Retrouvailles sous hautes températures avec une ex.
Récit érotique écrit par Yvesd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retrouvailles sous hautes températures avec une ex.
Je me rappelle souvent avec nostalgie mon ex-petite amie, la belle Sylvie, avec qui on s’entendait très bien d’un point de vue sexuel. Elle ne me laissait rarement un jour sans que l’on s’envoie en l’air comme des fous. Et puis la vie nous a séparé.
Avec ma nouvelle compagne, tout allait bien au lit mais depuis qu’on a eu notre garçon, elle ne porte quasiment plus d’intérêt à la chose. On fait l’amour 3 fois par mois en moyenne, quand le vent souffle dans le bon sens.
J’ai eu quelques fois Sylvie depuis au téléphone, qui elle s’est aussi remise en ménage depuis.
A chaque fois, on ne pouvait pas s’empêcher de parler cul après les politesses d’usage. Et elle ne pouvait pas s’empêcher de laisser entendre que si l’on se revoyait et que l’on décidait de baiser ensemble, cela nous regardait, que la vie est courte et qu’on ne vit qu’une fois. Elle m’a aussi proposé que l’on se revoie pour aller manger un bout et se raconter nos vies.
Elle me l’a souvent promis mais je n’ai jamais eu de nouvelles depuis. En même temps, c’est vrai que c’est très chaud : elle comme moi de se libérer une soirée sans que nos conjoints respectifs n’en sachent rien, c’est pas évident.
Prendre le risque que ma compagne ou son compagnon apprenne la chose et les emmerdes qui vont avec juste pour aller se faire une bouffe et discuter, cela me paraissait assez stupide, surtout que l’on peut discuter par téléphone ou par e-mail. J’ai donc eu l’idée de l’inviter à passer me voir une petite heure au bureau. Avec l’aller et retour, cela lui prendrait deux heures grand maximum, ce qui peut se justifier par une course à faire et pour ma part, c’est assez fréquent que je reste une heure plus tard au bureau.
Le jour du rendez-vous, elle est arrivé à l’heure prévue, je finissais juste de tout fermer.
Elle était canon : petit top avec un grand décolletté, jupe assez courte avec des bas (et je suppose un porte-jarretelles en-dessous) et des hauts talons. On s’est fait la bise et elle m’a demandé où était les toilettes. Après lui avoir indiqué, elle est rentrée dans la pièce. Après, tout s’est passé très vite : ça fait plus de 5 ans que je fantasme sur elle, que j’ai envie d’elle,… J’aurais pu ne plus y penser mais vu qu’elle m’a chauffé au téléphone, c’était impossible de ne pas avoir envie.
Elle représente à elle seule le fantasme du sexe inconditionnel :
- Pas de lendemain car on est tous les deux en couple
- Pas de routine ni de blabla du à la vie en couple, juste une baise exceptionnelle en vue
- Et comme on se connait physiquement, on sait ce dont l’autre a envie
- De plus, elle est canon, ce qui ne gâche rien!
Bref, les avantages du plaisir que peuvent se donner deux personnes qui se connaissent physiquement avec les avantages de l’excitation et de l’interdit d’une bonne baise extra-conjuguale.
N’y tenant plus, je suis entré dans la pièce (qui fait environ 5-6 mètres carrés), elle était là assise la culotte sur les chevilles.
Elle : « Mais, qu’est-ce que tu fais ? ».
En m’accroupissant devant elle, je lui répondis : « Ecoute, ma belle, ça fait 5 ans que tu me chauffes au téléphone comme quoi si on baisait ensemble, ce serait pas un problème car on fait ce que l’on veut alors maintenant tu vas assumer et je te rassure : tu vas aimer et tu vas prendre ton pied, salope ! ». J’ai profité de sa stupéfaction pour lui enlever totalement sa culotte.
