Séjour en famille

- Par l'auteur HDS Orangina07 -
Récit érotique écrit par Orangina07 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Séjour en famille Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2021 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Séjour en famille
Suite En vacance avec ma cousine
Je quitte le domicile de ma tante et mon oncle après quelques jours de vacances passés chez eux dans le Var. J'ai décidé de poursuivre mon séjour ici en louant un studio à quelques kilomètres du bord de mer. Je ne veux pas abuser de leur hospitalité. Sophie est un peu triste de me voir partir.
- " Quand reviens-tu ? " me demande-t-elle " je veux te présenter ma copine ".
Sa bouche qui fait la moue se transforme en large sourire lorsque nos regards se croisent. Je réfléchis quelques secondes.
- " Je ne suis pas loin tu sais. On va se voir bientôt ! " dis-je.
Elle me serre dans les bras, je sens sa poitrine se comprimer contre mon torse.
- " Ooohh oui oui c'est kool ! " répond-elle en sautant comme une puce " tu verras elle est super sympa ".
Dix minutes plus tard je suis dans la voiture, direction un village proche de Hyères. Tout en conduisant, je me rappelle le repas en famille, l'arrivée de mon cousin Stéphane et sa compagne Lunèse. Nous avons fait connaissance. J'ai appris qu'elle travaille dans une pharmacie. Je l'ai trouvé très belle, ravissante et excitante. Ses origines espagnoles lui donnent un air encore plus sensuel. Je n'ai pas manqué de la regarder, de la mâter. Son visage fin aux lèvres pulpeuses, ses yeux en amandes très clairs, sa chevelure noire longue et sa peau brune sont un régal. Pour le reste c'est un délice, de gros seins, une chute de reins vertigineuse et un cul aux fesses charnues et bombées. Le jour du repas chez ma tante et mon oncle, elle portait un pantalon taille basse et un chemisier qui était sur le point de se déchirer.
Le studio est constitué d'un coin aménagé style cuisine américaine, un canapé, une table basse et une mézanine pour le lit. Simple mais sympa. Une large baie vitre orientée plein sud laisse pénétrer la lumière et illumine toute la pièce. J'appelle Sophie pour lui demander les coordonnées de son frère.
- " Pourquoi ? " m'interroge-t-elle.
- " Et bien....pour l'appeler de temps en temps, pour avoir des nouvelles. Voilà pourquoi ! "
Après plusieurs secondes de silence elle me donne le numéro.
- " Ce serait bien qu'on se voit encore une fois avant ton départ. Je veux te présenter ma copine " dit-elle.
- " Ouais ce serait sympa. Je ne vais rien de promettre alors je passerais vous voir avant de partir " répondis-je sans donner de détails.
- " Ah...Ok ! ".
Je raccroche. Je profite de la fraîcheur du studio pour faire une sieste. Mon sommeil est remplis d'images de seins, de fesses et autres vision érotiques. Je suis réveillé par la sonnette du studio. Je me lève encore endormis et ouvre la porte. La lumière naturelle est aveuglante.
- " Bonjour....oups désolée... ! " dit une femme devant moi.
- " Oui...bonjour...c'est pour quoi ? " demandais-je.
- " Excusez-moi de vous déranger...." son regard passe de mon visage à ma taille. " Mais heeuu....je suis la propriétaire du studio et....." nouveau regard vers le bas "...je voulais savoir si tout allait bien " finit-elle par dire en se passant une main sur la nuque.
- " Oui ça va merci ". Je remarque bien trop tard que je suis en caleçon devant cette inconnue et en plus que je bande. Sans doute à cause du rêve érotique que je faisais, je ne m'en souviens pas.
- " Bien, si vous avez besoin de quelques choses n'hésitez pas, j'habite la maison jaune sur la place de l'église ". Elle s'en va non sans un dernier regard sur mon caleçon qui a retrouvé une forme normale.
Je vais faire un tour sur la plage. J'appelle Stéphane pour lui dire que j'étais content de le voir et de l'inviter chez moi quand il voudra.
- " Dommage que je sois en déplacement " dit-il " ça nous aurait fait plaisir de t'inviter à la maison. Lunèse était ravi de discuter avec toi, tu peux passer la voir si tu veux ".
- " Pas grave pour l'invitation" répondis-je. " Je passerais voir Lunèse ".
