Séduction maximale pour une partie torride !
Récit érotique écrit par YeuxDeLou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Séduction maximale pour une partie torride !
Je m'appelle Lou, commerciale dans une agence de location de locaux pour séminaires. En général on rencontre les clients à l'agence une première fois, puis on les retrouve le jour du séminaire pour être sur que tout se passe bien.
Exceptionnellement, un client, David, marié et jeune père de famille, souhaitait visiter les lieux avant. Je l'avais remarqué à l'agence lors de la vente, maintenant que je savais que j'allais le revoir, il ne fallait pas qu'il m'échappe.
Un matin, grand soleil, je lui avais donné rendez vous à 9h30. Ponctuelle, j'attendais devant la propriété, une grande maison assez récente pleines d'oeuvres d'art avec un très grand jardin. Vêtue d'une robe rouge volante et décolleté, je portais aussi des escarpins et stratégiquement des bas noirs avec un porte jarretelle.
Il arrivait. Brun au cheveux long, timide c'est un peu le style de mec en costard sans cravate. Il porte des lunettes, un air intello mais tellement séduisant.
La visite commence par l'entrée, impressionné par les tableaux nous nous attardons un peu puis continuons. Le couloir est un sorte de porche en miroir, je lui fais remarqué qu'il faut lever les yeux. Bien sur je me suis arranger pour que mon décolleté soit en plein dans son champs de vision.
Nous arrivons dans la première salle, une très grande salle a mangé pleine de miroirs. Sur une table le café nous attend, galant il nous sert et me tend une tasse. Au moment de la saisir je la laisse finalement tomber simulant une maladresse, j'en profite pour relever ma robe afin d'éviter les éclaboussures. Confu il s'excuse et se baisse pour ramasser la tasse. Ma robe toujours relevé laisse deviner mon porte jarretelle. Mine de rien il se relève. Mes bas étant plein de café, je decide de les enlever.
«Pouvez-vous vous retourner je vais quand même retirer mes bas car la visite est loin d'être fini..» Évidemment il accepte et se retourne mais il voit claire dans mon jeu. Assise sur une chaise, j'écarte légèrement les jambes et commence à défaire les attaches, parfaitement consciente qu'il me voit dans un miroir. Une fois mes bas lentement retirés, je regarde d'un coin d'oeil et voit qu'il n'en a pas perdu une miette. Le coquin détourne le regard, je ne réagis pas et nous passons à la suite.
De grandes fenêtres donnent sur la terrasse et le jardin. Fasciné par la taille et le design du jardin, je lui propose de sortir. Il fait chaud et nous avons un peu de temps devant nous, il suggère de faire un détour par le parc. Nous marchons jusqu'à un banc, nous discutons, je joue avec mes cheveux, le regarde intensément... il est stressé face à mon comportement subtilement intéressé. De la où je suis, je sens son parfum, je m'approche de son cou et dis «Pi (π) de Givenchy ?» au passage mon souffle passe dans son cou. «Tout à fait, quel Nez !» et change de discussion. Je pose ma main sur l'interieur de sa cuisse «Detendez-vous... Peut être souhaitez vous continuer la visite ?» Surpris par on geste il accepte.
Nous rentrons et passons dans la salle principale, très haut de plafond nos voix résonnent. Je décide de passer à une vitesse supérieur. Je m'assois sur l'estrade qui surplombe la pièce «Venez vous placer devant moi j'ai quelque chose à vous montrer» Il s'exécute, je pose mes mains sur ses épaules et approche ma bouche de son oreille. «Voyez vous la profondeur de cette piece, la hauteur de ce plafond, chaque bruit, le moindre gémissements est amplifié» murmurais-je, il se retourne surpris, je rajoute «Chaque discours peut etre entendu par tous !»Je descends et me rapproche de lui, je le regarde et dis «Qu'aviez vous compri?» gêné il ne répondit pas. Je m'approche encore, très prêt de son oreille, de sorte qu'il sente mon souffle sur sa peau «Que veux tu David?» sa main tente de prendre la mienne mais l'esquive et renchéri «Que veux tu, là tout de suite?» il est en train de craquer, ses yeux ne me quittent plus mais il ne dit rien. Je me retourne et quitte la pièce. Il me rattrape et saisie ma main. Je me retourne brutalement et me colle contre lui. Ma bouche a quelques millimètre de la sienne je murmure «Je vais te dire ce que je veux moi, je veux ça...» je place mes mains sur son torse «Je veux ton corps» ma langue passe délicatement sur ses lèvres. «Je te veux veux toi» je parcours ses muscles jusqu'à son sexe, il tente de m'en empêcher mais en vain. Je le prends dans ma main sans lacher son regard. Il est figé, je stoppe tout et recule. «Il reste une pièce à visiter.» Choqué il hésite mais finit par me suivre. Je rentre dans un couloir sombre, il ouvre la porte, je rentre et d'un coup il me pousse au fond de la pièce, me plaque contre le mur. À partir de ce moment, j'ai connu une tout autre facette de lui.
