Reve qui pourrait devenir un jour réalité ? partie 6
Récit érotique écrit par Sevrin69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Reve qui pourrait devenir un jour réalité ? partie 6
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Humm, remettre mon plug, alors que je sens encore son effet agir sur moi.
Je l’enduis de crème, me doigte un peu pour m’assouplir et me pose sur cet objet. Je mets moins de temps pour l’absorber que pour l’expulser, mais le passage le plus large est à nouveau difficile et il faut trois ou quatre va-et-vient avant qu’il rentre en moi et m’arrache un gémissement de bonheur et de légère douleur.
La journée est longue, je dois quand même sortir faire mes courses de la semaine, mais je ne m’attarde pas trop, mon accoutrement, même dissimulé sous mes vêtements d’homme ne me rend pas à l’aise. J’ai toujours l’impression que les femmes me regardent différemment, avec un sourire en coin.
Je rentre chez moi, mange un bon plat pour prendre des forces car je m’imagine que cela ne sera pas une partie de plaisir. Je tourne en rond dans mon appartement, je reçois un SMS :
"Viens à 15h, j’ai envie de te voir avant!"
J’accours. Je saute dans ma voiture, me rend au rendez-vous, toujours mes vingt bonnes minutes d’avance traditionnelles pour me faire mariner. Je n’arriverai pas à me corriger.
15h tapante, le téléphone sonne :
"T’es où ?"
"Bonjour Maîtresse Ana, je suis en bas, comme demandé"
"Bien, tu sais où aller et quoi faire en arrivant"
"Oui Maîtresse, je pense, oui"
"Tu penses ou t’en es sûr ?"
"J’en suis sûr, Maîtresse"
"Alors monte, ne traîne pas"
Je rentre dans l’immeuble, quatrième étage à droite, porte ouverte comme je l’imaginais. Je rentre et bingo, la cagoule est là, qui m’attend. Les bracelets aussi. Ce n’est pas aujourd’hui que je verrais Maîtresse, mais cela ne me fait plus rien, je suis bien.
Je me déshabille, enfin, je reste en tenue féminine, et enfile cette cagoule et j'attends quelques minutes. Puis les talons de ma divine et cruelle Maîtresse se font entendre.
"Bonjour ma chienne, je suis douce avec toi aujourd’hui, je te fais même pas attendre. Mais j’avais trop envie de te voir !"
Et elle me prend la tête à deux mains et me force la bouche avec sa langue. Bon, elle n’a pas eu à forcer longtemps, et je lui rends ce baiser.
Je suis aux anges. Pendant qu’elle me viole quasiment la bouche de sa langue, sa main droite vient pincer mon sein gauche, puis descend attraper ma cage. Et elle me susurre à l’oreille :
"Tu es à moi, tu ne me décevras jamais et je ferai de toi un soumis heureux. Est-ce que tu aimes ta maîtresse ?"
"Oui oui, Maîtresse, je vous aime, je ne pense qu’à vous et vous me faites vivre une vie que je n’aurais jamais espérée. J’aime votre caractère, votre esprit, et je ne veux que votre plaisir.
"Très bien, nous avons un peu de temps devant nous avant que mes invitées arrivent, alors détendons-nous"
Des invitées... Oh mon Dieu, je sens que je vais avoir la honte de ma vie.
"N’ai crainte, rajoute-t-elle, elles savent toutes pourquoi elles ont été invitées. Je te présente officiellement à mes meilleures amies, même si certaines t'ont déjà vu"
Officiellement... Huumm, ce mot me fait bander.
"Oh tu bandes, comme c’est mignon, je t’apprécie énormément, cela faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti cela pour un soumis. Je suis comblée pour l’instant, mais l’avis de mes copines est très important pour moi. Si elles pensent que tu ne feras pas l’affaire tu perdras tes chances de me revoir un jour.
Oh la claque. Je jouerai ma vie sur cette soirée, que de pressions...
"T’es bien silencieuse, ma chienne ?"
"Pardonnez-moi, Maîtresse Ana, je vous écoute et suis perdu dans mes pensées. Je ferai tout pour ne pas décevoir vos amies"
"Humm, tu as intérêt, car je mise beaucoup d’espoirs en toi, je présente rarement des soumis physiquement à mes amies"
Elle passe derrière moi et me dit :
"Mais tu es encore sacrement marqué, en fait, j’y suis allé pas si doucement que ça, ça va, tu ne souffre pas trop ?"
