Séance 1
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Séance 1
Séance 1
Je surfais sur un réseau bien connu des amateurs de sensations fortes quand j’ai lu celle-ci :
Mec 18a Dresseur de chienne, débutant accepté si motivé.
J’ai accroché au mec par un message et je n’ai eu la réponse que le lendemain.
-Si t’es débutant rends toi demain samedi 14heures au carrefour de la rue du parc. Short jean avec ceinture large. Je te trouverais.
J’avais envoyé une photo en costard de mon boulot. J’avais dit débutant mais pas puceau et c’est tout propre dans la tenue imposée que je me suis rendu au carrefour avec un peu d’avance. Il pleuvait et c’est trempé que j’attendais sur le trottoir. En face de la rue un bar avait sorti sa terrasse et quelques tables étaient occupées dont une par un mec blond, seul, en jean et blouson cuir. Je le matais du coin de l’œil, beau gosse, un brin hautain. Il me fixait et après avoir payé sa boisson a traversé la rue.
-C’est toi la chienne ?
Je devais avoir un drôle d’air, trempé et grelottant sous le vent de l’averse soudaine.
-Ta carte d’’identité !
Je l’ai sorti et l’ai tendue
-J’oublie ton nom. 45ans c’est ça ?
Oui.
-Oui qui la chienne ?
Pardon, oui maître.
-Cours jusqu’à l’impasse à gauche et monte dans le fourgon la porte coulissante est ouverte. Ne la referme pas j’arrive.
J’ai couru me mettre à l’abri la porte ouverte j’ai attendu qu’il arrive en me secouant. Le fourgon n’avait pas de vitre et la porte fermée n’avait qu’une lucarne vers le chauffeur.
Il est entré et a refermé la porte.
-Fous toi à poil. Une chienne n’a pas besoin de fringues, t’es pas dans un cirque.
J’ai défait la ceinture et descendu le short. Le tee-shirt ôté je n’ai hésité qu’une seconde et viré mon slip et mes tennis sans chaussettes. Nu j’étais présentable, pas de bide, peu de poils et avec la flotte la queue toute petite. Sans un mot il a pris mon short, l’a fouillé consciencieusement, gardant tout ce qu’il trouvait, il l’a jeté dans un coin
-Pas trop mal pour ton âge. Un petit ventre pas encore plat mais on verra ça plus tard. Tu as remarqué les barres soudées au toit ?
Non heu non, maitre.
Tends tes poignets.
Il a menotté chacun de mes poignets à une barre. On va sortir de la ville. Il a ouvert la porte pour changer de place et prendre le volant. Il a fait un demi-tour au fond de l’impasse et à part le premier carrefour je n’ai plus vu que des voitures garées de gauche et de droite. Puis la traversée du périph et de petites rues. Il a fermé la petite vitre par un volet et fini par s’engager dans un passage et sortir pour ouvrir un large portail style entrepôt et entrer le fourgon. Refermer le portail. Il a ouvert la porte du fourgon.
-Tu ne sauras jamais où on est.
Il m’a peloté le sexe et défait les menottes pour les réunir devant et me tirer dehors.
-Ne bouge pas.
J’ai regardé autour de moi mais c’était le grand vide. A part un crochet monté sur un palan qui pendait au centre, rien. Sauf la commande jaune accrochée à côté. Il est sorti avec la ceinture du short.
-Bon pour commencer petite interro. Homo et passif ?
Oui maître.
-C’est ton fantasme que je vais réaliser ?
Oui maître.
-Mets-toi juste sous le crochet.
Il y a eu un bruit de moteur et le crochet est descendu jusqu’au niveau de mes poignets. Il l’a engagé entre les menottes et le palan est remonté, me faisant dresser les bras. Passant derrière moi il m’a mis un collier pas très serré. Là il a vraiment commencé, faisant siffler la ceinture d’abord dans le vide il l’a abattu sur mes reins Surpris j’ai crié.
-J’adore ça quand tu cries. En fait tu aboies comme la chienne que tu es !