Je me suis alors relevé et en 2 secondes je lui ai présenté mon sexe devant sa bouche : « Allez, suce, je sais que tu aimes ça ». Alors qu’elle commençait à lécher ma verge, j’ai rajouté : « Et prends ton temps, tu vas d’abord me sucer les couilles et le lécher de haut en bas, ensuite tu commenceras à me sucer doucement et quand je te le dirais tu pourras te lâcher ».
Les minutes qui suivirent furent du pur bonheur, une série de sensations et de frissons plus exquis les uns que les autres. Sentant qu’elle en voulait plus, je l’ai autorisé à y aller franco après lui avoir enlever son top. Elle a alors commencé à me sucer violemment, gosh, elle s’est encore amélioré depuis la dernière fois, déjà qu’elle était douée. Je lui dégrafais son soutien-gorge et le faisait tomber pur admirer ses seins généreux tandis qu’elle n’arrêtait pas ses aller-retour en allant toujours plus loin et plus vite. Sentant que je n’allais plus tenir très longtemps : « Oh oui, je vais te jouir en bouche, ma salope, tu vas pouvoir tout avaler ». Elle émit un petit grognement du à l’excitation et elle me suça de plus belle. N’y tenant plus, j’éjaculais en longues saccades abondantes entre ses lèvres. Elle arrêta de me sucer pour avaler, je lui ordonnais alors de continuer : c’est tellement bon quand ça continue encore un peu après la jouissance. « Tu aimes toujours autant le sperme, hein, cochonne ? ». « Oui, j’aime ça » me répondit-elle.
Je me suis accroupi pour l’embrasser en lui caressant tour à tour les cuisses et les seins. Après un moment, j’ai commencé à lui caresser tout doucement le Mont de Venus. « Maintenant, je vais te lécher». Je la relevais et lui faisait tomber sa jupe, elle était maintenant nue devant moi, à l’exception de ses hauts talons, bas et porte-jarettelles. Elle était bluffante tellement elle était superbe. « Ferme les yeux et ne bouge pas, je reviens de suite ».
Je suis revenu quelques instants plus tard avec la grande chaise de bureau. Après lui avoir léché les seins et sucé les tètons en en profitant pour lui caresser les fesses et le minou, je l’ai assise dans le fauteuil et j’ai fait basculé celui-ci. Je l’ai alors lécher consciencieusement, d’abord tout doucement et superficiellement et puis de plus en plus profond et plus intensément. Tout laissant ma langue tourner autour de son bouton, je lui ai introduit un doigt dans la chatte et pas longtemps après un dans le cul. J’ai commencé les aller-retour tout doucement puis de plus en plus vite en poussant les doigts l’un vers l’autre, ce qui a pour vertu de masser la cloison entre sa chatte et son cul. Elle se tortillait de plaisir, j’ai continué jusqu’à ce qu’elle explose dans un grand râle de satisfaction.
Je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre ses esprits et je lui ai collé mon sexe en bouche afin qu’il reprenne de la vigueur. Elle s’est tellement appliquée que cela n’a pas pris longtemps avant que je sois de nouveau au garde-à-vous.
Je l’ai alors mise debout face au mur en lui ordonnant : « appuye toi contre le mur et écarte les jambes, je vais te baiser comme toutes les salopes mériteraient d’être baisées ». J’ai empoigné ses hanches et je les ai tirées vers moi pour qu’elle se cambre bien, j’ai alors présenté mon gland à l’entrée de son anus. J’ai alors forcé son petit trou, qui était déjà bien lubrifié, d’une seule traite et j’ai commencé à la limer comme un fou. Tous les 2-3 allers-retour, je lui mettais une claque sur les fesses. « Oh oui, c’est bon continue, encule-moi ». « Je sais que tu aimes te faire enculer, ma salope, tu vas en avoir pour ton argent ».
Plus elle m’encourageait, plus je la défonçais violemment en lui claquant les fesses de plus en plus fort. Après un bon moment, elle a joui avec force en se contractant. Il ne m’en a pas fallu plus pour jouir dans son cul.
On s’est écroulés dans le fauteuil, exténués mais heureux. On a vite fait un petit brin de toilette et elle est repartie. Je l’ai embrassé une dernière fois en lui disant : « Merci ma belle, n’attend pas trop longtemps pour revenir me voir ».
