séance 3
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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séance 3
Séance 3
J’ai très mal dormi jusqu’à ce que je trouve un bout de tissus pout me couvrir le torse. J’avais mal partout et même si la journée de samedi serait dure, j’étais heureux que l’on s’occupe de mon corps. Il avait attaché mes mains dans le dos et je pouvais toucher mon anus.
Gras et souple il allait servir et je me sentais vraiment lopette malgré mes quarante-cinq ans, obéir à un mec de 18 me tournait les sens. Il faisait jour mais en été la lumière arrive vite et le toit était une verrière. Je suis allé me vider et pisser, utilisant le tuyau pour nettoyer mes boyaux et me suis allongé de nouveau. Un bruit de moteur et le portail a coulissé. Le fourgon a reculé et le portail refermé j’ai constaté qu’ils étaient trois à peu près du même âge qui descendaient en riant. Le maître, un beur et un black.
-Je ne vous avais pas menti les mecs, la chienne est là. Ne bouge pas toi, tu t’excites à sentir les mâles mais attends qu’on débarrasse le fourgon.
Il était presque plein et ils ont sorti un banc assez haut avec des attaches vers les coins, une batterie et des fils avec de nombreux accessoires dans un carton, une mallette blanche avec une croix rouge et pas mal de godes et de grosses rondelles en inox. Enfin une bouteille de gaz avec détendeur et tuyau.
-Tu commences à flipper la chienne ?
Je m’étais mis debout pour regarder et je bandais, bavant sur le ciment. Maître m’a frappé la queue d’un coup sec de la main. J’ai gémi et rentré le ventre sans débander.
-Ha j’ai oublié, attends, oui le voilà. Il a sorti un slip froissé qu’il m’a passé sous le nez.
Humm ça sentait le sexe mais pas de de nana ni de mecs et c’est quand il l’a déplié que j’ai vu la taille.
-Tu vas apprécier c’est celui du frangin, deux ans de moins que moi, il le portait il y a deux ans mais déjà bien chaud comme tu sens. Il aura dix-huit ans vendredi prochain et moi dix-neuf. Vous ne le saviez pas mais il est accro aux odeurs de sexe sur le tissu. Il se met vite en mode chasse. Facile à voir il bave. Bon, on l’attache sur le banc ?
Il matait le beur qui palpait mes tétons et a descendu la main pour vérifier mon prépuce qui coulissait facilement.
-Ouai sur le dos que je puisse faire du bon boulot et serré sous les bras et pas mal aux hanches qu’il ne bouge pas du tout. Commencez par les chevilles et les poignets.
Une fois entravé, cuisses ouvertes et de larges bandes de cuir comme des grosses ceintures entourant mon buste et mes hanches, les cuisses bien tenues il a ouvert la mallette blanche et sorti du gros fil noir et une aiguille large. J’ai commencé à paniquer mais j’étais totalement immobilisé. Le black a tiré sur un des tétons le pinçant fort. Devant moi le mec a déchiré un sachet. Il avait mis des gants chirurgicaux il m’a montré l’aiguille avant de me dire ce qu’il allait faire.
Ton maître a décidé que tu serais plus docile avec des piercings. Bien sur tu vas ressentir de la douleur mais moindre que les coups sur ton dos. Je sais ce que je fais et l’ai déjà souvent pratiqué, ça va saigner mais très peu et je tamponnerais. La gaze est stérile aussi. Tu peux te crisper mais pas bouger. Je vais vite.
Ce fut douloureux, moins que je pensais et bizarrement plus dur pour le deuxième.
-Bien, tout s’est bien passé. Balancez-lui de l’eau glacée sur la queue. Qu’il débande un peu pour attraper le frein. Là comme ça, ça suffit. Il a fait tirer sur le frein et a déchiré une autre enveloppe d’où il a sorti une autre aiguille courbée cette fois qu’il a passé sous le gland. Je n’ai presque rien senti malgré la taille de l’aiguille. Il a tiré un peu dessus pour passer un anneau avec une boule d’un côté et un filetage de l’autre. Il a retiré l’aiguille et fermé l’anneau par un autre boule serrée sur le pas de vis.