"Non maitresse, quand je ressens une douleur, ça me rappelle votre personne et je me dis que je ne veux pas vous décevoir pour ne plus subir un tel traitement, Maîtresse"
"Très bien, me fait-elle, en m’accrochant un collier au cou, tu vas vivre une soirée extraordinaire, comme jamais tu n’en a vécu, je te le promets. Sache que ce soir, tu ne partiras pas d’ici, tu restes jusqu’à demain soir, sauf si tu abandonnes avant"
"OH NON Maîtresse, je ne souhaite vraiment pas abandonner et j'affronterai toutes vos épreuves avec envie et dévouement"
"On verra, on verra"
Cette femme a le don de vous mettre sous pression. Elle me tire par la laisse qu’elle vient d’attacher, et me guide jusqu'aux toilettes !
Je le comprends quand elle m’ordonne de me mettre sur le dos, et que je sens le froid du rebord des WC.
"Ouvre la bouche, ma chienne, j’ai envie depuis plus d’une heure, et c’est une des raisons de ta venue précoce"
C’est officiel, là aussi, je deviens son urinoir personnel. Elle se place très très proche de ma bouche et contrôle parfaitement son jet. Je n’en perds quasi aucune goutte, c’est tellement délicieux, mais cela dure encore et encore, elle ne s’arrêtera jamais ? Elle plaque totalement son sexe sur ma bouche pour me donner ses dernières gouttes et me permet de la nettoyer correctement.
"Si tu ne me fais pas jouis rapidement, comme tu l’as fait avec notre petite serveuse, tu auras affaire à mon fouet"
Je redouble d’efforts et d’application, je titille sont délicieux clito, parfois je pénètre son vagin de ma langue et j'aspire sous forme de fellation ses lèvres.
Sa respiration se fait plus forte, elle appuie encore plus sur mon visage et je sens un liquide plus fort s’épandre dans ma bouche. Elle jouit allégrement en se mettant de tout son poids sur ma bouche et en me cassant presque en deux, vu ma position inconfortable. Elle s’écarte, ne dit pas un mot, c’est frustrant de ne pas connaître sa pensée. Elle me tire de ma position, me pose un baiser sur ma bouche puis m’entraîne dans le salon.
Elle s’installe dans un fauteuil et cale ma tête entre ses cuisses. Elle joue avec sa cravache sur mes fesses et resserre ses cuisses à chaque coup porté. Elle me parle un peu d’elle, que sa famille n’est pas au courant de ses penchants et que ça ne l’intéresse pas qu’ils le sachent, même s’ils se doutent de quelque chose. Elle continue un peu quand quelqu’un sonne à la porte.
Elle me fait mettre debout et me dit de ne pas bouger.
"Bonjour, entre, tu es bien en avance, dis-moi"
"Oui, je suis désolée, Madame, dois je attendre, fait une voix qui m’est familière et que j’attribue à Séverine"
"Non, tu es mon égale, appelle moi Ana et mets toi à l’aise"
"Merci Ana. Dis-moi, ton chien est là ?"
"Oui, entre, il attend dans le salon"
"Oh, toujours dans le noir, le pauvre, il ne verra personne encore ce soir", Dit-elle avec des sourires dans la voix.
"Si, t’es la seule sur qui il peut mettre un visage"
"Oui oui, dis-moi, je peux te l’emprunter, j’ai une urgence"
"Eh, coquine, tu n’aurais pas volontairement attendu pour cette urgence ?"
"Si, je l’avoue", Lui répond Séverine, d’un air complice.
"Ok, je te le prête, mais interdiction de te faire jouir, j’ai été claire dans mon mail"
"Quel dommage, mais je te rassure, Ana, j’ai compris, fais-moi confiance", Lui répond-elle en me traînant par la laisse.
"En place, chien", M’ordonne-t-elle avec une assurance naissante.
"Hé, comment tu parles à mon chien", Crie ma Maîtresse du salon, en partant dans un éclat de rire.
Deuxième service donc. Je me mets en place sans me faire prier, j'ouvre la bouche et notre visiteuse commence à lâcher sa liqueur, chaude et parfumée. Elle contrôle un peu plus que la première fois mais je ne peux pas tout avaler. Elle lâche un "Que c’est bon" une fois fini, et et me demande de la lécher pour la nettoyer. Je m’applique, elle commence à gémir mais d’un coup, elle pose son talon sur mon ventre et appuie fort, l’enfonçant dans ma chair.
"Ne t’avise pas de me faire jouir, sale chien, et de me mettre en faute devant ta Maîtresse"
"Pardon, Mademoiselle Séverine", Lui dis-je, "Je ne voulais pas"
Menteur que je suis, j’ai tellement envie de la faire jouir...
"Bien, retournons voir ta Maîtresse"
"Alors ma chienne, tu t’es régalé ? Qui a la meilleure urine ?", M’interroge ma Maîtresse.
"Oui, Maîtresse, j’ai apprécié, Maîtresse Ana", Sans répondre à la deuxième question.
"Réponds, chien, quelle urine as tu appréciée le plus ?", Me répète-t-elle en m'administrant un coup de cravache appuyé sur une cuisse.
