sans titre

- Par l'auteur HDS Messali -
Récit érotique écrit par Messali [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : sans titre Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2006 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
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Ce jour là il faisait beau et moi ça me donnait plutôt le cafard. Un temps maussade ça permet de rester enfermé à la maison sans remord, mais là pas l’ombre d’un nuage, du coup je me suis traîné dehors. Pour faire quoi ? Ceux d’entre vous qui connaissent Orléans comprendront qu’il faut une bonne dose d’imagination pour ne pas mourir d’ennui. Il était 14H et je me dirigeais vers un bar du centre ville. Plus une place en terrasse, tout le monde venait faire bronzette en sifflant des demis. Je m’installais à l’ombre du comptoir et commandais un pastis au patron bourru. Deux pastis plus tard un peintre, apparemment spécialisé dans l’art abstrait, est venu m’expliquer pourquoi les artistes étaient des gens differents, pourquoi il n’arrivait pas à vivre de sa peinture, et patati et patata…. Un artiste raté quoi…. Mais qui avait la délicatesse de m’offrir à boire. 16H ça y’est, l’alcool aidant, je trouvais cette journée finalement agréable, ce peintre aussi. Dans la salle des gens faisait la queue pour les cigarettes, et là j’aperçois un couple. La fille était superbe, brune, de taille moyenne, un corps parfait. Elle portait un jean taille basse qui moulait des petites fesses rebondies, et laissait entrevoir une peau bronzée. Sous un pull d’été assez ample, elle tentait, sans succès, de camoufler des seins lourds, qui détonaient sur cette mince silhouette. Ces cheveux étaient longs et noirs , son visage régulier. De grands yeux, un petit nez, et une bouche charnue. Un paquet de cigarettes en main le couple passa juste à coté de moi pour rejoindre la dernière table disponible juste derrière le flipper. La fille me lança un regard furtif accompagné d’un minuscule sourire en coin. Je lui rendais un sourire timide et replongeais dans mon verre. J’étais loin d’imaginer la suite… Le couple discutait à voix basse, parano ou pas j’avais l’impression qu’ils parlaient de moi. Je feignais de les ignorer et me concentrais sur mon cours théorique de peinture. La fille se leva et se dirigea droit sur moi. « Je peux te parler une seconde… » Sous l’œil étonné du peintre, je m’isolai avec la fille, un peu surpris. Elle avait l’air saoule et sure d’elle. Elle posa sa main sur mon bras et me glissa à l’oreille. « Je suis en week-end avec mon copain, on est à l’hôtel Mercure juste à coté et on cherche un mec pour… Elle cherchait ses mots… me baiser…. » Montée d’adrénaline, début d’érection, mélange de stupéfaction et de méfiance. « C’est pour la caméra cachée ou quoi ? » C’est tout ce que je trouvais à dire. « Non c’est pas une blague on sera à l’hôtel dans une heure, je te laisse mon numéro, appelle moi si ça t’intéresse » Elle glissa un morceau de papier dans ma main et retourna à sa table. Toc,toc,toc … Planté devant la porte de la chambre d’hotel, rasé, parfumé, une bouteille de champagne moyennement frais à la main, j’attends que la porte s’ouvre, plus tendu qu’excité même si la conversation téléphonique avec la fille m’avait mis plus à l’aise. C’est elle qui me laissa entrer. Elle avait troqué son pull contre un tee-shirt blanc et visiblement ne portait pas de soutien gorge. On apercevait le dessin de ses mamelons à travers le tissu tendu. Une jupe beige et courte dévoilait ses jolies jambes. Et toujours ce sourire accueillant. « C’est gentil pour la bouteille » « Ya pas de quoi » Le type, assis sur le lit, se leva un joint à la bouche pour venir me saluer. Il avait un visage sympathique. Sur la table traînait un pochon de Marijuana. « roule toi un joint si tu veux » Je m’exécutais, et pendant que la fille revenait de la salle de bain avec des gobelets en plastique je tirais sur le pétard comme un condamné à mort sur sa dernière cigarette. Voilà, j’étais affalé dans le canapé, complètement stone, je sirotais mon champagne tiède. Le couple assis face à moi sur le lit semblait aussi bien parti. On débitait les banalités d’usage, ages (32ans pour le couple 26 pour moi) , prénoms et situation professionnelles. La bouteille vidée, le