Samir, l'étalon

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Samir, l'étalon Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2010 dans la catégorie Plus on est
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Samir, l'étalon
Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté.

Troisième partie: Samir, l’étalon
Wassila, telle une nouvelle Shéhérazade, reprit l’histoire de la vie amoureuse de son couple à l’endroit où elle l’avait laissée la veille.
---Après le départ de Michel, mon bel Apollon blond, nous restâmes quelques temps seuls, Salim et moi. Nous continuâmes à nous aimer toujours avec autant de passion et nous faisions l’amour pratiquement tous les jours en prenant beaucoup de plaisir. Mais sans oser nous l’avouer, nous sentions qu’il nous manquait quelque chose : pour moi, c’était évident, il me manquait un autre amant avec de belles burnes et un splendide manche qui me feraient grimper aux rideaux; pour lui, c’était aussi cet amant à qui il m’offrirait et qui me tirerait devant lui en me faisant hurler de plaisir, pendant qu’il se caresserait et/où qu’il s’occuperait du cul de mon nouveau partenaire.
Sans nous l’avouer à l’un et à l’autre, lui et moi étions à la recherche du troisième larron, que nous appelions de nos vœux pour mettre plus de piment dans nos relations sexuelles. Nous étions devenus, lui et moi, accrocs à ce deuxième homme: lui par candaulisme (le plaisir d’exposer sa campagne aux regards d’autres hommes et de la leur offrir pour des relations sexuelles qui la feront grimper aux rideaux), moi par besoin d’être défoncée par une autre grosse bite et de jouir comme une bête sous le regard heureux de mon mari. Tous les deux, nous nous étions remis en chasse à la poursuite d’un gibier que nous appelions tous les deux de nos vœux. Sans que l’un n’en parle à l’autre, nous espérions tomber rapidement sur l’oiseau rare et l’amener à la maison.
Celui de nous deux qui le trouvera le premier, et surtout qui saura le persuader de participer à nos jeux, aura toute la reconnaissance de l’autre; surtout si le gibier ainsi chassé en valait vraiment la peine : qu’il soit super bien monté et qu’il ait toute la virilité qui va avec un tel membre. Ce fut Salim qui le premier dénicha l’étalon que nous attendions avec impatience. Il s’appelait Samir, avait environ vingt cinq ans, était très grand avec un superbe corps d’éphèbe, tout en muscles.
Salim l’avait déniché dans une salle de musculation qu’il fréquentait occasionnellement, quand il sentait le besoin de perdre quelques kilos superflus. Samir, venait juste de rejoindre la salle et c’était la première fois qu’il le rencontrait. Il lui plut immédiatement : parce qu’il était beau et fort et qu’il semblait super viril, malgré son visage poupin. Il était sûr qu’il devait avoir un sexe immense, en harmonie avec sa grande taille et sa force, et l’imagina immédiatement entrain de me défoncer et de me faire hurler de plaisir.
Entre-temps, mon cher mari avait découvert le plaisir de la photo. Il venait de faire l’acquisition d’un téléphone portable de la dernière génération qui avait, entre autres fonctions, de faire des photos et des vidéos de très bonne qualité. Depuis, il n’arrêtait de filmer et photographier tout et n’importe quoi. Et parmi ce tout, il y avait moi qu’il filmait et photographiait à toutes occasions et dans toutes les positions. Il m’avait photographié et filmé, toute habillée et toute nue ; sage et perverse; pudique et perverse; debout, assise ou allongée; à la maison et à l’extérieur; en totalité ou en partie. Son téléphone était rempli de photos de moi nue et dans des positions érotiques et même, pornographiques.
Salim m’avait dit qu’il avait montré ces photos à Samir, son nouvel ami et que c’était cela qui l’avait décidé à tenter l’aventure. Il aurait complètement flashé sur mon corps et sur certaines parties de mon anatomie qui l’auraient fait bander comme un âne. D’après Salim, c’était surtout mon fessier qu’il avait aimé. Il est vrai que de ce côté-là j’avais des arguments frappants : j’avais (et j’ai toujours) de superbes hanches larges, rondes, sans aucune trace de graisse et de surcharge. Et mes fesses sont, elles aussi, fortement tentatrices : rondes, fermes et haut perchées. J’ai toujours eu conscience que les hommes (et parfois les femmes) fantasmaient beaucoup sur mon cul; j’en profitais souvent pour les aguicher.
