Retrouvailles de gouines

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Retrouvailles de gouines Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Retrouvailles de gouines
Ce photographe a du talent, beaucoup de talent. Chaque épreuve affichée montre des nus féminins, seule ou à plusieurs, les femmes sont magnifiquement représentées. Le galeriste en plus a su bien présenté dans un ordre montant l’érotisme sous jacent. Les invités du vernissage sont bluffés. Il me semble reconnaitre une amie parmi les modèles: je l’ai perdu de vue il doit y avoir une petite dizaine d’année. Je cherche l’auteur, l’ayant trouvé je lui demande s’il sait où réside ma copine Michèle, celle qui orne en grand la dernière salle.
Il cherche pas mal de temps avant de répondre qu’il ne s’en souvient pas. Comme je suis une femme il accepte que Je lui téléphone demain, si j’avais été un homme la réponse aurait était un refus. Et pourtant s’il savait qui je suis……..
J’attends le lendemain matin, vers midi, le coup de fil. J’ai l’adresse et chose précieuse son n° de portable. D’après lui elle est toujours en France en ce moment: elle est très demandée comme modèle un peu partout dans le monde: c’est dans son genre une vedette parce qu’elle accepte de poser même nue, dans des positions scabreuses que beaucoup refusent. Ensuite elle sait comment poser, rapidement. Elle vaut de l’argent.
J’essaie son portable, presque aussitôt, j’entends sa voix reconnaissable entre mille.
- Oui, Allo, Michèle à l’appareil.
- Salut Michèle, c’est Gilette, tu te souviens ?
- Mon Dieu, Gilette où es tu ?
- Ici, chez moi en ville.
- Tu es libre ce soir, nous pourrions nous retrouver chez *****, le restaurateur, vers 21 heures.
- Avec plaisir.
Je suis satisfaite de savoir que ce soir nous allons raconter nos souvenirs anciens et peut-être reprendre une liaison interrompue je ne sais même plus pourquoi, une dispute sans importance montée en épingle. Je vais en profiter pour me faire belle, si on peut dire; je me maquille à peine. Je me déshabille totalement: j’examine mon corps: je n’ai pas trop changée, sauf peut être un poil de plus à la taille. Je ne suis pas comme elle, aussi sexy.
Il me tarde tant de la revoir. J’ai en tête des souvenirs qui m’excitent. Sans même y penser je me touche le pubis et de là je descends sur ma chatte. Je sais ce que je fais: je me couche en face du miroir pour voir ma chatte qui se mouille et ma main surtout ma main qui sans que je demande quelque chose caresse d’abord le bouton avant de descendre dans mon vagin. Les deux doigts que j’y ai mit font ce à quoi ils sont destinés. Je me doigte longtemps en ralentissent pour faire durer le plaisir quand je n’en peux plus, je vais de plus en pus vite et enfin je jouis.
Je suis folle d’avoir fait ça: je suis obligée de ma laver à fond: le bidet est toujours utile dans ce cas.
Je vais m’habiller avec l’éternelle question que se posent les femmes, qu’est-ce que je vais mettre. Ca, à non, ça, je l’ai trop mis ou alors cet ensemble: je l’ai acheté sur un coup de tête. Finalement je met un robe toute simple. Je vais partir quand je m’aperçois que j’ai oublié mes sous vêtements. Tant pie, même si Michèle le voit ça restera entre nous.

La voilà à droite, au fond de la salle à manger. Elle n’a pas changée, toujours belles, sexy, avec un brin de maturité. Elle se lève, nous nous embrassons sur les joues.
Bien sur les souvenirs défilent. Les plats et le vin aussi:
- Tu as toujours bon appétit.
- Et toi la descente toujours en pente.
- Tu sais dans la vie que je mène les satisfaction minimes ont de la valeur: un bon vin ne me fait as peur. En plus je ne grossit pas. Comme toi à ce que je vois.
- Oh, moi je me contente de peu.
- Tu sais que je regrette encore notre séparation. Pourquoi au fait ?

Nous éclatons de rire. Nous ne savons même pas le pourquoi de notre brusque séparation.
- Ce n’était pas sexuel, je m’en souviendrai, ajoute Michèle.
Elle me prend la main, me la serre. Je comprends qu’elle aussi est prête à revenir en arrière. Nous croisons nos doigts, même si le gens d’à coté nous regardent.

