SEMAINE DE REUNIONS Chapitre 1
Récit érotique écrit par Chatonjoli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SEMAINE DE REUNIONS Chapitre 1
Odile se prélassait dans l’immense baignoire de la suite Blue Dreams de l’Hôtel des Tuileries. L’hôtel était très agréable et elle avait été très surprise devant le luxe de la chambre. Décidément son patron ne se refusait rien lors de ses déplacements !
Odile travaillait dans un grand laboratoire de recherche, et la veille, Kevin, le directeur de la boite, lui avait demandé de le remplacer pour assister au colloque annuel sur les énergies renouvelables. Il avait un empêchement de dernière minute « incontournable » lui avait-il dit. Odile n’était pas dupe !! Le contretemps de Kevin devait être blonde à forte poitrine. De plus le colloque se déroulait cette année à Paris. Elle se doutait bien que s’il avait eu lieu à San Francisco comme l’an passé, Kevin n’aurait pas délégué. D’autant que les bimbos affriolantes qui plaisent tant à ce chaud lapin, sont légion sur la côté ouest.
Qu’elle ait pu avoir prévu un week-end avec son ami du moment, ne l’avait évidemment pas effleuré un instant. Elle avait donc aussitôt décommandé son rendez-vous avec Stéphane, quinquagénaire sportif mais qui commençait à l’ennuyer avec ses sempiternelles discussions sur ses parties de tennis avec ses potes du Lyon’s Club. Certes, il était attentif, câlin et l’invitait quasiment chaque semaine pour un week-end dans d’agréables hôtels de la région, mais cette routine devenait pesante et ennuyeuse.
Aussi Odile se dit que ces quelques jours dans la capitale la changeraient agréablement, d’autant qu’elle en profiterait pour faire les boutiques et visiter quelques galeries d’art ou musées.
Elle était arrivée en fin de matinée à l’hôtel et maintenant barbotait tranquillement dans une délicieuse eau mousseuse et parfumée.
Elle avait le temps avant la soirée d’ouverture du colloque, qui débutait à 18h00 dans une des grandes salles de conférence située au premier étage du bâtiment.
Elle avait parcouru rapidement le programme de ces quelques jours. Ce soir, c’était la présentation des différents thèmes abordés, avec les horaires des conférences associées. Ce préambule était suivi d’un cocktail dinatoire. Elle n’était pas très fan de ces manifestations, mais elle avait suffisamment de contacts dans le monde de la chimie pour être certaine de croiser quelques personnes de sa connaissance qu’elle aurait grand plaisir à revoir et passer ainsi une plaisante soirée.
Elle décida tout de même de sortir de son bain pour pouvoir aller faire un tour dans les boutiques de l’établissement. En se dirigeant vers la réception ce matin, elle avait aperçu dans une vitrine, une jolie pochette qui serait parfaite pour accompagner la tenue qu’elle avait choisie de porter ce soir.
Elle s’enroula dans une épaisse serviette éponge et gagna sa chambre tout en se séchant les cheveux avec une plus petite. Elle regarda le lit immense paré de draps de satin bleu. Elle n’avait encore jamais dormi dans des draps de cette matière aussi, laissant tomber les serviettes, elle s’allongea pour goûter au plaisir du tissu soyeux sur sa peau nue, quatre oreillers moelleux la calant confortablement contre le dosseret du lit.
C’est alors qu’elle remarqua le grand miroir placé face au lit qui lui renvoyait l’image de son corps offert. Cela lui rappela un week-end avec Stéphane. Une glace dans la pièce lui avait permis de suivre leurs ébats et elle avait trouvé cela extrêmement excitant. D’ailleurs Stéphane lui avait fait la remarque qu’il l’avait trouvée particulièrement chaude cette après-midi là. Mais lui n’avait pas jeté une seule fois un regard au miroir, et avait été convaincu que son ardeur était dû à son manque de lui.