Je raccroche. Je vais faire un tour dans le village. il fait encore chaud. J'arrive sur la place de l'église avec une fontaine en son centre. Des banderoles décorent la place pour une fête prévue dans quelques jours. Je vois la maison jaune de la propriétaire " Au Mas Des Mimosas " est écrit en grosses lettres sur la façade. Je m'avance vers le seul commerce que je vois après avoir arpenter les ruelles du village, un bar qui fait aussi poste, bureau de tabac et boulangerie. Je m'assois à l'une des deux tables qui composent la terrasse. J'entends quelques minutes. Une jeune femme d'une trentaine d'année sort. Sa chevelure brune est attachée en chignon sur le dessus de son crâne, laissant son cou dégagé.
- " Bonsoir " dit-elle d'un ton enjoué avec un large sourire " je suis Nathalie, qu'est-ce que je vous sert ? ".
Son sourire est très contaminant puisque je réponds avec plaisir en souriant à mon tour.
- " Bonsoir charmante demoiselle, servez-moi un jus de fruit bien frais avec des glaçons s'il-vous-plaît ".
Elle repart d'un pas rapide. Un tatouage, représentant des cercles, des courbes et autres formes géométriques, est visible sur sa nuque. Elle ressort trente secondes plus tard avec un plateau chargé de ma boisson. Elle porte une jupe courte couleur verte qui lui arrive ras les fesses et un body blanc avec une fermeture éclair sur le devant. Sa peau brune laisse penser qu'elle passe des heures sous le soleil à bronzer.
- " Etes- vous en vacance ? " me demande-t-elle debout devant moi, le plateau serré contre sa poitrine.
- " Oui pour quelques jours en famille ".
- " Kool...et vous logez ici ? ".
- " Oui je loue un studio par là-bas " répondis-je en pointant un doigt vers la gauche.
- " A plus tard alors " rétorque-t-elle " nous aurons l'occasion de nous revoir. Et si vous avez besoin d'un service n'hésitez pas " ajoute-t-elle en faisant un clin d'oeil.
J'achète de quoi manger pour le soir. La serveuse, assise derrière le bar, le regard scotché sur son téléphone, ne vois pas que j'attends à la caisse. Elle fait des grimaces, tire la langue, fait des bises sur l'écran du téléphone.
- " Excusez-moi..." dis-je pour l'interpeller.
Elle tourne la tête, me rejoins en faisant de petits pas rapides. Je remarque, dans l'obscurité du bar, que ses yeux brillent. Sous le body dont la fermeture éclair est descendu jusqu'au milieu de la poitrine, les tétons pointent. Sa respiration est plus rapide. Je paie en lui souhaitant une bonne fin de journée. En arrivant au studio, j'appelle Lunèse.
- " Comment vas-tu ! " me répond-elle avec un petit accent espagnol dans la voix. " Contente de t'avoir au téléphone ".
- " Bien merci ".
Je lui explique que je suis encore ici pour quelques jours et que je peux passer la voir si elle veut. Avant de raccrocher elle m'invite demain. Je prends une douche, je mange. Il est minuit passé. Il fait encore chaud et je n'arrive pas à dormir. Je marche dans les ruelles désertes du village, je passe devant le commerce fermé. J'arrive près du lavoir vide et m'allonge sur un banc. J'entends des voix, des rires. Je vois deux silhouettes qui s'avancent dans ma direction. Elles s'allongent dans le champ à quelques mètres en contre-bas du lavoir. Une femme et un homme. La luminosité est faible, je ne vois qu'une ombre mais le son est parfait. J'entends des petits rires, des paroles prononcées. Puis des gémissements, des râles de plaisirs. Les deux partenaires baisent. Je me rappelle le moment passé avec Sophie, je commence à me caresser. Le son du couple qui baise devient plus fort. Je glisse ma main dans mon short pour me branler avec en tête le corps de Sophie. Je bande dur et fort. Je retire mon short, ma main s'active sur ma bite tendue au rythme des cris de la femme, je caresse mes couilles pleines....
- " C'est excitant n'est-ce pas....? " dit une voix derrière moi.
Je me redresse, cache mon sexe avec le short. Je commence à rire de la situation. Je suis assis sur un banc, je me branle en écoutant une couple baiser, et je suis pris en flag comme un ado surprit dans sa chambre par sa mère. Nathalie s'assoit à côté de moi.
- " Ils viennent souvent ici pour baiser...." reprend-t-elle en passant un bras sur mes épaules. Elle écarte les cuisses et passe une jambe entre les miennes. Une simple pression me fait comprendre d'écarter les miennes. " Ils baisent....je les écoute....ça m'excite " ajoute-t-elle.
