Sauter le pas...Les tâches ménagères !
Récit érotique écrit par Aalleexx [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sauter le pas...Les tâches ménagères !
Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, les mecs, mais moi, le célibat, c’est pas un truc fait pour moi ! L’abruti qui a dit qu’il vaut mieux vivre seul que mal accompagné ne connaît rien à la vie quotidienne ! Depuis que je suis divorcé, j’ai l’impression d’accumuler les conneries !
Déjà, au quotidien, gérer les courses, le ménage, les repas à préparer, les lessives, les factures, je ne sais pas comment on peut faire tout ça en plus du boulot. Bon là, les filles sont plus douées que moi, elles savent tout faire, sont organisées, efficaces,… Je les félicite !
Le ménage, je m’y tiens car je n’aime pas vivre dans la saleté mais alors la bouffe, le repassage (étant assureur, je port des costumes), les courses,… je suis DEPASSE !!! Je suis devenu le roi du sandwich et du micro-onde, je sais où je peux commander des plats livrés à domicile. Les lessives, je ne vous raconte même pas les expériences que j’ai pu faire : ça déteint les fringues ? Ah ouais ! J’ai fusillé des chemises, vous n’imaginez même pas !
Pourtant, ne croyez pas que, marié, je ne faisais rien ! C’est faux ! Mais ma femme me disait : « Fais-ci, fais-ça, va récupérer tel truc, va acheter tel autre ». Moi, je faisais tout comme elle disait et ça m’allait bien !
Comme on ne se refait pas, j’ai beaucoup dragué au supermarché dans le rayon des produits ménagers : « Oh excusez-moi mademoiselle, ce produit vous connaissez ? Là, je suis un peu perdu face à tout ce choix. Vous prenez quoi vous ? » « Ah oui, vous me dîtes que c’est bien ça ? » et bla bla bla. J’en ai ramené plusieurs dans mon lit comme ça pour tester un autre produit totalement bio !
Un samedi, j’étais super motivé : grand nettoyage de printemps, lessive en route, courses pour deux mois au moins, rattrapage du courrier en retard et tutti quanti ! Je m’apprêtais à commencer quand j’ai reçu un message de Jonathan, le petit beur que j’ai dépucelé et que je n’avais pas revu depuis ce jour. « Salut, tu fais quoi ?». Moi, bien sûr, inébranlable dans ma mission d’homme d’intérieur, je renvois : « Rien ! ». Du coup, je m’assois en attendant la suite, elle arrive : « On peut se voir alors ? ». Non, vu le boulot que j’ai, c’est pas raisonnable ! Je réponds « Ouais, bonne idée ! Viens quand tu veux.». Il me renvoit un smiley souriant avec deux cœurs, on ne peut pas résister à ça ! Les courses et le reste attendront, c’est pas si urgent après tout !
Bon, j’ai fait le ménage, fait le lit (quoiqu’inutile !) et j’ai empilé le linge sale dans la panière de la salle de bains et j’ai repris une douche. Soyez cool les mecs, c’est déjà pas mal comme tâches ménagères !!!
J’ai entendu le bruit de son scooter dans la rue, rien que ça m’a fait bander ! Il est arrivé, a frappé à la porte, j’étais derrière, j’ai dû résister pour ne pas ouvrir immédiatement, le choper pour le foutre à poil et le baiser comme j’en rêvais. On n’est pas des sauvages quand même !
J’ai quand même ouvert, l‘air tranquille, j’ai fait mine de ne pas trop le regarder alors que j’ai bien vu son T-shirt bleu échancré et son jean slim noir. Il est entré, m’a fait la bise, en fait, il ne savait pas trop quoi faire. Je voulais le maintenir dans cette fébrilité, ça me permet de garder l’ascendant et il m’excite quand il est mal à l’aise. Je l’invite à s’assoir sur le canapé, je m’installe à côté de lui, je lui propose un truc à boire, il accepte, ça m’embête, moi je veux juste le sauter ! Voilà qu’il prend son élan et me dit qu’il a rencontré une copine, qu’il a envie de coucher avec elle mais qu’il vit mal ce que l’on a fait ensemble. Il me dit qu’il n’est pas attiré par les hommes, qu’il veut éclaircir ça avec moi, et bla bla. Moi je ne comprends rien à sa démarche, je m’en fous, il commence à me gonfler, je me penche sur lui et l’embrasse à pleine bouche. Il me rend mon baiser, je lui mets une main sur la cuisse et je remonte vers son paquet, il est raide, son jeans va craquer s’il ne se calme pas.
