Séance 5 - histoire érotique

Le réveil est des plus désagréables, ayant dormi en boule, repliée sur moi-même, je suis courbaturé de partout et le moindre geste m’est douloureux. En me relevant, je vois que le lit est vide mais au même moment, vous sortez de la salle de bain. Il est tellement rare que vous soyez debout avant moi que je me demande l’heure qu’il est.

- Dépêche toi d’aller te préparer avec la tenue dans la salle de bain, on part dans 5 min.

Je n’attend pas mon reste et file dans la salle de bain. J’essaie de m’étirer du mieux que je peux en enfilant ma tenue composé de collant chair, de ma jupe noire d’hier et d’un haut en dentelle noire transparent, puis me lave le visage et les dents. Mon estomac me demande à manger mais je n'ai pas envie de vous demander quelque chose de peur que vous soyez toujours en colère.
Je ressors rapidement de la pièce, je mets ma trousse de toilette dans le sac et patiente sans rien dire.

- Tu comptes sortir pied nus ?

Finalement j’ai eu raison de ne rien dire, vous êtes encore énervé. Pour éviter d’aggraver la chose, je me dépêche de mettre mes chaussures en lâchant un timide “non monsieur”.

Vous finissez par récupérer le sac, vous me passer un gros pull pour me couvrir et vous sortez de la chambre. Après avoir rapidement enfilé le pull je vous suit, ma main saisit mon col de pull et le remonte au niveau de mon menton, comme ça on peut penser que j’ai juste froid mais je cache mon collier. En descendant dans le hall de l'hôtel, plein de personnes sont réunies et prennent le petit déjeuner. En comprenant la chose, je n’ai jamais autant prié pour louper un repas mais vous connaissant, je sais très bien que ce ne sera pas le cas.

- Alors qu’en dis-tu de profiter du petit dej offert ? Tout à l’heure ton estomac avait faim non ?

Encore au pied des escaliers qu’on vient de descendre, vous vous tournez vers moi pour me dire ça, votre sourire narquois m’énerve un peu, au final vous prévoyez tout. Je sais très bien que là je peux cacher mon collier mais une fois assis, je ne pourrais pas garder mon pull ainsi, de toute manière je sais que c’est le premier ordre que vous me donnerez une fois installé à table.

- De toute manière, j’ai pas le choix n’est-ce pas ?

La nervosité parle plus vite que je ne réfléchis et je vois le changement sur vous. Rapidement, votre main s'agrippe à mon menton et vous me forcez à vous regarder dans les yeux.

- Ne prends pas ce ton avec moi, je te rappelle, parce que je pense que tu l’as un peu trop oublié hier, que je suis le maître et que tu dois obéir donc même si ma question était ironique, j’attend du respect et pas de l’insolence.

Je hoche la tête et vous suit dans la salle pour manger. Une table semble nous attendre contre le mur, j’en suis rassurée, au moins une petite victoire. Je sais que je devrais pas chercher des choses pour me cacher mais ça m’angoisse réellement, je sais que j’ai dit oui pour commencer à le porter dehors mais pas comme ça d’un coup devant tout le monde sans avoir le droit de le cacher.

On s’assoit et je mets mon pull correctement, essayant de ne pas cacher mon cou mais je fais quand même attention aux personnes autour, regardant si elles nous regardent. Ma jambe tressaute sous la table et je mors nerveusement mes lèvres, c’est idiot puisque je sais que personne regarde, qu’on va jamais revoir ces gens mais j’ai peur de ce qu’ils peuvent penser alors que le collier match avec ma tenue et qu’on peut croire que c’est un simple accessoire or je sais que ce n’est pas qu’un simple accessoire et qu’il signifie plus que ça.

- Eh, détends toi, tout le monde va finir par te regarder à force de bouger comme ça. Je sais que tu es capable d’affronter ça, tu n’as pas a te focaliser sur eux, mais sur le moment qu’on partage ensemble.

Je souris timidement, malgré votre colère qui était présente il y a encore 2 minutes, vous vous montrez rassurant. Je souffle un bon coup et me focalise sur vous, tentant d’oublier l'environnement.

- On va au buffet chercher de quoi manger ?

Je hoche la tête et me lève en même temps que vous. Je vous suit et évite de lever la tête, focalisant mon regard sur le sol et vos fesses, c’est plus divertissant et ça me fait rire.