Odile examina donc son reflet, écartant même ses cuisses pour regarder sa féminité. Elle ressentait une légère excitation à contempler sa chatte surmontée de sa petite toison soigneusement épilée en forme de feuille. Amusée de ses sensations, elle laissa une main glisser sur ses seins, les pressant doucement, puis elle titilla ses tétins pour les faire se tendre. Elle se vit onduler sous ces délicieuses attaques sensuelles. Elle ouvrit un peu plus grand le compas de ses jambes, et son autre main coula le long de son ventre, en lente reptation pour atteindre son mont de Vénus et recouvrir sa faille. Maintenant, plus de doute, elle avait envie de caresses. Son bassin ondulait et elle sentait son clitoris gonfler sous les passages répétés de ses doigts.
-Hum !! Tu as envie d’une branlette mon minou !! se dit-elle à haute voix en se lorgnant libertine dans la psyché. Elle porta alors deux doigts à ses lèvres et entreprit de les couvrir de salive avant de les laisser repartir à l’assaut de son petit bouton érigé.
-Voilà mon fripon !! Oh oui tu aimes !! Continua-t-elle en se masturbant langoureusement. Se faisant, elle ne quittait pas le miroir du regard. Elle vit ses yeux changer d’expression alors qu’elle astiquait de plus en plus rapidement sa perle d’amour. Elle se plongea même deux doigts dans la minette avant de revenir à l’ergot gourmand. Puis soudain, elle poussa un long feulement de plaisir, sans pour autant stopper ses frottis. Ses jambes tremblaient, son regard était hypnotisé et un second cri jaillit dans la chambre. Elle se laissa alors retomber contre les oreillers et son visage afficha un mutin sourire de satisfaction.
Ce qu’elle ne pouvait pas deviner, c’est que derrière le miroir, un homme affichait un même sourire. Sauf que son excitation à lui n’avait pas était satisfaite : il avait la queue bandée à mort.
En effet, le laboratoire de chimie pour lequel Odile travaillait, était majoritairement financé par le gouvernement, les recherches portant principalement sur les nouveaux combustibles. Nombreux projets étaient classés « secret défense », or, depuis quelques mois, des fuites étaient apparues et la DGSS avait été mandatée pour surveiller le directeur du laboratoire lors de cette assemblée mondiale.
Dès que l’organisation du colloque avait été réglée, la chambre 669 avait été attribuée au représentant français, et les services secrets, squattant la chambre voisine, avaient aménagé une ouverture dans la cloison, échangeant le miroir originel contre un épais miroir sans tain, qui les isolait et les insonorisait parfaitement. Aussi avaient-ils truffé la chambre de micros et de caméras pour enregistrer tout ce qui se déroulerait dans la suite..
Les deux agents en place, avaient été surpris en découvrant que ce n’était pas le grand patron mais une employée qui venait assister au symposium. Ils avaient aussitôt transmis l’info à leurs supérieurs. Néanmoins la surveillance avait été maintenue puisque en fait, personne ne connaissait le ou les responsables des indiscrétions découvertes. Et les renseignements français supposaient que des échanges pourraient bien avoir lieu à l’occasion de ce congrès.
Karim, un métisse bien bâti, n’avait donc pas perdu une seconde du spectacle qui s’était offert à lui. Il pensa que finalement cette surveillance serait bien plus passionnante qu’il ne l’avait envisagée au prime abord. Il avait aussi noté que sa collègue Chloé, responsable des caméras, qui n’avait pas quitté l’écran de contrôle un seul instant, semblait toute aussi captivée que lui.
Il avait entendu sa respiration s’accélérer et même si elle s’était discrètement trémoussée, il avait bien perçu les légers grincements de la chaise.
Chloé était une belle fille, grande, brune, les yeux noisette. Elle avait un beau corps et un joli visage. Cependant, on ne lui connaissait pas de liaisons avec des collègues, et n’étant pas le moins du monde aguicheuse ni dragueuse, elle avait été vite cataloguée comme lesbienne, rumeur qu’elle n’avait jamais cherché à démentir. Et devant l’évident trouble de la jeune femme face à l’érotisme de la scène à laquelle ils venaient d’assister, il se dit que les ragots devaient être fondés.