type s’éclipsa dans la salle de bains. Elle se leva, attrapa son gobelet sur la table de nuit, et le vida d’une traite en ricanant , elle commençait à être sacrement bourrée. Mon cœur s’affola d’un coup en la voyant se rasseoir sur le coin du lit. Sa jupe était complètement remontée sur les hanches, elle se pencha en arrière en s’appuyant sur les coudes et écarta les cuisses. Elle n’avait pas de culotte.C’était le déclic… Je vins m’agenouiller entre ses cuisses que j’écartais davantage d’un geste ferme. Elle se cabra en soulevant les fesses et me colla littéralement son sexe dans la bouche. Son sexe n’était pas complètement épilé comme à la mode du moment, elle gardait un triangle noir juste taillé. Elle mouillait comme une folle et gémissait tout en balançant son bassin de bas en haut pour se frotter contre ma langue. Ma bite encore enfermée me faisait mal tellement je bandais. Elle souleva son tee-shirt, ses seins paraissaient encore plus gros. La lumière crue soulignait les moindres détails. Ils tombaient légèrement sur le coté, preuve qu’ils ne s’agissait pas de seins en plastique, la marque de maillot de bains contrastait sur sa peau bronzée. sous la peau fine on distinguait des veines bleutées. Elle agrippa d’une main un de ses seins qu’elle malaxait en jouant avec la pointe. J’en pouvais plus. Je me suis redressé, complètement désinhibé par mon cocktail alcool marijuana, je sortais mon sexe, jamais il n’avait été aussi gros. « Hum…. c’est mon jour de chance t’as une bonne queue. » Elle abandonna ses seins et me branla d’un mouvement énergique. Mon gland était à quelques centimètres de sa bouche. Sa main s’activait de plus en plus et elle avait les yeux grands ouverts pour ne rien rater du spectacle. « Branle toi sur mes seins, ça m’excite » Le torse bombé, elle les souleva à pleines mains. Je passais d’un téton à l’autre puis glissait mon sexe au milieu pour entamer une branlette espagnole. Elle pressait sa poitrine contre ma queue et moi je baisais ses deux globes. Elle avait rejeté la tête en arrière et murmurait des obscénités. La porte de la salle de bain claqua, le type revenait, je l’avais un peu oublié celui la. L’apercevant je reculais d’un pas, machinalement, réflexe lié a l’éducation sans doute. Mon excitation tomba d’un coup et je souriais l’air gêné et le pantalon aux chevilles. « t’arrête pas je veux rien rater du spectacle » La fille s’agenouilla et enfonça d’une seule traite ma queue dans sa bouche, elle la faisait sortir et rentrer à s’en étouffer. Sa salive dégoulinait le long de mon sexe. D’une main, elle soupesait mes couilles et de l’autre elle se masturbait avec deux doigts qu’elle s’enfonçaient dans la chatte. Le type n’intervenait pas encore. Il se déshabilla complètement. De ma vie je n’ai vu un sexe aussi gros, même dans des films porno. Il dépassait les 30cms et sa grosseur aurait fait peur à beaucoup de filles. Ne croyez pas que j’exagère, ce type pourrait s’exhiber dans un cirque. Il bandait comme un cheval et commença à se branler doucement sans perdre une miette de notre exhibition. « Léche la par derrière… » Lança-t’il du fond de la chambre. La fille sortit mon sexe de sa bouche, l’agita quelques secondes sur sa langue, et alla se placer à quatre pattes sur le lit. Ses épaules reposaient sur le matelas, le dos à 45 degrés, elle tendait les fesses dans une posture vraiment obscène. Elle glissa une main entre ses cuisses et caressa son clitoris tout en écartant ses lèvres de l’autre main. Souvent, dans ce genre d’expérience, la femme se donne pour faire plaisir à son mari, mais là, pas de doute, elle était excitée autant que lui. Je me penchais et léchais sa chatte offerte. Ma langue pénétrait le plus profond possible dans le vagin trempé. Son copain vint s’agenouiller devant elle. Elle redressa la tête et enfourna le sexe énorme dans sa bouche. Elle cherchait à s’étouffer avec sa bite, elle l’avalait le plus loin possible et la ressortait dégoulinante de salive, tandis que je m’acharnais toujours sur sa chatte. J’enfonçais deux doigts et fouillais l’intérieur du vagin ouvert par l’excitation. Maintenant elle branlait la queue de son copain et j’ouïssait à haute voix. « mets moi plus de doigts…. » Petit à petit je glissais tous mes doigts et bientôt ma main entière disparue à