Il tapait descendant sur mes fesses et remontant sur mon dos. J’essayais de l’éviter mais il l’a bien remarqué. Ce que moi je n’avais pas vu, c’était les anneaux encastrés dans le sol en ciment. Il a cessé de frapper le temps de lier mes chevilles écartées à ces anneaux.
-Creuse les reins et fait ressortir les fesses !
Il avait sorti du fourgon une badine qui a sifflé et a atterri sur mes fesses. J’ai eu un sursaut. Il l’a passé entre mes fesses
-Serre les fesses dessus et retient là.
Elle touchait mon anus et j’ai serré pour la retenir. Il est passé devant moi, a saisi mon sexe et a joué à le décalotter et le recalotter assez vite. Serrant fort j’ai commencé à bander et à gémir mais il a ri.
La prochaine fois tu banderas en arrivant.
Il a donné un petit coup sur le gland et a fait descendre le palan.
-Laisse toi descendre sur les genoux. Garde bien la badine entre les fesses.
Il a dégagé son sexe et me l’a tendu.
-Suce la chienne elle ne sent que la pisse que j‘ai évacuée au bar. Enfin pour le moment.
J’ai pompé comme un fou. Au début pas très raide mais vite devenue raide comme du bois.
-Je vais t’enculer la chienne. Ce sera mon cadeau comme quoi je te garde dans mon chenil.
Derrière moi il s’est enfoncé sans précaution à part ma salive j’ai gueulé encore une fois.
-Ne te gêne pas personne ne bosse de chaque côté.
Il m’a labouré le cul, se vidant bien au fond, gardant juste un peu pour l’étaler sur mon visage.
-Suce là encore.
Elle sentait mon cul mais j’ai sucé.
Il m’a détaché. Tu te rhabilleras dans le fourgon. Je m’arrêterais en ville. Je te ferais signe pour samedi prochain.
Manoeuvre inverse mais volet fermé et on est reparti. Il m’a lâché dans Barbés. Et reparti sans un mot
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Je surfais sur un réseau bien connu des amateurs de sensations fortes quand j’ai lu celle-ci :
Mec 18a Dresseur de chienne, débutant accepté si motivé.
J’ai accroché au mec par un message et je n’ai eu la réponse que le lendemain.
-Si t’es débutant rends toi demain samedi 14heures au carrefour de la rue du parc. Short jean avec ceinture large. Je te trouverais.
J’avais envoyé une photo en costard de mon boulot. J’avais dit débutant mais pas puceau et c’est tout propre dans la tenue imposée que je me suis rendu au carrefour avec un peu d’avance. Il pleuvait et c’est trempé que j’attendais sur le trottoir. En face de la rue un bar avait sorti sa terrasse et quelques tables étaient occupées dont une par un mec blond, seul, en jean et blouson cuir. Je le matais du coin de l’œil, beau gosse, un brin hautain. Il me fixait et après avoir payé sa boisson a traversé la rue.
-C’est toi la chienne ?
Je devais avoir un drôle d’air, trempé et grelottant sous le vent de l’averse soudaine.
-Ta carte d’’identité !
Je l’ai sorti et l’ai tendue
-J’oublie ton nom. 45ans c’est ça ?
Oui.
-Oui qui la chienne ?
Pardon, oui maître.
-Cours jusqu’à l’impasse à gauche et monte dans le fourgon la porte coulissante est ouverte. Ne la referme pas j’arrive.
J’ai couru me mettre à l’abri la porte ouverte j’ai attendu qu’il arrive en me secouant. Le fourgon n’avait pas de vitre et la porte fermée n’avait qu’une lucarne vers le chauffeur.
Il est entré et a refermé la porte.
-Fous toi à poil. Une chienne n’a pas besoin de fringues, t’es pas dans un cirque.
J’ai défait la ceinture et descendu le short. Le tee-shirt ôté je n’ai hésité qu’une seconde et viré mon slip et mes tennis sans chaussettes. Nu j’étais présentable, pas de bide, peu de poils et avec la flotte la queue toute petite. Sans un mot il a pris mon short, l’a fouillé consciencieusement, gardant tout ce qu’il trouvait, il l’a jeté dans un coin
-Pas trop mal pour ton âge. Un petit ventre pas encore plat mais on verra ça plus tard. Tu as remarqué les barres soudées au toit ?