"La votre, Maîtresse, sans mentir, elle a un meilleur goût, celle de Mademoiselle Séverine a plus le goût d’eau"
"Quel connaisseur !!", S’exclame Séverine, qui avoue avoir bu beaucoup d’eau pour avoir une grosse envie en arrivant, en effet.
Pas le temps de s’étendre sur le sujet qu’on sonne à nouveau à la porte. Je distingue trois voix différentes au minimum, que ma Maîtresse accueille. Elle présente Séverine mais ne donne pas les prénoms des autres invitées car elle ne veut pas que je puisse les reconnaître par la suite.
Je distingue à nouveau une voix, il y aurait en tout six personnes plus moi, totalement livré à ces femmes. L’une d’elle s’esclaffe :
"Oh la belle plante, un peu grassouillette, un peu petite aussi, mais j’aime beaucoup, dommage que je ne vois pas son minois"
Une deuxième complimente ma tenue, la troisième tâte mes fesses en disant qu’elles étaient fermes contrairement à mon ventre, et conseille à ma Maîtresse des séance de gym. Les deux autres tournèrent aussi autour de moi en laissant leurs mains et griffes sur mon corps. L’une d’elle complimente ma Maîtresse :
« Dis-moi, Ana, aurais-tu enfin rencontré l’oiseau rare, pour l’avoir déjà mis en cage, ce n’est pas ton habitude»
Ah bon ?? J’ai droit à une mise en cage précoce ? Mais hélas, Maitresse Ana ne répond rien et demande aux convives de s’asseoir.
"Comme personne n’est en retard, je suis heureuse de vous présenter L… B…. qui vit à C…, 99 rue de la Plaine à Cha…, et qui m’a convaincu de le prendre à l’essai"
Comme cela, ces dames savent où me trouver. Je suis sûrement rouge de honte, personne ne le voit sous ma cagoule de latex, mais moi je le sens, car je bouillonne comme une cocotte minute.
Elle continue sa présentation :
"Certaines l’ont déjà vu en vrai, car elles ont bien voulu m’accompagner durant son testing, mais maintenant, je vous l’offre de près. Vous savez toutes que votre avis compte pour moi, et que je ne veux pas vous faire endurer un soumis que vous n’apprécieriez pas à mes côtés. Donc, ce soir sera pour moi une soirée de vérité et vous me direz toutes sincèrement ce que vous pensez de cette chose.
Ca, c’est le test de ma vie, je comprends mieux la portée de ses mots quelques heures plus tôt.
"Et ça fait combien de temps que tu l’as mis en cage ?"
"Ca fait deux semaines maintenant, mais s’il a tenu parole, ça fait un mois maintenant qu’il n’a pas pu s’astiquer ou s’en servir"
"Et tu as tenu parole ?", M’interroge une participante.
"Oui Mademoiselle, je n’ai pas joui depuis un mois"
"Plein comme un œuf !", Renchérit une autre.
"Bon, et je vous présente donc Séverine. Je l’ai rencontrée à la Pizzeria, elle est très intéressée par la domination, c’est ma nouvelle stagiaire, donc, qui adore se servir de mon soumis comme d'un WC. J’avoue que c’est une qualité pour lui, il boit tout comme un mort de soif. J’espère que vous ne le décevrez pas ce soir, n’hésitez pas s’il est libre à l’utiliser ainsi. Même si certaines n’apprécient pas, je le sais, donc je ne vous force pas ! Et elle se mis à rire.
Etre l’urinoir de six femmes, même dans mes rêves le plus fous, je n’avais pas pensé à cela. Et l’une d’elle demande tout de suite à m’utiliser. Elle a l’approbation de ma Maîtresse et m’entraîne à nouveau aux toilettes.
Devançant les ordres de cette femme, je me mets en place, trouvant même facilement la bonne place. Cette femme reste assez haut par rapport à mon visage et a du mal à se lâcher, mais quand elle y parvient, elle m’inonde tout le visage tellement son jet est puissant et mal dirigé. Son urine est très forte et j’ai beaucoup de hauts le cœur en la buvant. Elle me félicite quand même, malgré que la moitié de son don n’ait pas été bu, car j’ai gardé constamment la gueule ouverte. Elle s’essuie avec du papier, essuie mon visage aussi et me laisse en plan.
"Ne bouge pas, ma chérie… Je pense que tu es partie pour une tournée générale"
Ma chérie… elle m’a appelé ma chérie… !!! Hummm, cela me redonne du courage et j'attends patiemment la nouvelle personne qui s’approche. Ses talons claquent sur le sol. Elle est juste à deux pas de moi et me dit :
"Tu sais que tu fais une heureuse là ?"
"Non ? Qui ça ? Vous ?", J’ose demander, avant de prendre un coup de talon dans une cuisse.
