RER Magique 5
Récit érotique écrit par Calinchaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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RER Magique 5
Par chance, ni Mickaël ni moi n’étions occupés ce jour là….
Je n’avais pas de cours à donner, du moins juste un seul que je me suis empressé d’annuler pour rester avec lui, et lui, juste un cours magistral auquel il pouvait ne pas assister….
Après avoir fait l’amour d’une manière aussi intense au matin, après qu’il m’ait possédé encore plusieurs fois et dans toutes les positions possibles…
Putain de mec
Après un petit déj’ rapidement avalé, nous nous sommes préparés pour aller faire quelque courses. J’avais toujours un peu de mal à réaliser ce qu’il s’était passé ces dernières heures et que ce grand corps sans fin, rencontré dans le RER la veille, avait pris possession de moi, avait rempli tous mes orifices de sa puissance et de sa liqueur…
Ses vêtements enfilés, avec cette bosse toujours proéminente devant lui, j’étais fier de partir avec lui, dans ma ville, presque à son bras, pour effectuer des gestes de tous les jours, comme une « femme » avec son mari…. Fier aussi de montrer à des inconnus que mon mari avait, entre ses jambes, un instrument hors du commun…. Un instrument capable de combler sa « femme » comme peu de « femmes » peuvent l’être…. Envie d’entendre les murmures d’envie se demandant comment je pouvais prendre ça en moi….
Bien évidemment, Mickaël se comportait très naturellement, choisissant les produits, s’approchant de moi d’une manière câline en me demandant mon avis, sur ce que j’avais envie de préparer pour lui, et complètement indifférent au comportement des autres clients.
Ca avait l’air si simple pour lui…. Il semblait faire ses courses avec sa « femme » et point barre…. Heureux de voir à mes gestes que sa « femme » commençait à l’adorer,
Après un regard désinvolte sur le chariot, en appuyant son corps sur le mien….
« Bon… on a tout… on rentre ??? »
On rentre… et à peine rentré chez moi, juste le temps de poser les sacs parterre, que Mickaël s’est rué sur moi et m’a renversé sur la table en écartant tout……
« Enfin, je n’en pouvais plus….. »
Je ne sais pas comment, mais en quelque secondes je lui appartenais, son énorme membre coulissait en moi et me perforait avec une force, une violence inimaginable, alors que ses lèvres couvraient mon cou de baisers….
« Pardonne-moi…. Pardonne-moi »…
Il me disait ces mots en me possédant, en me défonçant encore plus fort…. Je regardais son visage pendant qu’il me pilonnait et il ressemblait à celui d’un fou…. Même si je commençais à m’habituer à ses violents assauts, celui-ci était particulier…. Il écartait mes jambes au maximum pour me pénétrer encore plus profondément, cherchant encore plus loin, encore plus fort….. Un vrai fauve en furie…. Son corps exsudait une odeur de mâle en rut… remplie de testostérone et de phéromones qui me rendaient encore plus fou que lui, davantage femelle soumise, offerte à son male….
Une poussée encore plus forte que les autres, un énorme cri…. Le mâle vient de féconder sa femelle…… Il a répandu sa liqueur dans le réceptacle….
Putain de mec….
Avec ce qu’il me met, j’aurais du prendre des protèges slips… A savoir pour la prochaine fois….
Pendant plus d’un mois, il m’a semblé vivre sur un petit nuage. Dès qu’il pouvait, en fonction de ses cours, Mickaël venait passer la soirée, la nuit avec moi, toujours avec cette alternance de tendresse, de câlins, mais aussi de possession de sa part, aussi violente que son désir.
J’avais retenu la leçon précédente, des paquets de protège-slips plutôt épais s’avéraient indispensable lors de ses visites. Je n’ai jamais pu comprendre comment un homme pouvait générer et recharger autant de nectar en si peu de temps et le déposer aussi profondément en moi. Toujours est-il que cette merveilleuse liqueur, si suave au goût quand je l’avalais, restait présente dans moi, souvent 24 heures après sa visite, et s’écoulait de mon corps lentement, comme si sa présence restait en moi, même après son départ.