C'est une salle de bain sombre, tout en marbre. Son corps contre le mien, je sens son entrejambe gonflé de désir. Il me regarde et ouvre enfin la bouche pour m'embrasser. Ses lèvres sont délicieuses, nos langues s'entremêlent. Je passe mes jambes autour de sa taille, il tient fortement mes cheveux d'une main et de l'autre il remonte ma robe et attrape ma fesse. Ses caresses prouvent que mon petit jeu a eu raison de lui. Il me pose sur les vasques et retire mon string en dentelle rouge. Il devient très entreprenant, il m'attrape violemment puis me retourne face au miroir tout en tirant mes cheveux et bloquant mes bras. «Regarde toi Lou, tu es si chaude. Tu me voulais, maintenant tu es mienne.» Il me penche en avant et passe sa main entre mes cuisses. «Tu mouilles déjà petite salope.» Il passe sur mes différents trous toujours avec ses doigts et se baisse. Je sens sa langue sur ma fente, il m'exite tellement que je ne peux retenir mes gémissements. «Tais-toi. Tu as déjà assez fait de bruit pour aujourd'hui.» Sa main claque mes fesses tandis que l'autre me maintient penchée, lui offrant toute mon intimité. Sa langue se trouve désormais sur mon petit trou tout existé également. Son doigt rejoint sa langue et me pénètre pendant que d'autres doigts entre dans mon entrejambe. S'en ai trop pour moi. «Je vais venir, je viens, hmmm c'est tellement bon!» je gémis de plaisir, il me laisse faire jusqu'à l'orgasme.
Une fois cette affaire terminé il me représente au miroir. Ma robe relevée et les jambes en coton, il me regarde avec pitié sans baisser la force de son étreinte. «Tu es pitoyable, un vrai chienne. Tu aimes ça par derrière ça tombe bien. Mais d'abord allons dans une salle où je suis certain que j'entendrais chacun de tes soupirs. Je te previens, je ne veux plus t'entendre. Retire ta robe et suis moi»Nous sortons pour nous rendre dans la salle principale, il monte sur l'estrade et me fais signe de venir «J'ai quelque chose à te montrer.» ajoute t-il. Je suis dos à lui, nue. «Alors comme ça, ça résonne ici.» Je l'entend défaire sa ceinture. «Mains sur la tête.» Pendant se mouvement je sens sa ceinture claqué avec force sur mes fesses. Un cri de surprise et de bonheur m'échappe. «Je t'avais pourtant demandé de la fermer!» de nouveaux coups s'abattent sur mes fesses et les cuisses.«Je m'arreterais quand tu seras suffisamment rouge. Ta punition chérie. Pour que tu comprennes que ton comportement n'est pas convenable. Penches toi en avant.» Je me penche au maximum, je suis nue sur une estrade devant une salle immense et vide. Seuls les coups de ceinture resonnent dans la piece, quand d'un coup il s'arrête et me caresse doucement en remontant sur mon dos jusqu'au cou. Il m'attrape par la gorge et me redresse. Sa ceinture passée autout de mon coup m'étrangle chaque fois qu'il tire dessus. Il chuchotte à mon oreille «Je vais te dresser petite chienne, t'apprendre à respecter la gente masculine comme il se doit. À genoux maintenant.» Je m'excute. Devant mes yeux il sort son énorme sexe luisant, gonflé et le glisse dans ma gorge. «Mains sur les pieds, tu ne bouge pas.» Je le laisse aller et venir dans ma gorge, manquant de m'étouffer à chaque fois qu'il force. Il me baise carrément la bouche, mes yeux larmoyant ne le quitte pas. Il a l'air d'apprécier ce moment, des gémissements rauques lui échappe. Il tient ma tête avec force quand d'un coup, il s'arrête dans le fond et dans un dernier grognement il se lâche. Alors un liquide chaud glisse le long de ma gorge. Je le