-Cette fois ta chienne est ton esclave. Un bâtard à sauter par qui a besoin de se les vider. Il avait mis des pansements sur mes tétons. Il les changera tous les jours après un nettoyage au Dakin. Pour le frein juste une douche sérieuse. Une fois tout cicatrisé on pourra mettre des anneaux plus larges et plus lourds. Comme il n’a pas besoin de se voir un large collier montant sur les côtés les côtés ira s’il reste ici ou chez lui. Tu en as un ? Alors pose lui et on le détache. Pour sortir un plus petit noir et clouté lui ira.
-Alors bâtard tu te sens mieux ?
-Oui maître puisque c’était votre choix.
-Maintenant c’est la partie agréable pour nous et tes trous apprécierons aussi. J’ai dû reculer sur le banc et ma tête s’est naturellement penchée en arrière. Ma bouche aussitôt occupée par une bite cachée par ses couilles sur les yeux et les cuisses relevées mon trou investi pas une autre queue plus longue. Attend-on va lui mettre le slip sous le nez, il respirera la bonne odeur du frangin.
-Il risque saigner un peu s’il bande.
-Bah on mettra une compresse et une capote pour que ça tienne.
Une fois le slip ajusté sur mon visage, le nez juste à l’emplacement du sexe du frère, à la première respiration j’ai commencé à bander.
-Il sent bon le calbut du frangin je vois alors suce et respire bien.
J’oubliais toutes les douleurs en pompant, me faisant défoncer le cul forcément par le black, je ne voyais que le beur et mon maître. Ils ont tourné, inversant les trous et moi je sniffais comme un fou, imaginant la queue enfermée dans ce tissu. J’avais le trou qui ne se refermait plus entre les queues quand ils ont cessé.
-Daniel tu avais décidé un marquage ? Toujours partant ?
-Bien sur. Tu bosses dans quoi bâtard ?
En ce moment je bosse par télétravail sinon dans les assurances.
-On va te marquer à mon sigle sur la hanche. En haut de la cuisse. Tout en haut. Ai niveau du fémur
Il a sorti une tige en fer avec un D majuscule au bout et ils ont allumé le gaz, maintenant l’embout face à la lettre.
-Tu vas avoir très mal mais tous sauront que tu n’es plus libre.
Il a enfoncé le string de la veille dans ma gorge et serré le slip du frère sur mon nez. Un bandeau a retenu le string dans ma gorge et la lettre étant rougie par le feu, il l’a appliqué fortement sur la hanche, niveau du fémur. J’ai senti le cochon brûlé à travers le slip et je n’ai pas compté mais il a retiré la tige. Il a attendu un moment avant de retirer le bandeau et le string
-Cette fois t’est à moi, visiblement. Karim va rentrer le fourgon, nous on va rentrer chez nous. Car tu n’es plus chez toi mais chez nous deux ! On va te mettre un pansement sur la brûlure le temps de rentrer. Il fait beau, chaud, et tu n’as pas besoin de beaucoup de fringue. Le tee-shirt de ta course en haut et simplement le short sans slip. Pas besoin de cacher ou on est. Le port de Gennevilliers est grand et Karim nous déposera au métro.
J’avais joui dans la capote sur le pansement et il l’a simplement retirée.
-T’es vraiment maso mec ! Laisse la batterie ici avec les fils on reviendra surement.
Jusqu’au métro dans le fourgon ça a été mais une fois sur le quai j’avais l’impression que tout le monde me fixait. C’est vrai que sans slip le short de jogging moulait mes formes et dans la rame c’était l’heure la pire où tout le monde se pressait. Enfin après des changements on est arrivé et il m’a dit qu’ici c’était nu de rigueur quand je ne bossais pas.
