salle de classe
Récit érotique écrit par Sita [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
salle de classe
Il neige ce matin là. Je décide donc de mettre un pantalon accompagné d’une chemise en soie rouge sous un léger pull. Je ne cherche pas spécialement à être séduisante, car j’ai un petit ami.
Je me rends à mon premier cours, qui dure et dure, mais j’aperçois dans la salle deux ou trois garçons qui me plaisent bien physiquement, je les observe donc à la dérobée. Cela me passe le temps.
Il y a tout d’abord Mark, il doit avoir à peu près mon âge, il est plutôt mignon et me fait craquer avec ses lunettes et sa manière de dire qu’il sait des choses, mais qu’il n’a pas envie de se prendre au sérieux.
Il y a ensuite Eric, il me fait penser à un don juan, son petit air timide est si craquant.
Puis Laurent, il semble si sage, et si sérieux, il me rappelle les personnages de film qui derrière leurs aspects sérieux sont des vraies bêtes de sexe.
Le cours se termine enfin, je vais manger avec des ami(e)s, puis ils vont prendre un café à la cafete, mais puisque j’ai du travail, je décide d’aller m’isolez dans une salle.
A 14h , j’en trouve une au 4ème et dernier étage du bâtiment de lettre, elle est petite, mais il est inscrit qu’il n’y aura pas cours durant tout l’après midi. Parfais pour que je puisse travailler sur mes maths. Le professeur du cours précédent en sort, il s’apprête à fermer la porte.
- Excusez-moi monsieur, serait-il possible que vous ne fermiez pas la porte, je voudrais y travailler.
- Bien sûr. Je vous laisse la clé, lorsque vous aurez terminez, laissez la clé au secrétariat se trouvant au rez-de-chaussée.
- D’accord, merci beaucoup.
Il laisse glisser son regard brillant sur mon corps, puis il part. Lorsque je pénètre dans la salle, les volets sont déjà baissés, mais ce n’est pas grave, j’allume juste l’éclairage d’une partie de la pièce, je place la clé sur la serrure pour penser à fermer la porte lorsque je m’en irai et je m’installe donc au fond de la salle. Le chauffage est parfait, je décide donc de retirer mon pull.
Je sort toutes mes affaires et commence donc à travailler. Une demi-heure passe, puis la poignée de la porte cliquette, signe que quelqu’un l’ouvre. Je lève les yeux et aperçois Mark qui entre, une tasse café à la main et son sac sur son épaule.
- Excuse-moi, tu es toute seule ?
- Oui. La salle est libre pour l’après midi et comme tu peux le constater, un professeur m’en a laissé la clé.
Je lui dis cela en désignant la clé sur la poignée de la porte. Son regard suit le mien et constate qu’en effet la clé se trouve sur la serrure.
- Ca te dérange si je travaille ici aussi ?
Son petit air canaillou me fait craquer.
- Non pas du tout, installe toi où tu veux, le principale étant que lorsque je m’en aille, tu quittes également la salle.
- Pas de problème, ajoute-t-il avec un clin d’œil. Puis il dépose son sac non loin de moi et s’approche, sa tasse toujours dans sa main. Que fais-tu ?
- Mes maths, je n’ai pas compris un exercice alors j’essaie de le revoir, pour ensuite faire les exercices pour mercredi.
Il se penche vers moi et ajoute :
- Tu veux un peu d’aide ?
- Et bien, si cela ne te dérange pas, je ne suis pas contre, répondis-je avec un grand sourire.
Il se penche un peu plus et m’explique deux ou trois choses, ce qui fit qu’en 10 minutes, l’exercice était pour moi limpide, ainsi que la leçon. Les autres ne devraient plus me prendre très longtemps. Je me retourne pour le remercier sûrement trop brusquement car il renverse sa tasse sur mon chemisier, fort heureusement le café n’est plus aussi chaud, mais cela me brûle tout de même un peu.
- Aie, je crie et me lève.
- Retire ton chemisier, il est trempé.
Je le regarde d’un air bizarre, ce qui le fait ajouter :
- Tu vas attraper froid et tu t’es peut-être brûlé.
Je m’exécute avec son aide pour défaire les boutons, je le dépose sur le radiateur qui est à côté du bureau, et me retrouve donc en soutien gorge. Ses yeux deviennent humides et brillants, il sort un mouchoir de son sac et se met à éponger ma poitrine délicatement, voir même sensuellement. Je me laisse faire, après tout, nous ne faisons rien de mal. Le mouchoir glisse de ses doigts, mais sa main continue à me caresser, elle est douce et chaude, je frissonne.
- Tu as froid ?
