Seance photo sur un parking... à plusieurs !
Récit érotique écrit par Ttox [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2011 dans la catégorie Plus on est
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Seance photo sur un parking... à plusieurs !
Blanche et moi nous connaissons depuis longtemps. Nous avons une histoire assez chahutée, faite de crises, de retrouvailles, mais surtout de folies… C’est avec elle je crois que j’ai vécu les moments les plus fous et débridés de ma vie sexuelle… Elle et moi avons parfois exploré et découvert des aspects rarement avoués de nos personnalités respectives, en particulier sur le plan de l’exhibitionnisme.
Nous avions pris cette mauvaise (et pourtant si bonne) habitude de flirter avec le danger. Parfois, lorsque le soleil chauffait l’air et surtout nos sens, nous nous retrouvions sur un petit parking, non loin de notre travail. Le parking était désert la plupart du temps, à l’arrière d’une grande surface assez peu fréquentée. Il était entouré d’une végétation plus ou moins abandonnée, qui masquait en grande partie ce qui s’y passait. Pourtant, quelques rares maisons et appartements le surplombaient… Des employés de la grande surface s’y garaient parfois, et plus rarement encore des personnes en quête de solitude, souvent des hommes, venaient y prendre leur repas dans leur voiture. Nous y avons croisé une seule fois un couple, qui je crois y venait pour des raisons proches des nôtres. La scène se déroulait finalement assez souvent de façon identique.. Nous nous garions en plein soleil, vitres et portières ouvertes, et laissions libre court à nos fantaisies sexuelles, d’abord dans la voiture, puis lorsque l’excitation était à son comble, dehors, nus en plein soleil, debout ou sur le capot de la voiture. D’autres voitures passaient à une cinquantaine de mètres, trop vite pour nous voir entre les buissons. Une fois, un homme était garé un peu plus loin, derrière une rangée de végétation. Nous nous étions placés dans son champ de vision, pour être certains de l’effet. Du fait de la pente du terrain, il avait une vue plongeante sur nos ébats. Lorsque nous étions sortis, Blanche s’était allongée sur le capot, ouverte. Pendant que je la pénétrais de plus en plus puissamment, l’homme était sorti de son véhicule, et nous avait observés. Rapidement, il avait commencé à faire quelques gestes un peu timides de la main, qui signifiaient qu’il proposait sa participation. Nous n’avions pas réagi. Blanche et moi étions tellement excités par cette situation nouvelle que nous étions partis très fort, et très rapidement. Je me souviens des cris qui sortirent du fond de sa gorge à ce moment, et de la chaleur humide de sa peau : cet orgasme restera dans ma mémoire comme un des meilleurs. L’homme, quant à lui, partit très vite une fois notre orgasme atteint.
Ces retrouvailles répétées sur ce parking nous apprirent que la plupart des gens qui assistent à ce genre de scènes sont en fait très timides. Une fois assumé ce désir de se montrer à des inconnus, la culpabilité fait place à une excitation qui efface tout le reste. La culpabilité et la gène finissent dans le camp des voyeurs. Leur réactions sont variées, mais la plupart font comme s’ils n’avaient rien vu, tout en essayant bien sur de capter la plus grande partie de la scène. D’autres fuient simplement, non sans se rincer l’œil. Rares sont ceux qui observent ouvertement, voire se proposent. Extrêmement rares sont ceux et celles qui s’indignent… ce qui en fait ne nous est jamais arrivé.
Forts de cette expérience, nous avions le désir d’aller plus loin, et attendions le moment propice.
Ce midi-là, nous étions, comme de nombreuses fois, très excités par la légèreté de l’air et de nos discussions. Naturellement, sans nous interroger plus, nous prîmes la direction du parking. Un homme y était garé, seul, dans une BMW noire. Il mangeait un sandwich en écoutant la radio. Il avait une petite quarantaine d’années, les cheveux bruns, courts. Habillé avec une certaine classe, c’était probablement un VRP qui prenait sa pause du midi, avant de reprendre le tour des entreprises du coin. Je regardait Blanche, et lui demandai si elle avait pris son appareil photo.
Nous avions déjà discuté de ce fantasme, sans le déflorer trop. Mais nous étions sur la même longueur d’ondes : lorsque j’évoquai l’appareil photo, ses yeux se mirent à briller, et un sourire coquin apparut sur ses lèvres. Cela tombait bien, ce jour là, elle portait un petit haut à bretelles qui faisait honneur à sa très généreuse poitrine, une jupe portefeuille, et des talons hauts.
