Séance 2
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 314 957 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 946 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Séance 2
Séance 2
Pour faire plaisir au maître dès le dimanche matin et malgré la douleur du dos J’ai commencé des exercices. Impossible de les faire en salle j’ai utilisé une barre fixée à une porte pour faire des abdos autant que je pouvais, ne mangeant que des fruits et allant dans le parc des buttes Chaumont courir pour améliorer mon souffle et perdre un peu de poids si possible. La semaine de travail je me levais plus tôt pour les abdos et après le travail je me changeais pour courir. Dans la boîte aux lettres J’ai trouvé un mot le mercredi.
« Découpe le slip intérieur du short avant de courir. Ton maître ».
J’étais donc surveillé et quand je suis sorti en short je n’ai pu m’empêcher de bandoulier, on pouvait le remarquer. J’ai donc couru un peu plus vite au départ, jusqu’aux buttes ou je me suis arrêté reprendre mon souffle. J’ai repris ma course normale ensuite. C’était agaçant de sentir mon sexe se balancer de gauche à droite me sachant observé.
Le vendredi soir après la course je prenais ma douche avant manger quand l’iPhone a sonné. Je sors dégoulinant.
-Je suis derrière la porte, ouvre-moi tel que tu es !
J’avais reconnu la voix et j’ai ouvert encore humide de la douche.
-Tu es juste comme il faut pour un rasage.
-Va sous la douche et sors la mousse et ton rasoir.
Après la mousse sous les bras et sur le torse il a passé le rasoir.
-Appuie toi au mur et tourne-toi, écarte les fesses des mains.
Mousse et rasage, frôlant l’anus, jet d’eau et passage de la main.
-C’est mieux. Maintenant, demi-tour et cambre toi. Ne bouge pas, j’attaque ce que tu crois qui te rends viril.
Mousse, rasoir. Je ne bougeai plus, même si je penchais la tête je ne voyais rien et il a tourné autour de mon sexe après le pubis, tirant sur le scrotum pour éliminer les restes de poils. Otant même les poils du torse
-Tourne toi, fais des demi-tours. Parfait.
-Tu dois avoir un double de tes clefs, donne-le-moi. Il a fouillé dans mon armoire et m’a tendu un string dentelle oublié par mon ex-femme. Enfile le sous le short et va courir. Je t’attendrais à la sortie du parc. Il est sorti et une fois sec j’ai enfilé le string. La dentelle cachait à peine mon sexe mais sous le short ça allait. Je suis parti courir. Je sentais l’air frais s’engouffrer sous les pans du short me faisant frissonner. J’ai ralenti avant la porte mais il était appuyé à la grille et je n’ai pas retenu une érection.
-Bien tu reconnais ton maître. Le fourgon est dans la rue un peu plus loin. Suis-moi un mètre derrière.
Rituel habituel en arrivant dans le fourgon, tee-shirt ôté et short et tennis enlevés Il m’a attaché les poignets en hauteur.
-Tu n’es pas trop marqué de samedi dernier. On va changer ça.
Il a passé la main sur mon dos puis devant sur les mamelons qui ont durcis.
-Tu fais très femme avec ton string. Tiens-toi, on va à l’atelier. Le fourgon a démarré et comme la dernière fois après le passage sur le périph il a occulté le volet Jusqu’aux différents arrêts et la porte coulissante ouverte il m’a détaché.
-T’as bandé salope !
Sa main palpait le string qu’il m’a fait ôter une fois détaché.
Il a plaqué le bout de string humide sur mes narines, laissant libre ma bouche. J’avais toujours été sensible à ma propre odeur sexuelle et j’ai bandé.
-A genoux et les mains à côté de la barre.
Au sol une barre de muscu était posée avec déjà des poids à chaque bout Il a attaché mes poignets à la barre et mes chevilles aux anneaux que j’avais déjà vus. Ma queue raide reposait sur le sol. Cuisses écartées j’étais immobilisé. Il est allé au fourgon et revenu avec une badine souple et fine.
-Fini de rire ma chienne.
