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Récit érotique écrit par Chris [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2006 dans la catégorie Plus on est
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Mais tu ne te mets jamais en maillot de bain ? Même à la plage ?
Non.
Ma chère femme a honte de son corps...
Honte, n'exagère pas ! Mais avoue que comme spectacle, il y a mieux !
Mais tu crois que les gens passent leur temps à mater ? Crois-moi, j'en ai vu des femmes en maillot, qui débordaient de partout et bien, personne ne semblait choqué... et, permets-moi de te le dire... tu es vraiment très loin, mais alors très très loin d'être moche !
Merci mais c'est pas une raison.
La conversation s'arrête là. Léa n'a visiblement guère envie de s'attarder sur le sujet et, la connaissant, je la sens au bord de l'énervement.
Nous continuons à déguster notre coupe de champagne, sagement installés dans le canapé de Marc, notre meilleur ami, qui, ce soir, nous reçoit à dîner pour fêter sa promotion. Le repas s'est déroulé comme d'habitude dans une excellente ambiance et je n'ai pas du tout envie que cela dégénère. C'est pourquoi, d'un léger clignement de paupières, je fais signe à notre hôte de ne pas insister.
Celui-ci ne semble pourtant pas vouloir tenir compte de mon avertissement et poursuit :
En tout cas, moi, j'adorerais te voir en petite tenue...
Sa remarque ne rencontre aucun écho. Léa lui jette un regard incrédule et je crains fort qu'à ce moment, notre amitié prenne une volée de plombs dans l'aile !
S'il est vrai qu'entre nous, les conversations sont particulièrement libres, les blagues coquines courantes, c'est la première fois qu'il ose une remarque aussi directe.
Tiens donc ! Rien que ça !
Euh... pas que ça non... mais ce serait déjà pas mal...
Tu entends Pat ? Tu en penses quoi ?
J'en pense que Marc est plutôt culotté...de vouloir te voir déculottée...
Comme tu dis...
Un silence suit cet échange. Visiblement, et contrairement à ce que je craignais, Léa ne montre pas de signe de colère suite à cette révélation.
Je sais qu'elle trouve notre ami beau gosse et elle est sans doute plus flattée que fâchée de sa remarque. Je me demande pourtant comment va se poursuivre cette soirée et si Marc n'est pas allé trop loin. D'autant que ce dernier en remet une couche :
Tu te mettrais en maillot pour moi ?
Quelle question ! Je n'en sais rien...
Ma chérie semble quelque peu troublée. Il s'en rend compte et poursuit :
Avoue que se montrer en maillot n'a jamais tué personne !
Oui, bien sûr ! Mais là, tu me proposes ni plus ni moins de me dévoiler uniquement pour toi... m'exhiber quoi... ce qui n'est pas pareil que me mettre en maillot à la plage...
C'est vrai... je te l'accorde... mais que crains-tu ? Patrice est là... je ne vais pas te violer...
Il ne manquerait plus que ça !
Tiens, tiens... Marc a, volontairement j'en suis persuadé, abandonné le conditionnel pour le présent sans que Léa n'y trouve à redire. Et sans qu'elle ne s'oppose plus vivement à cette invitation.
Tu sembles oublier une chose, mon cher ami... je n'ai pas ce genre de vêtement avec moi aujourd'hui...
Maillot ou simple slip, la différence n'est pas énorme...
Ben voyons ! D'abord en maillot de bain, maintenant en slip... la prochaine étape, c'est quoi ? Cul nu ?
Nouveau silence. L'ambiance est devenue plus lourde. J'ai l'impression que cette soirée, jusque là très amicale, pourrait devenir beaucoup plus torride.
Comme paraît-il pas mal de maris, il m'est arrivé d'imaginer ma chérie avec un autre homme. Mais jamais nous n'en avons parlé et si Léa n'était plus vierge quand nous nous sommes rencontrés, j'ignore si elle partage ce genre de fantasme.
Tu te lèves, tu baisses ton pantalon et tu nous montres tes fesses... ça ne t'engage tout de même pas à grand-chose...
Cette fois, les dés sont jetés !
Alors ? Tu y vas ?
Léa tourne la tête vers moi.
Tu ne dis rien ?
Que veux-tu que je dise ! Tu fais comme tu le sens !
Dans ce cas...
Elle hésite encore quelques courtes secondes puis se lève et se met au milieu du salon, dos à nous. Lentement, elle baisse son vêtement, dévoilant son slip.
Superbe ! Descend-le encore un peu que je puisse admirer tes cuisses.
Tu n'es jamais content...
Malgré cette réponse, elle baisse un peu plus son pantalon puis décide de le lâcher, se retrouvant ainsi le bas uniquement vêtu de son slip.
Ramène les côtés ! Comme si tu avais un string !
La tension monte un peu plus quand ma chérie, lui obéissant, dévoile complètement ses fesses.
Comme disait Marielle : Ah nom de Dieu, quel cul ! !! Léa, tu as un cul vraiment superbe !! Tu sais quoi ?
Non... vas-y ! Je m'attends au pire...
J'adorerais l'embrasser...
Ben tiens donc !
Sans attendre la réponse, Marc se lève et la rejoint. Il s'agenouille, pose la bouche sur le fin tissu et embrasse doucement le sous-vêtement.
Hum... je suis sûr que ta peau est d'une douceur exquise...
Je te vois venir...
Tu acceptes ?
Tu n'en as jamais assez, toi !
Lentement, Marc pose les doigt sur le haut du slip et le baisse, dévoilant les fesses de Léa. Il prend tout son temps et lui caresse les jambes au fur et à mesure qu'il le fait glisser.
Lorsqu'il l'a débarrassée de son slip, Marc se relève, pose les mains sur ses épaules et la fait se retourner. Elle jette un regard dans ma direction , mon sourire la rassure et elle n'oppose aucune résistance quand il entreprend de lui déboutonner le chemiser.
La voici maintenant uniquement vêtue de son soutien-gorge, offerte à nos yeux gourmands. Il poursuit l'effeuillage et, après quelques secondes, les seins de ma chérie se retrouvent à l'air libre, chacun gratifié d'un léger baiser.
Les joues de Léa ont pris une jolie teinte rose, signe de gêne ou d'excitation ?
Marc s'agenouille à nouveau et se retrouve le visage à hauteur du sexe de Léa. Il pose les mains sur ses fesses, l'attirant contre lui, et lui dépose de légers baisers sur le Mont de Vénus. Elle ne peut étouffer quelques légers gémissements, indiquant qu'elle apprécie son initiative.
Je me lève, les rejoins et, passant dans le dos de ma chérie, empaume ses seins et les caresse, en faisant rapidement grossir les tétons.
Se relevant, Marc l'entraîne vers le canapé dans lequel il la fait s'allonger. À genoux, il retrouve la fente trempée dont il reprend la dégustation, les jambes de Léa sur ses épaules, désormais totalement offerte.
Je me déshabille, me penche vers le visage de ma femme et nos bouches se soudent pour un long et doux baiser.
L'orgasme la surprend pendant notre étreinte. Elle pousse un long cri rauque. Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte, c'est la première fois que j'admire ainsi ma chérie prendre son plaisir.
Marc se relève, souriant, le menton brillant de la cyprine de Léa.
Tu as une chatte absolument délicieuse ma petite Léa.