"Depuis quand un chiotte parle-t-il ? Non, pas moi mais Ana", Me rétorque-t-elle en commençant à se soulager.
Elle se met très proche de ma bouche et ne m’en fait perdre aucune goute. Elle me menace même de voter contre moi si j’ai le malheur d’en mettre à côté. Vous pensez bien que j’ouvre la bouche le plus grand possible et m'applique à tout avaler le plus vite possible.
Elle finit et frotte son sexe humide sur mon nez.
"Sens ma chatte, car se soir, c’est elle qui te fera jouir"
Et elle repart dans plus de précisions. Jouir ? Elle va me faire jouir ? Que veut-elle dire, que va-t-il se passer ? Perdu dans mes pensées, je ne fait pas attention à la personne suivante. Elle se met à m’uriner dessus sans me prévenir, je sursaute, je me cogne le dos à la cuvette. Mon plug me transperce l’anus, se rappelant à mon bon souvenir, et il me fait machinalement ouvrir en grand la bouche mais le jet me fait quasiment m’étouffer.
"Eh ben salope, les autres disent que t’es une bonne buveuse, et là, tu t’étouffes", Me dit-elle, en me laissant reprendre mes esprits.
"Allez, ouvre !"
On y retourne et le jet reprend de plus belle. Ces femmes sont aguerries à cette pratique, elles ont une capacité à contrôler leur jet qui est impressionnante.
"Voilà, c’est mieux, quelle chance elle a, Ana, d’avoir un chiotte de cette qualité"
Un assoiffé en effet. Oui, un assoiffé qui commence à avoir envie de vomir par le mélange de ces urines, un assoiffé qui n’en peut plus de tenir cette position mais qui n'a qu’une pensée en tête : Faire la fierté de sa maîtresse.
"C’est bien, j’espère que tu seras autant doué pour la suite, car tu me plais bien"
Ces femmes savent toutes à quelle sauce je vais être mangé, c’est déboussolant d’être leur jouet ainsi, mais ultra jouissif de rencontrer des femmes totalement libres d’esprit.
La dernière se présente devant moi, visiblement la plus réticente à ce genre de chose car elle met un temps inconsidéré à faire perler une petite goutte. Elle râle même un peu, s’agaçant de ne pas y arriver.
"Ana a toujours l’idée de me faire faire des choses que je n’apprécie pas, je te le ferai payer, je te le promets"
Y suis-je pour grand chose ? Mais je comprends vite qu’elle ne parle pas en l’air… Elle se plaque contre ma bouche et urine un grand jet en moi. Son sexe fait bouchon. J’avale difficilement la première rincée qu’une seconde arrive dans ma bouche. Il y en a une dizaine comme cela, de plus en plus grosses.
"Ma salope, félicitation d’avoir tout bu, t’es un sacré pervers, Ana va se régaler avec toi, elle te fera peut-être même utiliser par des hommes"
Beurk, des hommes ?? Pourquoi suis-je attiré par l’urine féminine et dégoutté par celle d’un homme ? Serais-je capable, les yeux fermés, de voir la différence ? Enfin, je ne suis pas pressé de la connaître…
Si mon compte est bon, toutes les convives sont passées se soulager et moi j’ai la vessie pleine. Ma maîtresse arrive et se penche vers moi.
"Humm, tu pues la pisse, ma chérie, mais je te félicite d’avoir tout bu. A ton tour, tu dois avoir envie, non ?", Me demande-t-elle en faisant une pression sur mon bas ventre.
"Oh oui Maîtresse", Dis-je en grimaçant.
"Assieds-toi comme une bonne fille et libère-toi, je ne voudrais pas que tu tâche le parquet en t’oubliant"
"Tu veux toujours être mon urinoir ? Quelles ont été tes sensations ?"
"Ce fut dur, Maîtresse. Au bout de la deuxième personne, je n’ai même plus apprécié du tout, mais je l’ai fait pour vous. Et oui, je veux toujours être votre urinoir, Maîtresse Ana !"
"Très bien, ma chienne, très bien"
Elle me regarde me soulager et me ramène au salon.
"Alors les filles, pas mal, non ?"
"Oui oui, je dois avouer qu’il m’a surprise, il a une capacité à avaler rapidement ce qu’on lui propose"
"Oui, même moi qui n’aime pas ça, j’ai pris mon pied tellement il est motivant", Reprend la dernière des pisseuses.
"Alors là, félicitation, petite chienne, deux jolis coups. Tu as converti Séverine du premier coup et tu fais dire à mon amie qu’elle a pris son pied alors que je sais pertinemment que c’est une pratique qui la dégoûte et qu’elle la fait que pour mon plaisir, et le tien"
"Bon, trêve de plaisanteries, si je veux avoir votre opinion avant demain soir, si vous le voulez bien, passons à la seconde épreuve"
Avant demain soir ?? Non, je ne vais pas rester le week-end entier avec ces six dresseuses d’hommes ?