Sa question n’en est pas réellement une, car avant même d’avoir fini de la prononcer, il se penche sur moi et se met à embrasser et à lécher ma poitrine. Entre mes jambes, je commence à ressentir de la chaleur.
- Arrête, j’ai un petit ami, lui dis-je dans un souffle qui n’aurait convaincu personne, même la plus crédule des personnes existant sur terre.
- Laisse-toi faire, tu ne fais rien de mal.
Je me laisse convaincre. C’est si bon.
Sa main s’égare dans mon dos et dégrafe mon soutien gorge, je ne suis plus sûr d’être d’accord et il s’en rend compte :
- Laisse-toi faire, regarde cela te fait du bien. Ce ne sont que de petites caresses, elles ne signifient rien du tout.
Déjà il mort la pointe de l’un de mes seins et je gémis, une nouvelle fois je lui cède, la chaleur entre mes cuisses s’intensifie. Sa langue savoure ma poitrine comme s’il s’agissait d’un cône glacé en train de fondre. C’est un délice dans lequel je me laisse emporter.
L’une de ses mains descend jusqu’à mon pantalon, le déboutonne et en fait glisser la fermeture pendant que l’autre s’active à faire descendre le sien. Il a vite fait de se retrouver en slip. Je cherche à l’empêcher de faire glisser mon pantalon le long de mes jambes, mais il reprend ses caresses sur mes seins pour m’affaiblir, et je gémis encore. Je n’arrive plus à la repousser, je suis comme sans force.
Je ne porte à présent plus que mon string ficelle et lui est entièrement nu. Il se colle à moi tout en continuant ses caresses pour me montrer à quel point son sexe est dur et ferme.
- S’il te plaît, je l’implore, mais je gémis en même temps, mes paroles ont le double sens de mes pensées, j’ai envie qu’il me prenne là, maintenant, tout de suite et en même temps je sais que je ne devrais pas. Il rit, il a conscience de mon tourment.
- Tu es si belle, dit-il en me caressant, n’ai pas peur, je serai doux et tendre.
Sur ce, il défait les ficelles de mon string de sa main libre. Je suis nue, il porte sa main à mon sexe, je cherche à nouveau à l’en empêcher, il sent comme mon entrejambe est brûlant et rit à nouveau. Il répète à nouveau à mon oreille « Laisse-toi faire ». Je n’ai plus de volonté, mes dernières résistances commencent à céder. Il m’allonge sur le sol, puis il me pénètre d’un doigt, puis d’un deuxième et d’un troisième. Ils bougent en moi de plus en plus vite, je gémis plus fort, mes lèvres formes des ouis incontrôlés. Il s’arrête, « et maintenant ? » me demande-t-il. Je voudrais lui dire que l’on en arrête là, mais mon corps réclame son sexe en moi. « Viens en moi, je veux te sentir en moi ». Il rit, mais ne se le fait pas dire deux fois. Je sens alors son sexe dur pénétrer en moi, c’est un délice. Un gémissement s’échappe de ma bouche. Il commence à remuer en moi doucement. Son va et vient est une torture. Je lui crie alors « plus vite, va plus vite ». Il rit à nouveau, je sens son sexe durcir encore un peu d’excitation et son mouvement de rein s’accélérer.
- Espèce de petite salope, t’aime ça hein ? me demande-t-il.
- Oh oui, oui, continue.
C’est bon, je n’ai jamais ressentit cela, c’est une pure extase. Puis brusquement il ralentit.
- Qu’est-ce que tu fais ? je lui demande sur un ton attristé.
Il me soulève et me place debout, la poitrine plaquée sur le bureau.
- Je veux t’enculer salope. Je suis sûr que tu vas aimer ma salope.
Et au même instant je sens son sexe dur me pénétrer d’un coup sec l’anus. Je ressens une douleur, mais il recommence à me pénétrer rapidement, pendant qu’il me met deux doigts dans mon vagin. La douleur est vite oubliée face au plaisir intense que je ressens, je gémis de plaisir de plus en plus fort. Il en profite pour enfourner sa main entière dans mon vagin, je crie, de plaisir ou de douleur, je l’ignore. Tout ce que je ressens c’est cette extase. Il est en moi et c’est bon, putain que c’est bon. Sa main gigote dans mon vagin et il continue à m’enculer. Je jouie comme jamais auparavant je n’avais jouie. Quelques instants plus tard je sens son jet chaud envahir mes fesses. Il se retire, et m’allonge sur le sol et continue à jouer avec mon vagin. Il me monte en 69 et me plante son pénis dans la bouche.
- Suce salope.
Je m’exécute. Il se met à gémir de plaisir et s’excite de plus en plus avec mon vagin. Je tremble de plaisir. Il éjacule une nouvelle fois dans ma bouche. Ses petites affaires faites, il se lève, s’habille et s’en va.