À son tour, il se met nu, exhibant son sexe tendu. Je ne peux m'empêcher de le regarder : d'une longueur un peu supérieure au mien, il est un peu plus fin : un sexe idéal pour la sodomie !
Ma chérie, qui a retrouvé ses esprits, le regarde elle aussi avec, dans les yeux, une lueur des plus coquines !
Elle s'assied et, à son tour, attrape Marc par les fesses pour l'attirer contre elle. Comme dans un rêve, je vois ma femme engloutir un sexe qui n'est pas le mien et le faire aller et venir entre ses lèvres avec un plaisir non feint.
Je m'assieds à côté d'elle et la regarde offrir cette fellation à notre ami.
Lâchant la queue tendue, Léa me demande :
Ça t'excite de me voir le sucer ?
Hum... oui... beaucoup...
Tiens... caresse-le un peu !
Timidement, je prends le bâton de chair de Marc en main et fais quelques va et vient. Je me surprends à en apprécier le contact. Son sexe est chaud, dur et doux à la fois et je prends plaisir à le masturber. Léa me regarde faire, un léger sourire aux lèvres. Je dirige le membre vers sa bouche, l'y appuie et à nouveau elle le fait coulisser entre ses lèvres. Ma main soupèse les couilles de Marc, les caresse, descend vers cette zone, si sensible chez moi, qui les sépare de l'anus.
Hum... c'est bon... n'arrêtez pas... oui... comme ça... prends-la toute entière Léa !
Je m'enhardis alors et d'un doigt vient titiller son oeillet. Contre toute attente, Marc ne se dérobe pas, bien au contraire :
Oui Pat... branle-moi le cul... encule-moi avec tes doigts !
Mon doigt force lentement le muscle et je pénètre le cul de mon ami. C'est décidément le soir des découvertes !
Je pose mon autre main sur la cuisse de Léa que je caresse doucement, remontant lentement vers sa fourche.
Je retrouve sa fente trempée et effleure ses lèvres, en lents aller et retour. Elle écarte un peu plus les jambes, avance son bassin vers le bord, s'offrant du mieux qu'elle peut. Je parviens à introduire un doigt dans sa chatte et la branle au même rythme que le cul de notre ami.
Quelques minutes plus tard, les gémissements de Marc s'amplifient et je sens ses muscles se contracter.
Ah... je vais venir.. oui... c'est trop bon... je viens... je jouis... ahhh !!!!
Léa n'a que le temps de sortir le membre de sa bouche et le diriger vers sa poitrine avant que les jets fusent, lui arrosant abondamment les seins.
Ma chérie ne le laisse que lorsqu'elle est certaine qu'il s'est totalement vidé. Alors, elle lâche le sexe de Marc et se masse la poitrine avec une moue des plus coquines.
À mon tour, je sors le doigt du cul et Marc s'écroule plus qu'il s'assied à nos côtés.
Mon chéri... j'ai trop envie d'une queue en moi... viens... vite !
Comment refuser une telle inviation ? Je la fais s'installer, les fesses sur l'accoudoir, les jambes repliées et, debout face à elle, je l'investis d'une unique et longue poussée qui lui tire un cri de bonheur.
J'entame de lents et profonds va et vient qui la font gémir de plus en plus fort. Marc, assis à côté d'elle, se penche vers sa poitrine et embrasse ses seins dont les bouts turgescents montrent s'il était besoin l'état d'excitation dans lequel se trouve ma chère et tendre.
Oh que c'est bon... mon amour, tu me baises bien... viens plus fort... oui... enfonce-toi bien à fond...
Mes gémissements se mêlent à ceux de ma femme et mes coups de rein redoublent d'ardeur. À ce rythme, je ne tiens guère que quelques minutes avant de succomber à mon tour au plaisir.
Ma chérie, je vais jouir... ça y est ! Je viens !
Jouis mon amour ! Vide-toi en moi ! Donne-moi ton jus !
Je me plante une dernière fois au fond du sexe de Léa et me laisse aller à l'orgasme. J'ai l'impression de ne jamais avoir éjaculé aussi fort, aussi longuement.
Enfin, mon sexe perd de sa vigueur et je suis expulsé du vagin de Léa. Marc, qui a retrouvé la pleine possession de ses moyens, prend alors ma place entre les cuisses de ma femme :
Tu veux bien ?
Oh oui ! Vas-y ! Prends-moi à ton tour ! Fais-moi encore jouir !
Il ne se le fait pas dire deux fois et, à son tour, s'enfonce en elle, accueilli par le même cri de joie.
Je les regarde baiser, admirant à nouveau ma Léa prendre du plaisir avec un autre que moi. Je n'aurais jamais cru que le spectacle m'exciterait autant ! Au point que je me retrouve très rapidement en érection.
Les deux amants changent de position : Marc s'assied sur le bord du canapé et Léa l'enjambe. Ainsi, il peut profiter de la poitrine de ma chérie, ce dont il ne se prive pas, lui caressant les seins, les embrassant, les tétant parfois tel un nouveau né.
Les ahanements de Marc et les gémissements de Léa résonnent, signes du plaisir qu'ils se donnent mutuellement. Pour la seconde fois, ma petite femme chérie atteint le nirvana. Sa bouche s'empare de celle de son amant et, tout en l'embrassant fougueusement, elle jouit longuement. Marc reste immobile, fiché au plus profond de son intimité, la laissant savourer son plaisir.
Lorsque leurs bouches se séparent, Léa, en nage, les cheveux collés au front, réclame une pause. Elle se relève, me demande son verre avant de se rasseoir, désireuse de se rafraichir un peu. Marc et moi la regardons avec tendresse. À son tour, il s'empare de sa flûte et nous trinquons tous trois à cette soirée.
Lorsque nous avons "digéré ce "moment d'égarement", Marc, visiblement bien décidé à en profiter au maximum, demande à Léa :
Mets-toi sur le ventre ! J'ai envie de connaître un peu plus ton côté pile...
Léa s'allonge donc, nous offrant la vision de son postérieur rebondi qu'on a envie de croquer. Marc la caresse doucement, commençant par les épaules, descendant ensuite lentement sur le dos.
Ta peau est douce...
En guise de réponse, ma chérie émet comme un ronronnement...
Oh, l'adorable petite chatte !
Miaouuu... lui répond t-elle en riant.
Les mains de notre ami sont maintenant sur les fesses de Léa qu'elles caressent, massent, griffent parfois, tirant de légers soupirs à ma dulcinée.
Tu as un popotin des plus attirants...
Il est trop gros...
Je ne trouve pas. En tout cas, je l'adore ! J'en mangerais !
Joignant le geste à la parole, il lui mordille une fesse, la faisant sursauter.
Hé ! Cannibale !
Pour se faire pardonner, il dépose un énorme baiser sur chacun des deux globes puis, de la langue, entame l'exploration du sillon fessier.
Des deux pouces, il écarte les fesses, dévoilant le délicat sillon qu'il lèche avec beaucoup de tendresse et d'application. Ma chérie, les yeux mi-clos, savoure ses attentions , sa respiration à nouveau s'accélère sensiblement, notamment lorsque Marc titille plus longuement son petit œillet. Elle écarte sensiblement les jambes tout en soulevant légèrement le bassin, se livrant un peu plus aux baisers de notre ami.