Humm, remettre mon plug, alors que je sens encore son effet agir sur moi.
Je l’enduis de crème, me doigte un peu pour m’assouplir et me pose sur cet objet. Je mets moins de temps pour l’absorber que pour l’expulser, mais le passage le plus large est à nouveau difficile et il faut trois ou quatre va-et-vient avant qu’il rentre en moi et m’arrache un gémissement de bonheur et de légère douleur.
La journée est longue, je dois quand même sortir faire mes courses de la semaine, mais je ne m’attarde pas trop, mon accoutrement, même dissimulé sous mes vêtements d’homme ne me rend pas à l’aise. J’ai toujours l’impression que les femmes me regardent différemment, avec un sourire en coin.
Je rentre chez moi, mange un bon plat pour prendre des forces car je m’imagine que cela ne sera pas une partie de plaisir. Je tourne en rond dans mon appartement, je reçois un SMS :
"Viens à 15h, j’ai envie de te voir avant!"
J’accours. Je saute dans ma voiture, me rend au rendez-vous, toujours mes vingt bonnes minutes d’avance traditionnelles pour me faire mariner. Je n’arriverai pas à me corriger.
15h tapante, le téléphone sonne :
"T’es où ?"
"Bonjour Maîtresse Ana, je suis en bas, comme demandé"
"Bien, tu sais où aller et quoi faire en arrivant"
"Oui Maîtresse, je pense, oui"
"Tu penses ou t’en es sûr ?"
"J’en suis sûr, Maîtresse"
"Alors monte, ne traîne pas"
Je rentre dans l’immeuble, quatrième étage à droite, porte ouverte comme je l’imaginais. Je rentre et bingo, la cagoule est là, qui m’attend. Les bracelets aussi. Ce n’est pas aujourd’hui que je verrais Maîtresse, mais cela ne me fait plus rien, je suis bien.
Je me déshabille, enfin, je reste en tenue féminine, et enfile cette cagoule et j'attends quelques minutes. Puis les talons de ma divine et cruelle Maîtresse se font entendre.
"Bonjour ma chienne, je suis douce avec toi aujourd’hui, je te fais même pas attendre. Mais j’avais trop envie de te voir !"
Et elle me prend la tête à deux mains et me force la bouche avec sa langue. Bon, elle n’a pas eu à forcer longtemps, et je lui rends ce baiser.
Je suis aux anges. Pendant qu’elle me viole quasiment la bouche de sa langue, sa main droite vient pincer mon sein gauche, puis descend attraper ma cage. Et elle me susurre à l’oreille :
"Tu es à moi, tu ne me décevras jamais et je ferai de toi un soumis heureux. Est-ce que tu aimes ta maîtresse ?"
"Oui oui, Maîtresse, je vous aime, je ne pense qu’à vous et vous me faites vivre une vie que je n’aurais jamais espérée. J’aime votre caractère, votre esprit, et je ne veux que votre plaisir.
"Très bien, nous avons un peu de temps devant nous avant que mes invitées arrivent, alors détendons-nous"
Des invitées... Oh mon Dieu, je sens que je vais avoir la honte de ma vie.
"N’ai crainte, rajoute-t-elle, elles savent toutes pourquoi elles ont été invitées. Je te présente officiellement à mes meilleures amies, même si certaines t'ont déjà vu"
Officiellement... Huumm, ce mot me fait bander.
"Oh tu bandes, comme c’est mignon, je t’apprécie énormément, cela faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti cela pour un soumis. Je suis comblée pour l’instant, mais l’avis de mes copines est très important pour moi. Si elles pensent que tu ne feras pas l’affaire tu perdras tes chances de me revoir un jour.
Oh la claque. Je jouerai ma vie sur cette soirée, que de pressions...
"T’es bien silencieuse, ma chienne ?"
"Pardonnez-moi, Maîtresse Ana, je vous écoute et suis perdu dans mes pensées. Je ferai tout pour ne pas décevoir vos amies"
"Humm, tu as intérêt, car je mise beaucoup d’espoirs en toi, je présente rarement des soumis physiquement à mes amies"
Elle passe derrière moi et me dit :
"Mais tu es encore sacrement marqué, en fait, j’y suis allé pas si doucement que ça, ça va, tu ne souffre pas trop ?"
"Non maitresse, quand je ressens une douleur, ça me rappelle votre personne et je me dis que je ne veux pas vous décevoir pour ne plus subir un tel traitement, Maîtresse"
"Très bien, me fait-elle, en m’accrochant un collier au cou, tu vas vivre une soirée extraordinaire, comme jamais tu n’en a vécu, je te le promets. Sache que ce soir, tu ne partiras pas d’ici, tu restes jusqu’à demain soir, sauf si tu abandonnes avant"
"OH NON Maîtresse, je ne souhaite vraiment pas abandonner et j'affronterai toutes vos épreuves avec envie et dévouement"
"On verra, on verra"
Cette femme a le don de vous mettre sous pression. Elle me tire par la laisse qu’elle vient d’attacher, et me guide jusqu'aux toilettes !