Depuis, toutes les semaines, la salle devient notre lieu de rencontres favoris.
Je me rends à mon premier cours, qui dure et dure, mais j’aperçois dans la salle deux ou trois garçons qui me plaisent bien physiquement, je les observe donc à la dérobée. Cela me passe le temps.
Il y a tout d’abord Mark, il doit avoir à peu près mon âge, il est plutôt mignon et me fait craquer avec ses lunettes et sa manière de dire qu’il sait des choses, mais qu’il n’a pas envie de se prendre au sérieux.
Il y a ensuite Eric, il me fait penser à un don juan, son petit air timide est si craquant.
Puis Laurent, il semble si sage, et si sérieux, il me rappelle les personnages de film qui derrière leurs aspects sérieux sont des vraies bêtes de sexe.
Le cours se termine enfin, je vais manger avec des ami(e)s, puis ils vont prendre un café à la cafete, mais puisque j’ai du travail, je décide d’aller m’isolez dans une salle.
A 14h , j’en trouve une au 4ème et dernier étage du bâtiment de lettre, elle est petite, mais il est inscrit qu’il n’y aura pas cours durant tout l’après midi. Parfais pour que je puisse travailler sur mes maths. Le professeur du cours précédent en sort, il s’apprête à fermer la porte.
- Excusez-moi monsieur, serait-il possible que vous ne fermiez pas la porte, je voudrais y travailler.
- Bien sûr. Je vous laisse la clé, lorsque vous aurez terminez, laissez la clé au secrétariat se trouvant au rez-de-chaussée.
- D’accord, merci beaucoup.
Il laisse glisser son regard brillant sur mon corps, puis il part. Lorsque je pénètre dans la salle, les volets sont déjà baissés, mais ce n’est pas grave, j’allume juste l’éclairage d’une partie de la pièce, je place la clé sur la serrure pour penser à fermer la porte lorsque je m’en irai et je m’installe donc au fond de la salle. Le chauffage est parfait, je décide donc de retirer mon pull.
Je sort toutes mes affaires et commence donc à travailler. Une demi-heure passe, puis la poignée de la porte cliquette, signe que quelqu’un l’ouvre. Je lève les yeux et aperçois Mark qui entre, une tasse café à la main et son sac sur son épaule.
- Excuse-moi, tu es toute seule ?
- Oui. La salle est libre pour l’après midi et comme tu peux le constater, un professeur m’en a laissé la clé.
Je lui dis cela en désignant la clé sur la poignée de la porte. Son regard suit le mien et constate qu’en effet la clé se trouve sur la serrure.
- Ca te dérange si je travaille ici aussi ?
Son petit air canaillou me fait craquer.
- Non pas du tout, installe toi où tu veux, le principale étant que lorsque je m’en aille, tu quittes également la salle.
- Pas de problème, ajoute-t-il avec un clin d’œil. Puis il dépose son sac non loin de moi et s’approche, sa tasse toujours dans sa main. Que fais-tu ?
- Mes maths, je n’ai pas compris un exercice alors j’essaie de le revoir, pour ensuite faire les exercices pour mercredi.
Il se penche vers moi et ajoute :
- Tu veux un peu d’aide ?
- Et bien, si cela ne te dérange pas, je ne suis pas contre, répondis-je avec un grand sourire.
Il se penche un peu plus et m’explique deux ou trois choses, ce qui fit qu’en 10 minutes, l’exercice était pour moi limpide, ainsi que la leçon. Les autres ne devraient plus me prendre très longtemps. Je me retourne pour le remercier sûrement trop brusquement car il renverse sa tasse sur mon chemisier, fort heureusement le café n’est plus aussi chaud, mais cela me brûle tout de même un peu.
- Aie, je crie et me lève.
- Retire ton chemisier, il est trempé.
Je le regarde d’un air bizarre, ce qui le fait ajouter :
- Tu vas attraper froid et tu t’es peut-être brûlé.
Je m’exécute avec son aide pour défaire les boutons, je le dépose sur le radiateur qui est à côté du bureau, et me retrouve donc en soutien gorge. Ses yeux deviennent humides et brillants, il sort un mouchoir de son sac et se met à éponger ma poitrine délicatement, voir même sensuellement. Je me laisse faire, après tout, nous ne faisons rien de mal. Le mouchoir glisse de ses doigts, mais sa main continue à me caresser, elle est douce et chaude, je frissonne.
- Tu as froid ?
Sa question n’en est pas réellement une, car avant même d’avoir fini de la prononcer, il se penche sur moi et se met à embrasser et à lécher ma poitrine. Entre mes jambes, je commence à ressentir de la chaleur.
