Sévices militaires 1ère partie

- Par l'auteur HDS Ballet boots -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sévices militaires 1ère partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Sévices militaires 1ère partie
Mon histoire se déroule au mois de décembre dans une caserne près de Châteauroux. Je faisais mon service militaire depuis un mois. Chacun d'entre nous avait des travaux d'intérêt généraux à effectuer. J'avais la chance d'être tombé sur le ménage du bureau des instructeurs, qui était juste à coté de ma chambrée, par rapport à d'autres qui avaient les salles de bains ou encore les toilettes. Tous les deux jours je devais faire les poussières, nettoyer le sol et vider les poubelles dans le bureau de l'adjudant chef et du maréchal des logis qui nous commandaient.
Les deux personnages étaient antipathiques a souhait et très autoritaires. Le Marchal des logis, que l'on devait appeler " chef " était un homme un peu gros avec une petite moustache et de tout petits yeux. Il avait tout le temps dans les mains une cravache avec laquelle il jouait et qui lui donnait une contenance.
Un soir je me trouvais dans le bureau pour faire le ménage, mon attention fut attirée par un placard ouvert. Curieux, je regarde dedans. Il y a des vêtements sales des rangers usagés, quelques canettes de bières.... Et en haut sur une petite étagère deux ou trois livres empilés. Précautionneusement je tends l'oreille pour être certain que personne ne vient, mais à cette heure les instructeurs sont entrain de diner. J'attrape les livres et à ma grande stupeur je découvre des BD sado maso. La première représente une succession d'illustration de jeunes gens ligotés dans des positions incroyables. Chaque tableau porte un numéro de punition. Le second montre des femmes transformées en objet dans un château ou règnent des femmes tyranniques. Je repose rapidement les livres à leur place de peur que quelqu'un n'entre et ne me découvre entrain de fouiller le casier.
Une fois installé dans mon lit, je revis avec une certaine excitation les images des livres que j'avais feuilletés top rapidement. J'avais déjà depuis longtemps des fantasmes qui tournaient autour de la domination. Je m'imaginais prisonnier de femmes habillées en cuir, portant des cuissardes à tallons aiguille me trainant à leurs pieds. Jamais je n'avais eu l'occasion de vivre, même de façon légère ce genre de fantasme. J'avais juste enfilé quelques fois les bottes de ma mère, ainsi que son imperméable pour me masturber. Il m’était arrivé de m'attacher les pieds et le corps dans mon lit en m'imaginant esclave d'une créature féline qui disposait de moi comme elle le souhaitait.
Je suis retourné deux fois avec gourmandise durant la semaine, dans le placard pour regarder avec émerveillement les images extravagantes de bondage et de domination que contenaient les livres. J'étais fasciné, j'avais de plus en plus de mal à les remettre à leur place rapidement. Je découvris aussi que le placard appartenait au maréchal des logis chef car il y avait des enveloppes à son nom ainsi que des papiers administratifs. À partir de ce moment mon regard changea sur celui qui se faisait appeler "chef Girodon". Je me surpris à plusieurs reprises à m'imaginer à son service, à lui obéir dans des situations très concrètes où je devais lui servir à manger, à boire, lui cirer ses chaussures... J'avais d'ailleurs parfois l'impression qu'il sentait quelque chose car plusieurs fois il me prit à parti pour me menacer de punition si je ne m'améliorais pas au tir ou à d'autres activées sportives. Chaque fois je me sentais rougir, de peur que tout le monde se rende compte de mes fantasmes.
Durant la première permission que j'eus début décembre j’imaginais un scénario improbable. Je me mis à écrire une lettre anonyme, que je glisserai dans son placard et qui disait cela :
" Bonjour,J'ai découvert par hasard les BD qui se trouvent dans votre casier. J’ai le fantasme de trouver une personne qui m'apprenne progressivement à obéir. Ma démarche est inattendue car je n'aurais jamais pensé aller vers un homme pour réaliser cela. Je souhaiterai une relation sans sexualité, uniquement un rapport de domination physique et surtout morale. Si ma démarche vous intéresse je vous propose de dire à la fin du cour du mercredi après midi : "Demain il fera beau, mais il faudra vous couvrir". Je resterai alors assis pendant que tout le monde sortira. Respectueusement."
