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Récit érotique écrit par Boris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2004 dans la catégorie Plus on est
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En cette fin du mois de mai, je travaillais quotidiennement dans le jardin de notre pavillon sous le regard de mon épouse et ceux de mes voisins dont la propriété est contiguë à la nôtre. Si le gazon était épais et les arbres en feuilles, la piscine avait besoin d'un grand lavage de printemps. Je demandai donc à "mes voyeurs" de venir m'aider car je redoutai après l'effort un mal de dos qui me priverait de sport et de voiture.
Nos voisins, François et Hélène, répondirent favorablement à ma requête. Habillés tous les deux d'un bermuda et d'un T-shirt, ils sonnèrent à la porte d'entrée où les accueillit ma femme, Pascale, vêtue d'une courte robe. Pour nous donner des forces, mon épouse leur offrit un café accompagné d'une tarte aux fraises que chacun savoura avec délice. Puis, je répartis les travaux : je lessiverai avec Hélène les parois de la piscine ; Pascale et François seront responsables de l'arrosage du bassin et du ramassage des déchets.
Je partis donc dans la remise avec ma voisine chercher les bouteilles de détergent et les brosses placées sur les étagères. En allongeant les bras pour saisir ces équipements, je sentis le souffle chaud d'Hélène contre ma nuque. Je me retournai et la découvris à genoux les yeux fixés sur mon short. Elle enfouit une main entre ma cuisse droite et mon seul habit. Elle saisit mon membre qui commençait à bander sous l'effet de la chaleur et de la surprise. Après m'avoir masturbé, elle descendit mon short et entreprit une fellation. Très vite, j'éjaculai dans sa bouche ; elle avala tout en continuant à sucer le gland violacé. Nous sortîmes de la remise en souriant et rejoignîmes François et Pascale qui avaient entre-temps branché les tuyaux d'arrosage.
Mon voisin descendis dans la piscine et se plaça sous l'échelle pour aider ma femme qui tenait des seaux nécessaires aux travaux. Je constatai que François regardait attentivement l'entrecuisse de Pascale alors qu'elle descendait lentement l'échelle. Tous les quatre dans le bassin vide, nous lavâmes les parois, soit en les brossant, soit en les arrosant avec les deux tuyaux. François et moi-même prenions les choses avec moins d'entrain que les deux femmes, plus soignées dans le labeur. Nous en profitâmes pour les asperger d'eau afin de les rafraîchir sous le soleil. Leurs T-shirts humides laissaient apparaître leurs seins et leurs auréoles. Je fis un clin d'œil à François qui me le rendit, me faisant comprendre combien il appréciait l'allure sexy de nos compagnes aux pieds nus. Je décidai de le laisser seul avec celles-ci en expliquant que j'allai chercher des bières.
De notre chambre au premier étage, j'observai le manège de François autour de mon épouse. Il se plaça derrière elle avec le tuyau pour arroser la paroi dès que ma femme l'avait brossée avec le détergent. Leurs pieds disparaissaient sous une mousse blanche. Pascale tendit sa croupe contre le bermuda du voisin qui jeta le tuyau et prit les seins de mon épouse dans ses mains. Celle-ci continua son ouvrage tout en laissant François la caresser. Il souleva la robe légère et la prit en levrette tandis qu'Hélène se pencha entre leurs cuisses, léchant ainsi les deux sexes. Puis ma voisine colla son dos à la paroi en faisant face à Pascale. Elle la fourra avec deux doigts pendant que son mari sodomisait mon épouse. Au loin, j'entendis par un effet de résonance, les trois partenaires gémirent. Quand ils eurent fini leurs ébats, le nettoyage de la piscine était pratiquement achevé. Je les rejoignis avec mes bières que je posai sur la table du jardin et augmentai la pression de l'eau dans les tuyaux pour remplir le bassin.
En maillots de bain sur des transats, nous étions passé à la séance de la bronzette en nous désaltérant. Nous parlâmes des commérages du quartier, de télévision et de projets de vacances. François prit une seconde bière ce qui le rendit plus enjoué. Les seins à l'air, les femmes discutèrent de boutiques de vêtement, d'école et de petits plats. La piscine se remplissait progressivement et bientôt nous pourrions nager. Nous bûmes ainsi pendant deux heures attendant le moment magique du plongeon. Une fois dans l'eau, nous jouâmes avec un ballon avec gaieté. Pour nous reposer, nous nous allongeâmes sur le gazon tête-bêche. Pascal m'embrassa tandis que notre voisin faisait de même avec sa compagne.
