Sa première sodomie
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Sa première sodomie
Les deux couples amis prennent le soleil au bord de la plage. La plus âgée sent l'envie de caresser son homme : elle s'approche doucement, prend délicatement la bite qu'elle câline, sans la faire bander. Et lui, comme un pacha se laisse faire, envisage de rendre ce qu'on lui fait. Mais il a la flemme, alors ça attendra encore un peu.
Pour le couple voisin, les choses sont plus hot. Il se fait caresser avec la bouche. Sa bite est prisonnière volontaire de son amante qui le lèche sans cesse.
Il s'étend comme il convient pour être à l'aise. Pourtant cette amante ne se dérobe pas, elle ne laisse pas l'amant seul dans le plaisir : elle se masturbe aussi en passant une main avec insistance sur le clitoris.
Seule la première, qui suce son mec ne pense pas à se branler, par pudeur. Pourtant le goût, la forme dure dans sa bouche devrait l'exciter ; ce qui l'excite est de voir le second couple se lécher, ou se masturber.
Le second couple est bien pris dans les plaisirs, lui s'étend, sans le vouloir vers l'autre fille, sent sa chatte pleine de mouille. C'est presque involontairement qu'il pose se bouche sur le sexe tendu de l’autre.
Il est sucé d'un coté, il se propose de sucer de l'autre. Sa bouche se risque à aller à l'attaque d'un autre corps. C'est tentant de voir et sentir ce con de la voisine. Surtout qu'elle ne se retire pas. Pour lui c'est faire preuve d'acceptation.
Il tient entre ses mains la tête qui le lèche, il voudrais même qu'elle ne le branle pas encore, qu'elle pose sa langue sur l'anus : il ne connaît pas encore les effets parait-il extraordinaire d'une langue sur un cul.
La première fille continue de donner du plaisir sans en prendre. Le deuxième homme pense qu’être lécher c'est bon, et que lécher en plus est meilleur.
Il pose une main sur la cuisse, fait écarter les jambes pour avoir sa place. Sa langue arrive à toucher la cuisse, la lèche, arrive à venir tout près des parties sensibles que finalement elle lui cède.
Il sens sous son nez le velours des poils, la senteur de la femelle qui accepte la familiarité. Il s'approche encore pour plonger sa langue là où elle n'a normalement pas sa place.
Il est envahi par le goût, l'odeur, la douceur, le plaisir de lécher une chatte.
La langue s'élargit par miracle, elle prend un place remarquable quand sur le sexe. Il lèche dans la même cadence que la bouche qui le lèche lui. La cyprine arrive à grand flots, le noyant presque de goût, l’odeur de fille, du plaisir de l'avoir dans la bouche.
Car si les femmes aiment se faire sucer, le suceur lui a autant de plaisir qu'elles à avoir sa langue dans leurs intimités (preuve de leur abandon total).
Bien sur si la nana demande à prendre la bite dans sa bouche, le bonheur de deux est assuré.
Et quel plus bel exemple d'amour que de lécher et sucer le sexe de l'autre, en recueillir le suc ?
Pourquoi ne se contenter que d'un seul passage lors qu'il en existe d'autre : la bouche, l'autre coté aussi ?
Combien de femme j'ai sodomisé que de femme satisfaites d'avoir une bite bien dures dans le cul. Que de femmes satisfaites de sentir le jet de sperme dans leur boyaux !
Il me revient en tête ma première sodomie, avec une jeune femme curieuse des plaisirs autre qu'avec son sexe : elle désirait découvrir le plaisir anal, qu'elle trouverait un amant bien monté, en tout cas suffisamment pour lui limer l'anus, son rêve.
C'est ainsi qu'après une séance de cinéma particulièrement barbante, je lui prenait la main dans l'intention de flirter un long moment.
Elle était contre moi, elle sentait ma bite déployée. Je ne sais embrasser une fille sans bander, sans penser à une suite au lit ou ailleurs. Elle devait avoir les même envies que moi, en partie que moins.
Elle vivait seule dans un petit logement.
Elle me tournait le dos pendant qu'elle se mettait nue, par pudeur ?
Quand elle se retournait, je le voyais comme dame nature l'avait faite. C'était une femme, une vrai, il ne manquait rien, ses seins me narguaient ; son pubis se tendait. Elle avait autant envie que moi.
Je l'emprisonnais dans mes bras : elle se laissait faire,sachant que je ne la lâcherais sans doute pas. En plus elle frottait son bas ventre contre le mien pour me faire bander plus fort.
Mes mains étaient conquérantes sur ses fesses : elle se laissait caresser les globes, me laissait même visiter sa raie chaude.
D'elle même elle me défaisait le pantalon, se baissait même pour enlever le slip. Au passage, en se relevant juste un petit coup de langue sur le gland. Ce ne voulais sans doute rien dire, mais j'attendais une suite.
Revenue à mon niveau elle acceptait que ma main la masturbe. J'ai pris un plaisir fou à lui donner du plaisir en caressant son clitoris, souple au départ, plus dur à la fin. Notre couple démarrait bien par son orgasme qui s'il lui avait fait du bien me laissait dans le même était : je bandais et j'avais envie d'elle.