Samir avait beaucoup aimé ce qu’il voyait dans les photos; surtout que le reste de mon corps était aussi charmant : ma poitrine forte et ferme; mes seins tendus comme des obus; mon ventre plat; ma taille un peu forte mais très bandante; mon pubis bombé, épilé et brillant; mes cuisses longues, galbées et fermes; et…ma chatte, pour laquelle Salim avait consacré plusieurs photographies, en position fermée et ouverte (et offerte !) et que moi-même je trouvais belle et excitante ! Je crois que si ce n’était pas la mienne, j’aurais bandée pour elle et j’aurais aimée la posséder ! La première fois que Salim m’avait montré une photo de ma chatte, je me suis rendue compte que quelque chose en moi était ému et que j’étais vraiment attirée par elle. Je mouillais rien qu’en la regardant. J’aurais aimé caresser, embrasser, lécher et sucer une chatte comme celle-là. Je m’étais dit, qu’il y avait certainement au fond de moi, quelques tendances homosexuelles cachées.
Quand ils arrivèrent, vers dix huit heures à la maison, j’étais dans la cuisine entrain de préparer le dîner. Salim avait ouvert avec sa clé et fit entrer son nouvel ami : il savait où me trouver. Il savait aussi que, comme d’habitude, je devais être en petite tenue (une simple nuisette très courte, sans autres effets en dessous qu’un string). C’était un deal que nous avons passé Salim et moi : il m’était interdit quand j’étais à la maison de porter autre chose qu’une tenue affriolante, qui avait pour but de le faire bander et de faire bander toute autre homme qui serait à la maison.
Salim avait définitivement dédié sa vie au sexe et à l’érotisme. Il lui fallait en permanence être en contact avec l’objet de ses désirs. Il voulait pouvoir me faire l’amour, n’importe où et à n’importe quel moment sans que rien ne puisse s’y opposer ; surtout pas un habit. Ils me surprirent donc dans la cuisine en petite tenue.
- Je te présente Samir, dit Salim en me prenant dans ses bras et en m’embrassant tendrement, comme à son habitude.
- Bonjour Samir ! fis-je en l’embrassant sur la joue.
Il eut l’air surpris que je l’embrase comme cela, sans même le connaître. Mais il ne se démonta pas et me rendit le baiser, en appuyant fortement sur ma joue droite.
- Bonjour Wassila ! fit-il. Salim m’avait bien dit que tu étais belle ! Il avait tort ! Tu es superbe ! Même les photos de toi qu’il m’a montrées sont loin d’égaler la vérité ! Tu es bien plus belle !
- Flatteur ! Ainsi Salim t’a montré des photos de moi ! J’espère que ce ne sont pas les plus compromettantes ! dis-je hypocritement. Il faudrait qu’un jour où l’autre je les lui fasse effacer de son appareil !
- Surtout pas ! répondit-il, entrant immédiatement dans mon jeu.
Il était vraiment beau ! Et élégant ! Il portait un léger costume d’été en alpaga bleu nuit. Il était grand et mince, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites. Sous sa veste, il portait une chemise en tissu léger, ouverte sur sa poitrine légèrement velue et montrant le dessus de magnifiques pectoraux d’athlète. Tout en lui indiquait la personne qui prenait un soin méticuleux de son corps. Je tombai immédiatement sous le charme de ce magnifique éphèbe. Je me disais qu’avec un tel corps, il devait certainement posséder un engin en proportion. J’en bavais d’avance. Je confiais à Salim la mission de terminer ce que j’étais entrain de faire (cuisiner), pris Samir par la main et l’entraînai dans le salon.
Il se laissa faire sans résistance. Je crois que lui aussi était tombé sous mon charme (ou sur celui des photos de moi qu’il avait matées) et qu’il était pressé de prendre possession des charmes qui l’attendaient. Avant même d’arriver jusqu’au grand sofa qui nous tendait les bras, il posa sa main sur mes fesses pour tester leur fermeté.
- Hum ! Elles sont aussi dures et douce que du marbre ! J’ai hâte d’en prendre possession.