Ses doigts caressent ma bouche, puis mon torse, jouent avec mes tétons avant d'empoigner fermement ma bite encore un peu tendue. Sa poitrine libre de tout vêtement est exposée à mon regard. Ses seins en forme de pastèques appellent à la caresse. Elle m'attire contre sa poitrine, sa main continue de me branler. Elle porte un string noir. J'embrasse, je suce, je tête les tétons. Elle gémit doucement, sa respiration s'accélère, comme le son émit par la femme qui baise. Nathalie me repousse et vient me sucer. Cette caresse est un délice. Sa langue douce lèche le gland avant de resserrer les lèvres sur la tige et de l'enfoncer au fond de sa gorge. Puis elle remonte, sa bouche m'aspire la bite comme une ventouse. Sa main caresse mes couilles qui se couvre de bave pendant que Nathalie fait une gorge profonde. A genoux sur le banc, son cul ainsi relevé, je peux tendre le bras et le caresser. Elle ne refuse pas. Je claque, je gifle ses fesses. Elle se redresse et s'assoit sur moi. Le string est arraché. De la main elle frotte le bout de ma bite couverte de salive contre sa chatte. Elle appuie un peu contre son clitoris. J'empoigne ses seins pour faire ressortir ses tétons que j'embrasse, que je suce et pince entre les dents. A cet instant, Nathalie s'assoit avec force d'un seul coup sur moi. Ma bite est en elle. Elle tourne le bassin, le remue d'avant en arrière pour sentir mon sexe. Puis elle remonte et commence à me chevaucher rapidement. Ses fesses claquent sur mes cuisses, ses seins remuent dans tous les sens. Je gémis doucement pour ne pas me faire entendre. Nathalie exprime son plaisir d'une autre façon, elle crie, elle râle. Je constate que ses cris répondent aux cris de l'autre femme qui baise toujours plus loin. c'est comme un duel remporté par celle qui crie le plus fort. Je prends ses fesses qui rebondissent à pleine main, je les claque, je les gifle. Après plusieurs minutes de baise intense sur le banc, Nathalie se lève et me tire par la bite vers le lavoir. Elle se place debout, se penche, écarte les jambes et pose un genoux sur le bord du lavoir, son string déchiré enroulé à une cheville. Je pose ma bite sur une fesse, je la claque avant de me glisser dans sa fente dégoulinante de mouille. La pénétration est facile et direct, sans arrêt jusqu'au fond. Elle appuie sa poitrine et frotte ses tétons contre le béton rugueux du lavoir. J'attrape ses hanches et m'enfonce en elle plus vite et plus fort. Nos cris son simultanés, je râle, elle crie. Mes coups de reins sont puissants et forts. Mes couilles frappent contre sa fente, contre son clito qu'elle caresse. Je sens mes couilles se contracter, les muscles de son sexe se resserrer sur ma bite. Un dernier coup de rein et Nathalie jouit en poussant un long gémissement. Je me retire pour cracher mon sperme sur ses fesses. Je me laisse tomber sur le sol au pied du lavoir. Nathalie s'assoit à son tour. Je n'entends plus le couple. Je remarque alors deux silhouettes contre le banc.
- " C'est bien ma fille ! " dit la femme. Je reconnais dans la nuit le visage de la propriétaire du studio. Nathalie m'embrasse.
- " A bientôt " dit-elle. Elle se lève et s'en va comme elle était venue, en silence.