Non heu non, maitre.
Tends tes poignets.
Il a menotté chacun de mes poignets à une barre. On va sortir de la ville. Il a ouvert la porte pour changer de place et prendre le volant. Il a fait un demi-tour au fond de l’impasse et à part le premier carrefour je n’ai plus vu que des voitures garées de gauche et de droite. Puis la traversée du périph et de petites rues. Il a fermé la petite vitre par un volet et fini par s’engager dans un passage et sortir pour ouvrir un large portail style entrepôt et entrer le fourgon. Refermer le portail. Il a ouvert la porte du fourgon.
-Tu ne sauras jamais où on est.
Il m’a peloté le sexe et défait les menottes pour les réunir devant et me tirer dehors.
-Ne bouge pas.
J’ai regardé autour de moi mais c’était le grand vide. A part un crochet monté sur un palan qui pendait au centre, rien. Sauf la commande jaune accrochée à côté. Il est sorti avec la ceinture du short.
-Bon pour commencer petite interro. Homo et passif ?
Oui maître.
-C’est ton fantasme que je vais réaliser ?
Oui maître.
-Mets-toi juste sous le crochet.
Il y a eu un bruit de moteur et le crochet est descendu jusqu’au niveau de mes poignets. Il l’a engagé entre les menottes et le palan est remonté, me faisant dresser les bras. Passant derrière moi il m’a mis un collier pas très serré. Là il a vraiment commencé, faisant siffler la ceinture d’abord dans le vide il l’a abattu sur mes reins Surpris j’ai crié.
-J’adore ça quand tu cries. En fait tu aboies comme la chienne que tu es !
Il tapait descendant sur mes fesses et remontant sur mon dos. J’essayais de l’éviter mais il l’a bien remarqué. Ce que moi je n’avais pas vu, c’était les anneaux encastrés dans le sol en ciment. Il a cessé de frapper le temps de lier mes chevilles écartées à ces anneaux.
-Creuse les reins et fait ressortir les fesses !
Il avait sorti du fourgon une badine qui a sifflé et a atterri sur mes fesses. J’ai eu un sursaut. Il l’a passé entre mes fesses
-Serre les fesses dessus et retient là.
Elle touchait mon anus et j’ai serré pour la retenir. Il est passé devant moi, a saisi mon sexe et a joué à le décalotter et le recalotter assez vite. Serrant fort j’ai commencé à bander et à gémir mais il a ri.
La prochaine fois tu banderas en arrivant.
Il a donné un petit coup sur le gland et a fait descendre le palan.
-Laisse toi descendre sur les genoux. Garde bien la badine entre les fesses.
Il a dégagé son sexe et me l’a tendu.
-Suce la chienne elle ne sent que la pisse que j‘ai évacuée au bar. Enfin pour le moment.
J’ai pompé comme un fou. Au début pas très raide mais vite devenue raide comme du bois.
-Je vais t’enculer la chienne. Ce sera mon cadeau comme quoi je te garde dans mon chenil.
Derrière moi il s’est enfoncé sans précaution à part ma salive j’ai gueulé encore une fois.
-Ne te gêne pas personne ne bosse de chaque côté.
Il m’a labouré le cul, se vidant bien au fond, gardant juste un peu pour l’étaler sur mon visage.
-Suce là encore.
Elle sentait mon cul mais j’ai sucé.
Il m’a détaché. Tu te rhabilleras dans le fourgon. Je m’arrêterais en ville. Je te ferais signe pour samedi prochain.
Manoeuvre inverse mais volet fermé et on est reparti. Il m’a lâché dans Barbés. Et reparti sans un mot
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas d'inquiétude il y a des suites mais jamais éditées ici. Alors forcémént pour vous c'est rapide moi c'est long.
Pas mal pour un début ..un peu rapide peut être .