mal-être mais n’a rien fait pour y remédier, au contraire. J’étais en train d’ôter ma chemise, toujours aussi tendu, lorsqu’elle a pris ma tête entre ses mains et, en me regardant droit dans les yeux m’a dit de façon toujours aussi posée :
- Tu es venu ici pour te soumettre ; tu as déboursé une somme assez rondelette pour vivre un moment d’abandon total. Tu en es toujours d’accord ?
- Oui Mademoiselle Véronique.
- Très bien, alors je veux que tu fasses abstraction de tout ce qui se passe autour de nous et que tu te concentre sur une seule chose : moi ! Les exigences que je vais avoir vont certainement te bousculer mais je m’appuierais sur les fantasmes que tu m’as confiée pour t’aider à passer de tes fantasmes aux actes. Je te demande de faire confiance à ta Maîtresse du moment. Me fais-tu confiance ?
- Oui Mademoiselle Véronique.
Histoire de me mettre une pression supplémentaire, elle ajouta :
- Tu as payé pour une séance de deux heures mais si tu souhaites l’arrêter tu n’auras qu’un mot et un seul mot à dire : « stop ». Dans ce cas tu prendras tes cliques et tes clacs et tu rentreras chez toi. Mais réfléchi bien avant de prononcer ce mot car il sera irrévocable. As-tu bien compris ?
Les choses étaient clairement posées. Je me demandais soudainement si j’avais eu raison de confier si précisément mes fantasmes quelques heures avant. En même temps je rêvais de cette situation depuis si longtemps sans jamais pouvoir les assouvir…. C’est sans hésitation mais avec émotion que je répondais :
- Oui Mademoiselle Véronique
- Continues ton déshabillage
J’obéissais en restant concentré sur la chance que j’avais d’être soumis à cette magnifique Maîtresse. Néanmoins j’entendais des vas et viens dans le couloir. Une fois nu, Mademoiselle Véronique toujours assise sur le lit et faisant face à la porte, me demanda de reculer un peu afin qu’elle puisse « juger de la marchandise ». J’obtempérais.
- Mets tes mains derrière la tête ; rentre ton ventre ; cambre tes reins pour faire ressortir ton cul, écartes tes cuisses.
J’obéissais tel un pantin à chacun de ses ordres. Cette situation, bien qu’humiliante m’excitait et je sentais mon sexe qui commençait à réagir. Mademoiselle jouait avec mes parties intimes de la pointe de ces escarpins.
- Et bien, avec un petit sexe comme ça, tu ne dois pas faire que des heureuses. Regarde-moi cette misérable chose.
Elle frottait le dessus de son escarpin sous mes bourses ; je sentais la pointe de celui-ci flirter mon anus. Ma verge maintenant tendue laissa échapper du liquide séminal qui vint souiller le soulier de ma Maîtresse.
- Non mais je rêve, monsieur mouille comme une véritable salope et en plus il en met partout.
Mademoiselle parlait toujours aussi calmement mais le ton avait grimpé en volume à un tel point que je me suis demandé si on ne l’avait pas entendu depuis l’accueil.
- Nettoie- moi ça rapidement petite lope.
Malgré l’injure je me mis à quatre pattes pour nettoyer son escarpin. Pendant que j’œuvrais, Mademoiselle Véronique appuya sur mon épaule avec son autre pied comme pour m’empêcher de me relever.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vivement la suite.......
Oui, c'est un peu long, mais tellement prometteur.
Rudy
Rudy
C'est intéressant et prometteur....mais elle n'avance pas cette histoire. Après 2 épisodes, il s'est déshabillé...Et ensuite svp.