Salope a biker
Récit érotique écrit par Lyliane [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Salope a biker
Depuis quelque temps, je discute avec un homme qui fait partie d'un club de moto. Il est sympa et j'adore son look. Quelques semaines plus tard, il veut me présenter aux membres de son club.
Je suis toute excitée, il me tarde de les rencontrer.
Nous sommes vendredi en fin d'après-midi, je fais la connaissance des membres de son club, je suis surprise, il n’y a que des harley davidson.
Quelques jours plus tard, suite à l'invitation d'un club voisin, j'accepte de les suivre. Nous prenons la route à plusieurs motos.
Une fois arrivé sur place, je remarque que l’endroit est bondé. Je ne vois que des hommes agglutinés le long du bar, une bière à la main. Nous passons de l'un à l'autre, mon copain me présente joyeusement.
Il semble que tout le monde attend un show, une fille doit faire un strip-tease ce soir.
Étant la seule femme présente, je me sens un peu gênée.
Je suis brune, les cheveux très longs, musclée par une fréquentation assidue de certains sports.
Ma poitrine est surprenante de tonicité, elle tend avec arrogance mon débardeur qui dévoile avec impudeur les pointes de mes tétons à travers le tissu.
Le temps passe rapidement d'une bière à l'autre.
L’alcool commence à me chauffer. Au bord de l'estrade aménagée pour le show je remarque que la discussion est animée. J'apprends en même temps que tout le monde, que la fille qui devait se produire devant nous ce soir ne viendra pas. J'aperçois plusieurs regards et gestes dans ma direction.
Mon copain vient me voir pour me demander si je ne peux pas la remplacer. Les organisateurs sont bien embêtés.
Je donne immédiatement mon accord. Je pense que les bières ne sont pas étrangères à ma décision.
Mon copain m'embrasse fougueusement en me disant que si je ne le sens pas il sera toujours temps de tout arrêter.
— N'importe quoi! Je peux le faire. Pour une fois que je vais pouvoir m'amuser, je ne vais pas m'en priver.
Je me sens toute excitée. Mes tétons ont durci. Mon copain ne peut s'empêcher de les pincer méchamment, il sait que j'adore ça. Mes yeux se ferment, je suis tellement réceptive...
La musique change, je lui fais un petit bisou et m'avance vers l’estrade sommairement aménagée. Tous les regards sont maintenant verrouillés sur moi. Je commence à danser lascivement, mon corps ondule en suivant le rythme de la musique.
Je regrette à ce moment-là de ne pas avoir mis de mini-jupe. Avec le jeans, c'est moins facile de s'effeuiller. D'une main, je défais tout doucement les deux boutons pendant que ma main droite passe doucement sur ma poitrine, ce qui décuple la sensualité de ma danse.
Petit à petit mon débardeur remonte jusqu'à la lisière de mes seins. Je l'enlève tout en cachant ma poitrine d'une main. Je lance mon haut dans le groupe d'hommes entassé en bordure de la scène, mon jean commence à descendre lentement sous les sifflets joyeux des spectateurs.
C'est pas facile d'enlever gracieusement un jean moulant et humide, vu que je ne porte pas de sous-vêtements…
Quelques minutes plus tard, je danse nue devant ces hommes. L'ambiance est brûlante, je suis tellement excitée que ma mouille coule le long de mes cuisses. Les cris des hommes, l'ambiance est surchauffée. Pour une première fois, c'est une réussite. Je rejoins mon copain qui commande deux bières pour fêter ça. Il réalise alors... Je suis encore nue!
— Qu'est-ce que tu fous à poil?
— J’ai envoyé mes vêtements dans un groupe et ils ont disparu. Je ne m’inquiète pas, ils vont revenir.
— Perso, ça m'est égal. C'est pour toi.
— Je m'en fous. De toute manière, ils ont vu plus que ça!
Quelques verres plus tard, je commence à ne plus avoir soif, je danse lascivement devant lui. Un homme m'entraîne sur un semblant de piste de danse. Je me laisse peloter avec plaisir, à genoux je commence à le sucer, rapidement il gicle sur ma figure, ça coule sur mes seins. De retour auprès de mon copain, je lui demande :
— Dis-moi, je vais où pour me laver?
— Je suis peut-être dégueulasse, mais que dalle, tu restes comme ça. Tu fais la salope, t'assumes!
— Tu plaisantes? Regarde-moi, je suis toute collante...