Nous nous sommes arrêtés en face de la voiture, et je suis descendu tout de suite, l’appareil photo à la main. Blanche m’a suivi. Je suis allé voir l’homme.
« - Bonjour. Excusez-moi de vous déranger…
- Bonjour ?
- Voila, mon amie et moi voudrions faire une séance photo, et... Je ne sais pas comment… Bon, vous avez une très belle voiture, et nous aurions bien aimé l’utiliser comme décor … Enfin, si vous nous permettez …
- Ah ? Eh bien écoutez je ne sais pas… C’est que je n’ai pas beaucoup de temps, et puis… Et puis je ne vous… Mais c’est pour quel genre de photos ? »
Malgré sa réticence visible, la dernière question, associée à un coup d’œil à Blanche, marquait tout de même un début d’intérêt… Je décidai de jouer carte sur table.
« - Ce sont des photos coquines. Mais rassurez-vous, on les garde pour nous… »
Il marqua un temps de réflexion. La chose éveillait bien sur son imagination, mais… Pouvait-il nous faire confiance ? Avions nous l’intention de lui voler sa voiture ? Et comment expliquer ensuite comment on la lui aurait volée ? Et si ensuite on voulait le faire chanter, ou je ne sais quoi ? D’un autre côté, cette petite nana… Elle avait une de ces poitrines…
Blanche prit la parole.
« - Ne vous inquiétez pas, vous ne risquez rien… Vous pouvez même rester au volant...
- Ah non, je ne veux pas être sur les photos !
- Alors vous enlevez les clés, et … Vous pouvez assister à la séance photo. ».
Elle dit cette dernière phrase avec un grand sourire, empli de sous-entendus… C’est manifestement cela qui emporta la décision… Il lui sourit, lança un « Bon », et descendit de la voiture avec ses clés et le reste de son sandwich. Il partit un peu plus loin, à l’ombre d’un arbre, sans quitter Banche des yeux.
Blanche commença à prendre des poses sages, d’abord appuyée sur la portière, faisant attention à se cambrer, ressortir sa poitrine… profiter de la jolie ligne que lui faisaient les talons hauts. Elle souriait à l’objectif, et parfois à notre spectateur. Je prenais beaucoup de photos, en m’arrêtant de temps en temps pour lui donner quelques instructions : « Mets toi un peu de profil », « Super, oui, c’est bien comme ca », « attends, penche toi un peu, on voit mieux ton décolleté». Lorsque je complimentais son anatomie, elle ne manquait pas de lancer une œillade à l’homme, comme pour rechercher son approbation.. Bien sur, il répondait, sans oser en faire trop, par un sourire, ou un coup d’œil de connaisseur qui admire un tableau dans une galerie d’art.
Il était temps d’aller plus loin : « Assieds toi sur le capot.. Voila.. Pose un pied aussi sur le cote. Oui, voila, sur le capot aussi ». C’était un moment sensible. Les talons allaient rayer un petit peu la peinture, mais… La vue qui s’offrait à l’inconnu l’empêcherait probablement d’y penser plus d’une seconde. Il ne dit rien. Une des jambes de Blanche était posée au sol, tandis qu’elle avait replié l’autre sur le côté. Sa jupe portefeuille était ouverte sur un joli string noir. Je pris la photo. Puis : « Tu devrait peut-être l’enlever, non ?». Blanche sourit largement. Et s’exécuta. Pendant que le string descendait, elle échangea un nouveau regard avec l’homme. Il venait d’avaler le dernier morceau de son sandwich, et se mit à tousser. Blanche lui demanda si ca allait. « Oui oui, merci, très bien. Très très bien ». Elle reprit la même pose, toujours avec un grand sourire. Sa jolie petite chatte était ouverte, luisante au dessus du capot noir. « Ouh, ca chauffe », dit-elle en posant ses fesses nues. « Oh oui », j’ai répondu.
Progressivement, le débardeur et le soutien-gorge, la jupe portefeuille virent rejoindre le string. Blanche continuait cette séance photo mémorable, vêtue seulement de ses escarpins à talons. Elle essaya le siège conducteur, mais aussi des photos de dos, de profil, ou la tête en arrière pour faire ressortir ses seins. Elle était de plus en plus excitée, et moi aussi. Sous mon jean, je bandais terriblement… Et je ne doute pas que l’homme dont les yeux étaient rivés sur elle était dans le même état.