Marc, à force de patience et de douceur, parvient à prendre possession du petit trou de Léa dans lequel il enfonce la langue qu'il fait aller et venir comme s'il s'agissait d'un sexe.
Peu habituée à ces caresses anales, ma chérie ne semble pourtant pas vouloir y dérober et, au fil des minutes, elle se cambre tant et si bien qu'elle se retrouve pratiquement à quatre pattes.
Allons dans la chambre, nous serons plus à l'aise !
C'est ainsi que nous nous retrouvons sur le lit de notre ami qui s'allonge sur le dos et demande à Léa de venir sur lui, en 69.
Ma chérie dépose de légers baisers sur la hampe qui, lentement, se redresse sous ses lèvres.
Délaissant son cul, Marc retrouve la fente toujours aussi trempée qu'il honore des lèvres et de la langue. Plongeant son index dans le vagin, il y fait quelques aller et retour avant de le ressortir pour l'appuyer contre le petit tou. Doucement, il force le passage et parvient sans trop de mal à prendre possession du cul de Léa.
Hum... tu es serrée... Pat te prend souvent par là ?
Non... Il l'a fait une fois ou deux...
Tu n'aimes pas ?
C'est pas ce que je préfère...
Je vais te prendre par ton joli cul, d'accord ?
Je ne sais pas...
Il n'insiste pas et reprend son doux cunnilingus, non sans cesser d'aller et venir dans les reins de Léa. Peu à peu, ma chérie se laisse aller, semblant oublier ce doigt qui lui ramone le cul. Quand Marc y joint un second, elle ne s'en plaint pas et il me semble même qu'elle écarte un peu plus encore les cuisses.
Écarte tes fesses avec tes mains !
Elle obéit et dévoile totalement son oeillet, déformé par les doigts de son amant.
Tu aimes ?
Hum... oui... mais vas-y doucement...
Il reprend ses coups de langue sur la chatte, titillant plus souvent le bouton, enfonçant la langue dans la grotte. Après quelques minutes, il parvient à glisser un troisième doigt, accueilli cette fois par un gémissement. Léa se cambre un peu plus, allant au devant de cette pénétration.
Je vais te prendre maintenant... tu le veux ?
Oui...
Alors dis-le moi ! Demande-le moi !
Viens ! Prends mon cul ! Encule-moi !!
Satisfait, il s'agenouille derrière elle et pose son gland contre l'anneau sombre. Il pèse contre le muscle qui, peu à peu, cède. Je regarde le membre de Marc écarteler le cul de ma femme, s'enfonçant inexorablement. Léa grimace un peu sous la pénétration et son amant lui conseille de pousser « comme si elle allait à la selle ». Elle pousse donc et le membre s'enfonce un peu plus, lui tirant cette fois un léger soupir où la douleur semble avoir disparu.
Marc fait preuve de patience et de longues minutes s'écoulent avant qu'il ne soit totalement en elle, son ventre contre les fesses de ma chérie. Il reste alors immobile et demande :
Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?
Non... ça fait juste un peu bizarre... reste comme ça... sans bouger...
Quelques minutes plus tard, c'est Léa qui, d'un mouvement des reins, indique à son amant qu'elle est prête à aller plus loin.
Toujours aussi lentement, Marc ressort de l'étroit fourreau et, quand il ne reste que le bout du gland encore emprisonné, il reprend possession du cul offert, tirant cette fois un gémissement où le plaisir a sans conteste pris la place de la souffrance.
Les va et vient se font plus amples, les gémissements de deux partenaires plus sonores et mon excitation atteint son paroxysme quand j'entends ma petite femme chérie répondre à Marc :
Oh oui... c'est trop bon... n'arrête pas ! Défonce-moi !
Les fesses de Léa claquent de plus en plus rapidement et de plus en plus fort contre le bas ventre de Marc qui la lime désormais à grands coups de reins.
Les « ah », « oui », « c'est bon » et autres onomatopées ne cessent plus , ma chérie apprécie maintenant totalement cette sodomie pourtant vigoureuse.
Leur chevauchée dure de longues minutes, rythmée par les gémissements de deux partenaires et les claquements de deux corps. Puis, ne pouvant plus se retenir, Marc prévient qu'il va « balancer la purée ! » selon ses propres termes.
Vas-y ! Jouis ! Donne-moi ton jus ! Vide-toi dans mon cul !
Oui... ça y est ! Je viens !
Il explose dans un long cri et j'imagine ses giclées fuser dans les fesses, inondant le noir tunnel.
Après un instant d'immobilité, il ressort, le sexe flasque. Léa s'effondre sur le ventre, son popotin marqué des traces de mains de son amant.
Léa, tu ne pouvais me faire cadeau plus génial !
C'est à moi de te remercier. Patrice, mon chéri, je regrette de ne pas t'avoir laissé faire plus souvent... crois-moi ! Maintenant, tu pourras y venir quand bon t'y semblera !
Tu m'en vois ravi...
D'ailleurs, toi qui apprécies mes caresses à cet endroit, tu devrais essayer... Marc est très doux et je suis certaine que tu aimeras...
Ça alors ! Ma femme me propose de me faire enculer ! Rien que ça ! Et voilà Marc, mon meilleur pote, qui, après s'être tapé la femme, se voit très bien se faire le mari !!
Léa a raison. Je t'assure, pour y avoir goûté, que c'est très agréable...
Ben tiens donc !! le contraire m'aurait étonné !! Tu pries pour ton église.
Je ne veux pas te forcer, tu sais. De toute façon, je ne suis plus en état... pour le moment... Je vous propose d'ouvrir une nouvelle bouteille pour fêter comme il se doit cette soirée !
Excellente idée, s'exclame ma puce, tout cela m'a donné soif !!
Restez là, je vais chercher ce qu'il faut !
Pendant l'absence de Marc, Léa me demande ce que je pense de la soirée :
Tu n'es pas trop jaloux ?
Mais non... au contraire... vous m'avez beaucoup excité tous les deux...
Je me suis quand même comporté comme une belle salope...
Et j'ai adoré ça !
Notre ami revient, les bras chargé d'un plateau sur lequel trônent une bouteille de champagne et trois verres.
Nous trinquons à nouveau, allongés sur le lit, Léa entre ses deux amants du soir.
Vous savez, il y a longtemps que je fantasmais sur le genre de soirée qu'on passe. Je me suis souvent donné du plaisir tout seul, en m'imaginant en train de caresser, d'embrasser, de baiser avec Léa. Ce soir, vous m'avez offert un somptueux cadeau.
Je peux bien l'avouer, il m'est arrivé à moi aussi de me caresser le bouton en remplaçant en pensée mon doigt par ta langue...
Décidément, on en avait tous envie ! Moi aussi, je me suis parfois branlé en rêvant Léa dans tes bras...
Et ce soir, la réalité a dépassé la fiction !!!
Le plus naturellement, Marc a reposé sa main sur le haut de la cuisse de ma chérie et la caresse doucement. Je le regarde faire, non sans remarquer que son sexe, peu à peu, reprend de la vigueur.
Ma chérie, décidément bien coquine, suit mon regard et, souriante, s'exclame :
Dis-donc, mon petit Patrice, on dirait qu'elle t'attire la queue de Marc !
Ce dernier lève les yeux vers moi puis, se penchant par-dessus Léa, m'offre une agréable caresse sur la verge.