J’ai très mal dormi jusqu’à ce que je trouve un bout de tissus pout me couvrir le torse. J’avais mal partout et même si la journée de samedi serait dure, j’étais heureux que l’on s’occupe de mon corps. Il avait attaché mes mains dans le dos et je pouvais toucher mon anus.
Gras et souple il allait servir et je me sentais vraiment lopette malgré mes quarante-cinq ans, obéir à un mec de 18 me tournait les sens. Il faisait jour mais en été la lumière arrive vite et le toit était une verrière. Je suis allé me vider et pisser, utilisant le tuyau pour nettoyer mes boyaux et me suis allongé de nouveau. Un bruit de moteur et le portail a coulissé. Le fourgon a reculé et le portail refermé j’ai constaté qu’ils étaient trois à peu près du même âge qui descendaient en riant. Le maître, un beur et un black.
-Je ne vous avais pas menti les mecs, la chienne est là. Ne bouge pas toi, tu t’excites à sentir les mâles mais attends qu’on débarrasse le fourgon.
Il était presque plein et ils ont sorti un banc assez haut avec des attaches vers les coins, une batterie et des fils avec de nombreux accessoires dans un carton, une mallette blanche avec une croix rouge et pas mal de godes et de grosses rondelles en inox. Enfin une bouteille de gaz avec détendeur et tuyau.
-Tu commences à flipper la chienne ?
Je m’étais mis debout pour regarder et je bandais, bavant sur le ciment. Maître m’a frappé la queue d’un coup sec de la main. J’ai gémi et rentré le ventre sans débander.
-Ha j’ai oublié, attends, oui le voilà. Il a sorti un slip froissé qu’il m’a passé sous le nez.
Humm ça sentait le sexe mais pas de de nana ni de mecs et c’est quand il l’a déplié que j’ai vu la taille.
-Tu vas apprécier c’est celui du frangin, deux ans de moins que moi, il le portait il y a deux ans mais déjà bien chaud comme tu sens. Il aura dix-huit ans vendredi prochain et moi dix-neuf. Vous ne le saviez pas mais il est accro aux odeurs de sexe sur le tissu. Il se met vite en mode chasse. Facile à voir il bave. Bon, on l’attache sur le banc ?
Il matait le beur qui palpait mes tétons et a descendu la main pour vérifier mon prépuce qui coulissait facilement.
-Ouai sur le dos que je puisse faire du bon boulot et serré sous les bras et pas mal aux hanches qu’il ne bouge pas du tout. Commencez par les chevilles et les poignets.
Une fois entravé, cuisses ouvertes et de larges bandes de cuir comme des grosses ceintures entourant mon buste et mes hanches, les cuisses bien tenues il a ouvert la mallette blanche et sorti du gros fil noir et une aiguille large. J’ai commencé à paniquer mais j’étais totalement immobilisé. Le black a tiré sur un des tétons le pinçant fort. Devant moi le mec a déchiré un sachet. Il avait mis des gants chirurgicaux il m’a montré l’aiguille avant de me dire ce qu’il allait faire.
Ton maître a décidé que tu serais plus docile avec des piercings. Bien sur tu vas ressentir de la douleur mais moindre que les coups sur ton dos. Je sais ce que je fais et l’ai déjà souvent pratiqué, ça va saigner mais très peu et je tamponnerais. La gaze est stérile aussi. Tu peux te crisper mais pas bouger. Je vais vite.
Ce fut douloureux, moins que je pensais et bizarrement plus dur pour le deuxième.
-Bien, tout s’est bien passé. Balancez-lui de l’eau glacée sur la queue. Qu’il débande un peu pour attraper le frein. Là comme ça, ça suffit. Il a fait tirer sur le frein et a déchiré une autre enveloppe d’où il a sorti une autre aiguille courbée cette fois qu’il a passé sous le gland. Je n’ai presque rien senti malgré la taille de l’aiguille. Il a tiré un peu dessus pour passer un anneau avec une boule d’un côté et un filetage de l’autre. Il a retiré l’aiguille et fermé l’anneau par un autre boule serrée sur le pas de vis.