Cette fois il a cinglé mon dos, mes reins et mes fesses de coups secs, changeant de côté pour croiser les marques et a fini par un coup sec entre mes fesses. J’en chialais mais bandais encore. Il avait avec lui un vaporisateur qui dirigé sur mon dos m’a aspergé d’alcool qu’il a étalé sur mon dos et mes zébrures, l’alcool piquait. Je sniffais à petits coups mon odeur de bave. J’avais pas mal bavé en courant sachant que le maître serait là. Relevé à quatre pattes par les cheveux. Les mains fixées à la barre, les poids roulaient m’accompagnant. Il est passé derrière moi pour fouetter mes fesses et des fois déraper sur mes couilles me faisant sursauter.
-Je vais t’enculer la chienne après je t’éclaterais la rondelle.
Il a mis du gras sur mon anus et autour et m’a pris sauvagement me tenant par les hanches. Labouré, je criais sous le string. Plus je criais plus ses coups de reins étaient forts et il a préféré se retirer pour me faire taire, remplissant ma bouche de sa bite et de son jus. Je ne savais plus ou j’étais de bonheur, de douleur et de plaisir. Il a pris des pics de moi de face bouche ouverte puis de dos et a cliqué sans me dire pourquoi. Il a passé des gants de latex noirs et les a enduits de crème avant d’introduire deux puis trois doigts dans mon cul.
-Tu supportes la chienne ?
Je me doutais de la fin mais j’ai fait signe que oui. Il a ôté les doigts pour en vriller quatre, me branlant le cul avec. Je sentais chaque bout de peau de sa main gantée passer dans mon trou et il a mis le pouce au centre pour me fister. J’ai gueulé comme un veau au passage des phalanges. Il a fouillé mon cul avant de se retirer et d’enlever ses gants.
Cette nuit tu dors dans le coin là-bas. Sur le vieux matelas Tu pourras chier et pisser je te mets une chaîne à la cheville et y a un tuyau d’eau dans le coin. Demain j’ai envoyé tes photos sur internet à des potes que je connais bien et qui savent où je suis. T’auras de la visite la chienne. Toi et ton cul.
Pour faire plaisir au maître dès le dimanche matin et malgré la douleur du dos J’ai commencé des exercices. Impossible de les faire en salle j’ai utilisé une barre fixée à une porte pour faire des abdos autant que je pouvais, ne mangeant que des fruits et allant dans le parc des buttes Chaumont courir pour améliorer mon souffle et perdre un peu de poids si possible. La semaine de travail je me levais plus tôt pour les abdos et après le travail je me changeais pour courir. Dans la boîte aux lettres J’ai trouvé un mot le mercredi.
« Découpe le slip intérieur du short avant de courir. Ton maître ».
J’étais donc surveillé et quand je suis sorti en short je n’ai pu m’empêcher de bandoulier, on pouvait le remarquer. J’ai donc couru un peu plus vite au départ, jusqu’aux buttes ou je me suis arrêté reprendre mon souffle. J’ai repris ma course normale ensuite. C’était agaçant de sentir mon sexe se balancer de gauche à droite me sachant observé.
Le vendredi soir après la course je prenais ma douche avant manger quand l’iPhone a sonné. Je sors dégoulinant.
-Je suis derrière la porte, ouvre-moi tel que tu es !
J’avais reconnu la voix et j’ai ouvert encore humide de la douche.
-Tu es juste comme il faut pour un rasage.
-Va sous la douche et sors la mousse et ton rasoir.
Après la mousse sous les bras et sur le torse il a passé le rasoir.
-Appuie toi au mur et tourne-toi, écarte les fesses des mains.
Mousse et rasage, frôlant l’anus, jet d’eau et passage de la main.
-C’est mieux. Maintenant, demi-tour et cambre toi. Ne bouge pas, j’attaque ce que tu crois qui te rends viril.
Mousse, rasoir. Je ne bougeai plus, même si je penchais la tête je ne voyais rien et il a tourné autour de mon sexe après le pubis, tirant sur le scrotum pour éliminer les restes de poils. Otant même les poils du torse
-Tourne toi, fais des demi-tours. Parfait.