Je pouvais enfin la renverser sur le lit ; Elle s'y laissé tombée, le jambes ouvertes. Je voyais toute sa féminité devant moi. Je bandais toujours, je ne la baisais pas encore. C'est ma bouche qui s'est posée sur elle. Je respirais son odeur ambrée, je goûtais sa cyprine, ma langue commençait à lui lécher tout ce qui compte dans un sexe féminin. Elle me mettait en appétit.
C'est elle qui avait l'appétit de me bouffer le queue qu'elle voulait d'abord dans sa bouche pour avoir mon vrai goût pas encore pollué par son jus. J'étais résigné à jouir dans sa jolie bouche, entre ses lèvres pulpeuses.
Finalement elle me voulait bien dans son gîte tenu au secret. Elle me dirigeait elle même pour que je ne m'égare pas en route vers des lieux infâmes. Je prenais ma place harmonieusement en elle quand elle avait une autre envie.
Pour sa première fois elle vouait être sodomisée.
Elle me faisait don du pucelage de son anus. Pour tout faciliter, elle mouillait cet endroit trop sec par de la salive (qui permet d'entrer une bite où on veut.)J'allais moi aussi entrer dans un anus de fille volontaire. Pourtant elle restait sur le dos, simplement les jambes plus ouverte. Elle prenait ma pine à pleine main. Elle me guidait vers ma destination, ma nouvelle destinée. Je trouvais un endroit fermé, qui n'avait pas l'air de vouloir obéir. Et pourtant un court instant après ma bite trouvait une porte qui s'entrouvrait. Une porte qui permettait mon entrée un peu difficile, mais qui me permettait d'accomplir et son vœux et le mien.
Le gland passait d'abord un peu en force mais la suite allait en entier dans son cul. Je sentais mieux son corps, ma bite, ma gland. Mon orgasme était de qualité supérieur, le sien aussi ; La meilleur preuve est qu'elle jouissait autour de ma queue juste un poil avant moi. Je ne sais jusqu'où mon jet a été.
Je restais dans son cul, même en débandant. Je pensais à la libérer, quand elle faisait des mouvements avec ses muscles culiers pour que rebande. Là j'étais bien plus gros en elle. Elle se caressait la zigounette.
Je recommençais mes va et vient : elle se tend Elle me demande presque tous les jours de l'enculer, toujours après l'avoir baisée. Si je ne le fais pas je me sens fautif. Elle adore me sucer après que je sorte de son anus, elle aime ça, son goût du cul. Elle me fait jouir ainsi trois fois, c'est mieux que bonMaintenant j'entre presque comme dans son con, nous trouvons que c'est bien meilleurs.
Pour le couple voisin, les choses sont plus hot. Il se fait caresser avec la bouche. Sa bite est prisonnière volontaire de son amante qui le lèche sans cesse.
Il s'étend comme il convient pour être à l'aise. Pourtant cette amante ne se dérobe pas, elle ne laisse pas l'amant seul dans le plaisir : elle se masturbe aussi en passant une main avec insistance sur le clitoris.
Seule la première, qui suce son mec ne pense pas à se branler, par pudeur. Pourtant le goût, la forme dure dans sa bouche devrait l'exciter ; ce qui l'excite est de voir le second couple se lécher, ou se masturber.
Le second couple est bien pris dans les plaisirs, lui s'étend, sans le vouloir vers l'autre fille, sent sa chatte pleine de mouille. C'est presque involontairement qu'il pose se bouche sur le sexe tendu de l’autre.
Il est sucé d'un coté, il se propose de sucer de l'autre. Sa bouche se risque à aller à l'attaque d'un autre corps. C'est tentant de voir et sentir ce con de la voisine. Surtout qu'elle ne se retire pas. Pour lui c'est faire preuve d'acceptation.
Il tient entre ses mains la tête qui le lèche, il voudrais même qu'elle ne le branle pas encore, qu'elle pose sa langue sur l'anus : il ne connaît pas encore les effets parait-il extraordinaire d'une langue sur un cul.
La première fille continue de donner du plaisir sans en prendre. Le deuxième homme pense qu’être lécher c'est bon, et que lécher en plus est meilleur.
Il pose une main sur la cuisse, fait écarter les jambes pour avoir sa place. Sa langue arrive à toucher la cuisse, la lèche, arrive à venir tout près des parties sensibles que finalement elle lui cède.
Il sens sous son nez le velours des poils, la senteur de la femelle qui accepte la familiarité. Il s'approche encore pour plonger sa langue là où elle n'a normalement pas sa place.
Il est envahi par le goût, l'odeur, la douceur, le plaisir de lécher une chatte.
La langue s'élargit par miracle, elle prend un place remarquable quand sur le sexe. Il lèche dans la même cadence que la bouche qui le lèche lui. La cyprine arrive à grand flots, le noyant presque de goût, l’odeur de fille, du plaisir de l'avoir dans la bouche.