« - Ca ne vous dérange pas de prendre les photos ?
- Euh.. Oui… Non, enfin, non, ca ne me … »
Je lui tendis l’appareil, me dirigeai vers Blanche, et l’embrassai à pleine bouche. D’abord interdit, l’homme recommença à prendre les photos. Avec une rapidité d’experte, Blanche ouvrit mon jean et le baissa sur mes talons. Elle s’accroupit, et commença à me sucer. J’enlevai mon T-shirt. La bouche de Blanche montait et descendait sur ma bite que je sentais dure comme de la pierre. L’appareil crépitait toujours, et j’entendais l’homme se rapprocher. Il prenait la fellation en gros plan. Elle jeta un œil à l’appareil, sourit, mon sexe au bord de ses lèvres, une main le tenant fermement. Puis elle reprit sa délicieuse activité, avec des gémissements qui en disaient long sur son désir d’être prise. Ces dernières minutes avaient transformé sa chatte en un bijou ruisselant.
L’homme était maintenant si près que je me demandais s’il voyait encore quelque chose dans l’objectif. Tout en me jetant un regard, elle tendit la main vers sa braguette et caressa la bosse qui voulait faire éclater son pantalon. J’entendis un râle sortir de la gorge du VRP, et lui repris l’appareil des mains. Pendant que Blanche continuait ses allers-retours sur mon membre prêt à l’explosion, je vis sa main dézipper le pantalon, puis s’engouffrer.. Et ressortir avec un beau sexe, bien gonflé, large, aux veines très saillantes. J’avais presque envie de le sucer moi-même. Mais Blanche était déjà au travail… Elle me repoussa pour me présenter ses fesses. Je ne me fis pas prier, et m’engouffrai dans son antre. Il était comme je l’espérais. Tellement trempé que ses cuisses ruisselaient, ce qui rendait la sensation de glisse merveilleusement douce. J’entrai chaque fois plus à fond, et lorsque je butai, je voyais le soubresaut de sa tête, de sa bouche autour de la bite qu’elle léchait goulument. Je posai l’appareil. Je ne pouvais plus me concentrer suffisamment pour prendre des photos et ne pas jouir. Pendant ce temps, je sentis la main de Blanche qui avait repris mon membre. Je savais ce qu’elle voulait. Elle voulait le guider vers cet autre trou qu’elle aimait sentir comblé. J’entrai avec précaution, sachant comme ce moment et la douleur qui pouvait l’accompagner risquait de m’interdire cet accès. Mais j’étais si trempé de son vagin, elle était si excitée, que cela se fit tout en douceur. Pendant que je la sodomisais, elle se releva, et embrassa le mec, tout en me demandant de l’attendre. Elle avait une idée en tête : « Continue, assieds-toi sur le capot ». L’entreprise était périlleuse. Il fallait que je reste en elle, que je m’assoie, que je m’assure qu’elle ne tombe pas.. Et que la concentration qui était nécessaire à tout ceci ne me fasse pas débander ! Mais l’homme avait compris la manœuvre, et nous aida : la position fut vite stabilisée : j’étais assis sur le capot brulant, mon sexe profondément enfoncé dans le cul de Blanche. Elle s’adossait à moi et écartait les jambes le plus possible pour s’offrir au mec. Il entra en elle. Fort. Je sentis à la fois la secousse comme une vague de plaisir sur mon membre, mais aussi la bite du mec à travers la paroi fine qui nous séparait. J’entendis Blanche qui haletait. Je ne pouvais pas bouger, mais chaque aller-retour du mec me faisait vibrer. Je sentais ses couilles contre les miennes, et la sensation me faisait monter encore plus. Blanche, quant à elle, était déjà partie, elle n’était plus que souffles, contractions, gémissements. Il poussa une dernière fois, alors qu’un son à la fois profond et enfantin sortit de ses poumons. Je jouis, moi-même, avec l’impression de libérer un ruisseau de sperme. L’éjaculation n’en finissait pas, et je sentais mes testicules se contracter presque douloureusement.