Je suis allongé la plage nudiste depuis deux heures. Il fait chaud, le soleil tape fort. Je vais me baigner mais l'eau est aussi chaude. Il y a des personnes seules, d'autres en groupe ou en couple. Quand je reviens à ma serviette, trois personnes d'origine asiatique se sont assises à quelques mètres de moi, deux femmes et un homme. Je suis un peu surpris de les voir sur cette plage, je pensais que les asiatiques étaient pudiques, timides, réservées et qu'elles ne se montraient pas en public; je me trompais. Je suis réveillé par des petits cris, des gémissements. Je tourne la tête vers le groupe des trois personnes. Je vois l'homme bedonnant couché entre les cuisses d'une des femmes, elle aussi bien en chair, en train de la baiser, sans gêne. L'autre femme est allongée, dos à eux donc tourné vers moi, avec un livre. Son corps est plus fin que celui des autres tout en ayant des formes rondes. Un coude plié tient sa tête, l'autre main sur le livre. Elle fait comme si c'était naturel, laissant les autres s'occuper comme ils veulent. Sa peau est très claire. Son sein posé sur la serviette est écrasé par l'autre . Mon regard descend sur son ventre plat, puis vers son sexe à la toison épaisse et longue. J'entends l'homme râler, puis la femme pousser de petits cris. Il accélère ses coups de reins avant de s'immobiliser. Il roule sur le côté puis s'allonge. Lorsque je pose à nouveau les yeux sur l'autre femme, je constate qu'elle a fermé son livre, la tête posée sur son bras tendu devant elle. Ses doigts tapotent sa hanche comme si elle joue du piano, puis sa main glisse vers son sexe. Elle tire sur les poils longs. Ses doigts disparaissent entre ses cuisses. L'autre main, tendue vers moi, plonge dans le sable, se serre puis se contracte. Elle se branle rapidement. Elle met sa cuisse à l'équerre pour faciliter la caresse. Je suis assis face à elle. Ma bite se dresse entre mes cuisses écartées. Elle se lève, va se baigner. Elle ramasse sa serviette et vient s'assoir s'assoir à côté de moi.
- " Salut " me dit-elle.
- " Salut " répondis-je. " tu vis ici ? en vacance ? ".
Elle arrange sa serviette avant de s'allonger. je mate ses cuisses ronde, puis la touffe de poil. A son nombril il y a un percing, un anneau, les mêmes qui sont plantés dans chacun de ses tétons. Sa poitrine, en forme de ballon ovale, se dresse en pointant un peu vers les côtés.
- " En vacance " finit-elle par dire en pliant les jambes. " Et toi ?".
- " En vacance aussi ".
Le silence s'installe, rompu parfois par le cri des oiseaux. Je regarde l'horizon, ne sachant que faire et quoi dire.
- " J'aime bien ta queue " me dit-elle direct.
- " Ah...merci ! " dis-je un peu surpris mais aussi fier.
- " C'est pas comme celle de l'autre là ! ' lance-t-elle en faisant un signe de la tête vers le couple qui l'accompagne.
Elle s'appuie sur un coude, pose sa main sur mon ventre. Je me laisse faire. Elle m'embrasse. Elle enfonce sa langue dans ma bouche, me lèche les lèvres Ses doigts effleurent ma peau, glisse dans le nombril. Elle passe une jambe autour de la mienne et la ramène contre elle.
- " Aie ! " lorsqu'elle pince mon téton en le tournant.
Elle se dégage et sourit.
- " Sensible ? " demande-t-elle.
Pour toute réponse je tire sur ses percing aux tétons. Elle ne bronche pas. Sa main caresse mes couilles, les presse, les frappe du plat de la main. Elle crache ensuite dans sa main qu'elle pose sur mon sexe, elle le branle. Ses doigts se resserrent sur la tige. La salive permet de les faire glisser facilement. Elle décalotte à chaque fois le gland qu'elle caresse avec la paume de l'autre main. Les miennes caressent ses seins, son ventre. Elle se place à genoux entre mes cuisses. Son regard accroché au mien, elle avance la langue vers ma bite. Elle lèche le gland, la tige sur toute la longueur avant d'enfoncer mon sexe tout entier dans sa bouche. Elle fait une gorge profonde. De la salive coule sur ma bite, mes couilles. Ses doigts en anneaux suivent le mouvement de sa bouche. Je suis sucé et branlé en même temps. C'est très excitant.
Elle regarde rapidement vers le couple venu avec elle, j'en fait autant. Ils sont tous les deux couchés sur le ventre et semblent dormir. Elle se tourne au-dessus de moi pour me présenter son sexe. Cette épaisse touffe de poil est importante sur le dessus de la fente, mais pas un seul entre les cuisses, ni entre les fesses. Ses lèvres sont fines mais le clitoris est au contraire long et épais. Je passe la langue avant de le sucer, l'aspirer. Je glisse ensuite dans sa fente, ma langue se couvre de mouille. Elle remue puis m'écrase avec son bassin pour sentir ma langue plus profond en elle. Sa bouche s'active de plus en plus vite sur ma bite. Je décide de glisser un doigt dans son trou brun plissé, pas de rejet. Alors j'en glisse un second. Je commence à m'introduire dans son anus, puis ma langue dans son sexe. Sa respiration se fait plus rapide et plus courte. La pression sur mon visage est plus forte. Sans prévenir, elle se redresse, cambre ses reins et m'écrase de tout son poids. Elle frotte sa fente sur mon visage faisant entrer mon nez, mon menton dans son sexe dégoulinant de jus. Je suis étouffé pendant quelques secondes avant qu'elle ne se laisse tomber sur le côté.