Dés mon retour à la caserne le dimanche soir je décidais de glisser le mot dans son placard, tout de suite pour ne pas tergiverser trop longtemps. À partir de ce moment là une excitation incroyable monta en moi, par ce que je savais que j'avais fait un premier pas qui pouvait me faire basculer du rêve à la réalité. Le mardi après midi j'ai senti qu'il avait trouvé mon mot, car il nous a tous dévisagé de manière inhabituelle. Je me suis aussi rendu compte qu'il ne m'avait pas découvert, même si à chaque fois qu'il passait à coté de moi je frissonnais. Pendant ces trois jours je me suis posé beaucoup de questions, car j'avais encore le choix de ne pas être découvert, mais j'étais terriblement excité de me lancer dans l'aventure.
Le cours du mercredi après midi arriva. J'étais très angoissé, comme si j'allais passer un examen. Pendant tout le cours j'avais du mal à retenir mon attention, je ne pensais qu'à ce qui allait se passer à la fin du cours. Puis à l'instant fatidique de fin de cours il y eut un silence qui me parut durer des heures et il dit :
- " Demain il fera beau mais couvrez vous ".
Ce n’était pas la phrase exacte, mais je savais qu'il avait dit ce que j'avais évoqué dans ma lettre. À cet instant précis j'ai senti une bouffée de chaleur intense m'envahir. J'ai eu l'impression que ma tête allait exploser. Les minutes qui ont suivit m'ont semblé des siècles. J'ai regardé tout le monde sortir de la salle, comme si tout se passait au ralenti.
Moi je me sentais comme pétrifié, incapable de bouger. Plus les secondes s'écoulaient plus je sentais que je m'engageais dans une aventure vertigineuse.
Je me suis rapidement retrouvé seul assis sur ma chaise d'écolier. Le chef qui était resté sur l'estrade est parti fermer la porte de la salle à clés. Il s'est retourné pour venir vers moi. J'ai réalisé à cet instant que j'avais basculé, il était trop tard pour faire marche arrière.
Il s'approche en souriant ironiquement, sa cravache à la main qu'il tapote machinalement dans sa main. Il s'assoit sur ma table et pose ses deux pieds sur mes cuisses pour les essuyer sur mon pantalon. Je suis pétrifié.
Avec un sourire narquois il me dit :
- Alors c'est toi la petite fiotte qui a fouillé dans mon casier ?
J’acquiesce machinalement. Il enchaine :
- Comme ça tu cherches un maître pour t'apprendre le respect.... Et ben tu l'as trouvé ! Déjà pour ce que tu as fait je vais te punir et puis les tarlouses comme toi j'en fais mon affaire !
Sur ce il m'attrape par l'oreille pour m'entrainer vers le bureau qui se trouve au fond de la salle de classe. Il me tire tellement fort que j'ai l'impression que mon oreille va se décrocher. Arrivé dans le bureau il m'oblige à m'assoir sur un tabouret, puis vas fermer à clés les deux portes de la pièce. Il attrape un sac qu'il prend dans son casier et me le jette dans les bras. D'un ton tranchant il me dit :
- Met toi à poil et enfile ce qu'il y a dans le sac !
Transi de peur je lui répond :
- Mais si quelqu'un entre, je peux pas me déshabiller...
Je n'ais même pas le temps de fermer les yeux que je reçois une gifle comme je n'ais jamais reçu de ma vie. Un flashe blanc m'envahie et un bruit sourd me traverse.
- Tu fais ce que je dis maintenant... tu fermes ta gueule.... c'est moi qui décide ! Met toi à poil et vite !
Tremblant j'enlève mon treillis, puis mon pantalon et comme je tarde un peu à retirer mon slip je reçois plusieurs coup de cravache sur les fesses. Comme je me suis tourné pour dissimuler mon sexe, il me fait signe de me mettre face à lui
- Met tes mains dans ton dos !