Je venais d’arriver au pied du sofa. Je sentis ses mains se poser sur mes hanches et m’attirer vers lui. Il me colla contre son corps en insistant pour que mes fesses se collent contre son bas ventre. Il voulait me faire sentir l’énormité de son excitation. Je sentais en effet la grosseur de la boule que faisait son sexe sur le devant de son pantalon. J’en profitais pour bouger mon cul pour le caresser avec. Il poussa un petit gémissement de plaisir. Je sentais son impatience et son envie de me posséder sans plus attendre; sans préparation. J’étais heureuse ! Surtout que je ne m’attendais pas à me faire prendre, ce soir par un bel éphèbe comme lui ! Je sentais ma chatte palpiter et se remplir de mouille. J’étais moi-même pressée qu’il me tire comme cela.
C’était comme s’il avait lu dans mes pensées. Il me força à me mettre à genoux devant le sofa. Il s’agenouilla derrière moi, en appuyant sur mon dos pour que je pose ma tête sur le sofa. Dans cette position, j’avais les fesses relevées. Je les relevais encore plus haut pour mettre mon cul à portée de son membre. Je ne me retournais même pas pour voir ce qu’il était entrain de faire. J’étais dans une délicieuse position d’attente. Je ne savais pas ce qu’il allait me faire ; mais quoi qu’il me fasse, je savais que cela allait être délicieux. J’étais seulement impatiente qu’il commence. Je me sentais prête à tout accepter et à prendre un maximum de plaisir.
Je sentis ses doigts qui se glissaient sous l’élastique de mon string et qui le rabaissaient sur le bas de mes cuisses. Je me dis qu’il était entrain d’observer ma chatte et qu’il la comparait avec les photos qu’il avait vues. C’était en effet ce qui se passait.
- Elle est exactement comme dans les photos ! Merveilleuse !
Et je le sentis qui était entrain d’ouvrir sa braguette (j’avais entendu le bruit du zip !) et de sortir son engin. J’avais envie de me retourner pour le voir, mais je m’efforçais à ne pas le faire. Je voulais le sentir en moi, avant de le voir. Je voulais d’abord découvrir ses dimensions et sa force dans mon vagin. Et je le sentais venir se poser entre mes grandes lèvres: il était en même temps dur et doux ! Je devais être dans le même état que la pouliche qui attendait la saillie de l’étalon qui était entrain de la monter! J’étais impatiente ! Mon cœur battait très fort et très vite ! Je voulais que l’engin qui était à l’entrée de ma chatte me pénètre en force, sans plus attendre !
Et il me pénétra ! Franchement ! Sans préparation ! D’ailleurs, je n’avais pas besoin d’être préparée ! Je l’étais déjà ! Ma chatte coulait à flots, à la simple imagination de ce que j’allais ressentir. Et ce que je ressentis à ce moment est très difficile à expliquer avec des mots. Le seul mot qui se prête pour définir l’état dans lequel j’étais est: plaisir ! Le plaisir que donne un superbe zob, bien grand, bien gros qui me lime franchement la chatte et qui tire de moi des cris de bonheur ! Le plaisir de sentir ce zob me remplir complètement le vagin et qui va et vient en maître absolu des lieux, depuis l’entrée jusqu’au fond et qui me donne la sensation, tant le chemin qu’il parcourt est long, qu’il va ressortir par ma bouche ! Le plaisir de ne plus rien pouvoir contrôler ; pas même les mouvements des mon corps et de ma tête, qui allait dans tous les sens au gré des coups de boutoir que je recevais ! Le plaisir d’entendre au dessus de mon dos les ahanements de l’homme qui me tire ainsi, presque brutalement, et qui me donne envie de lui crier de ne pas s’arrêter ; de continuer ; d’y aller encore plus fort !
Et de fait, je n’arrivais plus à me retenir. Je me mis à crier au bel étalon qui me montait et me tirait avec force, tout le plaisir qu’il me donnait. Je voulais qu’il sache que j’étais heureuse d’être baisée comme cela ; en force et avec un si bel engin.
- C’est bon ! Oui ! Continue ! Plus fort ! Plus fort ! Plus fort ! Plus vite ! Baise-moi ! Encore !
Les mots sortaient ainsi de ma bouche, sans que ne puisse rien faire pour les retenir. Ils s’échappaient de moi, comme si une force plus forte que ma volonté les prononçait à ma place. Ils avaient le don d’accroître encore plus mon excitation. Mais au fond de moi, je voulais aussi entendre mon homme me dire qu’il aimait me baiser comme cela ! Que j’étais sa pute ! Qu’il aimait les belles putes comme moi !