Est-ce qu’elle reviendra un jour ? Ca, seul l’avenir me le dira…
Avec ma nouvelle compagne, tout allait bien au lit mais depuis qu’on a eu notre garçon, elle ne porte quasiment plus d’intérêt à la chose. On fait l’amour 3 fois par mois en moyenne, quand le vent souffle dans le bon sens.
J’ai eu quelques fois Sylvie depuis au téléphone, qui elle s’est aussi remise en ménage depuis.
A chaque fois, on ne pouvait pas s’empêcher de parler cul après les politesses d’usage. Et elle ne pouvait pas s’empêcher de laisser entendre que si l’on se revoyait et que l’on décidait de baiser ensemble, cela nous regardait, que la vie est courte et qu’on ne vit qu’une fois. Elle m’a aussi proposé que l’on se revoie pour aller manger un bout et se raconter nos vies.
Elle me l’a souvent promis mais je n’ai jamais eu de nouvelles depuis. En même temps, c’est vrai que c’est très chaud : elle comme moi de se libérer une soirée sans que nos conjoints respectifs n’en sachent rien, c’est pas évident.
Prendre le risque que ma compagne ou son compagnon apprenne la chose et les emmerdes qui vont avec juste pour aller se faire une bouffe et discuter, cela me paraissait assez stupide, surtout que l’on peut discuter par téléphone ou par e-mail. J’ai donc eu l’idée de l’inviter à passer me voir une petite heure au bureau. Avec l’aller et retour, cela lui prendrait deux heures grand maximum, ce qui peut se justifier par une course à faire et pour ma part, c’est assez fréquent que je reste une heure plus tard au bureau.
Le jour du rendez-vous, elle est arrivé à l’heure prévue, je finissais juste de tout fermer.
Elle était canon : petit top avec un grand décolletté, jupe assez courte avec des bas (et je suppose un porte-jarretelles en-dessous) et des hauts talons. On s’est fait la bise et elle m’a demandé où était les toilettes. Après lui avoir indiqué, elle est rentrée dans la pièce. Après, tout s’est passé très vite : ça fait plus de 5 ans que je fantasme sur elle, que j’ai envie d’elle,… J’aurais pu ne plus y penser mais vu qu’elle m’a chauffé au téléphone, c’était impossible de ne pas avoir envie.
Elle représente à elle seule le fantasme du sexe inconditionnel :
- Pas de lendemain car on est tous les deux en couple
- Pas de routine ni de blabla du à la vie en couple, juste une baise exceptionnelle en vue
- Et comme on se connait physiquement, on sait ce dont l’autre a envie
- De plus, elle est canon, ce qui ne gâche rien!
Bref, les avantages du plaisir que peuvent se donner deux personnes qui se connaissent physiquement avec les avantages de l’excitation et de l’interdit d’une bonne baise extra-conjuguale.
N’y tenant plus, je suis entré dans la pièce (qui fait environ 5-6 mètres carrés), elle était là assise la culotte sur les chevilles.
Elle : « Mais, qu’est-ce que tu fais ? ».
En m’accroupissant devant elle, je lui répondis : « Ecoute, ma belle, ça fait 5 ans que tu me chauffes au téléphone comme quoi si on baisait ensemble, ce serait pas un problème car on fait ce que l’on veut alors maintenant tu vas assumer et je te rassure : tu vas aimer et tu vas prendre ton pied, salope ! ». J’ai profité de sa stupéfaction pour lui enlever totalement sa culotte.
Je me suis alors relevé et en 2 secondes je lui ai présenté mon sexe devant sa bouche : « Allez, suce, je sais que tu aimes ça ». Alors qu’elle commençait à lécher ma verge, j’ai rajouté : « Et prends ton temps, tu vas d’abord me sucer les couilles et le lécher de haut en bas, ensuite tu commenceras à me sucer doucement et quand je te le dirais tu pourras te lâcher ».