Il m’a demandé un jour de réserver un Week-end, juste pour lui et moi, pas très loin de Paris, mais dans un endroit calme, en maison d’hôte. J’avais trouvé un établissement « Gay friendly » en Bretagne… Et oui, moi Niçois de pure souche, j’adore la Bretagne…. Week-end du vendredi au lundi matin, tellement magique, tellement intime, que même si maintenant vous êtes mes amis, je n’ai pas envie de vous le décrire. Je laisse libre cours à votre imagination…. Seul détail, j’avais vraiment du mal à conduire en rentrant, et les 2 pauses demandées n’ont pas franchement arrangé les choses, même si j’étais habitué….
Deux semaines après ce moment magique, Mickaël m’a demandé de me libérer un autre Week-end, mais pour rester chez moi, ensemble. Après le rituel des courses, de cette vie commune qui s’instaurait de temps en temps, cette fusion des corps avides, le dimanche soir, je l’ai vu sortir une bouteille de champagne fraîche… Il n’était pas sorti pour acheter uniquement des cigarettes….. !!!
Il m’a demandé mes flûtes, les a remplies, et après le « tchin » rituel, il m’a annoncé qu’il avait décroché un stage d’un an aux USA, important pour sa carrière et ses études, et qu’il devait partir en milieu de semaine suivante.
En quelques secondes, les images de ces semaines passées avec lui ont défilé dans mon esprit à une vitesse surprenante. Que de bonheur, que d’instants magiques et merveilleux Mickaël m’avait donnés. Que ce simple regard profond dans un RER, cet « Augenblick » m’avait offert….
Je me suis jeté dans ses bras, caressant son visage, posant mes lèvres sur chacune de ses paupières….
« Je suis fier de toi »….
Mickaël ne m’appartenait pas…. Il était à lui et à lui seul…..
Il a pris ma main, a embrassé chacun de mes doigts, a ouvert ma paume, et y a déposé un seul baiser… Un seul….
Ce grand corps longiligne s’est levé du fauteuil en face de moi, a jeté ses yeux noirs dans les miens, avec un regard…. Indéfinissable….
Il a pris son blouson, son sac, a quitté mon appartement sans se retourner.
C’était il y a deux ans.
A ce jour, je n’ai jamais revu Mickaël, je n’ai jamais eu la moindre nouvelle de Mickaël.
Putain de mec…
Je n’avais pas de cours à donner, du moins juste un seul que je me suis empressé d’annuler pour rester avec lui, et lui, juste un cours magistral auquel il pouvait ne pas assister….
Après avoir fait l’amour d’une manière aussi intense au matin, après qu’il m’ait possédé encore plusieurs fois et dans toutes les positions possibles…
Putain de mec
Après un petit déj’ rapidement avalé, nous nous sommes préparés pour aller faire quelque courses. J’avais toujours un peu de mal à réaliser ce qu’il s’était passé ces dernières heures et que ce grand corps sans fin, rencontré dans le RER la veille, avait pris possession de moi, avait rempli tous mes orifices de sa puissance et de sa liqueur…
Ses vêtements enfilés, avec cette bosse toujours proéminente devant lui, j’étais fier de partir avec lui, dans ma ville, presque à son bras, pour effectuer des gestes de tous les jours, comme une « femme » avec son mari…. Fier aussi de montrer à des inconnus que mon mari avait, entre ses jambes, un instrument hors du commun…. Un instrument capable de combler sa « femme » comme peu de « femmes » peuvent l’être…. Envie d’entendre les murmures d’envie se demandant comment je pouvais prendre ça en moi….
Bien évidemment, Mickaël se comportait très naturellement, choisissant les produits, s’approchant de moi d’une manière câline en me demandant mon avis, sur ce que j’avais envie de préparer pour lui, et complètement indifférent au comportement des autres clients.
Ca avait l’air si simple pour lui…. Il semblait faire ses courses avec sa « femme » et point barre…. Heureux de voir à mes gestes que sa « femme » commençait à l’adorer,
Après un regard désinvolte sur le chariot, en appuyant son corps sur le mien….
« Bon… on a tout… on rentre ??? »
On rentre… et à peine rentré chez moi, juste le temps de poser les sacs parterre, que Mickaël s’est rué sur moi et m’a renversé sur la table en écartant tout……
« Enfin, je n’en pouvais plus….. »
Je ne sais pas comment, mais en quelque secondes je lui appartenais, son énorme membre coulissait en moi et me perforait avec une force, une violence inimaginable, alors que ses lèvres couvraient mon cou de baisers….