- " Tu viens ! " crie la femme qui s'était levé.
Sans un regard, sans un mot, elle ramasse sa serviette et s'en va. Je reste assis sans réaction, le visage couvert de son jus et la bite de sa salive. Je vais me baigner avant d'aller retrouver Lunèse.
Vingt cinq minutes plus tard je sonne au portail. Un " clic " m'annonce que je peux ouvrir. Je m'avance vers la porte, Lunèse me fait signe derrière la baie vitrée de faire le tour de la maison. Elle me fait la bise et je remarque qu'après la première, elle s'arrête un court instant l'air étonné, fronce un peu les sourcils puis me tend la joue les autres.
- " Comment vas-tu ? " me demande-t-elle en m'invitant à m'assoir.
- " Bien et toi ? ".
Elle pose des verres et un pichet sur la table.
- " Pas beaucoup d'activités pour le moment, des mères qui viennent à la pharmacie pour des pommades contre les coups de soleil ou les piqures de moustiques ".
- " Bien ". Même si je connais la réponse je pose quand même la question. " Et Stéphane n'est pas là ? ".
- " Non " répond-elle sans explication en faisant tourner son verre dans les mains. " Comment se passent tes vacances ? " demande-t-elle pour ne pas laisser le silence s'imposer.
- " Ooh mes vacances...bien...bien....je profite du repos avant de reprendre le travail la semaine prochaine. J'en avais besoin ".
La discussion se poursuit, nous rions. Elle se lève et va chercher encore à boire. Pendant qu'elle rentre je regarde sa démarche souple, son corps aux formes arrondies, sa chevelure noire qui tombe sur une chute de reins vertigineuse, ses fesses rondes. Elle porte le haut d'un maillot de bain bleu clair et un pagne de couleur orange. A son retour, elle pose une assiette avec de quoi manger.
- " Vis-tu seul ? " me demande-t-elle après avoir vidé et posé son verre d'un coup sur la table.
- " Euhh...oui " dis-je en la regardant un peu étonné.
Ses yeux brillent à la lueur des ampoules. Ses cheveux attachés en chignon laissent voir un cou fin. Elle pose une main sur son genoux qu'elle a remonté contre sa poitrine comprimée dans son vêtement. Elle sourit.
- " Et le sexe ?....ça te manque pas ? ".
Voilà, on y arrive. Je ne voulais pas aborder le sujet, mais j'y pense depuis mon arrivée ici, et bien avant même. Comment ne pas y penser en regardant cette femme devant moi. Elle est charmante, excitante, bandante. Je bois deux gorgées avant de répondre.
- " J'ai quelques petites aventures mais rien de sérieux ".
Elle se lève, s'assoit sur mes genoux à califourchon. Je recule contre le dossier du fauteuil. Elle se penche et m'embrasse. Surpris je prends ses épaules et l'écarte doucement. Avant que je prononce un mot elle prend une grande inspiration et dit :
- " Je ne suis pas mariée avec Stéphane, nous sommes un couple libre, il sait ce que je fais mais pas avec qui. Il accepte cela parce que je ne le quitterais pas pour un autre. Nous sommes heureux et continuerons ainsi ".
Elle passe ses mains autour de mon cou et m'embrasse. Le baiser est d'abord doux, calme avant de devenir fougueux, passionné. Nos langues se mêlent, nos lèvres se frottent. Elle tire mon tee-shirt par dessus ma tête. Je retire son soutien-gorge en le jetant derrière moi. Sa poitrine jaillit comme une tête montée sur un ressort. J'empoigne ses seins, les presse pour rapprocher les tétons et les sucer ensemble, les embrasser. Le pagne atteri rapidement sur le sol. Dessous elle ne porte rien, les fesses nues à la peau fine sont un régal pour les yeux. Elle se penche sur la table pour me laisser admirer ses deux globes de chair. Je passe doucement le bout des doigts, ne voulant pas laisser de marque, avant de les claquer avec le plat de la main. Lunèse laisse échapper un petit cri. Puis elle dit :
- " Huummm oui c'est ça, continue, fesse-moi plus fort....encoooore ! ".