Ma femme se lève et s'installe de l'autre côté de moi. Je me retrouve ainsi entre eux deux , Marc en profite pour appuyer un peu plus sa caresse et ne tarde pas à obtenir l'effet escompté.
Ne sois pas égoïste mon chéri !
À mon tour, j'empaume la tige de notre ami et fais aller et venir ma main le long de cette colonne déjà toute droite et toute dure.
J'aimerais bien vous voir vous sucer...
À peine sa phrase prononcée, comme s'il n'attendait que cela, Marc m'attire sur lui et nous nous retrouvons en 69. Sa bouche plonge sur mon sexe tandis que je reste un peu bête, ses couilles et son sexe juste au-dessus de mon visage, hésitant encore à franchir le pas.
Vas-y mon amour ! Elle est délicieuse, tu vas voir !
Soit ! Je l'embrasse du bout des lèvres puis, timidement, sors la langue et la promène le long de la hampe avant de lécher enfin le gland, initiative accueillie par un "hum" de plaisir de Marc.
Je me surprends à trouver agréable de sucer ainsi un sexe masculin.
C'est bien mon chéri... avale-le tout entier... ça m'excite de te regarder sucer une bitte...
Encouragé, tant par les paroles de ma femme que par le plaisir que j'éprouve à offrir cette caresse, je m'applique à offrir à mon ami la plus agréable des fellations. Ses gémissements, étouffés par mon propre sexe, m'indiquent qu'il apprécie mes baisers. Lui-même me suce divinement bien, alternant coups de langue fugaces et gorge profonde.
Il relève mes jambes et les coince sous ses épaules. Ainsi, il a à sa portée mon petit trou du cul qui reçoit rapidement la visite d'un doigt aussi curieux qu'agile. Ne voulant pas être en reste, je lui branle également cul, d'abord d'un doigt puis, à sa demande, de deux, puis bientôt trois, qui vont et viennent sans aucun problème entre ses reins.
Tournant la tête, je vois que ma chérie, pour l'instant seule, semble prendre un grand plaisir à nous mater, à en juger par ses doigt qui fouillent sa chatte et agacent son clitoris. Elle s'aperçoit que je la regarde et me souris amoureusement.
Je n'aurais jamais pensé assisté à un tel spectacle... vous êtes craquant tous les deux...
Marc lâche mon sexe et lui demande de lui apporter le tube de lubrifiant qui est sur la table de nuit près d'elle. Le sourire de Léa s'agrandit encore quand elle dépose une noix de gel sur ma rondelle.
Plus de doute ! Je ne vais guère tarder à perdre ce pucelage !! Au lieu de m'effrayer, cette perspective m'excite et j'ai presque hâte de sentir en moi la queue de Marc.
L'attente n'est pas bien longue. Marc se relève puis saisit mes cuisses et, tout en les écartant, me les replie sur le ventre. Il s'agenouille face à moi, le sexe à la main, et l'appuie, comme il l'a fait tout à l'heure avec Léa, contre mon œillet sombre. Instinctivement, je contracte mes muscles mais ma chérie me rassure :
Relaxe-toi ! Tu vas voir, Marc est très doux... pousse un peu pour l'aider !
J'obéis et sens bientôt le gland écarteler mes chairs, se frayant coûte que coûte un chemin. Je pousse un peu plus fort et la progression continue. Si la douleur est bien présente, elle est plus que supportable. De deux mains, j'écarte mes fesses, m'offrant sans aucune retenue. Mon amant, il faut bien l'appeler ainsi, ne cesse plus de s'enfoncer en moi et, après quelques minutes, je sens ses poils caresser mes fesses.
Ça y est ! Je t'ai tout mis ! Ça va ?
Oui... mieux que je le craignais...
Lentement, il fait marche arrière, ressortant presque totalement avant de reprendre possession de mes reins, cette fois un peu plus rapidement.
Alors mon chéri ? C'est bon de se faire mettre un bonne bitte dans le cul, hein ?
Hum... oui... c'est vrai...
Je t'achèterais un gode pour te mettre de temps en temps...
Marc a accéléré la cadence et il me baise maintenant plus rapidement, ses coups de reins rythmés par ses soupirs.
T'as un cul des plus accueillants... j'adore te défoncer...
Alors, vas-y ! Ne te gêne pas ! Moi aussi j'adore ta queue...
Baissant les yeux, je regarde, excité, cette barre qui entre et sort de mes fesses. Si on m'avait dit un jour que je me ferais enculer et qu'en plus j'aimerais...
Marc me baise ainsi un long moment , il me fait mettre à quatre pattes, cambré, et j'ai l'impression qu'il parvient à aller toujours plus loin, toujours plus fort. Léa se glisse sous moi et gobe ma queue qui bizarrement, malgré mon excitation, n'est pas totalement en érection. Les coups de langue et autres succions de ma coquine remédient bien vite à la situation et me font retrouver toute ma « splendeur ». Derrière moi, les gémissements de notre ami s'amplifient et je devine qu'il ne va plus tarder à parvenir à l'orgasme. Effectivement, un instant plus tard, il sort de moi, me laissant un désagréable sensation de vide et je sens ses jets chauds s'écraser sur mon dos.
Vidé, au propre comme au figuré, il s'écroule sur le dos, en sueur, le souffle court. C'est le moment que choisit Léa pour me dire :
Chéri... je te veux dans mon cul...
Elle me pousse sur le dos, s'empare de ma queue désormais bien raide et s'assied dessus, s'empalant d'un trait jusqu'à la garde. Ne s'occupant pratiquement pas de moi, m'utilisant comme une poupée gonflable, rythmant elle-même la sodomie, les mains en appui sur mon torse, les seins ballottant, ma chérie monte et descend sur ma colonne, gémissant sans relâche, le visage marqué par le plaisir.
Je pose les mains sur sa poitrine et la pelote amoureusement, pinçant légèrement les tétons tendus. Elle se penche sur moi et nos bouches se trouvent pour un long et fougueux baiser, nos langues dansant ensemble, nos dents s'entrechoquant.
Je sens le plaisir monter à nouveau et demande à ma chérie de ralentir un peu ses va et vient.
Non, jouis mon amour... je veux te sentir gicler dans mon cul... je veux que tu prennes ton pied dans mes fesses... vas-y ! viens ! Vide-toi en moi !
Oh oui... je vais venir... Léa, ça y est !!! oui !!! AHHHH
Léa envoie un doigt sur son bouton et se caresse presque violemment tant et si bien qu'elle parvient à l'orgasme presque en même temps que moi. Elle s'écroule sur mon torse et on reste de longues minutes enlacés, savourant le plaisir extrême qu'on vient de prendre.
Sortant de notre torpeur, nous nous dirigeons vers la salle de bains pour une nouvelle douche bien méritée. Marc est y déjà, savourant la fraîcheur revigorante de l'eau. Il nous cède la place et nous propose de passer la nuit chez lui. Ayant bu quelques verres et quelque peu fatigués par nos ébats, nous acceptons avec plaisir. Il file donc se coucher :
On dort ensemble bien entendu !
Le contraire m'aurait étonné !!
Après la douche, nous le rejoignons donc. Tout naturellement, Léa s'installe entre nous et quelques minutes plus tard, le silence n'est plus rompu que par nos respirations assoupies.