regarde d'un air surprise, lui est plutôt satisfait. «N'ouvre pas ta bouche, détends toi et avale mon cadeau.» je m'exécute, ce don tout chaud coule lentement jusque dans mon ventre. Un frisson m'envahi quand il attrape mes cheveux. Toujours à genoux, son il sexe contre ma joue il dit «maintenant lèves toi, descends de l'estrade et monte sur une des tables, à 4 pattes, écarte tes fesses et ne bouge plus.» Une fois installé, je l'entends se déshabiller derrière moi, sa salive tombe sur mon petit trou et coule entre mes jambes. Son doigt recommence des va et vient rapide dans mon anus et soudain son sexe pénètre ma petite chatte violemment. Il lâche mon derrière et attrape la ceinture qui sert mon cou à chaque coup de rein. Chaque gémissements que je laisse échapper me valent des claques douloureuses mais c'est tellement excitant... «oh oui David punis moi comme ça, hmm», il frappe mon derrière avec une telle force que je sens dans ces gestes son excitation monter.
Ses mouvements ralentissent «tu as raison l'écho est formidable ici, tu vas pouvoir crier ta douleur et ton plaisir désormais, par contre, mes coups se feront de plus en plus intense, et je ne m'arrêterai que lorsque je l'aurais décidé, on est bien d'accord Lou ? Si tu as trop mal, tu te tais.» J'aquiece pleine d'assurance puis je le sens se retirer de moi, et de nouveau sa salive envahi mon petit trou, mes fesses sont rouges et brûlante. Cette fois, deux doigts rentre dans ce conduit très serrer. Je bouge un maximum pour eviter les bruits «C'est tellement bon, j'en veux plus..» suppliais-je. Il retire ses doigts et la ceinture autour de mon cou. La ceinture vient effleurer ma croupe et je reçois un coup, Il est si fort que je trésaille. Je sens son sexe glisser entre mes fesses, il s'introduit à l'intérieur lentement puis me laboure les entrailles avec force. Ses va et vient s'accélèrent, je sens alors l'orgasme monter, je fais de mon mieux pour ne faire aucun bruit. Je sens son être me tenir, je suis totalement à lui, je l'entends gronder de plaisir cela m'excite d'autant plus. Il accélère encore le bourrin et cette fois je vais venir, je ne peux plus me contenir, il a glisser ses doigts dans mon entre jambes et le caresse vivement. «ah David je vais venir.. ah.. ah..» il violente toute mon intimité pendant que je joui, il me donne de claque sur les fesses, cela rend l'orgasme encore plus plaisant. Le calme revient, il se retire et me demande de me lever. Il est venu en même temps que moi, en moi. Il m'oblige à monté debout sur la table, me cambre en avant et me dit de laisser le liquide innonder la table. Humiliée je rougie, il n'en perd pas une miette. Il regarde son sperme couler le long de mes jambes. «Suis-moi.» dit-il. Nous retournons dans la salle de reception, il me place devant un miroir et tient mes mains dans le dos. «Merci Lou, regarde, tu es rouge de mes coups, le sperme coule le long de tes cuisses, ton anus est béant. Une vrai salope, j'ai aimé cette baise. As tu honte?» je reponds non de la tête avec un sourire en coin et un air de satisfaction. Il compri que finalement, j'étais parfaitement parvenue à mes fins.
On se rhabille, chacun de son côté. Je le retrouve devant la propriété. Je lui tends ma main pour le saluer, il me sert la main timidement. Je le tire vers moi et l'embrasse «Merci pour la baise, as tu honte ?» je retrouve le père de famille intimidé du début. Il ne répond pas et dit «Merci pour la visite, on se retrouve dans quelques semaines pour le seminaire.»À suivre...