C'est vrai que je suis minable. Des filets de sperme zèbrent mon visage ainsi que le haut de mon corps, je crois que ça l'excite énormément. Je caresse son sexe dans son pantalon. Il bande comme jamais...
— Dis-moi, tu as l'air d'être bien à l'étroit là-dedans...
Je commence à défaire son pantalon. Puis je m'accroupis devant lui et commence à engloutir son sexe. La chaleur de ma salive et quelques va-et-vient rapides ont vite fait de vaincre sa résistance. Je ne le lâche pas du regard. Je sens sa sève monter, il ne peut plus rien faire et il se laisse aller. Il me semble que ça ne s'arrêtera jamais. Je m'accroche à sa bite pendant qu'il se déverse longuement dans ma gorge. J'avale tout sans souci, c'est vraiment trop bon!
Pendant toute la fin de la soirée, je me prête au jeu. Je suce de nombreux hommes.
Au petit matin nous décidons de rentrer.
Disons que c'est lui qui veut rentrer. Heureusement que j'ai mon blouson, il n'y a plus trace de mon débardeur ni de mon jean. C'est cul nu que je rentre derrière lui sur sa bécane.
Quelques heures plus tard, le téléphone sonne. C'est le président du club qui m'appelle pour me remercier de ma prestation lors de la soirée. Il regrette seulement notre départ un peu précipité à son goût. Il me demande si Je serais open pour recommencer ce genre de soirée dans l'avenir, ils aimeraient beaucoup avoir une femme coquine à disposition. Je lui réponds que j'ai beaucoup apprécié la soirée, je suis d’accord pour recommencer ; ça fait partie de mes fantasmes depuis longtemps.
— Par contre il y a quand même quelques obligations.
— Et quoi donc, dites-moi?
— Les pantalons sont interdits. Tu mets uniquement des mini-jupes avec des hauts très échancrés et des cuissardes. Lors des soirées si l’on te le demande, tu devras te mettre à la disposition des membres du club.
Lors des sorties extérieures, tu t'exhiberas à la demande.
Pour faire simple, tu seras notre salope.
— Je n'ai pas besoin de réfléchir : ça correspond totalement à ce que je souhaite!
À partir de ce jour, je joue le jeu. Quelques mois plus tard, les habitudes étant prises, je suis devenue depuis cette fameuse soirée la salope officielle.Tout le monde sait que quand je me déplace, chacun passera une bonne soirée.
A cette période là, nous sommes invités en plein été a un Bike show. Les membres du club décident d'y passer deux jours. Les gars sont chauds, et tout le monde veut s'amuser : c'est l'occasion de m'exhiber comme jamais. Un bricoleur a fixé sur la selle, à l'arrière de la bécane, un gode de belle taille qui doit servir pour me balader. Tout est étudié pour m'exhiber comme une chienne en chaleur.
Nous somme samedi. Il est 11h30 quand nous arrivons au local. De nombreux membres du groupe sont déjà là. Nous arrivons pile pour l'apéro. Je me suis faite belle : cuissardes et micro-jupe, mon haut à pressions est tellement ouvert qu'il ne cache pas grand-chose de ma poitrine.
Au moment de partir, ils décident que je serais au milieu du groupe pour plus de discrétion. On vient d'installer le gode sur la selle, ils viennent me chercher.
Personne n'aurait voulu manquer pour rien au monde le moment où je découvre mon jouet.
Je suis toute émoustillée à la vue de l'engin.
Au moment de prendre place, je me rends compte qu'avec cette jupe, impossible d'enjamber la selle. Alors, on m'aide pour l'enlever.
Les trois malheureuses pressions ne résistent pas longtemps, c'est les seins et le cul à l'air que je m'empale sur le monstre devant les mecs pliés de rire.
Je me rappellerai toute ma vie de ce moment et de cette sensation fantastique.
Nous prenons la route tranquillement, il nous reste environ une heure de route. Le délice du vent chaud sur mon corps nu, entourée par toutes ces motos avec le bonheur de me sentir remplie par ce sexe surdimensionné font que je me sens couler. Je ne peux pas m'empêcher de rouler des hanches et de me relever pour mieux m'empaler, c'est vraiment incroyable.
Je suis toute absorbée par ces sensations quand je ressens une puissante vibration à l'intérieur de mon utérus. Je crie de surprise, submergée par le plaisir, je m'empale à toute vitesse à la recherche de cette jouissance, de cette vague que je sens monter en moi et qui éclate tout à coup. Je hurle de plaisir sous les klaxons de tous ces coquins qui n'en perdent pas une miette.
