Réveillon (5)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Réveillon (5)
Seuls dans le salon, Svetlana se tourna vers Erwann.
— Personne ne va me baiser ce soir ?
Si moi, pensa Erwann. Il ne dit rien, il n’en avait pas besoin. S’il avait parlé il aurait pu ajouter qu’il en avait envie, que Svetlana, qui était la seule femme avec qui il avait fait l’amour, si l’on exceptait sa sœur, était la seule femme qui jusqu’à présent le faisait bander. Il aimait les hommes, il pouvait dans le rue se retourner sur un cul de mec, et dans sa chambre de bonne, les soirs où il était seul, se masturber en pensant à tel ou tel mec croisé dans la journée. Il s’imaginait le suçant, se faisant prendre sauvagement et jouir d’être possédé par une bite virile. Mais parfois il repensait à Svetlana. À sa bouche le suçant, à son sexe chaud, humide, à son cul étroit, à la façon qu’elle avait eue de lui faire l’amour, de le faire jouir. Alors il n’hésita pas et plongea vers la chatte de la belle blonde, et la dégusta.
La langue d’Erwann, bien qu’agile, n’avait rien à voir avec celles de Nina, ou d’Émilie, ou de toutes les autres femmes qui l’avait léché. Svetlana aimait autant les hommes que les femmes, mais, quand il s’agissait de se faire bouffer le minou, rien n’égalait pour elle une bouche et une langue féminine. Erwann arriva tout de même à lui procurer du plaisir, sans la faire jouir, mais presque. Il s’appliquait, et semblait apprécier ce qu’il faisait.
En étant tout à fait honnête, Erwann devait reconnaitre que depuis qu’il avait rencontré Nina, il lui arrivait de rêver d’elle et d’imaginer lui faire l’amour. Surtout depuis qu’elle avait lancé l’idée d’un plan à trois avec leur amant commun. Il se souvenait quand avec Bruno ils avaient pris Svetlana en double, en sandwich entre leurs deux queues. CE sentiment de possession totale, leur bite se frôlant au travers des chairs de Svetlana. Comment celle-ci les avait sucés ensemble, prenant leur sexe en bouche simultanément, et avalant leur foutre quand ils avaient joui sur son visage d’ange. Leur baiser à trois partageant leur nectar gluant, se léchant, se goutant. Il rêvait de vivre de nouveau ce genre d’expérience.
Svetlana repoussa Erwann, se pencha vers lui, l’embrassa, et se tourna pour lui offrir son cul. Se glissant un doigt entre les fesses elle lui ouvrit la voie. Elle aurait aimé avoir un autre homme pour s’occuper de sa chatte, et se faire baiser par les deux trous, mais à défaut elle préférait qu’Erwann l’encule. Elle se branlerait en même temps. Et puis, elle se disait qu’il aimait ça plus que le reste, qu’il avait l’habitude des culs. Ça l’excitait de baiser avec un homo. Elle savait en plus que pour Erwann elle était la seule femme avec qui il avait couché.
Svetlana se branlait alors qu’Erwann l’enculait. Elle criait de plaisir et ne fut pas longue à avoir un premier orgasme. Elle encourageait son amant à la baiser par des cris, des hurlements. Erwann la tenait fermement par les hanches et lui bourrait le cul avec vigueur. Tout à son plaisir et celui de Svetlana il ne remarqua pas que dans le coin de la pièce sa sœur et Félix les observaient.
Émilie aimait voir son frère baiser. Elle aimait s’imaginer à la place de Svetlana. Certes en temps normal elle chassait ses pensées, mais la fatigue, l’alcool, et l’excitation de cette nuit faisaient que son esprit pervers s’autorisait à ces fantasmes incestueux. Elle se caressa et demanda à Félix d’aller prendre son frère.
Bandant ferme Félix ne se fit pas prier et en douceur vint se glisser derrière Erwann. D’un coup sec il encula son amant, qui de surprise cria. Svetlana se retourna avec un grand sourire en découvrant qu’une autre personne s’était jointe à eux. Se dégageant de la bite d’Erwann, elle s’installa sur le canapé et regarda les deux hommes faire l’amour. Émilie la rejoint et toutes deux se caressèrent mutuellement. Les deux femmes jouirent presque en même temps que les deux hommes. Erwann envoya un jet d foutre sur les seins de Svetlana, et Émilie alla le lécher.
Erwann regarda sa sœur, et alors qu’elle avalait son sperme sur la poitrine de Svetlana, il quitta la pièce pour cacher son érection naissante et ne pas céder à la tentation de plus en plus forte de la rejoindre et de la baiser. Félix le suivi dans la chambre vide, ils s’allongèrent l’un contre l’autre et s’endormirent .
Svetlana et Émilie s’embrassèrent mêlant dans leurs bouches humides le nectar d’Erwann. Elles étaient fatiguées, un peu soules, mais l’envie de faire l’amour toutes les deux une dernière fois avant de s’endormir fut le plus fort.
Écartant les cuisses Svetlana offrit son sexe à son amante qui de sa bouche gourmande se délecta de son jus. Elle le lécha, le bouffa, l’avala, et fit jouir une dernière fois sa tendre amie avant de s’allonger à côté d’elle sur ce canapé souillé par les abats multiples de la nuit.
Quelques bougies finirent de se consumer, et l’appartement plongea dans la nuit. Six corps fourbus dormaient. Dans l’air flottait une odeur de sexe, de transpiration, de champagne. L’année s’ouvrait pour eux sous les plus beaux auspices.