C’est bien un mec ça, sa tête lui commande de dire un truc mais sa bite fait exactement l’inverse ! Donc, je lui demande : « T’as envie de recommencer ? », « Oui » me répond-t-il ! Là, c’est clair au moins, pas besoin de discours philosophiques, on règle tout ça au lit et basta !
Je lui déboutonne son pantalon, je plonge la main dedans, j’attrape sa bite qui est bouillante, le sang tape fort dedans pour la raidir, je le branle, il se met à gémir. Il me malaxe la bite à travers mon jeans, je l’ouvre et le descend sur mes cuisses pour qu’il s’occupe de moi, il prend ma queue en main et la branle à son tour.
Après une bonne période d’embrassades, je descends pour lui enlever son T-shirt, je mordille et suce ses tétons, je descends doucement sur son ventre tout plat, sa peau a l’air fine, je le lèche tandis que mes doigts triturent ses tétons, il gémit, ses mains sont posées sur ma tête. Enfin, j’arrive sur son pubis, peu fourni mais bien noir et très frisé, j’embrasse le bout de son gland en le regardant dans les yeux, je le lèche à grand coup de langue. Son sexe est circoncis, il sent bon, il fait bien 17 ou 18 cm, assez fin mais dur comme de la pierre. Tout en le suçant, je descends son pantalon et le lui enlève. Il est entièrement nu et abandonné. Il ne connait plus ni copine ni culpabilité, il se donne et s’abandonne à son plaisir et moi, je compte bien en faire de même et en profiter au maximum !
Je lâche son pénis pour gober ses couilles, elles sont peu poilues, assez grosses, bien rondes, et, vu les gémissements qu’il pousse quand je les lui suce, très érogènes. Tandis qu’il se laisse de plus en plus aller à ce moment de plaisir, j’aventure deux doigts dans sa raie, je la caresse puis je m’attarde sur son trou, il est très petit, serré. Je mouille mes doigts et force l’entrée qui ne résiste pas longtemps. Je commence à le limer en le suçant toujours.
Il finit par m’arrêter en me disant qu’il est prêt à venir. Je me relève et lui donne ma bite à sucer. J’ai l’impression qu’il a fait quelques progrès depuis la dernière fois. Je le félicite, il m’avoue qu’il avait bien kiffé avec moi la première fois. Je suis encore le seul à avoir profité de son cul. Ce petit mec tout fin avec sa peau mate, sucrée, tendre, m’excite au maximum, je plonge sur son corps, je reprends sa bite en bouche, on se lance dans un 69 torride. Je lâche son membre pour lubrifier son trou, mes doigts l’ont à peine ouvert, ça va être bon comme un deuxième dépucelage. Ma langue le pénètre, le lubrifie, je sens ses sphincters se détendre peu à peu. Il s’occupe très bien de ma bite et me masse les couilles.
Comme on est dans le salon, je dois aller dans la salle de bains ou la chambre pour récupérer des capotes. Quand il me voit me lever, il me retient et me dit : « T’inquiète, je suis clean, t’es le seul ! ». Bon, va pour le bareback, moi aussi je suis clean. D’un coup, je réalise qu’il va être le premier mec que je vais prendre sans préservatif, il a une copine, c’est quand même tromper sans capote ! Je le mate, j’ai devant moi, un mec mignon, à poil, chaud bouillant, prêt à me donner son cul et moi, je bande comme un âne, tant pis pour la morale ! On va dire : Pas vu, pas pris !!!