Je me sens vidée, j'ai tellement joui... Par deux fois, ils me torturent de la sorte pendant le trajet. À mi-parcours nous nous arrêtons sur un parking un peu en retrait de la route, ces messieurs ont une envie pressente d'uriner. Quant à moi, je suis tellement excitée que je me fais prendre à la sauvage par plusieurs membres du groupe. J'en ressors ivre de plaisir.
Nous arrivons sur le lieu du rassemblement. Il y a énormément de monde. En traversant la ville à petite vitesse, je suis loin de passer inaperçue : les sifflets des hommes n'arrêtent pas de retentir.
Une fois descendue de la moto, je ressens un grand vide en moi l'espace d'un moment, mon sexe s'est tellement habitué à ce compagnon de plaisir.
Je remets ma micro-jupe pour déambuler le long des stands, je n'arrête pas de faire des smacks à toutes les personnes que nous connaissons. Certains en profitent pour me pincer les tétons ou poser leurs mains sur mon cul. J'adore ça.
La fin de l'après-midi s'écoule tranquillement avec un tour sur le terrain où nous montons les tentes. Bientôt tout est fin prêt pour profiter de la soirée. Pour ma part, je suis encore sous les effets de mes jouissances de l'après-midi. Je transpire le sexe. Avec les membres du club nous sommes accoudés à la buvette depuis un bon moment, en attendant le show qui ne va pas tarder.
Quelques minutes plus tard la musique commence. Je suis très occupée au bar en discutant avec des jeunes que je vois se contorsionner pour essayer de mater mes seins. Mon copain ne peut pas s'empêcher de s'approcher d'eux pour leur dire :
— Regardez les jeunes comment il faut faire...
Il attrape les deux côtés de mon haut et tire d'un coup. Les pauvres boutons restants sautent immédiatement, je me retrouve les seins à l'air.
— Pour le reste, vous êtes assez grands!
L'apéro est très agréable en cette fin de journée relativement chaude. Je me fais peloter par les deux garçons. Étant à l'extrémité du bar, je suis suffisamment abritée des regards alors je m'agenouille pour les sucer sans m'occuper des autres personnes présentes.
La soirée s'écoule tranquillement. Les copains s'amusent, en faisant des paris, invariablement je perds ou fait semblant de perdre. Je me retrouve rapidement nue en fond de buvette. Le verre suivant déclenche un dernier gage. Comme il y a trop de monde à proximité, je m'éclipse entre deux camions où je me fais prendre sans vergogne par plusieurs hommes.
C'est la fin de la soirée. Les bruits des moteurs s'éloignent petit à petit. Nous nous décidons à suivre le mouvement. Je suis toujours nue, mon copain me demande de monter derrière lui.
Je me blottis contre lui en frissonnant : la température est en chute libre cette nuit.
Ce soir, c'est le grand soir. Les membres du club ont monté une tente rien que pour moi. L'extérieur a été personnalisé à la bombe : sur les deux faces est taguée « SALOPE ». Plusieurs hommes attendent en discutant.
Le fait de me voir arriver nue les enflamme, je disparais rapidement avec eux sous la tente.
Pendant une bonne partie de la nuit, je vais jouir à plusieurs reprises.
Au petit matin je retrouve mon copain, je me colle à lui. Je sens le sperme, ce qui le fait bander immédiatement. Il me prend de toutes ses forces, m'arrachant de superbes gémissements.
Complètement épuisée,je me blottis de nouveau contre lui, nous nous endormons comme des enfants.
Je me réveille tard. Je m'étire en repensant à la nuit passée. Elle me paraît un peu surréaliste, mais elle était bien réelle.
En fin de matinée, Je daigne enfin sortir de la tente, complètement crevée, de grandes cernes attestent ma nuit de débauche, des traces de sperme couvrent mon corps. Je n'ai pas grand-chose à me mettre.
Mon haut est déchiré depuis hier soir, il ne ferme plus. Je suis obligée de faire un nœud, ce qui me permet d'être un peu plus présentable. Le retour se passe tranquillement, tout le monde est crevé.
Avec mon copain, nous quittons les autres aussitôt arrivés au local, sans avoir oublié auparavant de promettre de recommencer ce genre d'escapade.
Je suis toute excitée, il me tarde de les rencontrer.
Nous sommes vendredi en fin d'après-midi, je fais la connaissance des membres de son club, je suis surprise, il n’y a que des harley davidson.