Exceptionnellement, un client, David, marié et jeune père de famille, souhaitait visiter les lieux avant. Je l'avais remarqué à l'agence lors de la vente, maintenant que je savais que j'allais le revoir, il ne fallait pas qu'il m'échappe.
Un matin, grand soleil, je lui avais donné rendez vous à 9h30. Ponctuelle, j'attendais devant la propriété, une grande maison assez récente pleines d'oeuvres d'art avec un très grand jardin. Vêtue d'une robe rouge volante et décolleté, je portais aussi des escarpins et stratégiquement des bas noirs avec un porte jarretelle.
Il arrivait. Brun au cheveux long, timide c'est un peu le style de mec en costard sans cravate. Il porte des lunettes, un air intello mais tellement séduisant.
La visite commence par l'entrée, impressionné par les tableaux nous nous attardons un peu puis continuons. Le couloir est un sorte de porche en miroir, je lui fais remarqué qu'il faut lever les yeux. Bien sur je me suis arranger pour que mon décolleté soit en plein dans son champs de vision.
Nous arrivons dans la première salle, une très grande salle a mangé pleine de miroirs. Sur une table le café nous attend, galant il nous sert et me tend une tasse. Au moment de la saisir je la laisse finalement tomber simulant une maladresse, j'en profite pour relever ma robe afin d'éviter les éclaboussures. Confu il s'excuse et se baisse pour ramasser la tasse. Ma robe toujours relevé laisse deviner mon porte jarretelle. Mine de rien il se relève. Mes bas étant plein de café, je decide de les enlever.
«Pouvez-vous vous retourner je vais quand même retirer mes bas car la visite est loin d'être fini..» Évidemment il accepte et se retourne mais il voit claire dans mon jeu. Assise sur une chaise, j'écarte légèrement les jambes et commence à défaire les attaches, parfaitement consciente qu'il me voit dans un miroir. Une fois mes bas lentement retirés, je regarde d'un coin d'oeil et voit qu'il n'en a pas perdu une miette. Le coquin détourne le regard, je ne réagis pas et nous passons à la suite.
De grandes fenêtres donnent sur la terrasse et le jardin. Fasciné par la taille et le design du jardin, je lui propose de sortir. Il fait chaud et nous avons un peu de temps devant nous, il suggère de faire un détour par le parc. Nous marchons jusqu'à un banc, nous discutons, je joue avec mes cheveux, le regarde intensément... il est stressé face à mon comportement subtilement intéressé. De la où je suis, je sens son parfum, je m'approche de son cou et dis «Pi (π) de Givenchy ?» au passage mon souffle passe dans son cou. «Tout à fait, quel Nez !» et change de discussion. Je pose ma main sur l'interieur de sa cuisse «Detendez-vous... Peut être souhaitez vous continuer la visite ?» Surpris par on geste il accepte.
Nous rentrons et passons dans la salle principale, très haut de plafond nos voix résonnent. Je décide de passer à une vitesse supérieur. Je m'assois sur l'estrade qui surplombe la pièce «Venez vous placer devant moi j'ai quelque chose à vous montrer» Il s'exécute, je pose mes mains sur ses épaules et approche ma bouche de son oreille. «Voyez vous la profondeur de cette piece, la hauteur de ce plafond, chaque bruit, le moindre gémissements est amplifié» murmurais-je, il se retourne surpris, je rajoute «Chaque discours peut etre entendu par tous !»Je descends et me rapproche de lui, je le regarde et dis «Qu'aviez vous compri?» gêné il ne répondit pas. Je m'approche encore, très prêt de son oreille, de sorte qu'il sente mon souffle sur sa peau «Que veux tu David?» sa main tente de prendre la mienne mais l'esquive et renchéri «Que veux tu, là tout de suite?» il est en train de craquer, ses yeux ne me quittent plus mais il ne dit rien. Je me retourne et quitte la pièce. Il me rattrape et saisie ma main. Je me retourne brutalement et me colle contre lui. Ma bouche a quelques millimètre de la sienne je murmure «Je vais te dire ce que je veux moi, je veux ça...» je place mes mains sur son torse «Je veux ton corps» ma langue passe délicatement sur ses lèvres. «Je te veux veux toi» je parcours ses muscles jusqu'à son sexe, il tente de m'en empêcher mais en vain. Je le prends dans ma main sans lacher son regard. Il est figé, je stoppe tout et recule. «Il reste une pièce à visiter.» Choqué il hésite mais finit par me suivre. Je rentre dans un couloir sombre, il ouvre la porte, je rentre et d'un coup il me pousse au fond de la pièce, me plaque contre le mur. À partir de ce moment, j'ai connu une tout autre facette de lui.