l’intérieur de sa chatte béante. Le type se penchait et écartait ses fesses pour que je puisse la pénétrer encore plus loin. Plus aucun tabou. On changea de position. Je me placais devant la fille qui restait à quatre pattes. Elle commença à me sucer pendant que la main du type remplaçait la mienne à l’intérieur du vagin. Décidée à profiter un maximum de la situation. Elle vint s’asseoir sur le bord du lit, écarta les cuisses, demanda à son copain de la lécher et me lança. « branle toi sur mes seins » Je m’exécutais elle secouait ses gros seins sur ma queue prête à exploser. Elle redressa son copain en l’attrapant par les cheveux, il comprit qu’elle voulait une bite sur chacun de ses seins. Elle bomba le torse. Devant le lit la glace reflétait l’obscénité de la scène. Je la voyais de profil ,deux grosses queues s’agitant sur sa poitrine volumineuse, tandis qu’elle se masturbait. La télé allumée diffusait des clips en boucle et crachait une musique répétitive sans étouffer les râles de la fille. Changement de scénario. Elle menait la danse. Nous étions deux esclaves soumis à son plaisir. La jupe toujours retroussée au dessus des hanches, elle retira son tee-shirt, et nous tirant par la main, alla se placer en levrette sur le canapé. Visiblement elle affectionnait cette position bestiale. « Maintenant je veux de la queue, baise-moi » Elle s’adressait à son copain. « Je veux qu’il mate… » Les genoux sur le canapé, le dos cambré, les fesses tendu vers nous, elle se donnait tout entière. Malgré le volume de sa queue, le type n’eut aucun mal à la pénétrer tellement elle était ouverte. Il commença par un lent va et vient, qui lui arrachait des petits cris, le mouvement s’accéléra et il enfonça les 30cms de chair au fond de son ventre. Sa bite, luisante de mouille, ressortait presque complètement pour replonger jusqu’à la garde au fond du sexe béant. Le mouvement s’accéléra et bientôt il la défonça à grands coups de reins. J’étais médusé par le spectacle de cette fille de taille moyenne recevant un sexe aussi énorme avec autant de plaisir. Ses seins balançaient au rythme des coups de queue. A sa demande, il lui mettait de grandes claques sur les fesses qui rougissaient. « branlez moi le cul » Le type écarta ses fesses des deux mains et cracha sur son anus. Je glissais un doigt, puis deux, dans son cul serré que je sentis s’ouvrir. Je retire mes doigts. Le type place sa queue au creux des reins et doucement commence à envahir son anus. Il paraissait impossible qu’un sexe de cette taille puisse sodomiser cette fille. Pourtant, sans geste brusque, le sexe disparu complètement au fond de ses fesses. La fille jouissait de plus en plus fort. Elle Débitait des obscénités d’un ton autoritaire. « défonce moi le cul » Elle attrapa ma bite, qu’elle branla fermement pendant que le type s’acharnait sur son cul . « ça monte…Je vais jouir » Avec deux doigts elle frottait son clitoris. Un long orgasme parcouru son corps. Elle hurla. Au comble de l’excitation, il retira sa queue, laissant son anus béant, et sur ordre sa copine, éjacula dans sa bouche. Le sperme coulait le long de son menton. Toujours pas rassasiée, elle m’ordonna de lui baiser la chatte. Elle changea de position et je la prenais en missionnaire. Se régalant du spectacle de sa copine prise par un autre homme, l’érection du type retrouva sa taille. J’étais au bord de l’orgasme. Elle gémissait et se cramponnait au canapé. Ses seins s’agitaient sous mes coups de butoir. Le sperme collait à sa bouche et son menton, rendant son joli visage, totalement obscène. Le type se branlait et m’encourageait à baiser sa copine violemment. Sentant l’éjaculation arriver, je me retirais et crachais tout mon foutre sur seins. Elle ouvrait les yeux et regardait le sperme jaillir par saccade. Elle saisit la queue de son mec et le branla énergiquement. En quelques secondes il éjacula une nouvelle fois, lui arrosant les seins juste après moi. Elle jouit une dernière fois en se frottant sur ma langue tout en étalant le sperme sur ses seins. Voila c’est fini… L’excitation une fois retombée, je me sentais beaucoup plus gêné,eux aussi, je crois. On me proposa de fumer un dernier joint, mais je refusais poliment, pressé de quitter la chambre.

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