Nos respirations se calmèrent, et nous restâmes ainsi plusieurs dizaines de secondes, fondus les uns dans les autres.. Jusqu’à ce que la position paraisse incongrue, presque gênante. Blanche et moi éclatâmes alors de rire, bientôt suivis par Fabrice.
.... retrouvez tous mes textes sur http://lapageattox.blog4ever.com/
... Et pour me contacter : cwolverine@ymail.com, ou Carl Wolvy sur facebook
Nous avions pris cette mauvaise (et pourtant si bonne) habitude de flirter avec le danger. Parfois, lorsque le soleil chauffait l’air et surtout nos sens, nous nous retrouvions sur un petit parking, non loin de notre travail. Le parking était désert la plupart du temps, à l’arrière d’une grande surface assez peu fréquentée. Il était entouré d’une végétation plus ou moins abandonnée, qui masquait en grande partie ce qui s’y passait. Pourtant, quelques rares maisons et appartements le surplombaient… Des employés de la grande surface s’y garaient parfois, et plus rarement encore des personnes en quête de solitude, souvent des hommes, venaient y prendre leur repas dans leur voiture. Nous y avons croisé une seule fois un couple, qui je crois y venait pour des raisons proches des nôtres. La scène se déroulait finalement assez souvent de façon identique.. Nous nous garions en plein soleil, vitres et portières ouvertes, et laissions libre court à nos fantaisies sexuelles, d’abord dans la voiture, puis lorsque l’excitation était à son comble, dehors, nus en plein soleil, debout ou sur le capot de la voiture. D’autres voitures passaient à une cinquantaine de mètres, trop vite pour nous voir entre les buissons. Une fois, un homme était garé un peu plus loin, derrière une rangée de végétation. Nous nous étions placés dans son champ de vision, pour être certains de l’effet. Du fait de la pente du terrain, il avait une vue plongeante sur nos ébats. Lorsque nous étions sortis, Blanche s’était allongée sur le capot, ouverte. Pendant que je la pénétrais de plus en plus puissamment, l’homme était sorti de son véhicule, et nous avait observés. Rapidement, il avait commencé à faire quelques gestes un peu timides de la main, qui signifiaient qu’il proposait sa participation. Nous n’avions pas réagi. Blanche et moi étions tellement excités par cette situation nouvelle que nous étions partis très fort, et très rapidement. Je me souviens des cris qui sortirent du fond de sa gorge à ce moment, et de la chaleur humide de sa peau : cet orgasme restera dans ma mémoire comme un des meilleurs. L’homme, quant à lui, partit très vite une fois notre orgasme atteint.
Ces retrouvailles répétées sur ce parking nous apprirent que la plupart des gens qui assistent à ce genre de scènes sont en fait très timides. Une fois assumé ce désir de se montrer à des inconnus, la culpabilité fait place à une excitation qui efface tout le reste. La culpabilité et la gène finissent dans le camp des voyeurs. Leur réactions sont variées, mais la plupart font comme s’ils n’avaient rien vu, tout en essayant bien sur de capter la plus grande partie de la scène. D’autres fuient simplement, non sans se rincer l’œil. Rares sont ceux qui observent ouvertement, voire se proposent. Extrêmement rares sont ceux et celles qui s’indignent… ce qui en fait ne nous est jamais arrivé.
Forts de cette expérience, nous avions le désir d’aller plus loin, et attendions le moment propice.
Ce midi-là, nous étions, comme de nombreuses fois, très excités par la légèreté de l’air et de nos discussions. Naturellement, sans nous interroger plus, nous prîmes la direction du parking. Un homme y était garé, seul, dans une BMW noire. Il mangeait un sandwich en écoutant la radio. Il avait une petite quarantaine d’années, les cheveux bruns, courts. Habillé avec une certaine classe, c’était probablement un VRP qui prenait sa pause du midi, avant de reprendre le tour des entreprises du coin. Je regardait Blanche, et lui demandai si elle avait pris son appareil photo.
Nous avions déjà discuté de ce fantasme, sans le déflorer trop. Mais nous étions sur la même longueur d’ondes : lorsque j’évoquai l’appareil photo, ses yeux se mirent à briller, et un sourire coquin apparut sur ses lèvres. Cela tombait bien, ce jour là, elle portait un petit haut à bretelles qui faisait honneur à sa très généreuse poitrine, une jupe portefeuille, et des talons hauts.