-Cette fois ta chienne est ton esclave. Un bâtard à sauter par qui a besoin de se les vider. Il avait mis des pansements sur mes tétons. Il les changera tous les jours après un nettoyage au Dakin. Pour le frein juste une douche sérieuse. Une fois tout cicatrisé on pourra mettre des anneaux plus larges et plus lourds. Comme il n’a pas besoin de se voir un large collier montant sur les côtés les côtés ira s’il reste ici ou chez lui. Tu en as un ? Alors pose lui et on le détache. Pour sortir un plus petit noir et clouté lui ira.
-Alors bâtard tu te sens mieux ?
-Oui maître puisque c’était votre choix.
-Maintenant c’est la partie agréable pour nous et tes trous apprécierons aussi. J’ai dû reculer sur le banc et ma tête s’est naturellement penchée en arrière. Ma bouche aussitôt occupée par une bite cachée par ses couilles sur les yeux et les cuisses relevées mon trou investi pas une autre queue plus longue. Attend-on va lui mettre le slip sous le nez, il respirera la bonne odeur du frangin.
-Il risque saigner un peu s’il bande.
-Bah on mettra une compresse et une capote pour que ça tienne.
Une fois le slip ajusté sur mon visage, le nez juste à l’emplacement du sexe du frère, à la première respiration j’ai commencé à bander.
-Il sent bon le calbut du frangin je vois alors suce et respire bien.
J’oubliais toutes les douleurs en pompant, me faisant défoncer le cul forcément par le black, je ne voyais que le beur et mon maître. Ils ont tourné, inversant les trous et moi je sniffais comme un fou, imaginant la queue enfermée dans ce tissu. J’avais le trou qui ne se refermait plus entre les queues quand ils ont cessé.
-Daniel tu avais décidé un marquage ? Toujours partant ?
-Bien sur. Tu bosses dans quoi bâtard ?
En ce moment je bosse par télétravail sinon dans les assurances.
-On va te marquer à mon sigle sur la hanche. En haut de la cuisse. Tout en haut. Ai niveau du fémur
Il a sorti une tige en fer avec un D majuscule au bout et ils ont allumé le gaz, maintenant l’embout face à la lettre.
-Tu vas avoir très mal mais tous sauront que tu n’es plus libre.
Il a enfoncé le string de la veille dans ma gorge et serré le slip du frère sur mon nez. Un bandeau a retenu le string dans ma gorge et la lettre étant rougie par le feu, il l’a appliqué fortement sur la hanche, niveau du fémur. J’ai senti le cochon brûlé à travers le slip et je n’ai pas compté mais il a retiré la tige. Il a attendu un moment avant de retirer le bandeau et le string
-Cette fois t’est à moi, visiblement. Karim va rentrer le fourgon, nous on va rentrer chez nous. Car tu n’es plus chez toi mais chez nous deux ! On va te mettre un pansement sur la brûlure le temps de rentrer. Il fait beau, chaud, et tu n’as pas besoin de beaucoup de fringue. Le tee-shirt de ta course en haut et simplement le short sans slip. Pas besoin de cacher ou on est. Le port de Gennevilliers est grand et Karim nous déposera au métro.
J’avais joui dans la capote sur le pansement et il l’a simplement retirée.
-T’es vraiment maso mec ! Laisse la batterie ici avec les fils on reviendra surement.
Jusqu’au métro dans le fourgon ça a été mais une fois sur le quai j’avais l’impression que tout le monde me fixait. C’est vrai que sans slip le short de jogging moulait mes formes et dans la rame c’était l’heure la pire où tout le monde se pressait. Enfin après des changements on est arrivé et il m’a dit qu’ici c’était nu de rigueur quand je ne bossais pas.
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