Arrivée face au buffet, je prends le strict nécessaire, un café et un croissant, afin de retourner vite à la table, vous ne revenez pas longtemps après moi et vous me déposez un yaourt sur mon plateau.

- Merci monsieur, mais le croissant me suffisait.

- Non, tu auras besoin de plus de force puis le petit déj c’est le repas le plus important donc discute pas.

On déjeune en parlant de tout et de rien, quand je demande le programme de la journée, vous esquivez le sujet et ce malgré mon entêtement.
Une fois finie, on débarasse et retourne à la voiture. On prend la route et je ne reconnais aucun paysage, je me demande où on peut être, la vieille j’ai eu l’impression que le trajet à duré une éternité à cause du bandeau mais il a peut-être vraiment duré une éternité.
Après une vingtaine de minutes de route, vous vous garez sur un parking, autour il n’y a rien à part une forêt. Vous m’informez qu’on va se balader, heureusement il fait super beau et je n’ai pas froid malgré la jupe. Vous attrapez un sac à dos et mettez 2 bouteilles d’eau que vous aviez prévus pour la route la veille.

On marche depuis un certain temps quand vous m’attirez derrière un espace plus dense en feuillage, une fois à l’abri et que vous êtes certain que les gens qui pourraient passer sur le chemin qu’on vient de quitter nous verrons pas, vous me plaquer contre un arbre et ramenez mes mains au dessus de ma tête. Je me laisse faire et quand vous lâchez mes poignets, je les laisse au même endroit. Vous baissez la fermeture de ma jupe et cette dernière me tombe sur les chevilles rapidement, vous faites de même avec le collant mais restez précautionneux pour ne pas le déchirer.
Mon string reste en place mais vos mains n’en n’ont pas fini, vous les passez sous mon pull mais pas pour le retirer, vous venez peloter mes seins et vous en profiter pour tirer mes tétons. Je gesticule un peu, commençant à ressentir de l’excitation. Une de vos mains délaisse mon sein pour se glisser sous mon string, vos doigts coulent sur ma vulve et rapidement deux s'insèrent en moi. Vous me pénétrez fortement avec vos doigts et ma tête pars en arrière de plaisir, mes mains ne bougent pas mais l’envie de les poser sur vos épaules me tente cependant je me retiens. Trop rapidement à mon goût vous arrêtez et m'ordonne de m’agenouiller. Votre regard parle pour vous et je comprends ce que je dois faire. Je déboucle votre ceinture et vous retire juste comme il le faut vos vêtements afin de sortir votre queue. Je m’attèle à la tâche en commençant par vous branler puis je vous prend en bouche et alterne les deux mais aussi le rythme.
Avant de jouir, vous m’arrêtez et me relève avant de me replaquez contre l’arbre. Vous attrapez une de mes cuisses afin de la mettre contre votre hanche avant de vous enfoncer en moi d’un coup. Mon esprit retrouve son état de luxure et mes mains s’accrochent à vos épaules. Vous enchaînez les va et vient, mon corps se rapproche de la jouissance créant des spasmes musculaires autour de votre queue. Vous finissez par jouir en moi, provoquant ma jouissance, je m’accroche à vous et doucement vous reposez la jambe au sol. Je redescend petit à petit de mon petit nuage et vous me faites des caresses dans les cheveux pendant ce temps. Une fois que j’ai retrouvé ma contenance, je me décale de vous, vous glissez votre main entre mes jambes et récupérez un peu des fluides qui s'écoulent avant de porter vos doigts à ma bouche. Je les suce tout en vous regardant droit dans les yeux et je peux voir la petite flamme se raviver.

Vous finissez par vous écarter et m’aidez à me rhabiller après que je me sois nettoyé avec une lingette intime que je garde toujours dans ma petite trousse de nécessité dans le sac. En remontant mon string et les collants, je sens une légère douleur sur mon bas du dos et mes fesses, en touchant un peu, je me rends compte que l’écorce d’arbre ça rappe un peu.

On finit par retourner sur le chemin afin de terminer la balade avant de retourner à la voiture. Avec tout ça, l'heure du midi est déjà là et vous décidez qu’on achète des sandwichs avant de se rendre là où vous souhaitiez me faire découvrir un truc.