Je claque les fesses l'une après l'autre avec chaque main. Elle pose sa poitrine contre la table, cambre les reins et attrape les bords de la table. Après plusieurs minutes de fessée, j'embrasse la peau un peu rouge, je passe la langue. Je lèche sa raie des fesses jusqu'à venir titiller le petit trou plissé. Ma langue glisse ensuite entre ses cuisses. Sa fente sans poil est déjà humide et odorante. J'y plonge la langue et deux doigts.
- " Ouuiiiiiii " gémit-elle.
Elle bouge son bassin de haut en bas sur ma langue. Elle m'agrippe la tête et m'attire plus fort contre son sexe, en elle. La mouille me couvre le bas du visage. Elle me dégage, se retourne avant de plaquer avec force ma tête entre ses cuisses. Elle crie, elle râle. Elle s'assoit sur le bord de la table, se couche et remonte ses genoux sur sa poitrine. Dans cette position, toute son intimité est offerte. Les lèvres de son sexe s'ouvrent laissant apparaître son clito que je découvre enfin. Il se dresse fièrement au-dessus de sa fente. Je tends les mains pour pincer les tétons. Elle écrase ma tête entre ses cuisses lorsque j'aspire son clito et que je le mords. Son bassin a des mouvements saccadés. Son corps tremble, elle jouit.
La pression sur ma tête est moins forte. Lunèse me regarde en souriant mais dans la seconde qui suit, son regard est plus dur, plus menaçant. Elle se redresse rapidement, m'attrape les cheveux et tire vers l'arrière en me faisant basculer dans le fauteuil. Elle se penche au-dessus de moi, nos visages à un centimètre de distance.
- " Alors comme ça tu viens pour te reposer ! " dit-elle sèchement, son regard planté dans le mien.
- " Ben...oui ! " dis-je simplement en haussant les épaules.
- " Ah oui ?. Alors explique-moi ce que tu faisais à une heure du matin près d'un lavoir ? ".
Je suis étonné et surpris par sa question.
- " Oui...une heure du matin...un peu tard pour se reposer, ne fais pas l'innocent, j'ai tout vu...et sur la plage aussi ".
Elle relâche mes cheveux, s'assoit sur une de mes cuisses. Je sens aussitôt de l'humidité, son sexe est encore mouillé.
- " J'espère qu'elle avait bon goût " ajoute-t-elle en me léchant l'oreille. " Quand tu m'as fait la bise, j'ai sentis une odeur de sexe sur toi et ça m'a excité ".
Elle se rapproche et m'embrasse. Elle bouge sur ma cuisse en frottant son sexe. Puis sa langue descend sur mon torse, suçant et mordant mes tétons au passage. Toujours en me défiant du regard, ses lèvres se referment sur mon gland avant d'enfoncer ma bite dans sa bouche. Sa langue tourne autour du gland, remonte le long de la tige. A genoux entre mes cuisses elle se caresse la fente, branle son clito. Après quelques minutes d'une fellation baveuse, Lunèse frotte le gland décalotté contre sa fente, sur le clito avant de se laisser tomber sur moi les jambes écartées par les accoudoirs du fauteuil. Une fois au fond de son intimité, je lui attrape les fesses et la pousse vers le haut. Puis je la laisse retomber sur moi. Son bassin fait des cercles sur ma bite comprimée par les muscles de son sexe. Ses seins ballottent devant mon visage alors je les suce, les embrasse.
- " Ooouiiii " gémit-elle quand je pince son bouton. Dans un mouvement assez acrobatique, elle se tourne dos à moi. La bite toujours enfoncée en elle, Lunèse plaque son dos contre mon torse. J'empoigne ses seins avec fermeté, tirant, pinçant les tétons maintenant dressés. Elle donne des coups de reins sur ma bite pour bien la sentir en elle. Les mouvements de pénétrations reprennent et s'intensifient, plus vite et plus fort.
- " Tu vas m'exploser " dit-elle entre deux gémissements.
Ma respiration est rapide. Je vois ma bite disparaître dans sa chatte maintenant dégoulinante aux lévres gonflées de sang. Je pose une main entre ses cuisses avant de branler son clito dur. Je sens une petite bite entre mes doigts. Je la pince, la branle, je la frotte de plus en plus vite. Lunèse crie, râle encore plus fort. Les mouvements saccadés de son bassin s'amplifient et sont plus violents. Elle prend appuis sur mes genoux et se penche en avant. Ma bite est couverte de mouille. Je vois entre ses fesses le petit trou qui se contracte à chaque pénétration dans son sexe.