- Arrête, j’ai un petit ami, lui dis-je dans un souffle qui n’aurait convaincu personne, même la plus crédule des personnes existant sur terre.
- Laisse-toi faire, tu ne fais rien de mal.
Je me laisse convaincre. C’est si bon.
Sa main s’égare dans mon dos et dégrafe mon soutien gorge, je ne suis plus sûr d’être d’accord et il s’en rend compte :
- Laisse-toi faire, regarde cela te fait du bien. Ce ne sont que de petites caresses, elles ne signifient rien du tout.
Déjà il mort la pointe de l’un de mes seins et je gémis, une nouvelle fois je lui cède, la chaleur entre mes cuisses s’intensifie. Sa langue savoure ma poitrine comme s’il s’agissait d’un cône glacé en train de fondre. C’est un délice dans lequel je me laisse emporter.
L’une de ses mains descend jusqu’à mon pantalon, le déboutonne et en fait glisser la fermeture pendant que l’autre s’active à faire descendre le sien. Il a vite fait de se retrouver en slip. Je cherche à l’empêcher de faire glisser mon pantalon le long de mes jambes, mais il reprend ses caresses sur mes seins pour m’affaiblir, et je gémis encore. Je n’arrive plus à la repousser, je suis comme sans force.
Je ne porte à présent plus que mon string ficelle et lui est entièrement nu. Il se colle à moi tout en continuant ses caresses pour me montrer à quel point son sexe est dur et ferme.
- S’il te plaît, je l’implore, mais je gémis en même temps, mes paroles ont le double sens de mes pensées, j’ai envie qu’il me prenne là, maintenant, tout de suite et en même temps je sais que je ne devrais pas. Il rit, il a conscience de mon tourment.
- Tu es si belle, dit-il en me caressant, n’ai pas peur, je serai doux et tendre.
Sur ce, il défait les ficelles de mon string de sa main libre. Je suis nue, il porte sa main à mon sexe, je cherche à nouveau à l’en empêcher, il sent comme mon entrejambe est brûlant et rit à nouveau. Il répète à nouveau à mon oreille « Laisse-toi faire ». Je n’ai plus de volonté, mes dernières résistances commencent à céder. Il m’allonge sur le sol, puis il me pénètre d’un doigt, puis d’un deuxième et d’un troisième. Ils bougent en moi de plus en plus vite, je gémis plus fort, mes lèvres formes des ouis incontrôlés. Il s’arrête, « et maintenant ? » me demande-t-il. Je voudrais lui dire que l’on en arrête là, mais mon corps réclame son sexe en moi. « Viens en moi, je veux te sentir en moi ». Il rit, mais ne se le fait pas dire deux fois. Je sens alors son sexe dur pénétrer en moi, c’est un délice. Un gémissement s’échappe de ma bouche. Il commence à remuer en moi doucement. Son va et vient est une torture. Je lui crie alors « plus vite, va plus vite ». Il rit à nouveau, je sens son sexe durcir encore un peu d’excitation et son mouvement de rein s’accélérer.
- Espèce de petite salope, t’aime ça hein ? me demande-t-il.
- Oh oui, oui, continue.
C’est bon, je n’ai jamais ressentit cela, c’est une pure extase. Puis brusquement il ralentit.
- Qu’est-ce que tu fais ? je lui demande sur un ton attristé.
Il me soulève et me place debout, la poitrine plaquée sur le bureau.
- Je veux t’enculer salope. Je suis sûr que tu vas aimer ma salope.
Et au même instant je sens son sexe dur me pénétrer d’un coup sec l’anus. Je ressens une douleur, mais il recommence à me pénétrer rapidement, pendant qu’il me met deux doigts dans mon vagin. La douleur est vite oubliée face au plaisir intense que je ressens, je gémis de plaisir de plus en plus fort. Il en profite pour enfourner sa main entière dans mon vagin, je crie, de plaisir ou de douleur, je l’ignore. Tout ce que je ressens c’est cette extase. Il est en moi et c’est bon, putain que c’est bon. Sa main gigote dans mon vagin et il continue à m’enculer. Je jouie comme jamais auparavant je n’avais jouie. Quelques instants plus tard je sens son jet chaud envahir mes fesses. Il se retire, et m’allonge sur le sol et continue à jouer avec mon vagin. Il me monte en 69 et me plante son pénis dans la bouche.
- Suce salope.
Je m’exécute. Il se met à gémir de plaisir et s’excite de plus en plus avec mon vagin. Je tremble de plaisir. Il éjacule une nouvelle fois dans ma bouche. Ses petites affaires faites, il se lève, s’habille et s’en va.
Depuis, toutes les semaines, la salle devient notre lieu de rencontres favoris.
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