sans titre - histoire érotique

Je travaille dans une agence de voyage où je suis secrétaire comptable. Je pars toujours la dernière. Il était environ 18h. Je monte dans ma voiture , au bout d’un moment je décide de mettre la radio pour mettre un peu d’ambiance. C’est l’été, il fait encore clair à cette heure de la journée. Je m’engage sur l’autoroute et je roule depuis un moment, ça roule plutôt bien c’est calme. A la radio il passe une chanson que j’aime. Je la chantonne quand soudain une voiture se met à ma hauteur et commence à me klaxonner et part si vite que je n’ai ni le temps de voir sa plaque, ni le temps d’apercevoir la personne au volant. Ca ma surpris.
Le jour d’après, je me trouvais dans mon bureau qui est à l’arrière. Il n’y a pas grand monde à cette heure de la journée que ce soit dans les rues ou dans l’agence tout le monde est partit prendre son déjeuner. Je décide donc de faire un petit some.
1h + tard, je me réveille et une lettre se trouve là sans adresse, sur mon bureau. Je décide de l’ouvrir et là une petite feuille où il est écrit « A la belle conductrice. On se revoit ce soir ».
Je me demandais ce qu’il se passait, je décidais de ne pas me soucier de ce mot et de me dire que c’était une blague de ma collègue à qui j’avais tout raconté. Ma journée se termine et je reprends la route comme tous les jours sauf que là c’est la fin de semaine. Je me trouve sur l’autoroute quand la voiture, la même que les autres jours me refait la même chose. Je décide de prendre les choses en main et me dit il faut que je le suive pour savoir de qui il s’agit. Je le suis de loin, je ne sais pas si il me voit. Il pris la prochaine sortie et décide de le suivre. Je me trouvais donc une voiture derrière lui et là je le vis qui se stationne et descend de sa voiture, je fais mine de rien et décide de me garer un peu plus loin et de descendre de voiture , je le vois entrer, de loin, dans une petite maison.
Me voilà devant sa porte, au moment où j’allais sonner la porte s’ouvrit et là je vis un homme d’une trentaine d’année à la carrure d’athlète les cheveux châtain, les yeux bleus et il me dit :
-« Bonsoir, Angela. J’avais peur que tu ne viennes pas, allé entre ». Cet homme me plait, c’est indéniable, il est plutôt bel homme et je ne sais comment je sens que je lui plais aussi ce que je ressens c’est plaisir bestiale.
J’ai l’impression de le connaître son visage me rappelle le visage d’une personne que je connais ou que j’ai connu. Je ne sais pour quelle raison j’entrais dans la maison de cet inconnu dont j’ignorait tout. Et là il me dit :
-« Je croyais que tu n’avais pas réussit à me suivre mais quand j’ai vu ta voiture tout à l’heure qui est passer devant moi j’étais sur que tu m’avais suivi. Alors que penses-tu de moi ? Pour ma part, tu me plais beaucoup j’aime le galbe de tes fesses, de tes jambes, ta bouche, et surtout tes seins ils sont comme je l’imaginais ». Il marqua une pause puis me dit :
-« Viens ici, viens près de moi ».
Je ne sais pourquoi mais presque machinalement je suis mise face à lui et là il me pris dans ses bras et m’embrassa comme jamais on ne m’avais embrasser avec une fougue incroyable. Et sans que je comprenne ce qu’il se passait on se retrouva dans sa chambre moi à moitié nue et lui en train de m’embrasser sur tout le corps. Je décidai de reprendre mes esprits et de surtout prendre les choses en main. Je le mis sur le dos dans le lit et commença à le déshabiller et à l’embrasser sur tout le corps. Son torse est bombé et continue à l’embrasser et je me situai au niveau de son boxer qui était tellement tendu à cause de sa verge qui était déjà bien dur, je la pris dans ma bouche et la suçai comme on suce une glace avec délectation. Je l’entendais soupirer de plaisir. Sa bite était longue. Son odeur est délicieuse et enivrante. Je sens qu’il va éjaculer mais je reste je veux goûter son nectar. Je léchais sa hampe tout du long. Il éjacule dans ma bouche et je décide de partager ce moment en l’embrassant à pleine bouche. A son tour, il me mit sur le dos, m’enleva mon string en dentelle noire, constata qu’il était trempé il le porta à son nez pour sentir mon odeur et découvrir mon intimité il se mit à la lécher et se tarda sur le clito. Je cambrai comme pour avoir un plus grand orgasme , je voyais que ça excitait mon partenaire qui banda de nouveau. Sa bouche pleine de cyprine, il vint m’embrassait et là j’eus le goût de ma mouille dans ma bouche c’était merveilleux. Je n’en pouvais plus, je voulais qu’il soit en moi. Il me colla le plus qu’il pus et me pénétra si profondément que j’eus un orgasme foudroyant qui me fit crier ce qu’il l’excitait de plus en plus il fit plusieurs vas et viens je n’en pouvais plus. Puis il se retira et me mit sur le ventre et me lécha l’anus je découvrit alors une sensation nouvelle que j’adorai. Il entra un doigt ce qui me contracta un peu, puis il en mis un deuxième et fis des va et viens , ce qui engendra une dilatation de ma chatte et de mon anus par la même occasion. Il en profita pour me pénétrer, ce qui m’arracha des râles de douleurs qui se mêla au plaisir. Je sentais son souffle dans mon dos et des gouttes de sueurs tombaient. Je voulais qu’il éjacule en moi ce qu’il fit après quelques va et viens. Nous nous sommes écroulé en même temps dans une symbiose totale. Après quelques minutes, je me mis sur le dos et lui fit de même. Je n’osai pas le regarder puis il me dit :
« je m’appelle Adrien et tu ne dois pas te souvenir de moi car on s’est connue quand onétait petit. Nous sommes allé à la même école primaire »