- Dis-moi que tu aimes me baiser ! Dis-le ! Dis-le très fort ! Dis-moi que je suis une pute ! Une belle pute ! Que tu aimes défoncer ta pute ! Dis-le !
- Oui pute ! Pute ! Pute ! Pute !
J’étais au paradis ! J’aurais voulu arrêter le temps pour que mon bonheur durât très longtemps! Je voulais que la sensation que me procurait le bel engin qui défonçait férocement ma chatte soit éternelle ! Mais le plaisir était tellement fort que je sentis arriver un énorme orgasme, qu’aucune force, ni volonté, n’aurait pu arrêter. Je sentis tous mes muscles se tendre jusqu’à me faire mal et ma respiration s’arrêter. Je sentis la jouissance arriver du fond de mes entrailles et dévaler comme un torrent impétueux, venant inonder ma chatte avec un flot de cyprine, que le gros engin qui me possédait expulsait vers l’extérieur. Il était accompagné par un immense râle de plaisir qui dura une éternité. Vaincue, je relâchais tous mes muscles et m’affaissais par terre, mon merveilleux amant toujours sur mon dos.
Samir n’avait pas encore joui. Son gourdin était encore en érection et continuait à pilonner ma chatte. Il s’arrêta de me tirer et sortit de mon vagin. Il m’attrapa par l’épaule me retourna pour que je lui fasse face et me présenta son engin devant la bouche.
- Bouffe-le ! ordonna-t-il.
Au lieu de m’empresser de le faire immédiatement, je pris le temps de le regarder et d’admirer sa taille et sa force. L’énormité de l’engin que j’avais ressenti quand il était dans mon tunnel, était non seulement confirmée, mais dépassait tout ce que j’avais vu : Samir était monté comme un véritable étalon ! Et en plus son zob était si beau : d’une couleur brune, il était lisse et brillant, avec un gland en forme de tête de champignon. Le bonheur pour mes sens ! Je le pris à deux mains pour pouvoir l’entourer complètement. Je le palpai et le tâtai avec gourmandise. J’allais me régaler avec un tel zob en moi ! Je le voulais partout : dans ma chatte, bien entendu, mais aussi dans mon cul et dans ma bouche ! Mais tout de suite, c’était dans ma bouche qu’il voulait l’introduire. Je savais que j’allais souffrir avec un tel monstre, mais mon Dieu, que j’adore ce type de souffrance !
J’ouvris très grand ma bouche, écartai les dents et introduisit le gland entre les lèvres. Je le titillai un peu avec la langue, avant d’avancer la tête pour le faire pénétrer le plus profond que je pouvais. Il était trop long et voulut aller trop loin; au delà de la glotte. Je pris donc la précaution de raccourcir le manche en serrant sa base dans ma main pour qu’il ne puisse pas aller trop profond. Je le sentis qui m’attrapait les cheveux pour bloquer ma tête et se mettre à me pilonner la bouche avec autant de force qu’il le faisait tantôt dans ma chatte. Il me faisait mal et je sentais que j’allais étouffer s’il continuait trop longtemps comme cela. Son énorme sexe raclait l’intérieur de ma bouche et élargissait ma gorge. Je faisais tout pour l’empêcher d’aller trop loin en retenant son sexe avec la main qui l’enserrait à sa base.
Il ressortait totalement de ma bouche et repartait aussitôt au fond. Je le regardais entrer et sortir ainsi, tout en salivant dessus. Je sentais mes yeux qui se remplissaient de larmes et mes narines qui coulaient telles des fontaines. Samir me regardait et semblait content de l’effet de ses coups de boutoir dans ma cavité buccale. Je l’entendais qui gémissait à chacune des pénétrations, brutales et violentes, de son immense gourdin. A un moment, je l’entendis pousser comme un long cri d’agonie et accélérer le rythme de ses va-et-vient dans ma bouche. Il lâcha une grosse rasade de sperme qui alla directement au fond de ma gorge.
