Retrouvailles torrides après deux ans d'abstinence avec mon ex, une vraie bombe sexuelle

- Par l'auteur HDS PierreHenri -
Auteur homme.
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Récit libertin : Retrouvailles torrides après deux ans d'abstinence avec mon ex, une vraie bombe sexuelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retrouvailles torrides après deux ans d'abstinence avec mon ex, une vraie bombe sexuelle
Laissez moi vous raconter une histoire vraie, l'histoire d'une nuit inoubliable, et qui 13 ans après me hante encore.
J'ai connu Elodie au lycée, on est devenu très vite super amis, et pendant les vacances après le bac on est sorti ensemble, on a perdu nos pucelages ensemble. Elodie avait été championne régionale de gymnastique, elle avait un corps sublime, musclé, de longues jambes, un petit cul superbe, et deux gros sublimes seins, ce qui est plutôt rare chez les gymnastes.
C'était ce qu'on appelle maintenant une bonnasse, une bombe sexuelle.
Elle était blonde, et très câline, ouverte à tout (sans jeu de mot), sa souplesse permettait les positions les plus techniques, les quelques années que nous passèrent ensemble furent, d'un point de vue purement sexuel, vraiment jouissives.

Et puis avec le temps, on s'est séparé, mais on est resté amis. On se voyait régulièrement, on se racontait nos petites aventures, rien de bien sérieux, mais moi je n'avais pas digéré notre séparation et peu à peu un plan germait dans mon esprit.
L'été arrivait, je faisais énormément de sport en extérieur afin de préparer mon corps, tel un sportif avant la compétition, en même temps je me rapprochais d'Elodie, je la voyais plus souvent, j'étais à l'écoute, et c'est ainsi que j'appris que c'était le calme plat dans sa vie au niveau sexuel, pas le moindre mec depuis des mois, ça commençait à lui peser. Et pourtant
Dieu qu'elle était belle, elle avait laissé pousser ses cheveux blonds qui lui arrivaient désormais au niveau de la poitrine, poitrine qu'elle avait toujours aussi superbe et qu'elle laissait deviner dans d'excitants décolletés. En rigolant je lui disait que j'étais là, si elle avait besoin d'un coup de "main"...

Et puis je ne sais plus combien de temps ce petit jeu a duré, et un soir d'août 1995 on s'est retrouvé chez elle, ses parents étaient partis pour le week end, on avait l'appartement à nous, et la ferme intention de bien profiter du grand lit parental.
Ca faisait deux ans qu'on avait rompu, deux ans qu'on ne s'était pas retrouvé nus, deux ans que je fantasmais sur ce corps parfait qui m'était désormais interdit, et qui, de ce fait, devenait encore plus parfait, encore plus excitant, encore plus attirant.

Je me souviens l'attente pendant qu'Elodie prenait sa douche, dans le salon, je faisais passer le temps en regardant un vieux film avec Belmondo, puis elle sorti de la salle de bain, enveloppée dans une serviette et je la rejoignais dans la chambre de ses parents.

A peine avais je refermé la porte que sa serviette tombait par terre et elle se jetait contre moi, je la serrais comme on serre quelqu'un qu'on vient de retrouver après une longue et douloureuse séparation, puis l'excitation pris le dessus, tout en s'embrassant je la caressais, je retrouvais ses seins sublimes, lourds et fermes, ses tétons énormes qui m'avaient impressionnés la 1ere fois que je les avais vu et que j'adorais sucer désormais, je l'embrassais dans le cou, puis lui avalait les nichons tout en lui caressant les fesses, son petit cul musclé, je l'allongeais sur le dos sur le lit, et continuait de descendre, m'attardait sur son ventre plat, jusqu'à sa chatte, et je commençais à lui lécher la chatte, sa petite chatte épilée (un peu trop à son goût, m'avait elle dit quelques jours plus tôt, mais c'était parfait pour moi), Elodie gémissait doucement tandis que ma langue se promenait entre ses lèvres.

Voila un des regrets que j'avais qui se résorbait : je n'avais jamais été un fervent pratiquant des cunnis avec elle, autant elle m'avait gratifié de milliers de fellations et avalé des litres de sperme, autant moi je ne lui avais pas rendu la pareille, désormais je rééquilibrais, un peu, la balance.