@ suivre...
Non.
Ma chère femme a honte de son corps...
Honte, n'exagère pas ! Mais avoue que comme spectacle, il y a mieux !
Mais tu crois que les gens passent leur temps à mater ? Crois-moi, j'en ai vu des femmes en maillot, qui débordaient de partout et bien, personne ne semblait choqué... et, permets-moi de te le dire... tu es vraiment très loin, mais alors très très loin d'être moche !
Merci mais c'est pas une raison.
La conversation s'arrête là. Léa n'a visiblement guère envie de s'attarder sur le sujet et, la connaissant, je la sens au bord de l'énervement.
Nous continuons à déguster notre coupe de champagne, sagement installés dans le canapé de Marc, notre meilleur ami, qui, ce soir, nous reçoit à dîner pour fêter sa promotion. Le repas s'est déroulé comme d'habitude dans une excellente ambiance et je n'ai pas du tout envie que cela dégénère. C'est pourquoi, d'un léger clignement de paupières, je fais signe à notre hôte de ne pas insister.
Celui-ci ne semble pourtant pas vouloir tenir compte de mon avertissement et poursuit :
En tout cas, moi, j'adorerais te voir en petite tenue...
Sa remarque ne rencontre aucun écho. Léa lui jette un regard incrédule et je crains fort qu'à ce moment, notre amitié prenne une volée de plombs dans l'aile !
S'il est vrai qu'entre nous, les conversations sont particulièrement libres, les blagues coquines courantes, c'est la première fois qu'il ose une remarque aussi directe.
Tiens donc ! Rien que ça !
Euh... pas que ça non... mais ce serait déjà pas mal...
Tu entends Pat ? Tu en penses quoi ?
J'en pense que Marc est plutôt culotté...de vouloir te voir déculottée...
Comme tu dis...
Un silence suit cet échange. Visiblement, et contrairement à ce que je craignais, Léa ne montre pas de signe de colère suite à cette révélation.
Je sais qu'elle trouve notre ami beau gosse et elle est sans doute plus flattée que fâchée de sa remarque. Je me demande pourtant comment va se poursuivre cette soirée et si Marc n'est pas allé trop loin. D'autant que ce dernier en remet une couche :
Tu te mettrais en maillot pour moi ?
Quelle question ! Je n'en sais rien...
Ma chérie semble quelque peu troublée. Il s'en rend compte et poursuit :
Avoue que se montrer en maillot n'a jamais tué personne !
Oui, bien sûr ! Mais là, tu me proposes ni plus ni moins de me dévoiler uniquement pour toi... m'exhiber quoi... ce qui n'est pas pareil que me mettre en maillot à la plage...
C'est vrai... je te l'accorde... mais que crains-tu ? Patrice est là... je ne vais pas te violer...
Il ne manquerait plus que ça !
Tiens, tiens... Marc a, volontairement j'en suis persuadé, abandonné le conditionnel pour le présent sans que Léa n'y trouve à redire. Et sans qu'elle ne s'oppose plus vivement à cette invitation.
Tu sembles oublier une chose, mon cher ami... je n'ai pas ce genre de vêtement avec moi aujourd'hui...
Maillot ou simple slip, la différence n'est pas énorme...
Ben voyons ! D'abord en maillot de bain, maintenant en slip... la prochaine étape, c'est quoi ? Cul nu ?
Nouveau silence. L'ambiance est devenue plus lourde. J'ai l'impression que cette soirée, jusque là très amicale, pourrait devenir beaucoup plus torride.
Comme paraît-il pas mal de maris, il m'est arrivé d'imaginer ma chérie avec un autre homme. Mais jamais nous n'en avons parlé et si Léa n'était plus vierge quand nous nous sommes rencontrés, j'ignore si elle partage ce genre de fantasme.
Tu te lèves, tu baisses ton pantalon et tu nous montres tes fesses... ça ne t'engage tout de même pas à grand-chose...
Cette fois, les dés sont jetés !
Alors ? Tu y vas ?
Léa tourne la tête vers moi.
Tu ne dis rien ?
Que veux-tu que je dise ! Tu fais comme tu le sens !
Dans ce cas...
Elle hésite encore quelques courtes secondes puis se lève et se met au milieu du salon, dos à nous. Lentement, elle baisse son vêtement, dévoilant son slip.
Superbe ! Descend-le encore un peu que je puisse admirer tes cuisses.
Tu n'es jamais content...
Malgré cette réponse, elle baisse un peu plus son pantalon puis décide de le lâcher, se retrouvant ainsi le bas uniquement vêtu de son slip.
Ramène les côtés ! Comme si tu avais un string !
La tension monte un peu plus quand ma chérie, lui obéissant, dévoile complètement ses fesses.
Comme disait Marielle : Ah nom de Dieu, quel cul ! !! Léa, tu as un cul vraiment superbe !! Tu sais quoi ?
Non... vas-y ! Je m'attends au pire...
J'adorerais l'embrasser...
Ben tiens donc !
Sans attendre la réponse, Marc se lève et la rejoint. Il s'agenouille, pose la bouche sur le fin tissu et embrasse doucement le sous-vêtement.
Hum... je suis sûr que ta peau est d'une douceur exquise...
Je te vois venir...
Tu acceptes ?
Tu n'en as jamais assez, toi !
Lentement, Marc pose les doigt sur le haut du slip et le baisse, dévoilant les fesses de Léa. Il prend tout son temps et lui caresse les jambes au fur et à mesure qu'il le fait glisser.
Lorsqu'il l'a débarrassée de son slip, Marc se relève, pose les mains sur ses épaules et la fait se retourner. Elle jette un regard dans ma direction , mon sourire la rassure et elle n'oppose aucune résistance quand il entreprend de lui déboutonner le chemiser.
La voici maintenant uniquement vêtue de son soutien-gorge, offerte à nos yeux gourmands. Il poursuit l'effeuillage et, après quelques secondes, les seins de ma chérie se retrouvent à l'air libre, chacun gratifié d'un léger baiser.
Les joues de Léa ont pris une jolie teinte rose, signe de gêne ou d'excitation ?
Marc s'agenouille à nouveau et se retrouve le visage à hauteur du sexe de Léa. Il pose les mains sur ses fesses, l'attirant contre lui, et lui dépose de légers baisers sur le Mont de Vénus. Elle ne peut étouffer quelques légers gémissements, indiquant qu'elle apprécie son initiative.
Je me lève, les rejoins et, passant dans le dos de ma chérie, empaume ses seins et les caresse, en faisant rapidement grossir les tétons.
Se relevant, Marc l'entraîne vers le canapé dans lequel il la fait s'allonger. À genoux, il retrouve la fente trempée dont il reprend la dégustation, les jambes de Léa sur ses épaules, désormais totalement offerte.
Je me déshabille, me penche vers le visage de ma femme et nos bouches se soudent pour un long et doux baiser.
L'orgasme la surprend pendant notre étreinte. Elle pousse un long cri rauque. Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte, c'est la première fois que j'admire ainsi ma chérie prendre son plaisir.
Marc se relève, souriant, le menton brillant de la cyprine de Léa.
Tu as une chatte absolument délicieuse ma petite Léa.