C'est une salle de bain sombre, tout en marbre. Son corps contre le mien, je sens son entrejambe gonflé de désir. Il me regarde et ouvre enfin la bouche pour m'embrasser. Ses lèvres sont délicieuses, nos langues s'entremêlent. Je passe mes jambes autour de sa taille, il tient fortement mes cheveux d'une main et de l'autre il remonte ma robe et attrape ma fesse. Ses caresses prouvent que mon petit jeu a eu raison de lui. Il me pose sur les vasques et retire mon string en dentelle rouge. Il devient très entreprenant, il m'attrape violemment puis me retourne face au miroir tout en tirant mes cheveux et bloquant mes bras. «Regarde toi Lou, tu es si chaude. Tu me voulais, maintenant tu es mienne.» Il me penche en avant et passe sa main entre mes cuisses. «Tu mouilles déjà petite salope.» Il passe sur mes différents trous toujours avec ses doigts et se baisse. Je sens sa langue sur ma fente, il m'exite tellement que je ne peux retenir mes gémissements. «Tais-toi. Tu as déjà assez fait de bruit pour aujourd'hui.» Sa main claque mes fesses tandis que l'autre me maintient penchée, lui offrant toute mon intimité. Sa langue se trouve désormais sur mon petit trou tout existé également. Son doigt rejoint sa langue et me pénètre pendant que d'autres doigts entre dans mon entrejambe. S'en ai trop pour moi. «Je vais venir, je viens, hmmm c'est tellement bon!» je gémis de plaisir, il me laisse faire jusqu'à l'orgasme.
Une fois cette affaire terminé il me représente au miroir. Ma robe relevée et les jambes en coton, il me regarde avec pitié sans baisser la force de son étreinte. «Tu es pitoyable, un vrai chienne. Tu aimes ça par derrière ça tombe bien. Mais d'abord allons dans une salle où je suis certain que j'entendrais chacun de tes soupirs. Je te previens, je ne veux plus t'entendre. Retire ta robe et suis moi»Nous sortons pour nous rendre dans la salle principale, il monte sur l'estrade et me fais signe de venir «J'ai quelque chose à te montrer.» ajoute t-il. Je suis dos à lui, nue. «Alors comme ça, ça résonne ici.» Je l'entend défaire sa ceinture. «Mains sur la tête.» Pendant se mouvement je sens sa ceinture claqué avec force sur mes fesses. Un cri de surprise et de bonheur m'échappe. «Je t'avais pourtant demandé de la fermer!» de nouveaux coups s'abattent sur mes fesses et les cuisses.«Je m'arreterais quand tu seras suffisamment rouge. Ta punition chérie. Pour que tu comprennes que ton comportement n'est pas convenable. Penches toi en avant.» Je me penche au maximum, je suis nue sur une estrade devant une salle immense et vide. Seuls les coups de ceinture resonnent dans la piece, quand d'un coup il s'arrête et me caresse doucement en remontant sur mon dos jusqu'au cou. Il m'attrape par la gorge et me redresse. Sa ceinture passée autout de mon coup m'étrangle chaque fois qu'il tire dessus. Il chuchotte à mon oreille «Je vais te dresser petite chienne, t'apprendre à respecter la gente masculine comme il se doit. À genoux maintenant.» Je m'excute. Devant mes yeux il sort son énorme sexe luisant, gonflé et le glisse dans ma gorge. «Mains sur les pieds, tu ne bouge pas.» Je le laisse aller et venir dans ma gorge, manquant de m'étouffer à chaque fois qu'il force. Il me baise carrément la bouche, mes yeux larmoyant ne le quitte pas. Il a l'air d'apprécier ce moment, des gémissements rauques lui échappe. Il tient ma tête avec force quand d'un coup, il s'arrête dans le fond et dans un dernier grognement il se lâche. Alors un liquide chaud glisse le long de ma gorge. Je le regarde d'un air surprise, lui est plutôt satisfait. «N'ouvre pas ta bouche, détends toi et