Romance avec mon beau-frère 3 - histoire érotique

Je me trouvais donc la, assis sur le sol, souillé du sperme de mon beau-frère et encore bien sonné par toute cette situation qui m’avait fait perdre le contrôle...
Après quelques longues secondes, je rassemblais toutes mes forces pour me relever et remonter mon pantalon alors que Samy revenait avec la serviette qu’il m’avait promise.

- Tiens, essuies-toi et si tu as besoin tu peux utiliser ma salle de bain.

Sa voix chaude et grave m’apaisait. J’étais content qu’il ne soit pas gêné par la situation autant que moi je l’étais.

- Merci, je vais juste aller me laver la figure ça ira.
- Fais comme chez toi !
- Merci.

Je prenais donc le temps de me rendre dans la salle de bain pour me débarbouiller un peu. L’eau chaude que j’appliquais sur mon visage me faisait le plus grand bien. Une fois le visage de nouveau présentable, je décidais de revenir dans le séjour ou Samy m’attendait.

- Tu te sens mieux ?
- Oui, beaucoup mieux merci.
- Écoute, je ne sais pas si tu veux en parler mais je voulais juste te dire que je suis désolé... Je ne sais pas ce qu’il m’a prit, j’ai pas réfléchis.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que je t’ai fait ça comme ça, sans te demander si t’étais d’accord ou pas...
- Si je n’avais pas été d’accord je ne me serais pas laissé faire...
- Oui, mais au final je me suis mal comporté... J’étais tellement excité que je t’ai maltraité...
- Ne t’en fais pas pour ça.
- Bah si, je veux pas que tu pense que je suis un connard qui gicle au visage de la première personne qui le suce !
- Je n’ai jamais dit que tu étais un connard...
- Non mais je me suis dit que tu le pensais peut-être.
- Si c’était le cas, je ne serais pas encore là.
- Maïs j’ai bien vu que tu étais gêné...
- Je suis gêné parce que moi aussi j’ai cédé à une pulsion et que je me sens mal parce que j’ai trompé la femme que j’aime. Mais...
- Mais... ?
- Maïs je ne regrette pas...
- Moi non plus...

Il me regardait fixement mais moi je fuyais son regard. J’avais honte, je me sentais faible d’avoir cédé et encore plus d’avoir prit du plaisir alors qu’il ne m’avait rien fait. Je m’étais offert à lui si facilement que cela me perturbait beaucoup. Ce mélange de tendresse et de force m’avait consumé de l’intérieur et avait fait ressortir mes désirs les plus interdits.

J’étais donc au milieu de son salon, debout et immobile. Il était en face de moi et je sentais qu’il attendait que je lui dise quelques chose mais aucun mot n’était décidé à sortir de ma bouche... Il décidait donc de briser le silence avec une question qui allait me laisser de marbre :

- Et maintenant ? demandait-il.
- Et maintenant quoi ?
- On fait quoi ?
- Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Tu es mon beau-frère et moi j’aime ma femme donc on ne peut pas continuer.
- Tu veux qu’on arrête ?
- Je crois qu’on a pas le choix !!
- Tu as raison... Mais maintenant que c’est fait... Ça va être compliqué de se croiser...
- Comment ça ?
- Tu ne me laissais pas indifférent avant alors imagine maintenant ça va être pire !
- Je sais...
- Tu me plais, Léo.
- Je dois partir Samy, je suis désolé.
- Tu vas partir comme ça ?!
- Je ne peux pas rester !!
- Pourquoi ?!
- Parce que chaque seconde de plus où je reste avec toi c’est une seconde de plus ou je risque de craquer parce que tu me plais aussi, Samy ! Voilà, tu es content ? Je l’ai dit. Et ça nous avance à quoi ? Ce que tu m’as fait m’a boulversé dans tous les sens ! Je ne sais pas ce qu’il faut que je fasse ! D’un côté je suis un homme heureux en couple et de l’autre je n’ai qu’une envie c’est de m’abandonner à mes désirs les plus noirs parce que ce qu’on vient de vivre a changé toutes mes certitudes ! Je n’ai jamais éprouvé ça pour un homme et pourtant toi, tu es là avec ta voix, avec ce visage, ce corps que je viens juste de découvrir mais qui me chamboule déjà... Alors je crois qu’il vaut mieux que je parte car on pourrait faire quelques choses que l’on pourrait regretter tous les deux.

Je me dirigeais vers la porte alors que lui restait immobile, comme cloué sur place.

- Si tu t’en vas je nourrirais bien plus de regrets que si tu décidais de rester...

Je décidai de ne pas répondre car cela n’arrangerait rien. Puis il s’est mit à courir vers moi pour me plaquer contre la porte. Son visage était à seulement quelques centimètres et je sentais son souffle sur mon visage. Je sentais le feu dans son regard très déterminé, je comprenais à ce moment-là que je pourrais plus jamais faire demi-tour.

- Qu’est-ce que je dois faire pour que tu restes ?

Je n’avais même pas prit le temps de réfléchir à ce que j’allais répondre, mon désir avait prit le pas sur toute raison. Désormais je ne répondais plus de rien...

- Baise-moi... lui soufflais-je dans un murmure. Je t’en supplie, baise-moi »

J’avais à peine le temps de terminer ma phrase que ses lèvres se plaquaient contre les miennes, m’offrant le baiser le plus passionné et sensuel de toute ma vie. Rapidement sa langue se frayait un chemin dans ma bouche pour retrouver la mienne alors qu’il plaquait son corps contre le mien.
Je sentais à nouveau son énorme bosse contre moi et j’en profitais pour passer mes mains dans ses beaux cheveux bouclés. Mon Dieu ce qu’il embrassait bien !!!