Car si les femmes aiment se faire sucer, le suceur lui a autant de plaisir qu'elles à avoir sa langue dans leurs intimités (preuve de leur abandon total).
Bien sur si la nana demande à prendre la bite dans sa bouche, le bonheur de deux est assuré.
Et quel plus bel exemple d'amour que de lécher et sucer le sexe de l'autre, en recueillir le suc ?
Pourquoi ne se contenter que d'un seul passage lors qu'il en existe d'autre : la bouche, l'autre coté aussi ?
Combien de femme j'ai sodomisé que de femme satisfaites d'avoir une bite bien dures dans le cul. Que de femmes satisfaites de sentir le jet de sperme dans leur boyaux !
Il me revient en tête ma première sodomie, avec une jeune femme curieuse des plaisirs autre qu'avec son sexe : elle désirait découvrir le plaisir anal, qu'elle trouverait un amant bien monté, en tout cas suffisamment pour lui limer l'anus, son rêve.
C'est ainsi qu'après une séance de cinéma particulièrement barbante, je lui prenait la main dans l'intention de flirter un long moment.
Elle était contre moi, elle sentait ma bite déployée. Je ne sais embrasser une fille sans bander, sans penser à une suite au lit ou ailleurs. Elle devait avoir les même envies que moi, en partie que moins.
Elle vivait seule dans un petit logement.
Elle me tournait le dos pendant qu'elle se mettait nue, par pudeur ?
Quand elle se retournait, je le voyais comme dame nature l'avait faite. C'était une femme, une vrai, il ne manquait rien, ses seins me narguaient ; son pubis se tendait. Elle avait autant envie que moi.
Je l'emprisonnais dans mes bras : elle se laissait faire,sachant que je ne la lâcherais sans doute pas. En plus elle frottait son bas ventre contre le mien pour me faire bander plus fort.
Mes mains étaient conquérantes sur ses fesses : elle se laissait caresser les globes, me laissait même visiter sa raie chaude.
D'elle même elle me défaisait le pantalon, se baissait même pour enlever le slip. Au passage, en se relevant juste un petit coup de langue sur le gland. Ce ne voulais sans doute rien dire, mais j'attendais une suite.
Revenue à mon niveau elle acceptait que ma main la masturbe. J'ai pris un plaisir fou à lui donner du plaisir en caressant son clitoris, souple au départ, plus dur à la fin. Notre couple démarrait bien par son orgasme qui s'il lui avait fait du bien me laissait dans le même était : je bandais et j'avais envie d'elle.
Je pouvais enfin la renverser sur le lit ; Elle s'y laissé tombée, le jambes ouvertes. Je voyais toute sa féminité devant moi. Je bandais toujours, je ne la baisais pas encore. C'est ma bouche qui s'est posée sur elle. Je respirais son odeur ambrée, je goûtais sa cyprine, ma langue commençait à lui lécher tout ce qui compte dans un sexe féminin. Elle me mettait en appétit.
C'est elle qui avait l'appétit de me bouffer le queue qu'elle voulait d'abord dans sa bouche pour avoir mon vrai goût pas encore pollué par son jus. J'étais résigné à jouir dans sa jolie bouche, entre ses lèvres pulpeuses.
Finalement elle me voulait bien dans son gîte tenu au secret. Elle me dirigeait elle même pour que je ne m'égare pas en route vers des lieux infâmes. Je prenais ma place harmonieusement en elle quand elle avait une autre envie.
Pour sa première fois elle vouait être sodomisée.
Elle me faisait don du pucelage de son anus. Pour tout faciliter, elle mouillait cet endroit trop sec par de la salive (qui permet d'entrer une bite où on veut.)J'allais moi aussi entrer dans un anus de fille volontaire. Pourtant elle restait sur le dos, simplement les jambes plus ouverte. Elle prenait ma pine à pleine main. Elle me guidait vers ma destination, ma nouvelle destinée. Je trouvais un endroit fermé, qui n'avait pas l'air de vouloir obéir. Et pourtant un court instant après ma bite trouvait une porte qui s'entrouvrait. Une porte qui permettait mon entrée un peu difficile, mais qui me permettait d'accomplir et son vœux et le mien.
Le gland passait d'abord un peu en force mais la suite allait en entier dans son cul. Je sentais mieux son corps, ma bite, ma gland. Mon orgasme était de qualité supérieur, le sien aussi ; La meilleur preuve est qu'elle jouissait autour de ma queue juste un poil avant moi. Je ne sais jusqu'où mon jet a été.
Je restais dans son cul, même en débandant. Je pensais à la libérer, quand elle faisait des mouvements avec ses muscles culiers pour que rebande. Là j'étais bien plus gros en elle. Elle se caressait la zigounette.
Je recommençais mes va et vient : elle se tend Elle me demande presque tous les jours de l'enculer, toujours après l'avoir baisée. Si je ne le fais pas je me sens fautif. Elle adore me sucer après que je sorte de son anus, elle aime ça, son goût du cul. Elle me fait jouir ainsi trois fois, c'est mieux que bonMaintenant j'entre presque comme dans son con, nous trouvons que c'est bien meilleurs.
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