« Pardonne-moi…. Pardonne-moi »…
Il me disait ces mots en me possédant, en me défonçant encore plus fort…. Je regardais son visage pendant qu’il me pilonnait et il ressemblait à celui d’un fou…. Même si je commençais à m’habituer à ses violents assauts, celui-ci était particulier…. Il écartait mes jambes au maximum pour me pénétrer encore plus profondément, cherchant encore plus loin, encore plus fort….. Un vrai fauve en furie…. Son corps exsudait une odeur de mâle en rut… remplie de testostérone et de phéromones qui me rendaient encore plus fou que lui, davantage femelle soumise, offerte à son male….
Une poussée encore plus forte que les autres, un énorme cri…. Le mâle vient de féconder sa femelle…… Il a répandu sa liqueur dans le réceptacle….
Putain de mec….
Avec ce qu’il me met, j’aurais du prendre des protèges slips… A savoir pour la prochaine fois….
Pendant plus d’un mois, il m’a semblé vivre sur un petit nuage. Dès qu’il pouvait, en fonction de ses cours, Mickaël venait passer la soirée, la nuit avec moi, toujours avec cette alternance de tendresse, de câlins, mais aussi de possession de sa part, aussi violente que son désir.
J’avais retenu la leçon précédente, des paquets de protège-slips plutôt épais s’avéraient indispensable lors de ses visites. Je n’ai jamais pu comprendre comment un homme pouvait générer et recharger autant de nectar en si peu de temps et le déposer aussi profondément en moi. Toujours est-il que cette merveilleuse liqueur, si suave au goût quand je l’avalais, restait présente dans moi, souvent 24 heures après sa visite, et s’écoulait de mon corps lentement, comme si sa présence restait en moi, même après son départ.
Il m’a demandé un jour de réserver un Week-end, juste pour lui et moi, pas très loin de Paris, mais dans un endroit calme, en maison d’hôte. J’avais trouvé un établissement « Gay friendly » en Bretagne… Et oui, moi Niçois de pure souche, j’adore la Bretagne…. Week-end du vendredi au lundi matin, tellement magique, tellement intime, que même si maintenant vous êtes mes amis, je n’ai pas envie de vous le décrire. Je laisse libre cours à votre imagination…. Seul détail, j’avais vraiment du mal à conduire en rentrant, et les 2 pauses demandées n’ont pas franchement arrangé les choses, même si j’étais habitué….
Deux semaines après ce moment magique, Mickaël m’a demandé de me libérer un autre Week-end, mais pour rester chez moi, ensemble. Après le rituel des courses, de cette vie commune qui s’instaurait de temps en temps, cette fusion des corps avides, le dimanche soir, je l’ai vu sortir une bouteille de champagne fraîche… Il n’était pas sorti pour acheter uniquement des cigarettes….. !!!
Il m’a demandé mes flûtes, les a remplies, et après le « tchin » rituel, il m’a annoncé qu’il avait décroché un stage d’un an aux USA, important pour sa carrière et ses études, et qu’il devait partir en milieu de semaine suivante.
En quelques secondes, les images de ces semaines passées avec lui ont défilé dans mon esprit à une vitesse surprenante. Que de bonheur, que d’instants magiques et merveilleux Mickaël m’avait donnés. Que ce simple regard profond dans un RER, cet « Augenblick » m’avait offert….
Je me suis jeté dans ses bras, caressant son visage, posant mes lèvres sur chacune de ses paupières….
« Je suis fier de toi »….
Mickaël ne m’appartenait pas…. Il était à lui et à lui seul…..
Il a pris ma main, a embrassé chacun de mes doigts, a ouvert ma paume, et y a déposé un seul baiser… Un seul….
Ce grand corps longiligne s’est levé du fauteuil en face de moi, a jeté ses yeux noirs dans les miens, avec un regard…. Indéfinissable….
Il a pris son blouson, son sac, a quitté mon appartement sans se retourner.
C’était il y a deux ans.
A ce jour, je n’ai jamais revu Mickaël, je n’ai jamais eu la moindre nouvelle de Mickaël.
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