Nous nous sommes arrêtés en face de la voiture, et je suis descendu tout de suite, l’appareil photo à la main. Blanche m’a suivi. Je suis allé voir l’homme.
« - Bonjour. Excusez-moi de vous déranger…
- Bonjour ?
- Voila, mon amie et moi voudrions faire une séance photo, et... Je ne sais pas comment… Bon, vous avez une très belle voiture, et nous aurions bien aimé l’utiliser comme décor … Enfin, si vous nous permettez …
- Ah ? Eh bien écoutez je ne sais pas… C’est que je n’ai pas beaucoup de temps, et puis… Et puis je ne vous… Mais c’est pour quel genre de photos ? »
Malgré sa réticence visible, la dernière question, associée à un coup d’œil à Blanche, marquait tout de même un début d’intérêt… Je décidai de jouer carte sur table.
« - Ce sont des photos coquines. Mais rassurez-vous, on les garde pour nous… »
Il marqua un temps de réflexion. La chose éveillait bien sur son imagination, mais… Pouvait-il nous faire confiance ? Avions nous l’intention de lui voler sa voiture ? Et comment expliquer ensuite comment on la lui aurait volée ? Et si ensuite on voulait le faire chanter, ou je ne sais quoi ? D’un autre côté, cette petite nana… Elle avait une de ces poitrines…
Blanche prit la parole.
« - Ne vous inquiétez pas, vous ne risquez rien… Vous pouvez même rester au volant...
- Ah non, je ne veux pas être sur les photos !
- Alors vous enlevez les clés, et … Vous pouvez assister à la séance photo. ».
Elle dit cette dernière phrase avec un grand sourire, empli de sous-entendus… C’est manifestement cela qui emporta la décision… Il lui sourit, lança un « Bon », et descendit de la voiture avec ses clés et le reste de son sandwich. Il partit un peu plus loin, à l’ombre d’un arbre, sans quitter Banche des yeux.
Blanche commença à prendre des poses sages, d’abord appuyée sur la portière, faisant attention à se cambrer, ressortir sa poitrine… profiter de la jolie ligne que lui faisaient les talons hauts. Elle souriait à l’objectif, et parfois à notre spectateur. Je prenais beaucoup de photos, en m’arrêtant de temps en temps pour lui donner quelques instructions : « Mets toi un peu de profil », « Super, oui, c’est bien comme ca », « attends, penche toi un peu, on voit mieux ton décolleté». Lorsque je complimentais son anatomie, elle ne manquait pas de lancer une œillade à l’homme, comme pour rechercher son approbation.. Bien sur, il répondait, sans oser en faire trop, par un sourire, ou un coup d’œil de connaisseur qui admire un tableau dans une galerie d’art.
Il était temps d’aller plus loin : « Assieds toi sur le capot.. Voila.. Pose un pied aussi sur le cote. Oui, voila, sur le capot aussi ». C’était un moment sensible. Les talons allaient rayer un petit peu la peinture, mais… La vue qui s’offrait à l’inconnu l’empêcherait probablement d’y penser plus d’une seconde. Il ne dit rien. Une des jambes de Blanche était posée au sol, tandis qu’elle avait replié l’autre sur le côté. Sa jupe portefeuille était ouverte sur un joli string noir. Je pris la photo. Puis : « Tu devrait peut-être l’enlever, non ?». Blanche sourit largement. Et s’exécuta. Pendant que le string descendait, elle échangea un nouveau regard avec l’homme. Il venait d’avaler le dernier morceau de son sandwich, et se mit à tousser. Blanche lui demanda si ca allait. « Oui oui, merci, très bien. Très très bien ». Elle reprit la même pose, toujours avec un grand sourire. Sa jolie petite chatte était ouverte, luisante au dessus du capot noir. « Ouh, ca chauffe », dit-elle en posant ses fesses nues. « Oh oui », j’ai répondu.
Progressivement, le débardeur et le soutien-gorge, la jupe portefeuille virent rejoindre le string. Blanche continuait cette séance photo mémorable, vêtue seulement de ses escarpins à talons. Elle essaya le siège conducteur, mais aussi des photos de dos, de profil, ou la tête en arrière pour faire ressortir ses seins. Elle était de plus en plus excitée, et moi aussi. Sous mon jean, je bandais terriblement… Et je ne doute pas que l’homme dont les yeux étaient rivés sur elle était dans le même état.