— Personne ne va me baiser ce soir ?
Si moi, pensa Erwann. Il ne dit rien, il n’en avait pas besoin. S’il avait parlé il aurait pu ajouter qu’il en avait envie, que Svetlana, qui était la seule femme avec qui il avait fait l’amour, si l’on exceptait sa sœur, était la seule femme qui jusqu’à présent le faisait bander. Il aimait les hommes, il pouvait dans le rue se retourner sur un cul de mec, et dans sa chambre de bonne, les soirs où il était seul, se masturber en pensant à tel ou tel mec croisé dans la journée. Il s’imaginait le suçant, se faisant prendre sauvagement et jouir d’être possédé par une bite virile. Mais parfois il repensait à Svetlana. À sa bouche le suçant, à son sexe chaud, humide, à son cul étroit, à la façon qu’elle avait eue de lui faire l’amour, de le faire jouir. Alors il n’hésita pas et plongea vers la chatte de la belle blonde, et la dégusta.
La langue d’Erwann, bien qu’agile, n’avait rien à voir avec celles de Nina, ou d’Émilie, ou de toutes les autres femmes qui l’avait léché. Svetlana aimait autant les hommes que les femmes, mais, quand il s’agissait de se faire bouffer le minou, rien n’égalait pour elle une bouche et une langue féminine. Erwann arriva tout de même à lui procurer du plaisir, sans la faire jouir, mais presque. Il s’appliquait, et semblait apprécier ce qu’il faisait.
En étant tout à fait honnête, Erwann devait reconnaitre que depuis qu’il avait rencontré Nina, il lui arrivait de rêver d’elle et d’imaginer lui faire l’amour. Surtout depuis qu’elle avait lancé l’idée d’un plan à trois avec leur amant commun. Il se souvenait quand avec Bruno ils avaient pris Svetlana en double, en sandwich entre leurs deux queues. CE sentiment de possession totale, leur bite se frôlant au travers des chairs de Svetlana. Comment celle-ci les avait sucés ensemble, prenant leur sexe en bouche simultanément, et avalant leur foutre quand ils avaient joui sur son visage d’ange. Leur baiser à trois partageant leur nectar gluant, se léchant, se goutant. Il rêvait de vivre de nouveau ce genre d’expérience.
Svetlana repoussa Erwann, se pencha vers lui, l’embrassa, et se tourna pour lui offrir son cul. Se glissant un doigt entre les fesses elle lui ouvrit la voie. Elle aurait aimé avoir un autre homme pour s’occuper de sa chatte, et se faire baiser par les deux trous, mais à défaut elle préférait qu’Erwann l’encule. Elle se branlerait en même temps. Et puis, elle se disait qu’il aimait ça plus que le reste, qu’il avait l’habitude des culs. Ça l’excitait de baiser avec un homo. Elle savait en plus que pour Erwann elle était la seule femme avec qui il avait couché.
Svetlana se branlait alors qu’Erwann l’enculait. Elle criait de plaisir et ne fut pas longue à avoir un premier orgasme. Elle encourageait son amant à la baiser par des cris, des hurlements. Erwann la tenait fermement par les hanches et lui bourrait le cul avec vigueur. Tout à son plaisir et celui de Svetlana il ne remarqua pas que dans le coin de la pièce sa sœur et Félix les observaient.
Émilie aimait voir son frère baiser. Elle aimait s’imaginer à la place de Svetlana. Certes en temps normal elle chassait ses pensées, mais la fatigue, l’alcool, et l’excitation de cette nuit faisaient que son esprit pervers s’autorisait à ces fantasmes incestueux. Elle se caressa et demanda à Félix d’aller prendre son frère.
Bandant ferme Félix ne se fit pas prier et en douceur vint se glisser derrière Erwann. D’un coup sec il encula son amant, qui de surprise cria. Svetlana se retourna avec un grand sourire en découvrant qu’une autre personne s’était jointe à eux. Se dégageant de la bite d’Erwann, elle s’installa sur le canapé et regarda les deux hommes faire l’amour. Émilie la rejoint et toutes deux se caressèrent mutuellement. Les deux femmes jouirent presque en même temps que les deux hommes. Erwann envoya un jet d foutre sur les seins de Svetlana, et Émilie alla le lécher.
Erwann regarda sa sœur, et alors qu’elle avalait son sperme sur la poitrine de Svetlana, il quitta la pièce pour cacher son érection naissante et ne pas céder à la tentation de plus en plus forte de la rejoindre et de la baiser. Félix le suivi dans la chambre vide, ils s’allongèrent l’un contre l’autre et s’endormirent .
Svetlana et Émilie s’embrassèrent mêlant dans leurs bouches humides le nectar d’Erwann. Elles étaient fatiguées, un peu soules, mais l’envie de faire l’amour toutes les deux une dernière fois avant de s’endormir fut le plus fort.
Écartant les cuisses Svetlana offrit son sexe à son amante qui de sa bouche gourmande se délecta de son jus. Elle le lécha, le bouffa, l’avala, et fit jouir une dernière fois sa tendre amie avant de s’allonger à côté d’elle sur ce canapé souillé par les abats multiples de la nuit.
Quelques bougies finirent de se consumer, et l’appartement plongea dans la nuit. Six corps fourbus dormaient. Dans l’air flottait une odeur de sexe, de transpiration, de champagne. L’année s’ouvrait pour eux sous les plus beaux auspices.
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