Les minutes qui suivirent furent du pur bonheur, une série de sensations et de frissons plus exquis les uns que les autres. Sentant qu’elle en voulait plus, je l’ai autorisé à y aller franco après lui avoir enlever son top. Elle a alors commencé à me sucer violemment, gosh, elle s’est encore amélioré depuis la dernière fois, déjà qu’elle était douée. Je lui dégrafais son soutien-gorge et le faisait tomber pur admirer ses seins généreux tandis qu’elle n’arrêtait pas ses aller-retour en allant toujours plus loin et plus vite. Sentant que je n’allais plus tenir très longtemps : « Oh oui, je vais te jouir en bouche, ma salope, tu vas pouvoir tout avaler ». Elle émit un petit grognement du à l’excitation et elle me suça de plus belle. N’y tenant plus, j’éjaculais en longues saccades abondantes entre ses lèvres. Elle arrêta de me sucer pour avaler, je lui ordonnais alors de continuer : c’est tellement bon quand ça continue encore un peu après la jouissance. « Tu aimes toujours autant le sperme, hein, cochonne ? ». « Oui, j’aime ça » me répondit-elle.
Je me suis accroupi pour l’embrasser en lui caressant tour à tour les cuisses et les seins. Après un moment, j’ai commencé à lui caresser tout doucement le Mont de Venus. « Maintenant, je vais te lécher». Je la relevais et lui faisait tomber sa jupe, elle était maintenant nue devant moi, à l’exception de ses hauts talons, bas et porte-jarettelles. Elle était bluffante tellement elle était superbe. « Ferme les yeux et ne bouge pas, je reviens de suite ».
Je suis revenu quelques instants plus tard avec la grande chaise de bureau. Après lui avoir léché les seins et sucé les tètons en en profitant pour lui caresser les fesses et le minou, je l’ai assise dans le fauteuil et j’ai fait basculé celui-ci. Je l’ai alors lécher consciencieusement, d’abord tout doucement et superficiellement et puis de plus en plus profond et plus intensément. Tout laissant ma langue tourner autour de son bouton, je lui ai introduit un doigt dans la chatte et pas longtemps après un dans le cul. J’ai commencé les aller-retour tout doucement puis de plus en plus vite en poussant les doigts l’un vers l’autre, ce qui a pour vertu de masser la cloison entre sa chatte et son cul. Elle se tortillait de plaisir, j’ai continué jusqu’à ce qu’elle explose dans un grand râle de satisfaction.
Je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre ses esprits et je lui ai collé mon sexe en bouche afin qu’il reprenne de la vigueur. Elle s’est tellement appliquée que cela n’a pas pris longtemps avant que je sois de nouveau au garde-à-vous.
Je l’ai alors mise debout face au mur en lui ordonnant : « appuye toi contre le mur et écarte les jambes, je vais te baiser comme toutes les salopes mériteraient d’être baisées ». J’ai empoigné ses hanches et je les ai tirées vers moi pour qu’elle se cambre bien, j’ai alors présenté mon gland à l’entrée de son anus. J’ai alors forcé son petit trou, qui était déjà bien lubrifié, d’une seule traite et j’ai commencé à la limer comme un fou. Tous les 2-3 allers-retour, je lui mettais une claque sur les fesses. « Oh oui, c’est bon continue, encule-moi ». « Je sais que tu aimes te faire enculer, ma salope, tu vas en avoir pour ton argent ».
Plus elle m’encourageait, plus je la défonçais violemment en lui claquant les fesses de plus en plus fort. Après un bon moment, elle a joui avec force en se contractant. Il ne m’en a pas fallu plus pour jouir dans son cul.
On s’est écroulés dans le fauteuil, exténués mais heureux. On a vite fait un petit brin de toilette et elle est repartie. Je l’ai embrassé une dernière fois en lui disant : « Merci ma belle, n’attend pas trop longtemps pour revenir me voir ».
Est-ce qu’elle reviendra un jour ? Ca, seul l’avenir me le dira…
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