Je le comprends quand elle m’ordonne de me mettre sur le dos, et que je sens le froid du rebord des WC.
"Ouvre la bouche, ma chienne, j’ai envie depuis plus d’une heure, et c’est une des raisons de ta venue précoce"
C’est officiel, là aussi, je deviens son urinoir personnel. Elle se place très très proche de ma bouche et contrôle parfaitement son jet. Je n’en perds quasi aucune goutte, c’est tellement délicieux, mais cela dure encore et encore, elle ne s’arrêtera jamais ? Elle plaque totalement son sexe sur ma bouche pour me donner ses dernières gouttes et me permet de la nettoyer correctement.
"Si tu ne me fais pas jouis rapidement, comme tu l’as fait avec notre petite serveuse, tu auras affaire à mon fouet"
Je redouble d’efforts et d’application, je titille sont délicieux clito, parfois je pénètre son vagin de ma langue et j'aspire sous forme de fellation ses lèvres.
Sa respiration se fait plus forte, elle appuie encore plus sur mon visage et je sens un liquide plus fort s’épandre dans ma bouche. Elle jouit allégrement en se mettant de tout son poids sur ma bouche et en me cassant presque en deux, vu ma position inconfortable. Elle s’écarte, ne dit pas un mot, c’est frustrant de ne pas connaître sa pensée. Elle me tire de ma position, me pose un baiser sur ma bouche puis m’entraîne dans le salon.
Elle s’installe dans un fauteuil et cale ma tête entre ses cuisses. Elle joue avec sa cravache sur mes fesses et resserre ses cuisses à chaque coup porté. Elle me parle un peu d’elle, que sa famille n’est pas au courant de ses penchants et que ça ne l’intéresse pas qu’ils le sachent, même s’ils se doutent de quelque chose. Elle continue un peu quand quelqu’un sonne à la porte.
Elle me fait mettre debout et me dit de ne pas bouger.
"Bonjour, entre, tu es bien en avance, dis-moi"
"Oui, je suis désolée, Madame, dois je attendre, fait une voix qui m’est familière et que j’attribue à Séverine"
"Non, tu es mon égale, appelle moi Ana et mets toi à l’aise"
"Merci Ana. Dis-moi, ton chien est là ?"
"Oui, entre, il attend dans le salon"
"Oh, toujours dans le noir, le pauvre, il ne verra personne encore ce soir", Dit-elle avec des sourires dans la voix.
"Si, t’es la seule sur qui il peut mettre un visage"
"Oui oui, dis-moi, je peux te l’emprunter, j’ai une urgence"
"Eh, coquine, tu n’aurais pas volontairement attendu pour cette urgence ?"
"Si, je l’avoue", Lui répond Séverine, d’un air complice.
"Ok, je te le prête, mais interdiction de te faire jouir, j’ai été claire dans mon mail"
"Quel dommage, mais je te rassure, Ana, j’ai compris, fais-moi confiance", Lui répond-elle en me traînant par la laisse.
"En place, chien", M’ordonne-t-elle avec une assurance naissante.
"Hé, comment tu parles à mon chien", Crie ma Maîtresse du salon, en partant dans un éclat de rire.
Deuxième service donc. Je me mets en place sans me faire prier, j'ouvre la bouche et notre visiteuse commence à lâcher sa liqueur, chaude et parfumée. Elle contrôle un peu plus que la première fois mais je ne peux pas tout avaler. Elle lâche un "Que c’est bon" une fois fini, et et me demande de la lécher pour la nettoyer. Je m’applique, elle commence à gémir mais d’un coup, elle pose son talon sur mon ventre et appuie fort, l’enfonçant dans ma chair.
"Ne t’avise pas de me faire jouir, sale chien, et de me mettre en faute devant ta Maîtresse"
"Pardon, Mademoiselle Séverine", Lui dis-je, "Je ne voulais pas"
Menteur que je suis, j’ai tellement envie de la faire jouir...
"Bien, retournons voir ta Maîtresse"
"Alors ma chienne, tu t’es régalé ? Qui a la meilleure urine ?", M’interroge ma Maîtresse.
"Oui, Maîtresse, j’ai apprécié, Maîtresse Ana", Sans répondre à la deuxième question.
"Réponds, chien, quelle urine as tu appréciée le plus ?", Me répète-t-elle en m'administrant un coup de cravache appuyé sur une cuisse.