J’avais pris l’habitude des fellations qui se terminaient par un lâchage de sperme au fond de ma gorge. Mais la quantité de sperme que venait de lâcher Samir dans ma gorge était tellement importante, qu’elle avait failli m’étouffer. J’avais dû en recracher une partie sur son sexe, qui continuait imperturbablement à entrer et sortir. Il éjacula encore trois fois à l’intérieur et le reste il me l’envoya sur le visage. Quand il termina, il essuya son sexe encore en érection sur mes joues et mes lèvres. Il vint se mettre à genoux devant moi, me regarda bien en face et m’ordonna de tout avaler. Ce que je fis, en me nettoyant avec les doigts et en léchant tout le foutre que je ramassais. Je le faisais avec gourmandise tout en le regardant dans les yeux pour y lire le plaisir qu’il y prenait et aussi pour le provoquer et le pousser à encore me baiser. J’étais insatiable ! J’en voulais encore !
Ce fut Salim qui nous arrêta en manifestant sa présence. Nous l’avions complètement oublié. Non seulement, il avait assisté à toute la scène, mais aussi, il l’avait photographié et filmé avec son téléphone portable.
- J’ai rarement assisté à des scènes aussi érotiques ! dit-il avec son sourire carnassier. J’aimerai que tu te déshabilles ! dit-il à Samir.
C’est vrai que mon amant m’avait baisé sans même ôter ses habits. Il avait gardé son costume. Il n’avait fait que défaire la ceinture de son pantalon et ouvrir sa braguette. Il en avait sorti son énorme engin et m’avait possédée comme cela. Même maintenant il continuait de bander. Il ne se fit pas prier pour se déshabiller complètement et rester nu. Il savait qu’il était beau et qu’il ne pouvait que plaire. Il aimait être admiré ; par les femmes, bien entendu ; mais aussi par les hommes. Je voyais au regard provocateur qu’il envoyait à Salim qu’il appréciait l’effet qu’il faisait sur lui.
Il était vraiment beau ! Mis à part la petite touffe de poils, qu’il gardait sur sa poitrine pour montrer sa virilité, il avait tout le reste du corps parfaitement rasé et épilé ; même sur es jambes et ses fesses, il n’y avait pas la moindre trace de poils. Salim le regardait avec le regard brillant qu’il avait chaque fois qu’une personne, femme ou homme, suscitait en lui du désir. Je voyais qu’il avait envie de tirer mon nouvel amant. Il le lui dit très franchement.
Samir me regarda avec des yeux interrogatifs; comme pour savoir ce que j’en pensais. Je lui dis d’une voix un peu contrariée, parce que j’avais encore envie qu’il me tire :- Quand Salim veut quelque chose, il l’obtient ! S’il a décidé de t’enculer, il le fera ! Alors autant lui offrir ton cul de ton plein gré. Tu verras, il sait s’y prendre et te fera aimer !
- Mais j’aime déjà ! Je suis un bisexuel ! Seulement, comme je n’en ai pas fini avec toi, j’aurai voulu que ton mari n’intervienne que plus tard. Quand j’aurais bien joui en toi. Salim ne m’avait pas caché que je lui plaisais et qu’il voulait me tirer. J’aurais accepté de venir avec lui sans aucune condition, parce qu’il me plait aussi. Mais quand il m’a montré tes photos, j’ai flashé et j’ai voulu te posséder.
J’étais un peu déçue par la révélation de sa bisexualité. Cela ne me gênait pas qu’il se fasse tirer par Salim, mais j’aurais préféré que cela soit une découverte pour lui. Comme tous ceux qu’il avait sodomisés auparavant. Mais ma déception était contrebalancée par l’énorme engin qu’il possédait et dont il se servait comme un Dieu ! Je voulais absolument ma part du plaisir qui allait suivre. Je dis à Salim que j’aimerai participer à leur jeu. Il allait enculer Samir et je voulais que Samir m’encule en même temps. L’idée plut beaucoup aux deux hommes. Samir m’attrapa par la taille et me fit mettre à quatre pattes sur le sol, devant le sofa. Il vint se mettre derrière moi, m’écarta les fesses et dévoila mon anus. Il comprit tout de suite qu’il avait déjà beaucoup servi et qu’il n’avait pas besoin de beaucoup le lubrifier pour le pénétrer en force.
