Sa langue ( chapitre 1° : la rencontre) - histoire érotique

Sa langue. (chapitre 1° la rencontre)

Je vivais heureuse, enfin je le croyais, quand dans une soirée chez des amis communs, le sort a voulu que je sois assise à coté d‘une fille vachement sympa. Dans ce genre de soirée qui débute toujours par un repas amical, nous avons commencé à bavarder. Mon ami était lui aux prises avec l’hôtesse qui avait un faible pour lui. Un grand faible puisqu’il se sont absentés au moins une heure. A leur retour elle avait la coiffure un peu défaite. Elle regardait son ami en lui faisant de l'œil, semble -t-il comme pour lui dire « tu vois je me le suis payé ». Je regarde mon copain qui baisse la tête, l’air un peu gêné. Je comprends qu’ils viennent de s’aimer je ne sais où, la longueur de l’absence me le prouvait, quand il fait l’amour, il est long à jouir.
J’ai la certitude qu’il vient de baiser l’hôtesse avec l’accord de son mec. Je n’aime pas partager le mien avec les autres.
Qu’il aille se faire voir ailleurs. Je fais part de mon mécontentement à ma voisine. Elle me conseille de lui rendre la pareille, mais avec une fille. Je suis sensuelle, mais pas lesbienne.
- De toute façon ça ne risque rien d’essayer une fois.
- Pour lui ?
- Pour les deux : toi tu jouiras d’une autre façon et lui sera bien embêté de savoir que tu es avec une fille.
- Pour me venger tu me conseilles de baiser avec toi ?
- Oui, pourquoi pas, tu me plais.
- Je ne peut pas juger : je te trouve jolie, belle, même. A part ça c’est vrai que tu es sexy, mais de la à coucher avec toi, il y a un monde.
- Tu dis ça parce que tu ne connais pas les amours entre filles. Avant j’étais comme toi, je ne faisait l’amour qu’avec des hommes, maintenant je me consacre uniquement aux filles. De temps en temps j’ai besoin d’une bite, je me trouve un type pour tirer un coup devant et derrière, je le largue après.
- Mais je n’ai pas envie de coucher avec toi.
- Tu ne sais pas ce que tu perds.
Je cesse la conversation quand au bout d’un moment, je sens une main sur mon genou. Elle ne fait rien qu’ attendre son heure. Petit à petit la main passe entre mes cuisses. Je ne sais comment ni pourquoi, j’écarte les jambes au fur et à mesure de la montée d’une main vers ma chatte. Sans doute la tromperie de mon mec y est pour quelque chose et surtout la conversation avec ma voisine. Personne ne se rend compte que ma jupe monte avec la main, j’en ai la moitié des cuisses libres. Cette caresse lente me fait mouiller. J’en suis très étonnée de ressentir cette excitation. Je me laisse faire, alors qu’une simple tape sur la main suffirait.
Ma voisine me regarde en souriant. Elle sait qu’elle a gagné au moins pour cette fois. Elle connait son affaire pour exciter les filles. Quand elle arrive sur mon string humide, elle me dit :
- Tu vois ce n’est pas méchant.
- Non, c’est surprenant.
- Attends tu ne connais rien encore.
- Que veux tu dire ?
- Rien de spécial, nous partirons ensemble tout à l’heure, maintenant, de suite si tu veux.
- Tout à l’heure.
Je viens de céder. Je ne sais vers quoi je m’embarque. J’espère de pas faire une connerie. L’avenir le dira. Et après tout pourquoi entendre. Je lui demande de partir immédiatement. Je fais juste une bise à celui qui devient mon ex : adieu mon salaud
Je part donc avec une femme de mon âge, faisant dans les 1 m 70, très sexy et avec un visage lumineux avec ses yeux verts. Nous ne nous ressemblons pas du tout : je suis châtain clair, elle est brune, j’ai un peu de poitrine, elle en a beaucoup plus. Je suis hétéro et je pars avec une homo. Au premier abord on la sent sympathique. Les convives ne nous voient pas partir, sauf mon ex qui commence sans doute à comprendre qu’il a fait une bêtise.
Elle n’habite qu’à deux pas, nous allons chez elle à pied. Elle ne me parle pas du tout de ce qui nous attend. Quand nous sommes chez elle, elle ne se précipite pas sur moi, comme je le croyais. Elle m’invite à m’assoir à ses coté pour bavarder, dit-elle, en réalité pour m’embrasser sur la bouche. Je savais bien qu’elle le ferai, pas avec cette douceur. Il n’y a rien d’agressif dans ses façons de faire, au contraire. Je m’abandonne. Sa langue entre dans ma bouche. Je ressens un drôle d’impression d’avoir une langue de femme en moi. Elle fouille partout. Ma langue enfin répond pour manifester mon accord. Elle m’embrasse dans le cou en me donnant des frissons, plus fort qu’avec mon ex. J’espère quelle remettra sa main là où elle l’avait mise. Rien que d’y penser, je sens que je mouille encore plus.
