Réunion Tupperwere - histoire érotique

Vous connaissez tous les rencontres Tupperware ? A la demande d'une amie, j'ai participé à plusieurs de ces séances où j'ai pu acheter ces magnifiques boîtes en plastique.
Mais j'ignorais qu'il y avait d'autres circuits comme celui où j'ai participé l'an dernier. Il s'agissait de vendre des sous-vêtements. Dentelles et soie je vous prie. Mon amie est venue me chercher et nous y sommes allées. C'était dans un pavillon et j'ai reconnu la femme aux Tupperware. Elle m'a dit qu'il fallait bien passer à autre chose. Il faisait beau et elles avaient organisé la présentation sur la terrasse. Boissons. L'organisatrice présente quelques articles et demande si quelqu'un est intéressé à faire le modèle. Trois jeunes femmes sont volontaires. La femme leur tend des sous-vêtements, culottes, soutiens-gorge, porte-jarretelles. Une des femmes demande où elles peuvent se changer.
- Vous avez honte de votre corps, leur demande la femme ? Changez-vous là !
Je les regardais et le là signifiait là, au milieu des autres femmes.
- Bon, d'accord, font les jeunes femmes !
J'ai alors remarqué que deux d'entre elles semblaient bien se connaître et qu'elles ne devaient pas être là par hasard, mais les futures clientes étaient encore en train de papoter quand elles se sont tues parce que les trois filles étaient complètement nues.
C'est fou ce que les femmes peuvent cacher. L'une des trois, une brune, avait un tatouage sur les reins : "I'm a whore! Fuck me!"
- Ça veut dire quoi a demandé l'une des femmes ?
La jeune femme s'est tournée vers elle et lui a traduit ce que j'avais compris : "Je suis une putain ! Baisez-moi !"
La femme qui avait posé la question a fait une drôle de grimace, mais notre attention était maintenant attirée par la seconde jeune femme qui avait un piercing aux deux mamelons avec de jolis pendentifs ainsi qu'un autre piercing au clitoris avec un diamant.
Je n'osais trop rien dire. Inutile de dire que les trois jeunes femmes avaient le pubis entièrement épilé. La troisième jeune femme ne semblait avoir aucune décoration mais quand elle s'est penchée, j'ai pu voir une sorte d'Eros tatoué sur son sein gauche. Après nous avoir fait leur strip-tease, les filles ont enfilé qui une culotte, qui un soutif, qui un porte jarretelle et elles ont alors défilé devant nous avant d'aller mettre un autre sous-vêtement.
Ça a duré pendant trois heures pendant lesquelles nous avons pu évaluer ces sous-vêtements car les femmes restaient volontiers devant nous et nous leur demandions si c'était agréable à porter. Puis l'organisatrice a demandé si une autre femme voulait essayer des sous-vêtements. Une des femmes s'est levée et a déclaré qu'elle était enceinte mais voulait quand même essayer et elle s'est déshabillée devant nous et a enfilé un soutien-gorge trop petit pour sa forte poitrine. Quant à la culotte... Elle a essayé plusieurs strings.
J'avais noté quelques articles sur ma liste. L'organisatrice m'a servie. Pendant ce temps-là, les trois jeunes femmes, en simple porte-jarretelles, discutaient ensemble et je pouvais glaner ici et là quelques paroles : "Mon mari aime bien que je sois en bas et porte jarretelle quand il me saute, a dit la brune !" "Moi, si je l'écoutais, je serais toujours à poil, disait la seconde ! Tous les étés on va en vacances dans des camps naturistes où il n'arrête pas de mater les gros nichons et moi, je mate les grosses bites !"
La troisième des jeunes femmes qui avaient fait le mannequin ne disait rien et les écoutait puis elle a ouvert la bouche pour dire qu'elle s'était mariée mais qu'elle n'avait pas tardé à réaliser qu'elle préférait les femmes. Les deux autres ont ri puis la seconde jeune femme lui a répondu qu'elle était bisexuelle et qu'elle lui plaisait assez pour qu'elle se farcisse et elle et son mari.
La femme lui a répondu qu'elle voulait bien coucher avec elle mais qu'elle ne voulait pas qu'elle couche avec son mari. "Pourquoi, lui a demandé l'autre femme ?" "Parce que, lui a répondu la femme !" "Demain après midi, je serais seule à la maison ! Tu peux venir ?" La jeune femme a fait signe que oui en hochant de la tête puis l'autre a porté la main à son ventre et a descendu ses doigts sur sa vulve puis a ajouté : "T'es une gouine et tu ne veux pas le reconnaître !"