Il s’allonge sur le dos, moi entre ses cuisses, je l’embrasse et, en même temps, je guide ma bite contre son trou, le gland s’écrase dessus, je pousse, il cède, je rentre doucement mais régulièrement. Je le sens se crisper, je ralentis, il m‘encourage à continuer. Je progresse, il grimace, je m’arrête, il s’habitue, je pousse et, d’un coup, tout rentre, mon gland touche le fond et mes couilles claquent contre ses fesses. Il pousse un cri de douleur, je ne bouge plus, il se détend peu à peu, pose mes mains sur mes hanches, je commence les va-et-vient très tendrement. Comme il a l’air d’apprécier, je l’embrasse à nouveau et je m’active de plus en plus en lui. Il ahane de plus en plus, nos bouches se décollent, je le regarde, il a les yeux fermés, il sourit et finit par dire : « Oh oui, han, vas-y, han, c’est trop bon, han, han, HAN, HAN,… ».
Ses mains sont désormais sur mes fesses et m’enfoncent fermement en lui, moi j’ai sa tête dans mes mains et je lui gobe le lobe de l’oreille, j’ai de plus en plus chaud. Il faut que l’on change de position. Je me retire, m’assois sur le canapé et lui demande de venir s’empaler. Il se met face à moi, me fixe intensément du regard et s’assoit en enfonçant mon sexe en lui. Quand ses fesses se collent à mes cuisses, je pose mes mains sur ses hanches et je le laisse monter et descendre à son rythme. Au bout d’un moment, je donne des coups de reins pour l’accompagner et, là, il me demande de le défoncer. Il se relève un peu et s’immobilise, à partir de là, je lui donne de grands coups de reins secs et rapides. Il hurle à chaque fois, pose ses mains sur ma poitrine et me pétrit les seins.
Je sens le plaisir monter, je lui demande s’il est sûr de vouloir être fécondé, pour toute réponse, il me sourit. Ça a un effet immédiat, je pousse de toutes mes forces au fond de lui et je me vide longuement et entièrement en lui.
Vidé, repu, je m’effondre sur le canapé, je suis toujours en lui, j’ai l’impression de jouir encore. Il finit par se relever, je me redresse, le saisi par les fesses pour qu’il s’approche de moi. Sa bite est molle, je la branle un peu et l’introduit dans ma bouche. Elle durcit à nouveau et il commence à me donner des petits coups de reins. Mes doigts caressent son trou, il est désormais très ouvert, mouillé et je sens mon sperme qui s’en échappe. Ses coups accélèrent et, d’un coup, il se bloque, je sens son anus se resserrer un maximum, dans ma bouche, son gland grossit et il largue tout le jus de ses couilles en poussant un long râle de bonheur.
Je le suce encore un peu, il est secoué de quelques spasmes. Je finis par le libérer, il vient s’assoir à mes côtés. Je l’embrasse, je lui verse son sperme dans la bouche, on se fait un très long baiser très baveux. On se décolle enfin, on est vannés !
D’un coup, je lui demande :
« C’est quoi ce que t’essayais de me dire tout à l’heure ? »
« Ben, je voulais clarifier les choses entre nous. Maintenant que j’ai une copine et que l’on va coucher ensemble, je voulais te revoir une dernière fois et éclaircir notre relation. »
« C’est une drôle de démarche ! Je ne comprends pas tout mais je constate que c’est une réussite, là, pour le coup, tu dois y voir très clair après ce que l’on vient de faire ! »
« C’est pire qu’avant ! J’étais venu chercher des réponses et des certitudes, je suis encore plus embrouillé ! »
Je lui ai tapé sur la cuisse et je lui ai dit :
Bienvenue dans le monde des mecs ! Ta tête te dit blanc et ta bite te fait faire noir. C’est que le début des emmerdements, t’as pas fini ! »
On s’est levés et rhabillés, je lui ai payé un coup à boire. Il est reparti, j’ai pas eu envie de faire les courses. Tant pis, j’improviserais, c’est pas fait pour moi !
Déjà, au quotidien, gérer les courses, le ménage, les repas à préparer, les lessives, les factures, je ne sais pas comment on peut faire tout ça en plus du boulot. Bon là, les filles sont plus douées que moi, elles savent tout faire, sont organisées, efficaces,… Je les félicite !