Quelques jours plus tard, suite à l'invitation d'un club voisin, j'accepte de les suivre. Nous prenons la route à plusieurs motos.
Une fois arrivé sur place, je remarque que l’endroit est bondé. Je ne vois que des hommes agglutinés le long du bar, une bière à la main. Nous passons de l'un à l'autre, mon copain me présente joyeusement.
Il semble que tout le monde attend un show, une fille doit faire un strip-tease ce soir.
Étant la seule femme présente, je me sens un peu gênée.
Je suis brune, les cheveux très longs, musclée par une fréquentation assidue de certains sports.
Ma poitrine est surprenante de tonicité, elle tend avec arrogance mon débardeur qui dévoile avec impudeur les pointes de mes tétons à travers le tissu.
Le temps passe rapidement d'une bière à l'autre.
L’alcool commence à me chauffer. Au bord de l'estrade aménagée pour le show je remarque que la discussion est animée. J'apprends en même temps que tout le monde, que la fille qui devait se produire devant nous ce soir ne viendra pas. J'aperçois plusieurs regards et gestes dans ma direction.
Mon copain vient me voir pour me demander si je ne peux pas la remplacer. Les organisateurs sont bien embêtés.
Je donne immédiatement mon accord. Je pense que les bières ne sont pas étrangères à ma décision.
Mon copain m'embrasse fougueusement en me disant que si je ne le sens pas il sera toujours temps de tout arrêter.
— N'importe quoi! Je peux le faire. Pour une fois que je vais pouvoir m'amuser, je ne vais pas m'en priver.
Je me sens toute excitée. Mes tétons ont durci. Mon copain ne peut s'empêcher de les pincer méchamment, il sait que j'adore ça. Mes yeux se ferment, je suis tellement réceptive...
La musique change, je lui fais un petit bisou et m'avance vers l’estrade sommairement aménagée. Tous les regards sont maintenant verrouillés sur moi. Je commence à danser lascivement, mon corps ondule en suivant le rythme de la musique.
Je regrette à ce moment-là de ne pas avoir mis de mini-jupe. Avec le jeans, c'est moins facile de s'effeuiller. D'une main, je défais tout doucement les deux boutons pendant que ma main droite passe doucement sur ma poitrine, ce qui décuple la sensualité de ma danse.
Petit à petit mon débardeur remonte jusqu'à la lisière de mes seins. Je l'enlève tout en cachant ma poitrine d'une main. Je lance mon haut dans le groupe d'hommes entassé en bordure de la scène, mon jean commence à descendre lentement sous les sifflets joyeux des spectateurs.
C'est pas facile d'enlever gracieusement un jean moulant et humide, vu que je ne porte pas de sous-vêtements…
Quelques minutes plus tard, je danse nue devant ces hommes. L'ambiance est brûlante, je suis tellement excitée que ma mouille coule le long de mes cuisses. Les cris des hommes, l'ambiance est surchauffée. Pour une première fois, c'est une réussite. Je rejoins mon copain qui commande deux bières pour fêter ça. Il réalise alors... Je suis encore nue!
— Qu'est-ce que tu fous à poil?
— J’ai envoyé mes vêtements dans un groupe et ils ont disparu. Je ne m’inquiète pas, ils vont revenir.
— Perso, ça m'est égal. C'est pour toi.
— Je m'en fous. De toute manière, ils ont vu plus que ça!
Quelques verres plus tard, je commence à ne plus avoir soif, je danse lascivement devant lui. Un homme m'entraîne sur un semblant de piste de danse. Je me laisse peloter avec plaisir, à genoux je commence à le sucer, rapidement il gicle sur ma figure, ça coule sur mes seins. De retour auprès de mon copain, je lui demande :
— Dis-moi, je vais où pour me laver?
— Je suis peut-être dégueulasse, mais que dalle, tu restes comme ça. Tu fais la salope, t'assumes!
— Tu plaisantes? Regarde-moi, je suis toute collante...
C'est vrai que je suis minable. Des filets de sperme zèbrent mon visage ainsi que le haut de mon corps, je crois que ça l'excite énormément. Je caresse son sexe dans son pantalon. Il bande comme jamais...
— Dis-moi, tu as l'air d'être bien à l'étroit là-dedans...
Je commence à défaire son pantalon. Puis je m'accroupis devant lui et commence à engloutir son sexe. La chaleur de ma salive et quelques va-et-vient rapides ont vite fait de vaincre sa résistance. Je ne le lâche pas du regard. Je sens sa sève monter, il ne peut plus rien faire et il se laisse aller. Il me semble que ça ne s'arrêtera jamais. Je m'accroche à sa bite pendant qu'il se déverse longuement dans ma gorge. J'avale tout sans souci, c'est vraiment trop bon!