C'est là que l'organisatrice de la réunion a rappelé ses troupes à faire des commandes et les trois jeunes femmes ont rempli leur bon de commande puis les achats ont été distribués. Les trois filles se sont rhabillées. "Tu viendras, a demandé la plus timide des trois à celle qui lui avait proposé ce petit arrangement ? Tu viendras ?" "Tu as honte, lui a répondu l'autre jeune femme ? Tu verras ! Moi aussi, je ne savais pas que ça pouvait être aussi bon !"
A ce moment, j'ai croisé leurs regards et j'ai compris qu'elles savaient que je les avais écoutées. "Regarde-moi cette salope, a dit une des trois jeunes femmes ! Je suis sûre qu'elle voudrait bien y goûter !"
Je n'ai pas su quoi lui répondre. Les autres femmes sortaient du pavillon et je suis partie moi aussi. Quelques temps plus tard, la femme qui m'avait fait participer à ces ventes m'a téléphoné et elle ne m'a pas dit grand chose mais ça a suffi pour m'appâter.
"Tu verras, ça t'intéressera !" C'est tout ce qu'elle avait dit et j'étais encore présente au rendez-vous. Nous étions une quinzaine de femmes et c'était une belle propriété avec une piscine et quand nous nous sommes approchées, nous avons pu voir des dizaines de... godemichés ventousés sur le carrelage du petit muret au bord de la piscine.
- Ça vous plaît, m'a demandé ma correspondante ? Je suis sûre que ça vous plaît !
Il y en avait de toutes les tailles et de toutes les couleurs et pas un n'était plus petit que le pénis de mon mari.
- Vous savez bien, mesdames, que vos maris et amants ne sont pas toujours dans la meilleure forme ! Avec ceci, vous ne serez jamais déçues !
Pendant qu'on regardait, la femme a ouvert une valise et en a sorti d'autres godemichés, des doubles aussi, des plugs anals ainsi que des vibro-masseurs et autres fantaisies.
- Moi, j'en ai une douzaine, a continué la femme, mais vous, je sais que vous en prendrez au moins trois ! Vous pouvez essayer ! Ceux que je vous délivrerai sont tout neufs ! Allez, mesdames, n'hésitez pas, a continué la femme !
Nous sommes entre femmes ! J'ai commencé à me masturber après ma première communion !
J'ai vu une des femmes relever sa robe et retirer sa culotte et ensuite, elle s'est dirigée vers un des plus beaux godemichés et elle s'est assise dessus.
- Oh, a fait la femme ! J'en veux un comme ça !
En entendant ça, une autre femme s'est décidée et a enfourché un autre godemiché elle aussi puis une autre aussi et une autre. Je ne pouvais faire autrement que d'en essayer un moi aussi mais il n'en restait que d'énormes et j'en ai fait la remarque à la présentatrice qui m'a répondu en me demandant si j'avais déjà eu des enfants.
Pourquoi lui mentir ? Bien sûr que j'en avais déjà eu et la femme m'a répondu que je ne devrais pas avoir de problème à prendre un aussi beau joyau et je me suis installée dessus mais il était vraiment trop gros et je n'ai pas pu. La femme m'a alors dit qu'elle était étonnée que je sois si serrée et a tendu sa main et m'a enfoncé un doigt puis deux et trois dans le vagin. Son diagnostic est tombé :
- Prenez en trois, de plus en plus gros et vous finirez par vous habituer ! Mieux, même, vous pourrez en prendre un beaucoup plus gros que celui-ci ! Laissez-moi votre adresse et je vous enverrai un catalogue !
Je ne lui ai pas laissé mon adresse mais comme j'ai commandé ces trois-là, j'ai reçu un catalogue avec.
- Essayez celui-ci, m'a dit ensuite la femme en sortant un godemiché de son emballage. C'était la plus parfaite imitation d'un pénis encore qu'il ait été deux fois plus gros et j'ai pu l'essayer. C'était amusant car toutes ces femmes assises en rang d'oignon sur ce muret, on aurait dit des toilettes collectives mais toutes les femmes se soulevaient et retombaient et moi aussi.