Karim restait debout devant l’indiscrète vitre, car il continuait à admirer les courbes voluptueuses de l’occupante de la pièce voisine. En effet, celle-ci s’était levée, et s’étant saisi d’un flacon, elle se posta impudiquement devant le miroir pour s’enduire le corps de ce qu’il devina être du lait corporel.
Elle avait posé un pied sur un petit pouf pour oindre sa jambe de l’onguent parfumé, et sans le savoir elle lui offrait une vue incomparable sur sa foufoune encore luisante de son nectar de fille.
Son autre jambe fut hydratée de la même façon, puis elle glissa sa main pour enduire son entre jambe du lait bienfaisant. Elle pivota quand ce fut au tour de ses fesses de recevoir les mêmes soins.
Karim aurait bien volonté déboulonné le miroir pour venir lui prendre à pleines mains ces belles rotondités qu’il devinait ferme à souhait.
Il exhalait de cette femme une sensualité débridée. Il se dit qu’elle devait être un sacré coup au lit !!
Elle enduisit tout son corps puis alla ouvrir sa valise pour en sortir une pochette de lin où elle devait manifestement ranger sa lingerie. Elle se campa de nouveau face à la glace, se tournant et se retournant pour examiner son beau corps élancé, sans savoir que sa nudité suscitait une trique d’enfer à son observateur. Tension qui ne fit que croitre quand elle enfila une superbe culotte de soie fuchsia, légèrement flottante et fendue sur les côtés. Puis elle agrafa un soutien-gorge, divinement pigeonnant
Le grand black se demanda, dépité, si celle jolie poupée ne serait pas gouine elle aussi, car elle s’amusait manifestement à s’émoustiller en se pelotant de nouveau la poitrine. Ses tétons rosés pointaient sans vergogne sous la soie tendue et d’ailleurs elle les sortit de leur cage pour se les agacer du bout de ses longs doigts fins. Il la vit passer la pointe de sa langue sur l’ourlé de ses lèvres.
Puis elle fit glisser précautionneusement des bas couleur de miel, sur ses jambes fuselées.
Inconsciente du trouble qu’elle provoquait Odile continuait à se préparer en s’amusant de ses audaces. Elle se détourna pour aller ouvrir le placard où elle avait suspendu ses vêtements. Karim en profita pour lorgner sur cette croupe se mouvant avec sensualité sous ses yeux et sa bite palpita d’envie. Il se voyait bien lui écartant les deux lombes jumelles pour y glisser son bourgeon gonflé.
Il passa furtivement sa main sur sa braguette tellement l’envie le tenailler de sortir sa pine pour se branler, ce qu’il aurait fait sans façon s’il avait été seul.
Odile revint se planter devant la glace, et enfila une élégante et sexy robe de soie sauvage de la même couleur que ses dessous. Le profond décolleté ne cachait rien du galbe de ses seins. Le tissu la moulait comme un gant, et quand elle pivota pour vérifier le tombé de la robe, Karim vit que la jupe était fendue assez haut, laissant entrevoir la dentelle des jarretières.
Elle se chaussa d’escarpins d’un ton sensiblement plus soutenu puis rejoignit la salle de bain. Il regretta de n’avoir pas installé de caméra là-bas, mais le budget alloué aux surveillances était chaque année un peu plus rogné. Il n’avait donc installé que des micros dans cette petite pièce.
Aux bruits que les hauts parleurs leurs transmettaient, Il la devina se coiffer et se maquiller. Elle avait dû prévoir de sortir avant le début de la cérémonie d’ouverture. Cela allait calmer son érection, il n’aurait pas pu tenir ainsi toute l’après midi.
Effectivement Odile attacha ses longs cheveux en une jolie cascade dorée. Elle recourba ses cils d’un mascara noir, les borda d’un trait de khôl et paracheva son maquillage par un camaïeu de roses sur les paupières.
Lorsqu’elle revint dans la chambre, Karim fut subjugué par la sensualité explosive qui émanait de cette femme. Il reconnut qu’elle savait se mettre en valeur. Car la maquillage restait très discret mais mettait magnifiquement ses grands yeux d’un vert sombre, en valeur.