Pendant toute la fin de la soirée, je me prête au jeu. Je suce de nombreux hommes.
Au petit matin nous décidons de rentrer.
Disons que c'est lui qui veut rentrer. Heureusement que j'ai mon blouson, il n'y a plus trace de mon débardeur ni de mon jean. C'est cul nu que je rentre derrière lui sur sa bécane.
Quelques heures plus tard, le téléphone sonne. C'est le président du club qui m'appelle pour me remercier de ma prestation lors de la soirée. Il regrette seulement notre départ un peu précipité à son goût. Il me demande si Je serais open pour recommencer ce genre de soirée dans l'avenir, ils aimeraient beaucoup avoir une femme coquine à disposition. Je lui réponds que j'ai beaucoup apprécié la soirée, je suis d’accord pour recommencer ; ça fait partie de mes fantasmes depuis longtemps.
— Par contre il y a quand même quelques obligations.
— Et quoi donc, dites-moi?
— Les pantalons sont interdits. Tu mets uniquement des mini-jupes avec des hauts très échancrés et des cuissardes. Lors des soirées si l’on te le demande, tu devras te mettre à la disposition des membres du club.
Lors des sorties extérieures, tu t'exhiberas à la demande.
Pour faire simple, tu seras notre salope.
— Je n'ai pas besoin de réfléchir : ça correspond totalement à ce que je souhaite!
À partir de ce jour, je joue le jeu. Quelques mois plus tard, les habitudes étant prises, je suis devenue depuis cette fameuse soirée la salope officielle.Tout le monde sait que quand je me déplace, chacun passera une bonne soirée.
A cette période là, nous sommes invités en plein été a un Bike show. Les membres du club décident d'y passer deux jours. Les gars sont chauds, et tout le monde veut s'amuser : c'est l'occasion de m'exhiber comme jamais. Un bricoleur a fixé sur la selle, à l'arrière de la bécane, un gode de belle taille qui doit servir pour me balader. Tout est étudié pour m'exhiber comme une chienne en chaleur.
Nous somme samedi. Il est 11h30 quand nous arrivons au local. De nombreux membres du groupe sont déjà là. Nous arrivons pile pour l'apéro. Je me suis faite belle : cuissardes et micro-jupe, mon haut à pressions est tellement ouvert qu'il ne cache pas grand-chose de ma poitrine.
Au moment de partir, ils décident que je serais au milieu du groupe pour plus de discrétion. On vient d'installer le gode sur la selle, ils viennent me chercher.
Personne n'aurait voulu manquer pour rien au monde le moment où je découvre mon jouet.
Je suis toute émoustillée à la vue de l'engin.
Au moment de prendre place, je me rends compte qu'avec cette jupe, impossible d'enjamber la selle. Alors, on m'aide pour l'enlever.
Les trois malheureuses pressions ne résistent pas longtemps, c'est les seins et le cul à l'air que je m'empale sur le monstre devant les mecs pliés de rire.
Je me rappellerai toute ma vie de ce moment et de cette sensation fantastique.
Nous prenons la route tranquillement, il nous reste environ une heure de route. Le délice du vent chaud sur mon corps nu, entourée par toutes ces motos avec le bonheur de me sentir remplie par ce sexe surdimensionné font que je me sens couler. Je ne peux pas m'empêcher de rouler des hanches et de me relever pour mieux m'empaler, c'est vraiment incroyable.
Je suis toute absorbée par ces sensations quand je ressens une puissante vibration à l'intérieur de mon utérus. Je crie de surprise, submergée par le plaisir, je m'empale à toute vitesse à la recherche de cette jouissance, de cette vague que je sens monter en moi et qui éclate tout à coup. Je hurle de plaisir sous les klaxons de tous ces coquins qui n'en perdent pas une miette.
Je me sens vidée, j'ai tellement joui... Par deux fois, ils me torturent de la sorte pendant le trajet. À mi-parcours nous nous arrêtons sur un parking un peu en retrait de la route, ces messieurs ont une envie pressente d'uriner. Quant à moi, je suis tellement excitée que je me fais prendre à la sauvage par plusieurs membres du groupe. J'en ressors ivre de plaisir.