Le ménage, je m’y tiens car je n’aime pas vivre dans la saleté mais alors la bouffe, le repassage (étant assureur, je port des costumes), les courses,… je suis DEPASSE !!! Je suis devenu le roi du sandwich et du micro-onde, je sais où je peux commander des plats livrés à domicile. Les lessives, je ne vous raconte même pas les expériences que j’ai pu faire : ça déteint les fringues ? Ah ouais ! J’ai fusillé des chemises, vous n’imaginez même pas !
Pourtant, ne croyez pas que, marié, je ne faisais rien ! C’est faux ! Mais ma femme me disait : « Fais-ci, fais-ça, va récupérer tel truc, va acheter tel autre ». Moi, je faisais tout comme elle disait et ça m’allait bien !
Comme on ne se refait pas, j’ai beaucoup dragué au supermarché dans le rayon des produits ménagers : « Oh excusez-moi mademoiselle, ce produit vous connaissez ? Là, je suis un peu perdu face à tout ce choix. Vous prenez quoi vous ? » « Ah oui, vous me dîtes que c’est bien ça ? » et bla bla bla. J’en ai ramené plusieurs dans mon lit comme ça pour tester un autre produit totalement bio !
Un samedi, j’étais super motivé : grand nettoyage de printemps, lessive en route, courses pour deux mois au moins, rattrapage du courrier en retard et tutti quanti ! Je m’apprêtais à commencer quand j’ai reçu un message de Jonathan, le petit beur que j’ai dépucelé et que je n’avais pas revu depuis ce jour. « Salut, tu fais quoi ?». Moi, bien sûr, inébranlable dans ma mission d’homme d’intérieur, je renvois : « Rien ! ». Du coup, je m’assois en attendant la suite, elle arrive : « On peut se voir alors ? ». Non, vu le boulot que j’ai, c’est pas raisonnable ! Je réponds « Ouais, bonne idée ! Viens quand tu veux.». Il me renvoit un smiley souriant avec deux cœurs, on ne peut pas résister à ça ! Les courses et le reste attendront, c’est pas si urgent après tout !
Bon, j’ai fait le ménage, fait le lit (quoiqu’inutile !) et j’ai empilé le linge sale dans la panière de la salle de bains et j’ai repris une douche. Soyez cool les mecs, c’est déjà pas mal comme tâches ménagères !!!
J’ai entendu le bruit de son scooter dans la rue, rien que ça m’a fait bander ! Il est arrivé, a frappé à la porte, j’étais derrière, j’ai dû résister pour ne pas ouvrir immédiatement, le choper pour le foutre à poil et le baiser comme j’en rêvais. On n’est pas des sauvages quand même !
J’ai quand même ouvert, l‘air tranquille, j’ai fait mine de ne pas trop le regarder alors que j’ai bien vu son T-shirt bleu échancré et son jean slim noir. Il est entré, m’a fait la bise, en fait, il ne savait pas trop quoi faire. Je voulais le maintenir dans cette fébrilité, ça me permet de garder l’ascendant et il m’excite quand il est mal à l’aise. Je l’invite à s’assoir sur le canapé, je m’installe à côté de lui, je lui propose un truc à boire, il accepte, ça m’embête, moi je veux juste le sauter ! Voilà qu’il prend son élan et me dit qu’il a rencontré une copine, qu’il a envie de coucher avec elle mais qu’il vit mal ce que l’on a fait ensemble. Il me dit qu’il n’est pas attiré par les hommes, qu’il veut éclaircir ça avec moi, et bla bla. Moi je ne comprends rien à sa démarche, je m’en fous, il commence à me gonfler, je me penche sur lui et l’embrasse à pleine bouche. Il me rend mon baiser, je lui mets une main sur la cuisse et je remonte vers son paquet, il est raide, son jeans va craquer s’il ne se calme pas.
C’est bien un mec ça, sa tête lui commande de dire un truc mais sa bite fait exactement l’inverse ! Donc, je lui demande : « T’as envie de recommencer ? », « Oui » me répond-t-il ! Là, c’est clair au moins, pas besoin de discours philosophiques, on règle tout ça au lit et basta !