Elle ne se presse absolument pas, elle me caresse la poitrine par-dessus mon t-shirt. Mes seins gonflent pendant que je sens mes tétons bander. Elle arrive à m’enlever mon dessus, il me reste le soutien gorge. En passant une main derrière elle le dégrafe. Me voilà torse nue devant elle. Elle regarde à peine ma poitrine, sa bouche est sur le premier sein pour en sucer le tétons.
Qu’elle sait me faire du bien en me léchant ainsi. J’ai ma tête en arrière, je suis maintenant totalement abandonnée. Elle me caresse l’autre sein avec la même douceur, on dirai un bébé qui tête sa mère. Je voudrai pouvoir lui rendre ses douceurs. Je ne peux plus bouger, je suis devenue une simple poupée. Elle garde sa bouche sur mon sein et sa main revient sur moi. J’ai besoin de sa main partout. Elle doit le faire exprès d’aller si doucement alors que je la voudrai déjà depuis longtemps sur mon bouton. Pourtant sa main me caresse les jambes lentement, c’est très bon, délicieux, bienfaisant, mais pas complet.
Enfin elle arrive très près de ma moule. Je sens qu’elle touche ma culotte.
- Tu es drôlement excitée, tu es mouillée comme un pré après la pluie.
- Tu m’excites trop, c’est pour ça.
- C’est volontaire, attends, apprends à attendre un peu.
- Branles moi.
- Pas encore, soulèves toi un peu que j’enlève ton string.
Je fais comme elle dit, elle arrive à faire descendre jusqu’à mes chevilles mon dessous. Je m’en débarrasse d’un coup de pied. Enfin j’écarte mes cuisses, si mon mec m’avait branlée, j’aurai fait pareil. Pourtant la suite n’est pas la même. Je me retrouve avec deux doigts dans ma vulve, elle les fait aller et venir dans mon ventre. Bien sur ce n’est pas comme une bite, deux doigts ne peuvent concurrencer une vrai queue. Il n’empêche que le résultat est là : elle me fait jouir, moi qui attendais cet instant depuis un long moment. Je ne peux retenir un grand soupir au moment de rejoindre le paradis. J’arrive même à lui mordre un peu la langue. Je reste la tête sur son épaule en attendant une suite qui arrive plus vite que je le pensais. Elle sort ses doigts pour aller plus bas, elle me caresse l’anus un bon moment, me faisant encore jouir. Ses deux doigts viennent sur mon cul que j’ouvre le plus possible. Qu’elle entre vite dans mon cul, j’aime ça. Elle doit avoir un espion dans mon cerveau, elle entre lentement ses doigts. Elle les fait aller et venir longuement, sans forcer. C’est presque meilleurs qu’une vrai bite et pourtant elle me fait jouir presque en surface, moi qui aime l’avoir au fond.
Maintenant elle me déshabille, je suis toute nue devant une autre femme. J’en suis déboussolée. Elle aussi est nue. Je vois enfin ses seins et son pubis qui est naturel au contraire du mien qui est rasé.
Elle me serre contre elle pour que nos seins soient en contact. C’est une autre sensation qu’un torse d’homme. Je sens ses pointes qui sont dures et l’élasticité de sa poitrine. C’est encore une découverte. Une découverte encore meilleure que d’autres. Malgré moi je caresse mes seins sur sa poitrine. Nos bouches sont encore unies, nos langues fouillent et nos mains caressent l’autre corps. J’ai mis mes mains sur ses fesses. Je prend l’initiative de passer un doigt dans la raie. Je le descend pour aller à mon tour lui caresser l’anus avant d’entrer dans son cul.
Elle se laisse faire et quand j’entre en elle, elle ferme les yeux pour profiter de mon doigt. Elle fait plus que profiter, elle en jouit. Je sens ses spasmes autour de mon doigt. Je l’y laisse jusqu’à ce qu’elle finisse son orgasme.
Pour la première fois j’ai fait jouir une autre femme. C’est facile et je lui donne ce qu’elle cherche d’une autre : le plaisir. Je voudrai, moi aussi la branler. Je passe ma main entre nous deux, je la pose entre ses jambes pour simplement trouver son bouton, elle écarte ses jambes pour me donner sa chatte. Je trouve de suite son bouton que je flatte un instant juste avant de la caresser comme si c’était le mien. Enfin j’appuie un peu plus, fait aller ma main plus vite, de plus en plus vite jusqu’au moment où enfin elle laisse paraitre son plaisir en jouissant longuement. Nos bouches sont à nouveau réunies.
Elle me demande si j’en veux encore, je suis encore un peu excitée mais je veux en garder pour la suite que je prévois assez mouvementée.
Elle me donne le programme pour la suite : un 69 suivi d’une séance de godemiché et enfin d’un autre 69.
Je suis partante pour la suite, je suis tellement satisfaite des plaisirs qu’elle m’a donné que je pense qu’un homme dans ma vie n’est pas pour demain.
La nuit est bien entamée, elle me propose de la finir avec elle pour que demain nous passions la journée à nous aimer. Demain c’est samedi, pourquoi pas…….

La suite dans peu de temps.