Nous arrivons sur le lieu du rassemblement. Il y a énormément de monde. En traversant la ville à petite vitesse, je suis loin de passer inaperçue : les sifflets des hommes n'arrêtent pas de retentir.
Une fois descendue de la moto, je ressens un grand vide en moi l'espace d'un moment, mon sexe s'est tellement habitué à ce compagnon de plaisir.
Je remets ma micro-jupe pour déambuler le long des stands, je n'arrête pas de faire des smacks à toutes les personnes que nous connaissons. Certains en profitent pour me pincer les tétons ou poser leurs mains sur mon cul. J'adore ça.
La fin de l'après-midi s'écoule tranquillement avec un tour sur le terrain où nous montons les tentes. Bientôt tout est fin prêt pour profiter de la soirée. Pour ma part, je suis encore sous les effets de mes jouissances de l'après-midi. Je transpire le sexe. Avec les membres du club nous sommes accoudés à la buvette depuis un bon moment, en attendant le show qui ne va pas tarder.
Quelques minutes plus tard la musique commence. Je suis très occupée au bar en discutant avec des jeunes que je vois se contorsionner pour essayer de mater mes seins. Mon copain ne peut pas s'empêcher de s'approcher d'eux pour leur dire :
— Regardez les jeunes comment il faut faire...
Il attrape les deux côtés de mon haut et tire d'un coup. Les pauvres boutons restants sautent immédiatement, je me retrouve les seins à l'air.
— Pour le reste, vous êtes assez grands!
L'apéro est très agréable en cette fin de journée relativement chaude. Je me fais peloter par les deux garçons. Étant à l'extrémité du bar, je suis suffisamment abritée des regards alors je m'agenouille pour les sucer sans m'occuper des autres personnes présentes.
La soirée s'écoule tranquillement. Les copains s'amusent, en faisant des paris, invariablement je perds ou fait semblant de perdre. Je me retrouve rapidement nue en fond de buvette. Le verre suivant déclenche un dernier gage. Comme il y a trop de monde à proximité, je m'éclipse entre deux camions où je me fais prendre sans vergogne par plusieurs hommes.
C'est la fin de la soirée. Les bruits des moteurs s'éloignent petit à petit. Nous nous décidons à suivre le mouvement. Je suis toujours nue, mon copain me demande de monter derrière lui.
Je me blottis contre lui en frissonnant : la température est en chute libre cette nuit.
Ce soir, c'est le grand soir. Les membres du club ont monté une tente rien que pour moi. L'extérieur a été personnalisé à la bombe : sur les deux faces est taguée « SALOPE ». Plusieurs hommes attendent en discutant.
Le fait de me voir arriver nue les enflamme, je disparais rapidement avec eux sous la tente.
Pendant une bonne partie de la nuit, je vais jouir à plusieurs reprises.
Au petit matin je retrouve mon copain, je me colle à lui. Je sens le sperme, ce qui le fait bander immédiatement. Il me prend de toutes ses forces, m'arrachant de superbes gémissements.
Complètement épuisée,je me blottis de nouveau contre lui, nous nous endormons comme des enfants.
Je me réveille tard. Je m'étire en repensant à la nuit passée. Elle me paraît un peu surréaliste, mais elle était bien réelle.
En fin de matinée, Je daigne enfin sortir de la tente, complètement crevée, de grandes cernes attestent ma nuit de débauche, des traces de sperme couvrent mon corps. Je n'ai pas grand-chose à me mettre.
Mon haut est déchiré depuis hier soir, il ne ferme plus. Je suis obligée de faire un nœud, ce qui me permet d'être un peu plus présentable. Le retour se passe tranquillement, tout le monde est crevé.
Avec mon copain, nous quittons les autres aussitôt arrivés au local, sans avoir oublié auparavant de promettre de recommencer ce genre d'escapade.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai jamais rencontré de femme comme vous j'ai participé a de nombreuses soirées strip les nana se rhabillent et ne font rien elle pourais pourtant rester a poil pour le plaisir des yeux
Bonjour Lyliane,
Il y a quelques années, j'ai moi même fait parti d'un groupe de motard. Il y en avait pour toutes les marques. Je regrette de ne pas avoir fait ta connaissance...
Très bonne histoire ! Une fois de plus dans un contexte original....
Le "Très Fan"
Il y a quelques années, j'ai moi même fait parti d'un groupe de motard. Il y en avait pour toutes les marques. Je regrette de ne pas avoir fait ta connaissance...
Très bonne histoire ! Une fois de plus dans un contexte original....
Le "Très Fan"