Nos corps s'entremêlèrent. François léchait la chatte de Pascal et Hélène me faisait une fellation en me plantant un doigt dans l'anus. Je prolongeai mon baiser avec ma femme pendant que notre voisin la pénétrait en position de missionnaire. Ma voisine me chevaucha et oscilla avec sa chatte comme une toupie. Mon épouse se cambra en ramenant ses jambes sur le sol offrant sa chatte dressée au soleil; François l'enfila et je vis son long sexe aller et venir sur un rythme saccadé dans le sexe de Pascal qui l'encourageait par des mots vulgaires. Je pinçai les tétons de ma partenaire puis lui pris les fesses pour accélérer le mouvement. Nous ne tardâmes pas à jouir les uns en éjaculant les autres en offrant des visages de jouissance. Puis nous dînâmes aux chandelles dans la pénombre.
Pascal avait préparé une salade composée que nous arrosâmes de vin blanc d'Alsace. Au dessert, nous dégustâmes un sorbet de glace alcoolisé au Cointreau. Les lumières placées sur le rebord de la piscine faisaient miroitée l'eau bleue. Hèléne proposa en guise de remerciement de nous faire un strip-tease sur la musique du célèbre film "9 ½". Pascale accepta à la condition de s'y associer pour le plus grand plaisir des maris. Nous admirions chacun l'autre femme, celle qui ne partageait pas notre vie mais qui avivait nos sens. Dans un slow lesbien, nos femmes se frottaient leurs pubis et s'embrassaient avec ardeur. Elles s'approchèrent de nous et nous entraînèrent dans leur danse.
Debout, nous fîmes un cercle autour d'Hélène, accroupie, qui masturba les deux queues en les léchant sous la hampe. Pascale nous baisait alternativement en se laissant caresser les seins. La voisine accélérait ses fellations et massait les quatre couilles. Puis Pascale la substitua tandis qu'Hélène, allongée sur le dos, enfouissait sa langue dans sa chatte. Nous éjaculâmes sur les poitrines des femmes qui maintirent notre vigueur par de savants massages. Pascal se laissa sucer par Hélène que je pris par devant, son mari la sodomisant. Nous pénétrions vulve et con avec des mouvements simultanés pour mieux fourrer notre partenaire qui hurlait de plaisir. Nous poursuivîmes tous les quatre dans cette position jusqu'à l'orgasme commun. Après ces derniers ébats et un dernier verre, nos voisins prirent congés.
Le lendemain au réveil, j'avais mal au dos. Cette douleur, pensai-je, provenait davantage des ébats érotiques que du travail physique d'entretien de la piscine. Je conclus donc de réinviter Hélène et François l'année prochaine pour nous aider dans ces travaux de nettoyage mais en prenant la résolution de rester sage...
Nos voisins, François et Hélène, répondirent favorablement à ma requête. Habillés tous les deux d'un bermuda et d'un T-shirt, ils sonnèrent à la porte d'entrée où les accueillit ma femme, Pascale, vêtue d'une courte robe. Pour nous donner des forces, mon épouse leur offrit un café accompagné d'une tarte aux fraises que chacun savoura avec délice. Puis, je répartis les travaux : je lessiverai avec Hélène les parois de la piscine ; Pascale et François seront responsables de l'arrosage du bassin et du ramassage des déchets.
Je partis donc dans la remise avec ma voisine chercher les bouteilles de détergent et les brosses placées sur les étagères. En allongeant les bras pour saisir ces équipements, je sentis le souffle chaud d'Hélène contre ma nuque. Je me retournai et la découvris à genoux les yeux fixés sur mon short. Elle enfouit une main entre ma cuisse droite et mon seul habit. Elle saisit mon membre qui commençait à bander sous l'effet de la chaleur et de la surprise. Après m'avoir masturbé, elle descendit mon short et entreprit une fellation. Très vite, j'éjaculai dans sa bouche ; elle avala tout en continuant à sucer le gland violacé. Nous sortîmes de la remise en souriant et rejoignîmes François et Pascale qui avaient entre-temps branché les tuyaux d'arrosage.
Mon voisin descendis dans la piscine et se plaça sous l'échelle pour aider ma femme qui tenait des seaux nécessaires aux travaux. Je constatai que François regardait attentivement l'entrecuisse de Pascale alors qu'elle descendait lentement l'échelle. Tous les quatre dans le bassin vide, nous lavâmes les parois, soit en les brossant, soit en les arrosant avec les deux tuyaux. François et moi-même prenions les choses avec moins d'entrain que les deux femmes, plus soignées dans le labeur. Nous en profitâmes pour les asperger d'eau afin de les rafraîchir sous le soleil. Leurs T-shirts humides laissaient apparaître leurs seins et leurs auréoles. Je fis un clin d'œil à François qui me le rendit, me faisant comprendre combien il appréciait l'allure sexy de nos compagnes aux pieds nus. Je décidai de le laisser seul avec celles-ci en expliquant que j'allai chercher des bières.