Ses lèvres quittaient les miennes pour se plonger dans mon cou alors que ses mains descendaient le long de mes hanches pour mieux aller trouver mes fesses qu’il prenait un malin plaisir à malaxer.

- Hum... Ce cul il me rend tellement fou...
- Il est à toi, prends-le...

Mes mots faisait l’effet d’une véritable décharge électrique chez lui. D’un coup il me retournait contre la porte puis se plaquait de nouveau contre moi. La sensation de sa bosse sur mon cul me faisait vraiment un effet peu commun.
Rapidement il faisait tomber mon pantalon et je me retrouvais de nouveau cul nu devant lui. Il me tirait vers lui et me cambrait pour que je puisse mieux m’offrir à lui.
Il se décidait alors à se baisser et commençait à me lécher l’anus d’une manière délicieuse et inattendue. La sensation de sa langue qui parcourait mon fondement provoquait une véritable décharge tout au fond de moi et je me mettais à gémir de plus en plus fort.

Ma surprise n’en était que plus belle lorsqu’il se décidait à ajouter un doigt, puis deux à ses coups de langue. Je sentais mon trou de dilater de plus en plus alors que mes gémissements se transformaient en râles plus forts les uns que les autres. Cette sensation jusque-là inconnue me submergeait de plaisir, et je savais pourtant que je n’étais pas au bout de mes surprises...

Après quelques va-et-vient, je le sentais se relever et baisser de nouveau son jogging pour libérer l’objet de toutes mes convoitises. Cette énorme bite que j’avais eu en bouche quelques minutes auparavant aller très rapidement se retrouver en moi et j’avais hâte de la sentir.
Samy frottait sa bite que je sentais dur comme du bois contre mon anus, ce qui m’excitait au plus haut point...

- Qu’est-ce que tu m’as dit tout à l’heure ?
- J’ai dit « Baise-moi ».
- Tu veux que je te baise ? disait-il tout en titillant mon anus avec le bout de sa bite.
- Oui...
- J’ai pas entendu le mot magique...
- S’il te plaît !!

Il s’enfonçait lentement en moi et tandis que mon cul absorbait cette longue bite je poussais un râle de plaisir.
Quelques secondes après, ils s’enfonçait totalement en moi puis décidait de s’arrêter alors que je le sentais totalement en moi.

- Oh putain c’est bon...
- Oh putain oui...
- Je suis en toi, bébé...
- Oh oui, je te sens ! Elle est tellement grosse...
- T’aime la sentir !
- Oui, j’en avais tellement envie...
- Ton cul est a moi, tu es à moi, tu entends ?
- Oui je suis à toi, mon cul est a toi et rien qu’à toi... Baise-moi je veux te sentir en moi, je veux que tu me baise ! Je suis à toi !! S’il te plaît pilonne-moi !
- T’es sûr ?
- Oh oui j’ai tellement envie que tu me pilonne avec ta grosse bite !

Il ne lui en fallait pas plus pour augmenter la cadence et commencer à me pilonner comme je lui avais demandé. J’étais à lui, j’en avais conscience. Je lui appartenais. A partir de ce jour plus rien ne serait pareil.
Il me baisait avec puissance, sans ménagement et moi je hurlais de douleur mais surtout de plaisir au fur et à mesure que sa bite s’enfonçait en moi et que je sentais ses couilles taper sur les miennes à chaque coup de reins.

- Oh putain je vais jouir !!
- Vas-y bébé, décharges-toi en moi !!

Là encore, il ne se faisait pas prier et assénait de violents coups de reins tout en déversant son sperme chaud en moi le tout en hurlant de plaisir.
Il me redressait et piaquait sa tête contre ma nuque, sa bite toujours en moi qui commençait à sortir.

- Oh putain ! C’était bon ! criait-il, essoufflé.
- Oh oui... J’ai adoré !
- Je pensais pas que tu étais comme ça...
- Comment ça ?
- Bah... Soumis quoi...
- Moi non plus !
- J’aime bien en tout cas.
- J’étais sincère. Je me suis totalement donné à toi et désormais je le ferais dès que tu auras envie de moi.
- Sérieusement ?

Une fois son membre hors de moi, et je me tournais vers lui.

- Oui, je suis sérieux. Tu m’as baisé, j’en avais envie et tu l’as fait tout en me possédant et j’ai adoré ça. Désormais je t’appartiens. Mon corps tout entier est a toi. Je ne te refuserais rien et tu n’as plus besoin de me demander quoi que ce soit que tu ne sois pas autorisé à prendre. Alors baise-moi autant de fois que tu le voudras, pilonne-moi sauvagement aussi longtemps que tu en auras l’envie ou le besoin. Mon corps est à ta disposition. Je ne veux que toi et ton plaisir. Le reste n’a plus d’importance.

Il me regardait estomaqué et choqué ne sachant quoi répondre à la tirade que je venais de lui faire et j’avoue que même moi j’étais déstabilisé par mes propos.
Désormais je n’étais plus le même et je ne serais plus jamais le même.

Désormais j’étais à Lui.
Désormais je ne serais plus qu’à Lui.
Désormais il n’y aurait plus que Lui.

Et puis, dans un sourire si charmeur qu’il me faisait frémir. Ce sourire qui m’avait intrigué si souvent... Il me regardait et m’embrassait amoureusement...