Je lui déboutonne son pantalon, je plonge la main dedans, j’attrape sa bite qui est bouillante, le sang tape fort dedans pour la raidir, je le branle, il se met à gémir. Il me malaxe la bite à travers mon jeans, je l’ouvre et le descend sur mes cuisses pour qu’il s’occupe de moi, il prend ma queue en main et la branle à son tour.
Après une bonne période d’embrassades, je descends pour lui enlever son T-shirt, je mordille et suce ses tétons, je descends doucement sur son ventre tout plat, sa peau a l’air fine, je le lèche tandis que mes doigts triturent ses tétons, il gémit, ses mains sont posées sur ma tête. Enfin, j’arrive sur son pubis, peu fourni mais bien noir et très frisé, j’embrasse le bout de son gland en le regardant dans les yeux, je le lèche à grand coup de langue. Son sexe est circoncis, il sent bon, il fait bien 17 ou 18 cm, assez fin mais dur comme de la pierre. Tout en le suçant, je descends son pantalon et le lui enlève. Il est entièrement nu et abandonné. Il ne connait plus ni copine ni culpabilité, il se donne et s’abandonne à son plaisir et moi, je compte bien en faire de même et en profiter au maximum !
Je lâche son pénis pour gober ses couilles, elles sont peu poilues, assez grosses, bien rondes, et, vu les gémissements qu’il pousse quand je les lui suce, très érogènes. Tandis qu’il se laisse de plus en plus aller à ce moment de plaisir, j’aventure deux doigts dans sa raie, je la caresse puis je m’attarde sur son trou, il est très petit, serré. Je mouille mes doigts et force l’entrée qui ne résiste pas longtemps. Je commence à le limer en le suçant toujours.
Il finit par m’arrêter en me disant qu’il est prêt à venir. Je me relève et lui donne ma bite à sucer. J’ai l’impression qu’il a fait quelques progrès depuis la dernière fois. Je le félicite, il m’avoue qu’il avait bien kiffé avec moi la première fois. Je suis encore le seul à avoir profité de son cul. Ce petit mec tout fin avec sa peau mate, sucrée, tendre, m’excite au maximum, je plonge sur son corps, je reprends sa bite en bouche, on se lance dans un 69 torride. Je lâche son membre pour lubrifier son trou, mes doigts l’ont à peine ouvert, ça va être bon comme un deuxième dépucelage. Ma langue le pénètre, le lubrifie, je sens ses sphincters se détendre peu à peu. Il s’occupe très bien de ma bite et me masse les couilles.
Comme on est dans le salon, je dois aller dans la salle de bains ou la chambre pour récupérer des capotes. Quand il me voit me lever, il me retient et me dit : « T’inquiète, je suis clean, t’es le seul ! ». Bon, va pour le bareback, moi aussi je suis clean. D’un coup, je réalise qu’il va être le premier mec que je vais prendre sans préservatif, il a une copine, c’est quand même tromper sans capote ! Je le mate, j’ai devant moi, un mec mignon, à poil, chaud bouillant, prêt à me donner son cul et moi, je bande comme un âne, tant pis pour la morale ! On va dire : Pas vu, pas pris !!!
Il s’allonge sur le dos, moi entre ses cuisses, je l’embrasse et, en même temps, je guide ma bite contre son trou, le gland s’écrase dessus, je pousse, il cède, je rentre doucement mais régulièrement. Je le sens se crisper, je ralentis, il m‘encourage à continuer. Je progresse, il grimace, je m’arrête, il s’habitue, je pousse et, d’un coup, tout rentre, mon gland touche le fond et mes couilles claquent contre ses fesses. Il pousse un cri de douleur, je ne bouge plus, il se détend peu à peu, pose mes mains sur mes hanches, je commence les va-et-vient très tendrement. Comme il a l’air d’apprécier, je l’embrasse à nouveau et je m’active de plus en plus en lui. Il ahane de plus en plus, nos bouches se décollent, je le regarde, il a les yeux fermés, il sourit et finit par dire : « Oh oui, han, vas-y, han, c’est trop bon, han, han, HAN, HAN,… ».