Il se serait volontiers précipité dans la chambre pour la renverser sur le lit et lui fourrer son braquemard dans la chatte.
Un petit amuse-bouche en attendant les prochains chapitres, de plus en plus "hot"..............A bientôt!!!
Odile travaillait dans un grand laboratoire de recherche, et la veille, Kevin, le directeur de la boite, lui avait demandé de le remplacer pour assister au colloque annuel sur les énergies renouvelables. Il avait un empêchement de dernière minute « incontournable » lui avait-il dit. Odile n’était pas dupe !! Le contretemps de Kevin devait être blonde à forte poitrine. De plus le colloque se déroulait cette année à Paris. Elle se doutait bien que s’il avait eu lieu à San Francisco comme l’an passé, Kevin n’aurait pas délégué. D’autant que les bimbos affriolantes qui plaisent tant à ce chaud lapin, sont légion sur la côté ouest.
Qu’elle ait pu avoir prévu un week-end avec son ami du moment, ne l’avait évidemment pas effleuré un instant. Elle avait donc aussitôt décommandé son rendez-vous avec Stéphane, quinquagénaire sportif mais qui commençait à l’ennuyer avec ses sempiternelles discussions sur ses parties de tennis avec ses potes du Lyon’s Club. Certes, il était attentif, câlin et l’invitait quasiment chaque semaine pour un week-end dans d’agréables hôtels de la région, mais cette routine devenait pesante et ennuyeuse.
Aussi Odile se dit que ces quelques jours dans la capitale la changeraient agréablement, d’autant qu’elle en profiterait pour faire les boutiques et visiter quelques galeries d’art ou musées.
Elle était arrivée en fin de matinée à l’hôtel et maintenant barbotait tranquillement dans une délicieuse eau mousseuse et parfumée.
Elle avait le temps avant la soirée d’ouverture du colloque, qui débutait à 18h00 dans une des grandes salles de conférence située au premier étage du bâtiment.
Elle avait parcouru rapidement le programme de ces quelques jours. Ce soir, c’était la présentation des différents thèmes abordés, avec les horaires des conférences associées. Ce préambule était suivi d’un cocktail dinatoire. Elle n’était pas très fan de ces manifestations, mais elle avait suffisamment de contacts dans le monde de la chimie pour être certaine de croiser quelques personnes de sa connaissance qu’elle aurait grand plaisir à revoir et passer ainsi une plaisante soirée.
Elle décida tout de même de sortir de son bain pour pouvoir aller faire un tour dans les boutiques de l’établissement. En se dirigeant vers la réception ce matin, elle avait aperçu dans une vitrine, une jolie pochette qui serait parfaite pour accompagner la tenue qu’elle avait choisie de porter ce soir.
Elle s’enroula dans une épaisse serviette éponge et gagna sa chambre tout en se séchant les cheveux avec une plus petite. Elle regarda le lit immense paré de draps de satin bleu. Elle n’avait encore jamais dormi dans des draps de cette matière aussi, laissant tomber les serviettes, elle s’allongea pour goûter au plaisir du tissu soyeux sur sa peau nue, quatre oreillers moelleux la calant confortablement contre le dosseret du lit.
C’est alors qu’elle remarqua le grand miroir placé face au lit qui lui renvoyait l’image de son corps offert. Cela lui rappela un week-end avec Stéphane. Une glace dans la pièce lui avait permis de suivre leurs ébats et elle avait trouvé cela extrêmement excitant. D’ailleurs Stéphane lui avait fait la remarque qu’il l’avait trouvée particulièrement chaude cette après-midi là. Mais lui n’avait pas jeté une seule fois un regard au miroir, et avait été convaincu que son ardeur était dû à son manque de lui.