-Tu dois avoir un double de tes clefs, donne-le-moi. Il a fouillé dans mon armoire et m’a tendu un string dentelle oublié par mon ex-femme. Enfile le sous le short et va courir. Je t’attendrais à la sortie du parc. Il est sorti et une fois sec j’ai enfilé le string. La dentelle cachait à peine mon sexe mais sous le short ça allait. Je suis parti courir. Je sentais l’air frais s’engouffrer sous les pans du short me faisant frissonner. J’ai ralenti avant la porte mais il était appuyé à la grille et je n’ai pas retenu une érection.
-Bien tu reconnais ton maître. Le fourgon est dans la rue un peu plus loin. Suis-moi un mètre derrière.
Rituel habituel en arrivant dans le fourgon, tee-shirt ôté et short et tennis enlevés Il m’a attaché les poignets en hauteur.
-Tu n’es pas trop marqué de samedi dernier. On va changer ça.
Il a passé la main sur mon dos puis devant sur les mamelons qui ont durcis.
-Tu fais très femme avec ton string. Tiens-toi, on va à l’atelier. Le fourgon a démarré et comme la dernière fois après le passage sur le périph il a occulté le volet Jusqu’aux différents arrêts et la porte coulissante ouverte il m’a détaché.
-T’as bandé salope !
Sa main palpait le string qu’il m’a fait ôter une fois détaché.
Il a plaqué le bout de string humide sur mes narines, laissant libre ma bouche. J’avais toujours été sensible à ma propre odeur sexuelle et j’ai bandé.
-A genoux et les mains à côté de la barre.
Au sol une barre de muscu était posée avec déjà des poids à chaque bout Il a attaché mes poignets à la barre et mes chevilles aux anneaux que j’avais déjà vus. Ma queue raide reposait sur le sol. Cuisses écartées j’étais immobilisé. Il est allé au fourgon et revenu avec une badine souple et fine.
-Fini de rire ma chienne.
Cette fois il a cinglé mon dos, mes reins et mes fesses de coups secs, changeant de côté pour croiser les marques et a fini par un coup sec entre mes fesses. J’en chialais mais bandais encore. Il avait avec lui un vaporisateur qui dirigé sur mon dos m’a aspergé d’alcool qu’il a étalé sur mon dos et mes zébrures, l’alcool piquait. Je sniffais à petits coups mon odeur de bave. J’avais pas mal bavé en courant sachant que le maître serait là. Relevé à quatre pattes par les cheveux. Les mains fixées à la barre, les poids roulaient m’accompagnant. Il est passé derrière moi pour fouetter mes fesses et des fois déraper sur mes couilles me faisant sursauter.
-Je vais t’enculer la chienne après je t’éclaterais la rondelle.
Il a mis du gras sur mon anus et autour et m’a pris sauvagement me tenant par les hanches. Labouré, je criais sous le string. Plus je criais plus ses coups de reins étaient forts et il a préféré se retirer pour me faire taire, remplissant ma bouche de sa bite et de son jus. Je ne savais plus ou j’étais de bonheur, de douleur et de plaisir. Il a pris des pics de moi de face bouche ouverte puis de dos et a cliqué sans me dire pourquoi. Il a passé des gants de latex noirs et les a enduits de crème avant d’introduire deux puis trois doigts dans mon cul.
-Tu supportes la chienne ?
Je me doutais de la fin mais j’ai fait signe que oui. Il a ôté les doigts pour en vriller quatre, me branlant le cul avec. Je sentais chaque bout de peau de sa main gantée passer dans mon trou et il a mis le pouce au centre pour me fister. J’ai gueulé comme un veau au passage des phalanges. Il a fouillé mon cul avant de se retirer et d’enlever ses gants.
Cette nuit tu dors dans le coin là-bas. Sur le vieux matelas Tu pourras chier et pisser je te mets une chaîne à la cheville et y a un tuyau d’eau dans le coin. Demain j’ai envoyé tes photos sur internet à des potes que je connais bien et qui savent où je suis. T’auras de la visite la chienne. Toi et ton cul.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...