- " Oooohh ooouuiiiii " crie-t-elle lorsque je glisse deux doigts dans son fondement. Elle accélère encore la pénétration, de temps en temps ma bite sort complétement de son sexe avant d'être à nouveau avaler. Trois doigts sont maintenant dans son cul. Un mouvement trop rapide a changé la suite de notre union. Ma bite couverte de son jus sort de son sexe, mes doigts quittent l'anneau plissé. En retombant, le gland touche une fesse, glisse dans sa raie avant de percuter avec force l'anus qui, sous le poids du corps de Lunèse, s'ouvre, se dilate et laisse entrer ma bite jusqu'au couilles en un seul coup.
- " Aaarrgghhhh " gémit-elle avant d'avoir le souffle coupé.
Elle se dresse rapidement contre mon torse, les reins cambrés. Je l'attrape par la taille en l'entourant de mes bras. Son corps se crispe, elle garde la bouche ouverte. Ses jambes s'écartent et se referment avec force et rapidité. Sa tête bouge de droite à gauche. Sans attendre je glisse une main sur son clito que je masse, que je pince, que je frotte. Je bouge le bassin pour qu'elle sente ma bite entre ses fesses.
- " Ooouuuiiiii " crie-t-elle.
Je me relève et la plaque sur la table, les jambes dans le vide. Sa poitrine est écrasée par son poids. J'empoigne ses fesses que j'écarte. Je glisse ma bite dans ce conduit réduit et accueillant. Mes boules frappent sa fente. Je sens ses doigts qui les caressent. La pénétration est rapide. J'appuis de tout mon poids pour m'enfoncer plus loin, plus profondément en elle. Après quelques minutes, Lunèse se crispe à nouveau, son corps tremble. Un jet puissant est expulsé de son sexe, éclaboussant la table et mes cuisses. Son anus se contracte si fort que ma bite est écrasée. J'accélère la cadence de mes coups de reins. Je me retire avant d'exploser et cracher mon jus sur ses fesses, contre son anus dilaté.
- " C'est boooooonn " hurle-t-elle avant de s'affaisser sur la table, la respiration encore rapide.
Je me laisse tomber dans le fauteuil. Je regarde Lunèse à moitié couchée sur la table, les jambes écartées en appui sur le sol. Un filet d'écume mêlé à du sperme coule le long de sa cuisse. Je ferme les yeux.
- " J'avais jamais jouit comme ça " dit-elle en s'asseyant sur mes genoux.
Au petit matin je rentre au studio. Je passe la journée à faire un peu de ménage avant mon départ demain. Je mange un peu. En fin d'après-midi je prends un livre, m'installe dans le fauteuil et je m'endors. Je me réveille en sursaut. Je regarde autour de moi avant de réaliser où je suis. Il y a de la musique dehors. Il fait nuit. Sur la place du village il y a la fête. Des manèges, des points chauds. Un groupe chante des tubes des années quatre-vingt. Des groupes se sont formés sur la place et autour de la fontaine.
- " Booonsooooiiir " dit une femme assez fort pour couvrir la musique.
Je me retourne, Nathalie se tient debout devant moi, un verre à la main. Elle porte un tanga noir, une chemise attachée avec un noeud au niveau de nombril. Sa poitrine libre de tout soutien bouge librement au rythme de ses pas.
- " Comment vas-tu ? " ajoute-t-elle en se jetant à mon cou pour me faire la bise. " Contente de te voir ".
Je lui réponds que je vais bien et que je suis aussi content d'être ici. Nous marchons au milieu des groupes qui dansent, boivent ou discutent. Nathalie me présente sa mère, Claire, la propriétaire du studio et son beau-père, Eric. Nous discutons à l'écart de la musique pour éviter de crier. Nathalie revient, passe un bras autour de ma taille et me dit :
- " Je veux te présenter ma copine ".
Je me retourne et je reste comme paralysé, bouche bée......là...devant moi...vêtue d'une robe très courte sans bretelle.....se tient Sophie, ma cousine. Contrairement à moi, elle s'avance, pose une main sur mon épaule et me fait la bise.
- " Bonsoir cousin " dit-elle " Surpris ? "
Nathalie a elle aussi un instant de surprise. Elle nous regarde l'une l'autre en pointant un doigt sur nous.
- " Cousine....cousin " dit-elle " mais....." elle ne finit pas sa phrase. Sophie pose un doigt sur la bouche de Nathalie en guise de silence. Je les regarde toutes les deux. J'ai des images dans la tête qui reviennent. Sophie dans sa chambre le matin ou dans le salon pendant la nuit avec le visage d'une femme sur l'écran d'ordinateur.