"La votre, Maîtresse, sans mentir, elle a un meilleur goût, celle de Mademoiselle Séverine a plus le goût d’eau"
"Quel connaisseur !!", S’exclame Séverine, qui avoue avoir bu beaucoup d’eau pour avoir une grosse envie en arrivant, en effet.
Pas le temps de s’étendre sur le sujet qu’on sonne à nouveau à la porte. Je distingue trois voix différentes au minimum, que ma Maîtresse accueille. Elle présente Séverine mais ne donne pas les prénoms des autres invitées car elle ne veut pas que je puisse les reconnaître par la suite.
Je distingue à nouveau une voix, il y aurait en tout six personnes plus moi, totalement livré à ces femmes. L’une d’elle s’esclaffe :
"Oh la belle plante, un peu grassouillette, un peu petite aussi, mais j’aime beaucoup, dommage que je ne vois pas son minois"
Une deuxième complimente ma tenue, la troisième tâte mes fesses en disant qu’elles étaient fermes contrairement à mon ventre, et conseille à ma Maîtresse des séance de gym. Les deux autres tournèrent aussi autour de moi en laissant leurs mains et griffes sur mon corps. L’une d’elle complimente ma Maîtresse :
« Dis-moi, Ana, aurais-tu enfin rencontré l’oiseau rare, pour l’avoir déjà mis en cage, ce n’est pas ton habitude»
Ah bon ?? J’ai droit à une mise en cage précoce ? Mais hélas, Maitresse Ana ne répond rien et demande aux convives de s’asseoir.
"Comme personne n’est en retard, je suis heureuse de vous présenter L… B…. qui vit à C…, 99 rue de la Plaine à Cha…, et qui m’a convaincu de le prendre à l’essai"
Comme cela, ces dames savent où me trouver. Je suis sûrement rouge de honte, personne ne le voit sous ma cagoule de latex, mais moi je le sens, car je bouillonne comme une cocotte minute.
Elle continue sa présentation :
"Certaines l’ont déjà vu en vrai, car elles ont bien voulu m’accompagner durant son testing, mais maintenant, je vous l’offre de près. Vous savez toutes que votre avis compte pour moi, et que je ne veux pas vous faire endurer un soumis que vous n’apprécieriez pas à mes côtés. Donc, ce soir sera pour moi une soirée de vérité et vous me direz toutes sincèrement ce que vous pensez de cette chose.
Ca, c’est le test de ma vie, je comprends mieux la portée de ses mots quelques heures plus tôt.
"Et ça fait combien de temps que tu l’as mis en cage ?"
"Ca fait deux semaines maintenant, mais s’il a tenu parole, ça fait un mois maintenant qu’il n’a pas pu s’astiquer ou s’en servir"
"Et tu as tenu parole ?", M’interroge une participante.
"Oui Mademoiselle, je n’ai pas joui depuis un mois"
"Plein comme un œuf !", Renchérit une autre.
"Bon, et je vous présente donc Séverine. Je l’ai rencontrée à la Pizzeria, elle est très intéressée par la domination, c’est ma nouvelle stagiaire, donc, qui adore se servir de mon soumis comme d'un WC. J’avoue que c’est une qualité pour lui, il boit tout comme un mort de soif. J’espère que vous ne le décevrez pas ce soir, n’hésitez pas s’il est libre à l’utiliser ainsi. Même si certaines n’apprécient pas, je le sais, donc je ne vous force pas ! Et elle se mis à rire.
Etre l’urinoir de six femmes, même dans mes rêves le plus fous, je n’avais pas pensé à cela. Et l’une d’elle demande tout de suite à m’utiliser. Elle a l’approbation de ma Maîtresse et m’entraîne à nouveau aux toilettes.
Devançant les ordres de cette femme, je me mets en place, trouvant même facilement la bonne place. Cette femme reste assez haut par rapport à mon visage et a du mal à se lâcher, mais quand elle y parvient, elle m’inonde tout le visage tellement son jet est puissant et mal dirigé. Son urine est très forte et j’ai beaucoup de hauts le cœur en la buvant. Elle me félicite quand même, malgré que la moitié de son don n’ait pas été bu, car j’ai gardé constamment la gueule ouverte. Elle s’essuie avec du papier, essuie mon visage aussi et me laisse en plan.
"Ne bouge pas, ma chérie… Je pense que tu es partie pour une tournée générale"
Ma chérie… elle m’a appelé ma chérie… !!! Hummm, cela me redonne du courage et j'attends patiemment la nouvelle personne qui s’approche. Ses talons claquent sur le sol. Elle est juste à deux pas de moi et me dit :
"Tu sais que tu fais une heureuse là ?"
"Non ? Qui ça ? Vous ?", J’ose demander, avant de prendre un coup de talon dans une cuisse.
"Depuis quand un chiotte parle-t-il ? Non, pas moi mais Ana", Me rétorque-t-elle en commençant à se soulager.
