sans titre

- Par l'auteur HDS Zerty -
Récit érotique écrit par Zerty [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : sans titre Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2006 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
sans titre
<p>Ca aurait pu se passer, ça s'est peut être bien passé. Qui sait ? En tout cas voilà ce dont je m'en souviens. Souvent dans la rue je m'amusais à dévisager les femmes, à les déshabiller du regard. J'imaginais quelle pouvait être la couleur de leur culotte ou la forme de leurs tétons. Avaient-elles le sein charnu ou flasque comme une pomme qui a trop vécu ? L'odeur de leurs fesses, à quoi ressemblait-elle ? Mon délire imaginatif fonctionnait surtout dans le métro, là où tous les gens ne semblent composer qu'un seul être, là où le même vide de l'âme semnle nous envahir tous. C'est pendant ces trajets où personne ne fait attention à personne que ma machine démoniaque se mettait en route. Les jeunes pucelles ne m'intéraissaient que très peu, la vraie femme, c'est celle qui a du vécu, qui a une histoire à raconter. Et ça c'est son corps modelé par les différents orgasmes qui le raconte. Une femme dont le corps ne raconte rien est une femme qui n'a pas connu l'orgasme. Les plus bavardes sont les femmes qui portent au moins bien la trentaine, celles que l'on dit mûres. Et c'est pas faux, elles sont mûres, prêtes à dévoiler leurs replis, leurs seins gorgés d'âge et de jouissance, leurs fesses juteuses qui ne demandent qu'à être pétries. Chaque corps a son histoire, chaque corps a sa jouissance. Moi, javais jamais rien dit. Rien. Je regardais juste, j'imaginais. Parfois j'imaginais tellement fort avec une évidence presque palpable que ma victime s'en apercevait. Et tel l'escargot la femme se fermait à tout regard, son histoire était close. Mais une fois une femme, une dame je devrais dire a soutenu mon regard. elle avait beaucoup à raconter. Trop peut-être. C'est pour cela que pour se décharger elle m'a laisser l'observer, l'imaginer dans sa nudité et dans son étalage de jouissance. Elle devait bien le connaitre l'orgasme. Elle s'est approchée de moi, maintenant je percevais son odeur, celle du téton qui pointe. son chemisier blanc laissait apparaitre deux seins que la main de l'homme a bien pétri. Ses jambes avait quelque chose de velouté dans le style, les cuisses demandaient le doux baiser. Elle m'a dit quelque chose comme ça " si j'étais toi tu me suivrais." C'est ce que j'ai fais. A la station suivante elle est sortie du wagon et moi je marchais derrière elle, les yeux dans les fesses. Longtemps on a marché, longtemps son corps m'a raconté les plaisirs de la vie. Comme si je ne m'y attendais pas on est arrivé à ce qui ressemblait être chez elle. On s'est retrouvé dans un appartement décoré façon classique, un appartement de ville quoi. "t'as quel âge ?" elle m'a dit, "19, l'âge qu'il faut" que je lui ai répondu. Là je su que son corps n'allait plus se contenter de me raconter ses histoires mais allait faire de moi une de ses histoires. Lentement elle s'est approchée de moi, javais son souffle brûlant sur mes lèvres. Elle m'a embrassé, ma langue a fait connaissance avec la sienne, c'était divin. Devant mon embarras évident elle m'a promis de m'amener au plus secret des domaines de la jouissance, histoire après histoire, orgasme après orgasme. Son corps appelait mes mains et ma bouche de toute part. Ses seins charnus étaient l'objet d'une réjouissnace spéciale, mes mains les malaxaient, les pétrissaient. Ils en redemandaient. Ses fesses je les ai palpées et repalpées. Elle en redemandait, ma virginité l'attirait. Pourtant elle m'a calmé, elle voulait contrôler la situation. Elle m'a fait allonger sur son lit et m'a déshabillé vêtements après vêtements. Je sentais ses mains parcourir mon corps, carresser ma verge passer ses doigts fins dans ma raie. Elle était en soutient-gorge en dentelle noire et en culotte assortie. Elle s'est assise sur ma verge, je sentais le contact de son minou mouillé à travers la dentelle. Le moment magique est arrivé. En fixant droit dans les yeux elle s'est mise à retirer son soutien-gorge me présentant deux seins lourds et blancs. J'ai alors commencé à la lécher avec des cercles concentriques pour arriver à lui sucer les tétons. son bassin remuait au rythme de mes sucions, nos odeurs s'exaltaient. Je lui ai très vite retiré sa culotte, son minou était touffu, bien modelé par l'orgasme. Nous nous sommes mis en quinquonce elle sur moi, j'avais ma langue dans son vagin et elle mon pénis dans sa bouche. Elle me massait le gland, je lui lustrais le clitoris. C'est elle qui me l'a dit "Maintenant viens en moi" C'est ce que j'ai fais. Je suis venu en elle, et même des tas de fois, à n'en plus finir. Les orgasmes se sont accumulés les baisers se sont faits plus langoureux. Enfin nous nous sommes endormis l'un dans l'autre. J'étais devenu une de ses histoires.



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