Ses mains sont désormais sur mes fesses et m’enfoncent fermement en lui, moi j’ai sa tête dans mes mains et je lui gobe le lobe de l’oreille, j’ai de plus en plus chaud. Il faut que l’on change de position. Je me retire, m’assois sur le canapé et lui demande de venir s’empaler. Il se met face à moi, me fixe intensément du regard et s’assoit en enfonçant mon sexe en lui. Quand ses fesses se collent à mes cuisses, je pose mes mains sur ses hanches et je le laisse monter et descendre à son rythme. Au bout d’un moment, je donne des coups de reins pour l’accompagner et, là, il me demande de le défoncer. Il se relève un peu et s’immobilise, à partir de là, je lui donne de grands coups de reins secs et rapides. Il hurle à chaque fois, pose ses mains sur ma poitrine et me pétrit les seins.
Je sens le plaisir monter, je lui demande s’il est sûr de vouloir être fécondé, pour toute réponse, il me sourit. Ça a un effet immédiat, je pousse de toutes mes forces au fond de lui et je me vide longuement et entièrement en lui.
Vidé, repu, je m’effondre sur le canapé, je suis toujours en lui, j’ai l’impression de jouir encore. Il finit par se relever, je me redresse, le saisi par les fesses pour qu’il s’approche de moi. Sa bite est molle, je la branle un peu et l’introduit dans ma bouche. Elle durcit à nouveau et il commence à me donner des petits coups de reins. Mes doigts caressent son trou, il est désormais très ouvert, mouillé et je sens mon sperme qui s’en échappe. Ses coups accélèrent et, d’un coup, il se bloque, je sens son anus se resserrer un maximum, dans ma bouche, son gland grossit et il largue tout le jus de ses couilles en poussant un long râle de bonheur.
Je le suce encore un peu, il est secoué de quelques spasmes. Je finis par le libérer, il vient s’assoir à mes côtés. Je l’embrasse, je lui verse son sperme dans la bouche, on se fait un très long baiser très baveux. On se décolle enfin, on est vannés !
D’un coup, je lui demande :
« C’est quoi ce que t’essayais de me dire tout à l’heure ? »
« Ben, je voulais clarifier les choses entre nous. Maintenant que j’ai une copine et que l’on va coucher ensemble, je voulais te revoir une dernière fois et éclaircir notre relation. »
« C’est une drôle de démarche ! Je ne comprends pas tout mais je constate que c’est une réussite, là, pour le coup, tu dois y voir très clair après ce que l’on vient de faire ! »
« C’est pire qu’avant ! J’étais venu chercher des réponses et des certitudes, je suis encore plus embrouillé ! »
Je lui ai tapé sur la cuisse et je lui ai dit :
Bienvenue dans le monde des mecs ! Ta tête te dit blanc et ta bite te fait faire noir. C’est que le début des emmerdements, t’as pas fini ! »
On s’est levés et rhabillés, je lui ai payé un coup à boire. Il est reparti, j’ai pas eu envie de faire les courses. Tant pis, j’improviserais, c’est pas fait pour moi !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super bien écrit , très vivant et avec beaucoup d'humour. La cerise sur le gâteau: C'est bandant . Continue à écrire encore.
Moi aussi j'écrit sur ce site : Felix13
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Sexy et drole!Une autre,vite!
salut a toi merci pour cette belle histoire du bon sexe j espere lire la suite a bientôt bisous
Belle histoire , tu devrais embaucher ton jeune amis pour te faire le ménage comme cela il serait toujours prêt de toi
Il existe des mecs passifs .... Ayant aucun soucis a filer un coup de main sur le ménage la lessive ou encore le repassage,te préparer un repas. Avec un gros gros câlins bien sexué (après l'effort, le réconfort) ce sentent chaleureusement remercié .... Réfléchis-y !!!!
Comme toujours, c'est drôle, bien écrit et super excitant. Continue à sauter le pas, c'est trop bon.