Odile examina donc son reflet, écartant même ses cuisses pour regarder sa féminité. Elle ressentait une légère excitation à contempler sa chatte surmontée de sa petite toison soigneusement épilée en forme de feuille. Amusée de ses sensations, elle laissa une main glisser sur ses seins, les pressant doucement, puis elle titilla ses tétins pour les faire se tendre. Elle se vit onduler sous ces délicieuses attaques sensuelles. Elle ouvrit un peu plus grand le compas de ses jambes, et son autre main coula le long de son ventre, en lente reptation pour atteindre son mont de Vénus et recouvrir sa faille. Maintenant, plus de doute, elle avait envie de caresses. Son bassin ondulait et elle sentait son clitoris gonfler sous les passages répétés de ses doigts.
-Hum !! Tu as envie d’une branlette mon minou !! se dit-elle à haute voix en se lorgnant libertine dans la psyché. Elle porta alors deux doigts à ses lèvres et entreprit de les couvrir de salive avant de les laisser repartir à l’assaut de son petit bouton érigé.
-Voilà mon fripon !! Oh oui tu aimes !! Continua-t-elle en se masturbant langoureusement. Se faisant, elle ne quittait pas le miroir du regard. Elle vit ses yeux changer d’expression alors qu’elle astiquait de plus en plus rapidement sa perle d’amour. Elle se plongea même deux doigts dans la minette avant de revenir à l’ergot gourmand. Puis soudain, elle poussa un long feulement de plaisir, sans pour autant stopper ses frottis. Ses jambes tremblaient, son regard était hypnotisé et un second cri jaillit dans la chambre. Elle se laissa alors retomber contre les oreillers et son visage afficha un mutin sourire de satisfaction.
Ce qu’elle ne pouvait pas deviner, c’est que derrière le miroir, un homme affichait un même sourire. Sauf que son excitation à lui n’avait pas était satisfaite : il avait la queue bandée à mort.
En effet, le laboratoire de chimie pour lequel Odile travaillait, était majoritairement financé par le gouvernement, les recherches portant principalement sur les nouveaux combustibles. Nombreux projets étaient classés « secret défense », or, depuis quelques mois, des fuites étaient apparues et la DGSS avait été mandatée pour surveiller le directeur du laboratoire lors de cette assemblée mondiale.
Dès que l’organisation du colloque avait été réglée, la chambre 669 avait été attribuée au représentant français, et les services secrets, squattant la chambre voisine, avaient aménagé une ouverture dans la cloison, échangeant le miroir originel contre un épais miroir sans tain, qui les isolait et les insonorisait parfaitement. Aussi avaient-ils truffé la chambre de micros et de caméras pour enregistrer tout ce qui se déroulerait dans la suite..
Les deux agents en place, avaient été surpris en découvrant que ce n’était pas le grand patron mais une employée qui venait assister au symposium. Ils avaient aussitôt transmis l’info à leurs supérieurs. Néanmoins la surveillance avait été maintenue puisque en fait, personne ne connaissait le ou les responsables des indiscrétions découvertes. Et les renseignements français supposaient que des échanges pourraient bien avoir lieu à l’occasion de ce congrès.
Karim, un métisse bien bâti, n’avait donc pas perdu une seconde du spectacle qui s’était offert à lui. Il pensa que finalement cette surveillance serait bien plus passionnante qu’il ne l’avait envisagée au prime abord. Il avait aussi noté que sa collègue Chloé, responsable des caméras, qui n’avait pas quitté l’écran de contrôle un seul instant, semblait toute aussi captivée que lui.
Il avait entendu sa respiration s’accélérer et même si elle s’était discrètement trémoussée, il avait bien perçu les légers grincements de la chaise.
Chloé était une belle fille, grande, brune, les yeux noisette. Elle avait un beau corps et un joli visage. Cependant, on ne lui connaissait pas de liaisons avec des collègues, et n’étant pas le moins du monde aguicheuse ni dragueuse, elle avait été vite cataloguée comme lesbienne, rumeur qu’elle n’avait jamais cherché à démentir. Et devant l’évident trouble de la jeune femme face à l’érotisme de la scène à laquelle ils venaient d’assister, il se dit que les ragots devaient être fondés.
Karim restait debout devant l’indiscrète vitre, car il continuait à admirer les courbes voluptueuses de l’occupante de la pièce voisine. En effet, celle-ci s’était levée, et s’étant saisi d’un flacon, elle se posta impudiquement devant le miroir pour s’enduire le corps de ce qu’il devina être du lait corporel.