Elodie n’avait qu'une patience limitée des caresses préliminaires, rapidement il lui fallait quelque chose de plus consistant, j'aurais bien continué à lui lécher la chatte tout en lui caressant ses splendides nichons, mais elle me prit la tête entre ses mains et m'attira vers elle, je remontais jusqu'à elle et lui enfournais ma langue au plus profond de sa bouche, tandis que sa main droite caressait ma queue, juste quelques instants avant de la présenter devant sa chatte, je la pénétrais d'un coup, elle était chaude et humide et je rentrais en elle jusqu'à la garde.

Je n'y croyais pas, Elodie, cette sublime petite salope qui avait rompue il y a deux ans, qui me racontait ses histoires de cul avec ses copains de la fac voila quelques mois encore, Elodie et son corps sublime, désormais j'étais en elle, dans la chambre de ses parents, et je lui défonçais la chatte pour notre plus grand plaisir.

L'excitation était trop grande, et j'ai vite compris que je ne pourrais pas me retenir longtemps, au bout de quelques minutes d'intenses va & vient je me retirais et passais ma main droite sous elle, instantanément Elodie se retourna et me présenta son petit cul musclé, j'approchais ma queue de sa chatte et l'enfournais doucement, mais profondément, la vision de son petit cul sublime contre mon bas-ventre, la vision de ce corps superbe que je prenais en levrette fit monter l'excitation de quelques degrés dans mon cerveau, je me penchais en avant et lui caressais ses deux obus tout en la pénétrant, Elodie transpirait et haletait, j'étais également en nage, je ne pouvais pas me retenir plus longtemps, tous ces mois, ces années de frustrations, toutes les fois où je m'étais branlé en pensant à elle, toutes les fois ou j'avais imaginé, espéré ce moment, désormais tout ça était réel, elle était là, à quatre pattes devant moi, j'étais en elle, je la prenais comme une chienne.
Je me redressais, posais mes mains sur ses petites fesses et la ramonait plus violemment encore, Elodie enfouie sa tête sous les oreillers afin d'atténuer ses hurlements de jouissance, s'en était trop, je lui vidais mon sperme tout en la pénétrant au plus profond, je restais quelques instant immobile, puis tombais sur le coté, emmenant Elodie avec moi, et nous sommes resté quelques minutes l'un dans l'autre, je lui caressais doucement les seins.

Puis Elodie se retourna et je m'excusais de ne pas avoir pu me retenir plus longtemps, elle me dit que ça n'était pas grave, que c'était bon, et que ça avait été plus violent qu'avant (tu m'étonnes) et qu'elle avait senti mes couilles contre sa chatte, ce qui l'avait excitée encore plus. Tout en discutant et en remarquant ce qui avait changé chez l'autre depuis ces deux années, Elodie promenait sa main sur ma queue, puis la caressa doucement, je la regardais, elle était belle, désirable, ma queue ne mit pas longtemps à redevenir dure comme de la pierre, je me penchais sur elle et lui léchais ses gros tétons tout en lui pelotant les seins, puis ma main droite descendis et je lui caressais la chatte, Elodie se remit à haleter.
Elle me repoussa sur le dos et m'enfourcha, elle s'empala sur ma queue en se mordant les lèvres, puis se mit à me chevaucher rapidement, je caressais ses deux obus qui pointaient vers moi, menaçant, lui pinçais ses tétons durcis par le plaisir, Elodie se redressa et se pencha en arrière, ses mains attrapèrent mes chevilles tandis qu'elle continuait ses rapides mouvements du bassin, ses seins sursautaient au rythme effréné qu'elle nous imposait, je plaçais mes mains sur ses hanches et lui caressais la croupe, le cul, je lui plaçais un doigt près de l'anus, puis me rapprochais jusqu'à lui introduire, c'était la première fois que je lui faisais ça, quelques instants plus tard Elodie avait un orgasme comme rarement elle en avait eu avec moi, violent, sonore.