avale mon cadeau.» je m'exécute, ce don tout chaud coule lentement jusque dans mon ventre. Un frisson m'envahi quand il attrape mes cheveux. Toujours à genoux, son il sexe contre ma joue il dit «maintenant lèves toi, descends de l'estrade et monte sur une des tables, à 4 pattes, écarte tes fesses et ne bouge plus.» Une fois installé, je l'entends se déshabiller derrière moi, sa salive tombe sur mon petit trou et coule entre mes jambes. Son doigt recommence des va et vient rapide dans mon anus et soudain son sexe pénètre ma petite chatte violemment. Il lâche mon derrière et attrape la ceinture qui sert mon cou à chaque coup de rein. Chaque gémissements que je laisse échapper me valent des claques douloureuses mais c'est tellement excitant... «oh oui David punis moi comme ça, hmm», il frappe mon derrière avec une telle force que je sens dans ces gestes son excitation monter.
Ses mouvements ralentissent «tu as raison l'écho est formidable ici, tu vas pouvoir crier ta douleur et ton plaisir désormais, par contre, mes coups se feront de plus en plus intense, et je ne m'arrêterai que lorsque je l'aurais décidé, on est bien d'accord Lou ? Si tu as trop mal, tu te tais.» J'aquiece pleine d'assurance puis je le sens se retirer de moi, et de nouveau sa salive envahi mon petit trou, mes fesses sont rouges et brûlante. Cette fois, deux doigts rentre dans ce conduit très serrer. Je bouge un maximum pour eviter les bruits «C'est tellement bon, j'en veux plus..» suppliais-je. Il retire ses doigts et la ceinture autour de mon cou. La ceinture vient effleurer ma croupe et je reçois un coup, Il est si fort que je trésaille. Je sens son sexe glisser entre mes fesses, il s'introduit à l'intérieur lentement puis me laboure les entrailles avec force. Ses va et vient s'accélèrent, je sens alors l'orgasme monter, je fais de mon mieux pour ne faire aucun bruit. Je sens son être me tenir, je suis totalement à lui, je l'entends gronder de plaisir cela m'excite d'autant plus. Il accélère encore le bourrin et cette fois je vais venir, je ne peux plus me contenir, il a glisser ses doigts dans mon entre jambes et le caresse vivement. «ah David je vais venir.. ah.. ah..» il violente toute mon intimité pendant que je joui, il me donne de claque sur les fesses, cela rend l'orgasme encore plus plaisant. Le calme revient, il se retire et me demande de me lever. Il est venu en même temps que moi, en moi. Il m'oblige à monté debout sur la table, me cambre en avant et me dit de laisser le liquide innonder la table. Humiliée je rougie, il n'en perd pas une miette. Il regarde son sperme couler le long de mes jambes. «Suis-moi.» dit-il. Nous retournons dans la salle de reception, il me place devant un miroir et tient mes mains dans le dos. «Merci Lou, regarde, tu es rouge de mes coups, le sperme coule le long de tes cuisses, ton anus est béant. Une vrai salope, j'ai aimé cette baise. As tu honte?» je reponds non de la tête avec un sourire en coin et un air de satisfaction. Il compri que finalement, j'étais parfaitement parvenue à mes fins.
On se rhabille, chacun de son côté. Je le retrouve devant la propriété. Je lui tends ma main pour le saluer, il me sert la main timidement. Je le tire vers moi et l'embrasse «Merci pour la baise, as tu honte ?» je retrouve le père de famille intimidé du début. Il ne répond pas et dit «Merci pour la visite, on se retrouve dans quelques semaines pour le seminaire.»À suivre...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moui........ la fessée, quel pied.......
Fouette moi et je te fouetterai.....
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