Elle avait posé un pied sur un petit pouf pour oindre sa jambe de l’onguent parfumé, et sans le savoir elle lui offrait une vue incomparable sur sa foufoune encore luisante de son nectar de fille.
Son autre jambe fut hydratée de la même façon, puis elle glissa sa main pour enduire son entre jambe du lait bienfaisant. Elle pivota quand ce fut au tour de ses fesses de recevoir les mêmes soins.
Karim aurait bien volonté déboulonné le miroir pour venir lui prendre à pleines mains ces belles rotondités qu’il devinait ferme à souhait.
Il exhalait de cette femme une sensualité débridée. Il se dit qu’elle devait être un sacré coup au lit !!
Elle enduisit tout son corps puis alla ouvrir sa valise pour en sortir une pochette de lin où elle devait manifestement ranger sa lingerie. Elle se campa de nouveau face à la glace, se tournant et se retournant pour examiner son beau corps élancé, sans savoir que sa nudité suscitait une trique d’enfer à son observateur. Tension qui ne fit que croitre quand elle enfila une superbe culotte de soie fuchsia, légèrement flottante et fendue sur les côtés. Puis elle agrafa un soutien-gorge, divinement pigeonnant
Le grand black se demanda, dépité, si celle jolie poupée ne serait pas gouine elle aussi, car elle s’amusait manifestement à s’émoustiller en se pelotant de nouveau la poitrine. Ses tétons rosés pointaient sans vergogne sous la soie tendue et d’ailleurs elle les sortit de leur cage pour se les agacer du bout de ses longs doigts fins. Il la vit passer la pointe de sa langue sur l’ourlé de ses lèvres.
Puis elle fit glisser précautionneusement des bas couleur de miel, sur ses jambes fuselées.
Inconsciente du trouble qu’elle provoquait Odile continuait à se préparer en s’amusant de ses audaces. Elle se détourna pour aller ouvrir le placard où elle avait suspendu ses vêtements. Karim en profita pour lorgner sur cette croupe se mouvant avec sensualité sous ses yeux et sa bite palpita d’envie. Il se voyait bien lui écartant les deux lombes jumelles pour y glisser son bourgeon gonflé.
Il passa furtivement sa main sur sa braguette tellement l’envie le tenailler de sortir sa pine pour se branler, ce qu’il aurait fait sans façon s’il avait été seul.
Odile revint se planter devant la glace, et enfila une élégante et sexy robe de soie sauvage de la même couleur que ses dessous. Le profond décolleté ne cachait rien du galbe de ses seins. Le tissu la moulait comme un gant, et quand elle pivota pour vérifier le tombé de la robe, Karim vit que la jupe était fendue assez haut, laissant entrevoir la dentelle des jarretières.
Elle se chaussa d’escarpins d’un ton sensiblement plus soutenu puis rejoignit la salle de bain. Il regretta de n’avoir pas installé de caméra là-bas, mais le budget alloué aux surveillances était chaque année un peu plus rogné. Il n’avait donc installé que des micros dans cette petite pièce.
Aux bruits que les hauts parleurs leurs transmettaient, Il la devina se coiffer et se maquiller. Elle avait dû prévoir de sortir avant le début de la cérémonie d’ouverture. Cela allait calmer son érection, il n’aurait pas pu tenir ainsi toute l’après midi.
Effectivement Odile attacha ses longs cheveux en une jolie cascade dorée. Elle recourba ses cils d’un mascara noir, les borda d’un trait de khôl et paracheva son maquillage par un camaïeu de roses sur les paupières.
Lorsqu’elle revint dans la chambre, Karim fut subjugué par la sensualité explosive qui émanait de cette femme. Il reconnut qu’elle savait se mettre en valeur. Car la maquillage restait très discret mais mettait magnifiquement ses grands yeux d’un vert sombre, en valeur.
Il se serait volontiers précipité dans la chambre pour la renverser sur le lit et lui fourrer son braquemard dans la chatte.
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