Il cracha dans sa main et déposa la salive à l’entrée de mon cul. Il posa le gland de son sexe sur l’anus et d’un coup brutal me pénétra jusqu’au fond ; jusque ce que son pubis vienne cogner contre mes fesses. Je poussai un petit cri de plaisir mêlé de douleur. Car même si mon cul n’était plus vierge depuis longtemps, le gourdin qui venait de me pénétrer était vraiment trop gros; il m’avait fait très mal. Salim vint faire la même chose avec Samir. Il le pénétra lui aussi en force et lui fit pousser un soupir. Certainement un soupir de plaisir, qui provenait de la double pénétration : celle de son zob dans mon cul et celle du zob de Salim dans le sien.
Je n’avais encore jamais vécu une telle scène : trois corps qui formaient une masse compacte. Nous nous mîmes à gémir tous les trois de plaisir ; au même rythme ! Je ne pouvais pas voir la totalité de la scène, car même en me retournant au risque d’attraper le torticolis, je ne pouvais rien apercevoir hormis la poitrine de Samir sur mos dos. Je me contentais donc de la sensation de force et de douceur du membre qui allait et venait en force dans mon rectum, en tirant de moi des gémissements de plaisir de plus en plus intenses. J’étais aussi à l’écoute des gémissements et des cris de plaisir de mes deux hommes ; gémissements qui s’entremêlaient et dont l’intensité, elle aussi, allait crescendo. Et puis le miracle se produisit ! Tous les trois nous jouîmes en même temps. J’avais senti l’orgasme qui arrivait et les criai à mes hommes :- Je vais jouir ! Je vais jouir !
Immédiatement je sentis le corps de Salim se crisper dans mon dos et ses mains tirer encore plus fort sur mes hanches. Il éjacula très fort dans mon cul en criant que lui aussi jouissait.
- Je suis entrain de jouir ! cria-t-il, en tournant la tête pour apercevoir Salim qui continuait à pilonner son cul avec force.
- Moi aussi je suis en train de me vider ! fit-il en embrassant Samir sur la joue qu’il lui tendait.
Ils éjaculèrent tous les deux longuement; Samir dans mon cul et Salim dans le sien. Quand nous nous séparâmes, heureux et apaisés mes deux hommes vinrent ensemble me présenter leurs zobs, maintenant complètement ramollis pour que je les nettoie. Ce que je fis avec plaisir et compétence.
Notre relation à trois dura environ un mois. Elle s’arrêta sur mon insistance, parce que je voyais que Salim était entrain de tomber vraiment amoureux de l’éphèbe. Depuis qu’il était avec nous, il était rare que mon mari me fasse l’amour comme auparavant. Il se contentait d’enculer Samir et d’y prendre un plaisir tellement fort que j’en étais devenue jalouse. Je sais qu’il n’y a rien de logique là-dedans: je prenais moi même beaucoup de plaisir à me faire tirer par Salim et mon mari n’en était pas jaloux; bien au contraire, il appréciait. J’aurais dû moi aussi apprécier son bonheur avec son amant. Mais que voulez-vous ? Je suis ainsi faite: je ne voulais pas que mon chéri – le seul véritable homme de ma vie ! – aime quelqu’un d’autre que moi.
Qu’il prenne du plaisir avec un ou une autre, oui ! Qu’il aime quelqu’un d’autre, non ! J’exigeais donc de Salim qu’il se débarrassât de Samir. Il le fit à contre cœur, mais il le fit quand même. Par amour pour moi ! Bien entendu, je regrettais beaucoup la perte de mon éphèbe, membré comme un étalon. Mais je voulais avant tout garder mon amour.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai beaucoup aimé. Tous mes fantasmes à propos de ma femme sont là. Je ne suis pas
bisexuel. Si Samir existe, j'aimerai lui donner ma femme à baiser sur mes instructions
devant un grand miroir et qu'ils échangent des mots obscènes et en arabe. Pourrez vous
écrire une histoire de ce genre avec pour héroine une femme qui se prénomme Kamila

Histoire Erotique
Je suis excité par vos histoires

Histoire Libertine
bonjour, j aime bcp vous lire je suis mariée (à un musulman) et suis moi même musulmane
originaire du maroc ...je suis tres touchée par ce que vous ecrivez notamment la
rencontre avec "l appolon" dans ne version antérieure...au plaisir de vous lire je vous
ai laissé mon email

Histoire Erotique
super ecris moi



Texte coquin : Samir, l'étalon
Histoire sexe : Une rose rouge
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