À son tour, il se met nu, exhibant son sexe tendu. Je ne peux m'empêcher de le regarder : d'une longueur un peu supérieure au mien, il est un peu plus fin : un sexe idéal pour la sodomie !
Ma chérie, qui a retrouvé ses esprits, le regarde elle aussi avec, dans les yeux, une lueur des plus coquines !
Elle s'assied et, à son tour, attrape Marc par les fesses pour l'attirer contre elle. Comme dans un rêve, je vois ma femme engloutir un sexe qui n'est pas le mien et le faire aller et venir entre ses lèvres avec un plaisir non feint.
Je m'assieds à côté d'elle et la regarde offrir cette fellation à notre ami.
Lâchant la queue tendue, Léa me demande :
Ça t'excite de me voir le sucer ?
Hum... oui... beaucoup...
Tiens... caresse-le un peu !
Timidement, je prends le bâton de chair de Marc en main et fais quelques va et vient. Je me surprends à en apprécier le contact. Son sexe est chaud, dur et doux à la fois et je prends plaisir à le masturber. Léa me regarde faire, un léger sourire aux lèvres. Je dirige le membre vers sa bouche, l'y appuie et à nouveau elle le fait coulisser entre ses lèvres. Ma main soupèse les couilles de Marc, les caresse, descend vers cette zone, si sensible chez moi, qui les sépare de l'anus.
Hum... c'est bon... n'arrêtez pas... oui... comme ça... prends-la toute entière Léa !
Je m'enhardis alors et d'un doigt vient titiller son oeillet. Contre toute attente, Marc ne se dérobe pas, bien au contraire :
Oui Pat... branle-moi le cul... encule-moi avec tes doigts !
Mon doigt force lentement le muscle et je pénètre le cul de mon ami. C'est décidément le soir des découvertes !
Je pose mon autre main sur la cuisse de Léa que je caresse doucement, remontant lentement vers sa fourche.
Je retrouve sa fente trempée et effleure ses lèvres, en lents aller et retour. Elle écarte un peu plus les jambes, avance son bassin vers le bord, s'offrant du mieux qu'elle peut. Je parviens à introduire un doigt dans sa chatte et la branle au même rythme que le cul de notre ami.
Quelques minutes plus tard, les gémissements de Marc s'amplifient et je sens ses muscles se contracter.
Ah... je vais venir.. oui... c'est trop bon... je viens... je jouis... ahhh !!!!
Léa n'a que le temps de sortir le membre de sa bouche et le diriger vers sa poitrine avant que les jets fusent, lui arrosant abondamment les seins.
Ma chérie ne le laisse que lorsqu'elle est certaine qu'il s'est totalement vidé. Alors, elle lâche le sexe de Marc et se masse la poitrine avec une moue des plus coquines.
À mon tour, je sors le doigt du cul et Marc s'écroule plus qu'il s'assied à nos côtés.
Mon chéri... j'ai trop envie d'une queue en moi... viens... vite !
Comment refuser une telle inviation ? Je la fais s'installer, les fesses sur l'accoudoir, les jambes repliées et, debout face à elle, je l'investis d'une unique et longue poussée qui lui tire un cri de bonheur.
J'entame de lents et profonds va et vient qui la font gémir de plus en plus fort. Marc, assis à côté d'elle, se penche vers sa poitrine et embrasse ses seins dont les bouts turgescents montrent s'il était besoin l'état d'excitation dans lequel se trouve ma chère et tendre.
Oh que c'est bon... mon amour, tu me baises bien... viens plus fort... oui... enfonce-toi bien à fond...
Mes gémissements se mêlent à ceux de ma femme et mes coups de rein redoublent d'ardeur. À ce rythme, je ne tiens guère que quelques minutes avant de succomber à mon tour au plaisir.
Ma chérie, je vais jouir... ça y est ! Je viens !
Jouis mon amour ! Vide-toi en moi ! Donne-moi ton jus !
Je me plante une dernière fois au fond du sexe de Léa et me laisse aller à l'orgasme. J'ai l'impression de ne jamais avoir éjaculé aussi fort, aussi longuement.
Enfin, mon sexe perd de sa vigueur et je suis expulsé du vagin de Léa. Marc, qui a retrouvé la pleine possession de ses moyens, prend alors ma place entre les cuisses de ma femme :
Tu veux bien ?
Oh oui ! Vas-y ! Prends-moi à ton tour ! Fais-moi encore jouir !
Il ne se le fait pas dire deux fois et, à son tour, s'enfonce en elle, accueilli par le même cri de joie.
Je les regarde baiser, admirant à nouveau ma Léa prendre du plaisir avec un autre que moi. Je n'aurais jamais cru que le spectacle m'exciterait autant ! Au point que je me retrouve très rapidement en érection.
Les deux amants changent de position : Marc s'assied sur le bord du canapé et Léa l'enjambe. Ainsi, il peut profiter de la poitrine de ma chérie, ce dont il ne se prive pas, lui caressant les seins, les embrassant, les tétant parfois tel un nouveau né.
Les ahanements de Marc et les gémissements de Léa résonnent, signes du plaisir qu'ils se donnent mutuellement. Pour la seconde fois, ma petite femme chérie atteint le nirvana. Sa bouche s'empare de celle de son amant et, tout en l'embrassant fougueusement, elle jouit longuement. Marc reste immobile, fiché au plus profond de son intimité, la laissant savourer son plaisir.
Lorsque leurs bouches se séparent, Léa, en nage, les cheveux collés au front, réclame une pause. Elle se relève, me demande son verre avant de se rasseoir, désireuse de se rafraichir un peu. Marc et moi la regardons avec tendresse. À son tour, il s'empare de sa flûte et nous trinquons tous trois à cette soirée.
Lorsque nous avons "digéré ce "moment d'égarement", Marc, visiblement bien décidé à en profiter au maximum, demande à Léa :
Mets-toi sur le ventre ! J'ai envie de connaître un peu plus ton côté pile...
Léa s'allonge donc, nous offrant la vision de son postérieur rebondi qu'on a envie de croquer. Marc la caresse doucement, commençant par les épaules, descendant ensuite lentement sur le dos.
Ta peau est douce...
En guise de réponse, ma chérie émet comme un ronronnement...
Oh, l'adorable petite chatte !
Miaouuu... lui répond t-elle en riant.
Les mains de notre ami sont maintenant sur les fesses de Léa qu'elles caressent, massent, griffent parfois, tirant de légers soupirs à ma dulcinée.
Tu as un popotin des plus attirants...
Il est trop gros...
Je ne trouve pas. En tout cas, je l'adore ! J'en mangerais !
Joignant le geste à la parole, il lui mordille une fesse, la faisant sursauter.
Hé ! Cannibale !
Pour se faire pardonner, il dépose un énorme baiser sur chacun des deux globes puis, de la langue, entame l'exploration du sillon fessier.
Des deux pouces, il écarte les fesses, dévoilant le délicat sillon qu'il lèche avec beaucoup de tendresse et d'application. Ma chérie, les yeux mi-clos, savoure ses attentions , sa respiration à nouveau s'accélère sensiblement, notamment lorsque Marc titille plus longuement son petit œillet. Elle écarte sensiblement les jambes tout en soulevant légèrement le bassin, se livrant un peu plus aux baisers de notre ami.
Marc, à force de patience et de douceur, parvient à prendre possession du petit trou de Léa dans lequel il enfonce la langue qu'il fait aller et venir comme s'il s'agissait d'un sexe.
