Scenar 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Scenar 4
Séance 4
En entrant je me suis donc mis nu avec juste les pansements aux tétons, la queue libre avec le petit anneau qui ressortait du prépuce.
-Ce n’est pas immense chez toi ! Il a fait le tour de l’appartement. L’entrée, la chambre avec une armoire, le couloir avec un petit cagibi, un coin douche, la cuisine et mon bureau. Alors écoute, le matin je me lève à sept heures trente. Tu prépareras le petit déjeuner que je prendrai tout de suite, tu attendras debout si j’ai besoin de quelque chose, pipe ou autre après, douche je m’habille et je vais en cours à Assas. Je reviendrais le soir mais des fois dans la journée. Tu le sauras en me voyant. Mon frangin n’a pas les mêmes horaires et a ta clé. On fête sa majorité la semaine prochaine pour des raisons familiale le dimanche d’après, mais il a dix-huit ans ce soir. Compris ?
Oui monsieur.
-Tu dormiras sur le canapé, il ne se déplie pas mais tu t’arrangeras avec.
Il est allé dans le coin douche sortir de l’alcool à 45°.
-Montre ton dos.
Il en a mis sur de la gaze et a frotté les zébrures des coups reçus me faisant trembler, ça piquait. Pour les piercings il a été plus doux en retirant les pansements mais ça piquait fort et il a préféré laisser à l’air libre comme pour celui du frein.
-Tu as de quoi manger ?
Non je ne m’attendais pas à, vlan une baffe est arrivée.
-T’as pas oublié quelque chose ?
Pardon monsieur je ne m’attendais pas à ce que vous restiez.
-Tant qu’on ne sera pas sur de toi il y aura du monde pour te dresser. Appelle Uber et commande une pizza double bien pimentée.
Je l’ai fait puis, Monsieur je ne vais pas le réceptionner nu ?
-Tu es chez toi tu fais ce que tu veux même si c’est un jeune qui livre tu as le droit d’être nu. Hi j’ai failli dire à poil mais t’en a plus !
Je ne pourrais pas maître !
-Ok, mains dans le dos.
Il m’a menotté et sorti de son sac une chaînette qu’il a fixée au radiateur de l’entrée.
-Je le ferais entrer le temps de chercher ton fric pour payer il te verra nu et on verra comment te faire payer après ce refus.
J’ai juste eu le temps de flipper à fond que ça sonnait. Ils sont rapides. En fait c’était Karim qui venait rendre les clés du fourgon.
-Reste un moment tu pourras mater la réaction de mon bâtard. Il y a Uber qui vient livrer.
-Ah oui ça va être amusant de voir sa réaction.
Il m’a filé une claque sur les couilles.
-Montre plutôt tes fesses.
La porte restée ouverte un beur nous regardait, surpris mais avec intérêt.
-Bonjour, j’amène la pizza et la dose de piment en plus. Je dérange peut-être ?
-Non entre je vais chercher le fric.
Karim se marrait.
-Si t’as envie tu peux le tripoter c’est le bâtard de mon pote. Un vieux mais une bonne salope pire qu’une nana. Mate en plus il aime se faire tripoter. Il m’avait tourné face au mec et je bandais à en avoir mal.
-Là je n’ai pas le temps j’ai encore des livraisons mais je n’ai jamais tiré un mec. La prochaine fois dites que vous voulez Éric de Levallois comme livreur. Je viendrais pour la dernière livraison et j’aurais le temps. Il pompe bien ?
-Suffit de lui demander a dit Daniel en ramenant le fric de la pizza.
-C’est votre vide couilles quoi. Bon à plus faut que je continue à tourner.
Il m’a jeté un regard brulant en sortant.
-Tu viens de te faire un pote là. De toute manière pour te faire jouir on ne peut jouer qu’avec ton cul ou ta bouche pour le moment.
Il a détaché la chaînette sans ôter les menottes.
-Puisqu’il est là suce Karim et tu me rejoindras à la cuisine. T’auras la sauce avant la bouffe. Un petit beur en apéritif.
Je me suis laissé descendre à genoux contre le mur pour être à la hauteur. Je sentais la chaleur du sexe dans le jean. Il l’a ouvert dégageant tout de suite l’odeur du jeune mâle qui me plaisait tant et a baissé son slip. Il bandait bien et j’ai sucé, prenant le temps de passer la langue sur les boules et remonter sur le gland. Il a fini par me tenir la tête et m’imprimer une cadence, râlant de bonheur en giclant au fond de ma gorge. Il a tout remballé avant de saluer Daniel de loin.
-Je t’envoie le bâtard il a encore de la crème sur le visage je crois.
Je suis entré dans la cuisine léchant mes lèvres encore humides du passage du gland.
-Tiens ta part.
Il a posé une assiette avec un quart de pizza sur le sol carrelé.
-J’ai mis toute la sauce sur ta part que tu restes excité.