De notre chambre au premier étage, j'observai le manège de François autour de mon épouse. Il se plaça derrière elle avec le tuyau pour arroser la paroi dès que ma femme l'avait brossée avec le détergent. Leurs pieds disparaissaient sous une mousse blanche. Pascale tendit sa croupe contre le bermuda du voisin qui jeta le tuyau et prit les seins de mon épouse dans ses mains. Celle-ci continua son ouvrage tout en laissant François la caresser. Il souleva la robe légère et la prit en levrette tandis qu'Hélène se pencha entre leurs cuisses, léchant ainsi les deux sexes. Puis ma voisine colla son dos à la paroi en faisant face à Pascale. Elle la fourra avec deux doigts pendant que son mari sodomisait mon épouse. Au loin, j'entendis par un effet de résonance, les trois partenaires gémirent. Quand ils eurent fini leurs ébats, le nettoyage de la piscine était pratiquement achevé. Je les rejoignis avec mes bières que je posai sur la table du jardin et augmentai la pression de l'eau dans les tuyaux pour remplir le bassin.
En maillots de bain sur des transats, nous étions passé à la séance de la bronzette en nous désaltérant. Nous parlâmes des commérages du quartier, de télévision et de projets de vacances. François prit une seconde bière ce qui le rendit plus enjoué. Les seins à l'air, les femmes discutèrent de boutiques de vêtement, d'école et de petits plats. La piscine se remplissait progressivement et bientôt nous pourrions nager. Nous bûmes ainsi pendant deux heures attendant le moment magique du plongeon. Une fois dans l'eau, nous jouâmes avec un ballon avec gaieté. Pour nous reposer, nous nous allongeâmes sur le gazon tête-bêche. Pascal m'embrassa tandis que notre voisin faisait de même avec sa compagne.
Nos corps s'entremêlèrent. François léchait la chatte de Pascal et Hélène me faisait une fellation en me plantant un doigt dans l'anus. Je prolongeai mon baiser avec ma femme pendant que notre voisin la pénétrait en position de missionnaire. Ma voisine me chevaucha et oscilla avec sa chatte comme une toupie. Mon épouse se cambra en ramenant ses jambes sur le sol offrant sa chatte dressée au soleil; François l'enfila et je vis son long sexe aller et venir sur un rythme saccadé dans le sexe de Pascal qui l'encourageait par des mots vulgaires. Je pinçai les tétons de ma partenaire puis lui pris les fesses pour accélérer le mouvement. Nous ne tardâmes pas à jouir les uns en éjaculant les autres en offrant des visages de jouissance. Puis nous dînâmes aux chandelles dans la pénombre.
Pascal avait préparé une salade composée que nous arrosâmes de vin blanc d'Alsace. Au dessert, nous dégustâmes un sorbet de glace alcoolisé au Cointreau. Les lumières placées sur le rebord de la piscine faisaient miroitée l'eau bleue. Hèléne proposa en guise de remerciement de nous faire un strip-tease sur la musique du célèbre film "9 ½". Pascale accepta à la condition de s'y associer pour le plus grand plaisir des maris. Nous admirions chacun l'autre femme, celle qui ne partageait pas notre vie mais qui avivait nos sens. Dans un slow lesbien, nos femmes se frottaient leurs pubis et s'embrassaient avec ardeur. Elles s'approchèrent de nous et nous entraînèrent dans leur danse.
Debout, nous fîmes un cercle autour d'Hélène, accroupie, qui masturba les deux queues en les léchant sous la hampe. Pascale nous baisait alternativement en se laissant caresser les seins. La voisine accélérait ses fellations et massait les quatre couilles. Puis Pascale la substitua tandis qu'Hélène, allongée sur le dos, enfouissait sa langue dans sa chatte. Nous éjaculâmes sur les poitrines des femmes qui maintirent notre vigueur par de savants massages. Pascal se laissa sucer par Hélène que je pris par devant, son mari la sodomisant. Nous pénétrions vulve et con avec des mouvements simultanés pour mieux fourrer notre partenaire qui hurlait de plaisir. Nous poursuivîmes tous les quatre dans cette position jusqu'à l'orgasme commun. Après ces derniers ébats et un dernier verre, nos voisins prirent congés.
Le lendemain au réveil, j'avais mal au dos. Cette douleur, pensai-je, provenait davantage des ébats érotiques que du travail physique d'entretien de la piscine. Je conclus donc de réinviter Hélène et François l'année prochaine pour nous aider dans ces travaux de nettoyage mais en prenant la résolution de rester sage...
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