Puis elle retomba sur moi, trempée, heureuse, et surprise de voir que ma queue était toujours dure en elle, on se regarda en éclatant de rire, c'était bien la première fois que je n'éjaculais pas en elle après pareille partie de sexe, Elodie était d'une nature généreuse, et ce que je lui avais donné elle voulait me le rendre, elle s'allongea près de moi et tout en m'embrassant profondément elle attrapa ma queue avec sa main gauche et se mit à la caresser lentement, puis ses lèvres se séparèrent des miennes, "j'aime ta queue" me dit elle, une lueur malicieuse dans les yeux, puis sa bouche embrassa mon torse, et s'éloigna, je n'osais y croire, et soudain je sentis cette sensation merveilleuse, cette chaleur, cette pression autour de mon sexe, Elodie l'avait englouti en entier et me suçais avec application.

De la main gauche je caressais son dos, puis essayais de lui atteindre le cul, docilement Elodie le rapprocha de ma main, tout en me suçant, je caressais son petit cul de la main gauche, ma main droite était enfouie dans ses cheveux blonds et suivait son rythme, Elodie se mit à 4 pattes, je pouvais voir ses deux splendides seins onduler en même temps que sa bouche pulpeuse montait et descendait sur ma queue, s'en était trop pour moi, sentant que la fin approchait cette salope d'Elodie se mit à me caresser les couilles en me suçant bruyamment, ma main droite se crispa dans se cheveux blonds et je la plaquais sur ma queue tandis que je jouissais dans sa bouche, Elodie avala tout mon sperme, puis fini par me lécher pour me rendre un sexe propre, et désormais repus.

Le plaisir mêlé à l'heure tardive et la fatigue fit que le sommeil nous surpris.
Mais pas longtemps, je me réveillais le premier, Elodie dormait contre moi, mes mains partirent à l'aventure entre ses fesses, ses seins, Elodie grommela en se retournant mais sa main droite vint se promener sur mon corps jusqu'à ce qu'elle trouve ma queue, constatant qu'elle était toujours dure Elodie eut un instant d'arrêt, puis elle se mit à me branler langoureusement.
Au bout de quelques minutes de caresses en tout genre, je me redressais sur le lit, Elodie se coucha sur le ventre, je me plaçais au dessus d'elle, lui embrassait la nuque, elle attrapa ma queue et la guida vers sa chatte, j'appuyais mon gland contre ses lèvres, elle était encore humide, je la pénétrais doucement et me mis à effectuer de profonds va et vient, Elodie gémissait, à moitié endormie, en prononçant mon nom, ce qui m'excitait au plus haut point, mais je continuais inéluctablement sur le même rythme lent, implacable, de longues minutes s'écoulèrent, Elodie jouissais et transpirait sous moi, j'étais le roi du monde.

La nuit s'écoula ainsi, entre temps de sommeil et temps de baise, parfois doux, parfois violents, et ce jusqu'au matin, avant de nous lever pour aller déjeuner je prenais une dernière fois Elodie, elle était couchée au bord du lit, sur le dos, ses jambes de chaque coté de mon cou, mon érection n'était plus aussi dure que la veille, j'avais déjà jouis 5 fois, Elodie avait eu quelques beaux orgasmes aussi, malgré tout mon désir de la baiser était le plus fort et je la défonçais avec violence, compensant ce petit manque de dureté par des mouvements rapides et secs, Elodie appréciait, je me penchais en avant, ses bras passèrent derrière mon cou, ses jambes glissèrent le long de mon corps, je la pris avec ma main droite et la relevais, je tournais sur moi même et la plaquais contre le mur, mes deux mains lui attrapèrent son petit cul tandis qu'elle m'enserrait avec ses longues jambes musclées, je la pilonnais contre le mur, ses seins étaient écrasés contre mon torse, je lui roulais une pelle profonde et pour la sixième fois en moins de 12 heures j'emplissais sa petite chatte de mon sperme.

Ainsi s'achevait cette nuit de baise comme on en a qu'une dans sa vie (enfin en ce qui me concerne), la nuit parfaite, plus tard on eu encore quelques bons moments avec Elodie, d'autres parties de baise, moins intenses, puis on se sépara, progressivement, en douceur, définitivement, jusqu'a perdre contact.

Mais cette nuit d'août 1995, j'avais 21 ans, j'ai joui 6 fois dans la nuit, ça jamais je ne l'oublierais…

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