- Allons, mesdames, vous n'allez pas vous faire plaisir cette fois-ci ! Laissez les autres clientes essayer.
Nous nous sommes relevées et certaines en ont profité pour s'enfoncer sur un autre godemiché. Je suis restée debout, la jupe remontée sur les hanches.
- Eh bien, mesdames, a encore dit la femme, je suppose que parmi vous il y en a qui aiment aussi les femmes ?
En entendant ces mots, presque toutes se sont arrêtées, comme saisies. La femme tenait dans les mains un double godemiché à harnais et un autre, simple et toujours avec harnais.
- Allons, qui veut les essayer, a insisté la femme ! J'ai ça aussi !
Elle tenait des plugs anaux dans la main, de toutes les couleurs.
- Vous, a-t-elle fait en me désignant ! Vous ! Pourquoi pas ?
Je ne pouvais me défiler. Elle m'a demandé de me plier et elle en a profité pour m'enfoncer un gode anal et une fois fait, la femme a dit qu'on en aurait toutes un en cadeau et je me suis relevé et elle en a profité pour m'installer le double gode à harnais et elle m'a fait défiler devant les autres femmes et j'ai eu l'impression d'être un homme avec ce pénis qui pointait au-devant de mon ventre et la femme a insisté pour que je l'essaie avec une des femmes.
- Allez, insista-t-elle ! Je ne peux pas le faire pour vous !
Me voici alors à quémander un service. La femme qui m'avait emmenée dans ce traquenard a refusé. La suivante aussi et une autre et une autre. J'étais devant une femme plus jeune que moi. Elle m'a dit qu'elle voulait bien mais qu'elle voulait quelque chose d'abord : que je lui montre ma poitrine et elle me montrerait aussi la sienne.
Je ne sais toujours pas pourquoi mais sur le coup j'avais envie de cette femme et j'ai retiré ma robe, dégrafé mon soutien-gorge et montré ma poitrine. C'était très excitant. Les autres femmes passaient déjà leur commande et nous nous retrouvions toutes les deux. La femme m'a montré sa poitrine puis m'a dit qu'elle n'avait jamais fait ça mais que si elle se laissait aller, elle céderait facilement à une femme puis elle a remonté sa robe et s'est assise sur le muret.
- C'est excitant, m'a dit la femme ! Je suis mariée mais j'aime me masturber !
Elle a écarté les cuisses et j'ai enfoncé le godemiché dans son vagin. La femme me regardait dans les yeux. Elle m'a demandé si on pourrait se rencontrer à nouveau et je ne lui ai pas répondu.
- Je ne crierai pas, mais faites-moi jouir, m'a supplié la femme !
Ça me faisait tout drôle de faire comme si j'étais son mari ou mon mari. J'ai souvent pensé que les hommes ont bien de la chance d'avoir un pénis et encore plus de pouvoir éjaculer leur semence. Je prenais la femme et elle me tenait par les bras et son visage me disait de continuer même si elle fermait parfois les yeux.
- Attendez ! Attendez, m'a demandé la femme ! Ça vient mais je voudrais que ça dure un peu plus !
J'ai fait une pause.
- Je voudrais bien faire un soixante-neuf avec vous, a-t-elle ajouté ! C'est curieux comme on est fait, on a une bouche en haut et une bouche en bas ! Vous l'avez déjà fait ? Moi, tous les après-midi je me masturbe ! Je fais ça dans mon fauteuil en regardant la télé ! Mon mari, quand je le branle, il fait sur mes seins ! Je voudrais bien qu'il me prenne en levrette, mais il ne veut pas !
- Tournez-vous, ai-je dit à la femme.
Les autres femmes ne faisaient pas attention à nous, tant elles étaient occupées par leurs achats. La femme s'est couchée sur le muret, jambes pendantes et je l'ai prise en levrette. En une minute c'était fini. J'ai détaché le godemiché et j'ai remis ma jupe en place et je suis retournée vers les autres femmes. J'ai signé mon bon d'achat et j'ai pris mon sachet avec mes trois godemichés.
C'est plus tard en rentrant chez moi que je me suis aperçue que j'avais toujours le plug anal dans l'anus. Celui-là, je l'avais oublié.

Maintenant je me demande quel va être ma prochaine réunion Tupperwere. Se pourrait-il que ce soit des amants qu'on nous présente ?

Hélène