Peu habituée à ces caresses anales, ma chérie ne semble pourtant pas vouloir y dérober et, au fil des minutes, elle se cambre tant et si bien qu'elle se retrouve pratiquement à quatre pattes.
Allons dans la chambre, nous serons plus à l'aise !
C'est ainsi que nous nous retrouvons sur le lit de notre ami qui s'allonge sur le dos et demande à Léa de venir sur lui, en 69.
Ma chérie dépose de légers baisers sur la hampe qui, lentement, se redresse sous ses lèvres.
Délaissant son cul, Marc retrouve la fente toujours aussi trempée qu'il honore des lèvres et de la langue. Plongeant son index dans le vagin, il y fait quelques aller et retour avant de le ressortir pour l'appuyer contre le petit tou. Doucement, il force le passage et parvient sans trop de mal à prendre possession du cul de Léa.
Hum... tu es serrée... Pat te prend souvent par là ?
Non... Il l'a fait une fois ou deux...
Tu n'aimes pas ?
C'est pas ce que je préfère...
Je vais te prendre par ton joli cul, d'accord ?
Je ne sais pas...
Il n'insiste pas et reprend son doux cunnilingus, non sans cesser d'aller et venir dans les reins de Léa. Peu à peu, ma chérie se laisse aller, semblant oublier ce doigt qui lui ramone le cul. Quand Marc y joint un second, elle ne s'en plaint pas et il me semble même qu'elle écarte un peu plus encore les cuisses.
Écarte tes fesses avec tes mains !
Elle obéit et dévoile totalement son oeillet, déformé par les doigts de son amant.
Tu aimes ?
Hum... oui... mais vas-y doucement...
Il reprend ses coups de langue sur la chatte, titillant plus souvent le bouton, enfonçant la langue dans la grotte. Après quelques minutes, il parvient à glisser un troisième doigt, accueilli cette fois par un gémissement. Léa se cambre un peu plus, allant au devant de cette pénétration.
Je vais te prendre maintenant... tu le veux ?
Oui...
Alors dis-le moi ! Demande-le moi !
Viens ! Prends mon cul ! Encule-moi !!
Satisfait, il s'agenouille derrière elle et pose son gland contre l'anneau sombre. Il pèse contre le muscle qui, peu à peu, cède. Je regarde le membre de Marc écarteler le cul de ma femme, s'enfonçant inexorablement. Léa grimace un peu sous la pénétration et son amant lui conseille de pousser « comme si elle allait à la selle ». Elle pousse donc et le membre s'enfonce un peu plus, lui tirant cette fois un léger soupir où la douleur semble avoir disparu.
Marc fait preuve de patience et de longues minutes s'écoulent avant qu'il ne soit totalement en elle, son ventre contre les fesses de ma chérie. Il reste alors immobile et demande :
Ça va ? Tu n'as pas trop mal ?
Non... ça fait juste un peu bizarre... reste comme ça... sans bouger...
Quelques minutes plus tard, c'est Léa qui, d'un mouvement des reins, indique à son amant qu'elle est prête à aller plus loin.
Toujours aussi lentement, Marc ressort de l'étroit fourreau et, quand il ne reste que le bout du gland encore emprisonné, il reprend possession du cul offert, tirant cette fois un gémissement où le plaisir a sans conteste pris la place de la souffrance.
Les va et vient se font plus amples, les gémissements de deux partenaires plus sonores et mon excitation atteint son paroxysme quand j'entends ma petite femme chérie répondre à Marc :
Oh oui... c'est trop bon... n'arrête pas ! Défonce-moi !
Les fesses de Léa claquent de plus en plus rapidement et de plus en plus fort contre le bas ventre de Marc qui la lime désormais à grands coups de reins.
Les « ah », « oui », « c'est bon » et autres onomatopées ne cessent plus , ma chérie apprécie maintenant totalement cette sodomie pourtant vigoureuse.
Leur chevauchée dure de longues minutes, rythmée par les gémissements de deux partenaires et les claquements de deux corps. Puis, ne pouvant plus se retenir, Marc prévient qu'il va « balancer la purée ! » selon ses propres termes.
Vas-y ! Jouis ! Donne-moi ton jus ! Vide-toi dans mon cul !
Oui... ça y est ! Je viens !
Il explose dans un long cri et j'imagine ses giclées fuser dans les fesses, inondant le noir tunnel.
Après un instant d'immobilité, il ressort, le sexe flasque. Léa s'effondre sur le ventre, son popotin marqué des traces de mains de son amant.
Léa, tu ne pouvais me faire cadeau plus génial !
C'est à moi de te remercier. Patrice, mon chéri, je regrette de ne pas t'avoir laissé faire plus souvent... crois-moi ! Maintenant, tu pourras y venir quand bon t'y semblera !
Tu m'en vois ravi...
D'ailleurs, toi qui apprécies mes caresses à cet endroit, tu devrais essayer... Marc est très doux et je suis certaine que tu aimeras...
Ça alors ! Ma femme me propose de me faire enculer ! Rien que ça ! Et voilà Marc, mon meilleur pote, qui, après s'être tapé la femme, se voit très bien se faire le mari !!
Léa a raison. Je t'assure, pour y avoir goûté, que c'est très agréable...
Ben tiens donc !! le contraire m'aurait étonné !! Tu pries pour ton église.
Je ne veux pas te forcer, tu sais. De toute façon, je ne suis plus en état... pour le moment... Je vous propose d'ouvrir une nouvelle bouteille pour fêter comme il se doit cette soirée !
Excellente idée, s'exclame ma puce, tout cela m'a donné soif !!
Restez là, je vais chercher ce qu'il faut !
Pendant l'absence de Marc, Léa me demande ce que je pense de la soirée :
Tu n'es pas trop jaloux ?
Mais non... au contraire... vous m'avez beaucoup excité tous les deux...
Je me suis quand même comporté comme une belle salope...
Et j'ai adoré ça !
Notre ami revient, les bras chargé d'un plateau sur lequel trônent une bouteille de champagne et trois verres.
Nous trinquons à nouveau, allongés sur le lit, Léa entre ses deux amants du soir.
Vous savez, il y a longtemps que je fantasmais sur le genre de soirée qu'on passe. Je me suis souvent donné du plaisir tout seul, en m'imaginant en train de caresser, d'embrasser, de baiser avec Léa. Ce soir, vous m'avez offert un somptueux cadeau.
Je peux bien l'avouer, il m'est arrivé à moi aussi de me caresser le bouton en remplaçant en pensée mon doigt par ta langue...
Décidément, on en avait tous envie ! Moi aussi, je me suis parfois branlé en rêvant Léa dans tes bras...
Et ce soir, la réalité a dépassé la fiction !!!
Le plus naturellement, Marc a reposé sa main sur le haut de la cuisse de ma chérie et la caresse doucement. Je le regarde faire, non sans remarquer que son sexe, peu à peu, reprend de la vigueur.
Ma chérie, décidément bien coquine, suit mon regard et, souriante, s'exclame :
Dis-donc, mon petit Patrice, on dirait qu'elle t'attire la queue de Marc !
Ce dernier lève les yeux vers moi puis, se penchant par-dessus Léa, m'offre une agréable caresse sur la verge.