- " Allons boire un verre " dit Sophie en nous prenant chacun sous le bras, nous guidant vers la buvette. Après quelques minutes, nous avons pris cette nouvelle en rigolant. Nous avons dansé de façon plus ou moins serrés, comme l'ont fait Sophie et Nathalie. Claire nous invite à poursuivre la soirée chez elle.
Sophie et Nathalie sont assises sur le canapé, les jambes de l'une sur celles de l'autre. La chemise de Nathalie est ouverte, laissant voir sa poitrine aux larges auréoles. Sophie a sa robe baissée jusqu'à la taille. Je suis assis entièrement nu en face d'elles. Elle veulent jouer à petit jeu. Mes chevilles sont attachées aux pieds de la chaise et les mains ficelées derrière le dossier de la chaise. Je les regardent, elles se caressent, s'embrassent. Nathalie se penche sur la poitrine de sa partenaire, lui suce les tétons.
- " Aïe" laisse échapper Sophie. Elle abat sa main sur le cul cambrée.
Nouveau cri de douleur. Cette fois Sophie lui attrape les cheveux tirant la tête en arrière. Une gifle vient claquer cette fois sur la joue de Nathalie. Elles se défient du regard. Sophie se lève du canapé. Claire et Eric regardent ce spectacle assis chacun dans un fauteuil. Elle la tire par les cheveux pour qu'elle avance à quatre pattes. Ses gros seins pendant comme des mamelles entre ses bras.
- " Arrête-toi là ! " lui ordonne-t-elle. Elle lui appuie sur la nuque. " Lèche et suce ses doigts de pieds ".
Le cul ainsi relevé, Sophie lui arrache son tanga. Elle lui caresse les fesses, les prends à pleine main. Puis ça claque de plus en plus fort, de plus en plus vite, en rythme avec la musique dehors. Nathalie crie à chaque coup reçu. Une main attéri parfois sur la fente entre les cuisses. Sa mère entièrement nue caresse la bite de son homme, le branle à quelques centimètres de sa bouche. La caresse que je reçois sur les orteils est excitante, je commence à bander.
- " Continue ! " dit Sophie en voyant que cela me fait de l'effet.
Elle m'embrasse, pince mes tétons, tire aussi fort que possible. Elle tire alors Nathalie par les cheveux vers ma bite maintenant tendu. Le gland n'est pas décalotté.
- " Tu vas le sucer avec délice et passion ".
Elle avança la bouche ouverte vers ma bite. Avec sa langue elle lèche le bout, puis descend vers me couilles. Je ferme les yeux pour apprécier la caresse. Sophie me donne ses tétons à sucer. Je m'applique, je lèche, je pince doucement entre les dents.
- " Huuummm" gémit-elle.
Nathalie me suce depuis quelques minutes, ma bite est couverte de salive. Laissant toujours Nathalie à genoux entre mes cuisses, Sophie vient s'empaler dos à moi. Elle attrape la tête de son amie et la plaque contre sa chatte remplie par ma bite. Elle se frotte contre sa bouche. Je vois le visage de Nathalie se couvrir de mouille. Elle se caresse en même temps. Des gémissements résonnent dans la pièce. Claire à plat ventre sur la table et Eric en train de la baiser. Sophie crie, souffle, râle. Elle se lève après plusieurs minutes et détache mes liens.
Allongées en position soixante-neuf, les deux jeunes femmes se lèchent, se doigtent, se fessent. Sophie me fait signe d'approcher. Je me place derrière Nathalie avec le cul en l'air. Elle me suce avant de poser le bout contre la fente luisante de mouille et de salive. D'un coup lent et régulier je m'enfonce. J'attrape Nathalie par les hanches et je commence à la baiser. Mes couilles sont léchées par Sophie. Nathalie pousse des cris vites étouffés par le baiser que lui donne sa mère. C'est très excitant. Eric se branle assis sur le canapé. Je ne tiens plus, mes couilles se contractent. Je me retire après un dernier coup de reins violent pour cracher sur les fesses de Nathalie. Du sperme coule sur le visage de Sophie. Nathalie se tourne, les femmes s'embrassent pour partager mon sperme.
La nuit s'est poursuivit dans la chambre pour certains, près de lavoir pour d'autres.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quel beau programme de vacances !
Je me serais bien joint à vous

Crabou
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