Elle se met très proche de ma bouche et ne m’en fait perdre aucune goute. Elle me menace même de voter contre moi si j’ai le malheur d’en mettre à côté. Vous pensez bien que j’ouvre la bouche le plus grand possible et m'applique à tout avaler le plus vite possible.
Elle finit et frotte son sexe humide sur mon nez.
"Sens ma chatte, car se soir, c’est elle qui te fera jouir"
Et elle repart dans plus de précisions. Jouir ? Elle va me faire jouir ? Que veut-elle dire, que va-t-il se passer ? Perdu dans mes pensées, je ne fait pas attention à la personne suivante. Elle se met à m’uriner dessus sans me prévenir, je sursaute, je me cogne le dos à la cuvette. Mon plug me transperce l’anus, se rappelant à mon bon souvenir, et il me fait machinalement ouvrir en grand la bouche mais le jet me fait quasiment m’étouffer.
"Eh ben salope, les autres disent que t’es une bonne buveuse, et là, tu t’étouffes", Me dit-elle, en me laissant reprendre mes esprits.
"Allez, ouvre !"
On y retourne et le jet reprend de plus belle. Ces femmes sont aguerries à cette pratique, elles ont une capacité à contrôler leur jet qui est impressionnante.
"Voilà, c’est mieux, quelle chance elle a, Ana, d’avoir un chiotte de cette qualité"
Un assoiffé en effet. Oui, un assoiffé qui commence à avoir envie de vomir par le mélange de ces urines, un assoiffé qui n’en peut plus de tenir cette position mais qui n'a qu’une pensée en tête : Faire la fierté de sa maîtresse.
"C’est bien, j’espère que tu seras autant doué pour la suite, car tu me plais bien"
Ces femmes savent toutes à quelle sauce je vais être mangé, c’est déboussolant d’être leur jouet ainsi, mais ultra jouissif de rencontrer des femmes totalement libres d’esprit.
La dernière se présente devant moi, visiblement la plus réticente à ce genre de chose car elle met un temps inconsidéré à faire perler une petite goutte. Elle râle même un peu, s’agaçant de ne pas y arriver.
"Ana a toujours l’idée de me faire faire des choses que je n’apprécie pas, je te le ferai payer, je te le promets"
Y suis-je pour grand chose ? Mais je comprends vite qu’elle ne parle pas en l’air… Elle se plaque contre ma bouche et urine un grand jet en moi. Son sexe fait bouchon. J’avale difficilement la première rincée qu’une seconde arrive dans ma bouche. Il y en a une dizaine comme cela, de plus en plus grosses.
"Ma salope, félicitation d’avoir tout bu, t’es un sacré pervers, Ana va se régaler avec toi, elle te fera peut-être même utiliser par des hommes"
Beurk, des hommes ?? Pourquoi suis-je attiré par l’urine féminine et dégoutté par celle d’un homme ? Serais-je capable, les yeux fermés, de voir la différence ? Enfin, je ne suis pas pressé de la connaître…
Si mon compte est bon, toutes les convives sont passées se soulager et moi j’ai la vessie pleine. Ma maîtresse arrive et se penche vers moi.
"Humm, tu pues la pisse, ma chérie, mais je te félicite d’avoir tout bu. A ton tour, tu dois avoir envie, non ?", Me demande-t-elle en faisant une pression sur mon bas ventre.
"Oh oui Maîtresse", Dis-je en grimaçant.
"Assieds-toi comme une bonne fille et libère-toi, je ne voudrais pas que tu tâche le parquet en t’oubliant"
"Tu veux toujours être mon urinoir ? Quelles ont été tes sensations ?"
"Ce fut dur, Maîtresse. Au bout de la deuxième personne, je n’ai même plus apprécié du tout, mais je l’ai fait pour vous. Et oui, je veux toujours être votre urinoir, Maîtresse Ana !"
"Très bien, ma chienne, très bien"
Elle me regarde me soulager et me ramène au salon.
"Alors les filles, pas mal, non ?"
"Oui oui, je dois avouer qu’il m’a surprise, il a une capacité à avaler rapidement ce qu’on lui propose"
"Oui, même moi qui n’aime pas ça, j’ai pris mon pied tellement il est motivant", Reprend la dernière des pisseuses.
"Alors là, félicitation, petite chienne, deux jolis coups. Tu as converti Séverine du premier coup et tu fais dire à mon amie qu’elle a pris son pied alors que je sais pertinemment que c’est une pratique qui la dégoûte et qu’elle la fait que pour mon plaisir, et le tien"
"Bon, trêve de plaisanteries, si je veux avoir votre opinion avant demain soir, si vous le voulez bien, passons à la seconde épreuve"
Avant demain soir ?? Non, je ne vais pas rester le week-end entier avec ces six dresseuses d’hommes ?
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