Ma femme se lève et s'installe de l'autre côté de moi. Je me retrouve ainsi entre eux deux , Marc en profite pour appuyer un peu plus sa caresse et ne tarde pas à obtenir l'effet escompté.
Ne sois pas égoïste mon chéri !
À mon tour, j'empaume la tige de notre ami et fais aller et venir ma main le long de cette colonne déjà toute droite et toute dure.
J'aimerais bien vous voir vous sucer...
À peine sa phrase prononcée, comme s'il n'attendait que cela, Marc m'attire sur lui et nous nous retrouvons en 69. Sa bouche plonge sur mon sexe tandis que je reste un peu bête, ses couilles et son sexe juste au-dessus de mon visage, hésitant encore à franchir le pas.
Vas-y mon amour ! Elle est délicieuse, tu vas voir !
Soit ! Je l'embrasse du bout des lèvres puis, timidement, sors la langue et la promène le long de la hampe avant de lécher enfin le gland, initiative accueillie par un "hum" de plaisir de Marc.
Je me surprends à trouver agréable de sucer ainsi un sexe masculin.
C'est bien mon chéri... avale-le tout entier... ça m'excite de te regarder sucer une bitte...
Encouragé, tant par les paroles de ma femme que par le plaisir que j'éprouve à offrir cette caresse, je m'applique à offrir à mon ami la plus agréable des fellations. Ses gémissements, étouffés par mon propre sexe, m'indiquent qu'il apprécie mes baisers. Lui-même me suce divinement bien, alternant coups de langue fugaces et gorge profonde.
Il relève mes jambes et les coince sous ses épaules. Ainsi, il a à sa portée mon petit trou du cul qui reçoit rapidement la visite d'un doigt aussi curieux qu'agile. Ne voulant pas être en reste, je lui branle également cul, d'abord d'un doigt puis, à sa demande, de deux, puis bientôt trois, qui vont et viennent sans aucun problème entre ses reins.
Tournant la tête, je vois que ma chérie, pour l'instant seule, semble prendre un grand plaisir à nous mater, à en juger par ses doigt qui fouillent sa chatte et agacent son clitoris. Elle s'aperçoit que je la regarde et me souris amoureusement.
Je n'aurais jamais pensé assisté à un tel spectacle... vous êtes craquant tous les deux...
Marc lâche mon sexe et lui demande de lui apporter le tube de lubrifiant qui est sur la table de nuit près d'elle. Le sourire de Léa s'agrandit encore quand elle dépose une noix de gel sur ma rondelle.
Plus de doute ! Je ne vais guère tarder à perdre ce pucelage !! Au lieu de m'effrayer, cette perspective m'excite et j'ai presque hâte de sentir en moi la queue de Marc.
L'attente n'est pas bien longue. Marc se relève puis saisit mes cuisses et, tout en les écartant, me les replie sur le ventre. Il s'agenouille face à moi, le sexe à la main, et l'appuie, comme il l'a fait tout à l'heure avec Léa, contre mon œillet sombre. Instinctivement, je contracte mes muscles mais ma chérie me rassure :
Relaxe-toi ! Tu vas voir, Marc est très doux... pousse un peu pour l'aider !
J'obéis et sens bientôt le gland écarteler mes chairs, se frayant coûte que coûte un chemin. Je pousse un peu plus fort et la progression continue. Si la douleur est bien présente, elle est plus que supportable. De deux mains, j'écarte mes fesses, m'offrant sans aucune retenue. Mon amant, il faut bien l'appeler ainsi, ne cesse plus de s'enfoncer en moi et, après quelques minutes, je sens ses poils caresser mes fesses.
Ça y est ! Je t'ai tout mis ! Ça va ?
Oui... mieux que je le craignais...
Lentement, il fait marche arrière, ressortant presque totalement avant de reprendre possession de mes reins, cette fois un peu plus rapidement.
Alors mon chéri ? C'est bon de se faire mettre un bonne bitte dans le cul, hein ?
Hum... oui... c'est vrai...
Je t'achèterais un gode pour te mettre de temps en temps...
Marc a accéléré la cadence et il me baise maintenant plus rapidement, ses coups de reins rythmés par ses soupirs.
T'as un cul des plus accueillants... j'adore te défoncer...
Alors, vas-y ! Ne te gêne pas ! Moi aussi j'adore ta queue...
Baissant les yeux, je regarde, excité, cette barre qui entre et sort de mes fesses. Si on m'avait dit un jour que je me ferais enculer et qu'en plus j'aimerais...
Marc me baise ainsi un long moment , il me fait mettre à quatre pattes, cambré, et j'ai l'impression qu'il parvient à aller toujours plus loin, toujours plus fort. Léa se glisse sous moi et gobe ma queue qui bizarrement, malgré mon excitation, n'est pas totalement en érection. Les coups de langue et autres succions de ma coquine remédient bien vite à la situation et me font retrouver toute ma « splendeur ». Derrière moi, les gémissements de notre ami s'amplifient et je devine qu'il ne va plus tarder à parvenir à l'orgasme. Effectivement, un instant plus tard, il sort de moi, me laissant un désagréable sensation de vide et je sens ses jets chauds s'écraser sur mon dos.
Vidé, au propre comme au figuré, il s'écroule sur le dos, en sueur, le souffle court. C'est le moment que choisit Léa pour me dire :
Chéri... je te veux dans mon cul...
Elle me pousse sur le dos, s'empare de ma queue désormais bien raide et s'assied dessus, s'empalant d'un trait jusqu'à la garde. Ne s'occupant pratiquement pas de moi, m'utilisant comme une poupée gonflable, rythmant elle-même la sodomie, les mains en appui sur mon torse, les seins ballottant, ma chérie monte et descend sur ma colonne, gémissant sans relâche, le visage marqué par le plaisir.
Je pose les mains sur sa poitrine et la pelote amoureusement, pinçant légèrement les tétons tendus. Elle se penche sur moi et nos bouches se trouvent pour un long et fougueux baiser, nos langues dansant ensemble, nos dents s'entrechoquant.
Je sens le plaisir monter à nouveau et demande à ma chérie de ralentir un peu ses va et vient.
Non, jouis mon amour... je veux te sentir gicler dans mon cul... je veux que tu prennes ton pied dans mes fesses... vas-y ! viens ! Vide-toi en moi !
Oh oui... je vais venir... Léa, ça y est !!! oui !!! AHHHH
Léa envoie un doigt sur son bouton et se caresse presque violemment tant et si bien qu'elle parvient à l'orgasme presque en même temps que moi. Elle s'écroule sur mon torse et on reste de longues minutes enlacés, savourant le plaisir extrême qu'on vient de prendre.
Sortant de notre torpeur, nous nous dirigeons vers la salle de bains pour une nouvelle douche bien méritée. Marc est y déjà, savourant la fraîcheur revigorante de l'eau. Il nous cède la place et nous propose de passer la nuit chez lui. Ayant bu quelques verres et quelque peu fatigués par nos ébats, nous acceptons avec plaisir. Il file donc se coucher :
On dort ensemble bien entendu !
Le contraire m'aurait étonné !!
Après la douche, nous le rejoignons donc. Tout naturellement, Léa s'installe entre nous et quelques minutes plus tard, le silence n'est plus rompu que par nos respirations assoupies.
@ suivre...
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