Nous payons, nous levons précipitamment, prenons un taxi. Elle donne son adresse. Nous sommes sages pendant toute la durée du parcours. Par contre chez elle c’est différent.

Nous avons presque 10 ans à rattraper. Elle est la plus rapide quand elle prend ma bouche. Nos langues renouent facilement leur bataille. Nous sommes tellement serrées que mes seins s’écrasent contre les siens. Je me demande si elle porte seulement un soutien gorge. Je n’en ai pas; je n’en suis pas responsable si on veut. Je profite de ce baiser pour aller sur son dos. Que de souvenirs remontent, ma main caresse tout le dos, je ne trouve pas de traces d’un soutif. Elle me tient par la taille, sa prise favorite. Je me souvient de la suite; elle va venir sur ma poitrine. Si j’avais joué, j’aurai gagné. Sa caresse est encore meilleure que ce que j’ai comme souvenirs.
J’ai trop envie d’elle, je soulève sa jupe pour aller lui taquiner le clitoris.
Elle me laisse faire: je passe ma main entre ses cuisses: elle les écarte en assentiment. Je monte lentement pour arriver vers ses trésors cachés. Je les trouve vite sous un string de rien du tout que j’écarte. Je commence la caresser: je suis gênée par la présence de ce string; je le fait glisser jusqu’à ses pieds qu’elle lève. Je reviens vite là où j’étais. Enfin je retrouve la douceur de son sexe, mon index, celui qu’elle préférait caresse longuement son petit bouton. Elle frémit, s’appuie à moi. Elle ne va pas tarder à crier sa jouissance. C’est-ce qui se passe.
Le suite de dépend plus que d’elle: elle me prend par la main pour me mener dans la chambre.
Je jette un coup d’œil rapide, je vois sur la table de nuit un magnifique gode: elle n’a pas perdu cette habitude de se baiser seule. Nous nous mettons nues très vite, nous sommes allongées rapidement. Cette fois, comme avant nous nous caressons les seins, le ventre, le visage pour nous retrouver entre nos jambes. Nous nous branlons mutuellement. Comme avant nous savons attendre l’autre pour jouir.
Il nous tarde de faire un 69. Nous retrouvons nos odeurs intimes perdues depuis trop longtemps. Nos langues retrouvent vite leurs habitudes sur le sexe de l’autre.
Elle passe sa langue d’abord sur mes lèvres intimes de haut en bas, puis les pénètre un peu pour revenir vers le haut. Elle me lèche le clitoris longuement sans trop appuyer, pile comme j’aime. Elle sait que je vais jouir ainsi.
Moi je commence comme elle et pourtant je ne lui suce pas le bouton, je préfère de loin son anus. Je le lèche longuement avant que ma langue aille dans son cul. Je la fait pénétrer pour la faire ressortir. Pour ces retrouvailles nous respectons nos anciennes règles. Nous en ajoutons de nouvelles que nous avons trouvées de droite et de gauche pendant notre séparation: nous n’étions pas des nones, nous avons eu d’autres amantes.
Nous restons en 69 plusieurs fois pour jouir de plus en plus, comme avant. Elle pend le gode, le pose sur mon cul: j’ai un peu peur, il y a longtemps que je ne me suis pas faite enculer. Je le lui dit: elle agit avec moi comme si j’étais vierge de ce coté. Elle me mouille à fond l’anus, l’écarte à deux doigts d’abord puis trois; quand elle estime que je suis assez ouverte elle entre ce monstrueux engin. Je le sens passer le sphincter sans dommage: je suis totalement détendue et confiante; Elle me suce en même temps. Je ressent la jouissance de mon cul. Elle me fit tourner sur le dos, j’ai toujours le gode planté dans le cul. J’ai encore envie, alors sans rien demander je continu moi-même à m’enculer. Je vais à l’allure qui me convient et je jouis encore. Elle retire le gode de mon corps, se couche à mes pieds, son cul bien visible: elle aussi de sodomise devant moi. Je vois ses yeux se fermer. J’en profite pour aller près d’elle pour la branler pendant qu’elle se fait du bien de l’autre coté. Je pose ma bouche sur la sienne, ma langue est au fond de sa cavité buccale.

Nous sommes en sueur, nous n’en pouvons plus. Nous décidons de ne plus parler de notre séparation, ni de nos liaisons intermédiaire. Nous restons ce que nous sommes, bien que vivant à part, des gouines affirmées.

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