« - Ca ne vous dérange pas de prendre les photos ?
- Euh.. Oui… Non, enfin, non, ca ne me … »
Je lui tendis l’appareil, me dirigeai vers Blanche, et l’embrassai à pleine bouche. D’abord interdit, l’homme recommença à prendre les photos. Avec une rapidité d’experte, Blanche ouvrit mon jean et le baissa sur mes talons. Elle s’accroupit, et commença à me sucer. J’enlevai mon T-shirt. La bouche de Blanche montait et descendait sur ma bite que je sentais dure comme de la pierre. L’appareil crépitait toujours, et j’entendais l’homme se rapprocher. Il prenait la fellation en gros plan. Elle jeta un œil à l’appareil, sourit, mon sexe au bord de ses lèvres, une main le tenant fermement. Puis elle reprit sa délicieuse activité, avec des gémissements qui en disaient long sur son désir d’être prise. Ces dernières minutes avaient transformé sa chatte en un bijou ruisselant.
L’homme était maintenant si près que je me demandais s’il voyait encore quelque chose dans l’objectif. Tout en me jetant un regard, elle tendit la main vers sa braguette et caressa la bosse qui voulait faire éclater son pantalon. J’entendis un râle sortir de la gorge du VRP, et lui repris l’appareil des mains. Pendant que Blanche continuait ses allers-retours sur mon membre prêt à l’explosion, je vis sa main dézipper le pantalon, puis s’engouffrer.. Et ressortir avec un beau sexe, bien gonflé, large, aux veines très saillantes. J’avais presque envie de le sucer moi-même. Mais Blanche était déjà au travail… Elle me repoussa pour me présenter ses fesses. Je ne me fis pas prier, et m’engouffrai dans son antre. Il était comme je l’espérais. Tellement trempé que ses cuisses ruisselaient, ce qui rendait la sensation de glisse merveilleusement douce. J’entrai chaque fois plus à fond, et lorsque je butai, je voyais le soubresaut de sa tête, de sa bouche autour de la bite qu’elle léchait goulument. Je posai l’appareil. Je ne pouvais plus me concentrer suffisamment pour prendre des photos et ne pas jouir. Pendant ce temps, je sentis la main de Blanche qui avait repris mon membre. Je savais ce qu’elle voulait. Elle voulait le guider vers cet autre trou qu’elle aimait sentir comblé. J’entrai avec précaution, sachant comme ce moment et la douleur qui pouvait l’accompagner risquait de m’interdire cet accès. Mais j’étais si trempé de son vagin, elle était si excitée, que cela se fit tout en douceur. Pendant que je la sodomisais, elle se releva, et embrassa le mec, tout en me demandant de l’attendre. Elle avait une idée en tête : « Continue, assieds-toi sur le capot ». L’entreprise était périlleuse. Il fallait que je reste en elle, que je m’assoie, que je m’assure qu’elle ne tombe pas.. Et que la concentration qui était nécessaire à tout ceci ne me fasse pas débander ! Mais l’homme avait compris la manœuvre, et nous aida : la position fut vite stabilisée : j’étais assis sur le capot brulant, mon sexe profondément enfoncé dans le cul de Blanche. Elle s’adossait à moi et écartait les jambes le plus possible pour s’offrir au mec. Il entra en elle. Fort. Je sentis à la fois la secousse comme une vague de plaisir sur mon membre, mais aussi la bite du mec à travers la paroi fine qui nous séparait. J’entendis Blanche qui haletait. Je ne pouvais pas bouger, mais chaque aller-retour du mec me faisait vibrer. Je sentais ses couilles contre les miennes, et la sensation me faisait monter encore plus. Blanche, quant à elle, était déjà partie, elle n’était plus que souffles, contractions, gémissements. Il poussa une dernière fois, alors qu’un son à la fois profond et enfantin sortit de ses poumons. Je jouis, moi-même, avec l’impression de libérer un ruisseau de sperme. L’éjaculation n’en finissait pas, et je sentais mes testicules se contracter presque douloureusement.
Nos respirations se calmèrent, et nous restâmes ainsi plusieurs dizaines de secondes, fondus les uns dans les autres.. Jusqu’à ce que la position paraisse incongrue, presque gênante. Blanche et moi éclatâmes alors de rire, bientôt suivis par Fabrice.
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