En entrant je me suis donc mis nu avec juste les pansements aux tétons, la queue libre avec le petit anneau qui ressortait du prépuce.
-Ce n’est pas immense chez toi ! Il a fait le tour de l’appartement. L’entrée, la chambre avec une armoire, le couloir avec un petit cagibi, un coin douche, la cuisine et mon bureau. Alors écoute, le matin je me lève à sept heures trente. Tu prépareras le petit déjeuner que je prendrai tout de suite, tu attendras debout si j’ai besoin de quelque chose, pipe ou autre après, douche je m’habille et je vais en cours à Assas. Je reviendrais le soir mais des fois dans la journée. Tu le sauras en me voyant. Mon frangin n’a pas les mêmes horaires et a ta clé. On fête sa majorité la semaine prochaine pour des raisons familiale le dimanche d’après, mais il a dix-huit ans ce soir. Compris ?
Oui monsieur.
-Tu dormiras sur le canapé, il ne se déplie pas mais tu t’arrangeras avec.
Il est allé dans le coin douche sortir de l’alcool à 45°.
-Montre ton dos.
Il en a mis sur de la gaze et a frotté les zébrures des coups reçus me faisant trembler, ça piquait. Pour les piercings il a été plus doux en retirant les pansements mais ça piquait fort et il a préféré laisser à l’air libre comme pour celui du frein.
-Tu as de quoi manger ?
Non je ne m’attendais pas à, vlan une baffe est arrivée.
-T’as pas oublié quelque chose ?
Pardon monsieur je ne m’attendais pas à ce que vous restiez.
-Tant qu’on ne sera pas sur de toi il y aura du monde pour te dresser. Appelle Uber et commande une pizza double bien pimentée.
Je l’ai fait puis, Monsieur je ne vais pas le réceptionner nu ?
-Tu es chez toi tu fais ce que tu veux même si c’est un jeune qui livre tu as le droit d’être nu. Hi j’ai failli dire à poil mais t’en a plus !
Je ne pourrais pas maître !
-Ok, mains dans le dos.
Il m’a menotté et sorti de son sac une chaînette qu’il a fixée au radiateur de l’entrée.
-Je le ferais entrer le temps de chercher ton fric pour payer il te verra nu et on verra comment te faire payer après ce refus.
J’ai juste eu le temps de flipper à fond que ça sonnait. Ils sont rapides. En fait c’était Karim qui venait rendre les clés du fourgon.
-Reste un moment tu pourras mater la réaction de mon bâtard. Il y a Uber qui vient livrer.
-Ah oui ça va être amusant de voir sa réaction.
Il m’a filé une claque sur les couilles.
-Montre plutôt tes fesses.
La porte restée ouverte un beur nous regardait, surpris mais avec intérêt.
-Bonjour, j’amène la pizza et la dose de piment en plus. Je dérange peut-être ?
-Non entre je vais chercher le fric.
Karim se marrait.
-Si t’as envie tu peux le tripoter c’est le bâtard de mon pote. Un vieux mais une bonne salope pire qu’une nana. Mate en plus il aime se faire tripoter. Il m’avait tourné face au mec et je bandais à en avoir mal.
-Là je n’ai pas le temps j’ai encore des livraisons mais je n’ai jamais tiré un mec. La prochaine fois dites que vous voulez Éric de Levallois comme livreur. Je viendrais pour la dernière livraison et j’aurais le temps. Il pompe bien ?
-Suffit de lui demander a dit Daniel en ramenant le fric de la pizza.
-C’est votre vide couilles quoi. Bon à plus faut que je continue à tourner.
Il m’a jeté un regard brulant en sortant.
-Tu viens de te faire un pote là. De toute manière pour te faire jouir on ne peut jouer qu’avec ton cul ou ta bouche pour le moment.
Il a détaché la chaînette sans ôter les menottes.
-Puisqu’il est là suce Karim et tu me rejoindras à la cuisine. T’auras la sauce avant la bouffe. Un petit beur en apéritif.
Je me suis laissé descendre à genoux contre le mur pour être à la hauteur. Je sentais la chaleur du sexe dans le jean. Il l’a ouvert dégageant tout de suite l’odeur du jeune mâle qui me plaisait tant et a baissé son slip. Il bandait bien et j’ai sucé, prenant le temps de passer la langue sur les boules et remonter sur le gland. Il a fini par me tenir la tête et m’imprimer une cadence, râlant de bonheur en giclant au fond de ma gorge. Il a tout remballé avant de saluer Daniel de loin.
-Je t’envoie le bâtard il a encore de la crème sur le visage je crois.
Je suis entré dans la cuisine léchant mes lèvres encore humides du passage du gland.
-Tiens ta part.
Il a posé une assiette avec un quart de pizza sur le sol carrelé.
-J’ai mis toute la sauce sur ta part que tu restes excité.
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