Je me retrouve nu face à lui. Il se met à rire ironiquement....
- Mais c'est pas une bite que t'as c'est un clitoris ! T'es pas un mec avec un truc Pareil !
Avec le bout de sa cravache il joue à secouer mon sexe dans tous les sens
- Je vais faire de toi une vraie petite nana... De toute manière je préfère les nanas aux mecs. Allez ! Habille toi avec ce qui est dans le sac.
Je sors du sac une combinaison en caoutchouc brillante très épaisse.
- Enfile ça, c'est une combinaison de protection chimique qui est faite pour résister à tout. Vite, magne toi !!! J'ai pas que ça à foutre...
Je me glisse avec beaucoup de difficulté dans la combinaison trop petite pour moi. Les orifices des pieds se terminent par une sorte de chaussette en caoutchouc renforcé, et les mains par des gants très épais. Une capuche cintrée vient enserrer ma tête ne laissant que le centre de mon visage dégagé. Le tout est clos par une grande fermeture éclaire qui part de l'entre jambe jusqu'au menton.
- Enfile les bottes aussi !
Je sort du sac une paire de bottes noirs en plastic que j'enfile avec penne à cause de leur taille trop petite. En souriant ironiquement il me fait tourner sur moi même pour m'observer sous tous les angles.
- Ah !...Voilà.....Ça commence à ressembler à quelque chose. Viens ici ! Retourne toi, et met tes mains dans le dos.
Tellement la combinaison est serrée, c'est un effort de me déplacer et de mettre mes mains dans mon dos. Il sort un sac de sport du casier et en retire une corde bien roulée. Je me retrouve rapidement avec tout le haut du corps ligoté efficacement. Je me rends compte qu'il fait ça avec une grande dextérité et que je ne suis pas le premier à passer entre ses mains. Pour terminer il me fait fermer mes poings déjà solidement entravés dans mon dos pour les immobiliser à l'aide de plusieurs tours de bande adhésive. Je me retrouve avec les deux poings serres incapable de bouger les doigts.
- Ça t'évitera que tu fasses joujoux avec tes doigts pour essayer de te libérer. J'aime bien le travail bien fait.
Tu verras que j'suis un perfectionniste. Bon...On vas y aller avant que tes petits camarades ne reviennent, faudrait pas qu'ils te trouvent comme ça (rire ironique)
Je panique à l'idée de devoir aller quelque part accoutré comme je suis. Je prend sur moi pour oser lui dire timidement :
- Mais chef, je peux pas sortir comme ça ?
Je reçois une seconde claque qui manque de me faire tomber.
- D'abord tu ne m’appelles plus chef, mais maitre. Je ne veux plus avoir à te le dire. Tu termines toutes tes phrases par : Oui maitre, très bien maitre..... Mais tu as raison il manque quelque chose....
Il prend à coté du casier dans une paire de rangers recouvertes de terres, une chaussette usagée. Il me la frotte sur le nez. Une odeur de moisi de saleté m'envahie. Il continue à me passer la chaussette sur tout le visage comme si il me débarbouillait. Après une bonne minute, il la replie pour en faire une boule et me l'introduit dans la bouche avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit. Une nausée m'envahie, j'ai l'impression que je vais vomir, mais rien ne viens.
- Arrête de gesticuler. Plus tu bouges plus ça sera dur ! Ferme tes lèvres je veux plus voir la chaussette...Allez encore....
Il m'enfonce la chaussette de plus en plus profond jusqu'a ce qu'elle disparaisse complètement dans ma bouche. Il se saisi du rouleau de bande adhésive et commence par faire plusieurs tours verticalement pour que je ne puisse plus ouvrir la bouche. Puis il fait la même chose horizontalement pour couvrir ma bouche de plusieurs tours de bande adhésive. Énergiquement avec ses deux mains il se met à frotter ma tête pour que le scotche s'applique bien partout. Je commence à sentir le gout de la chaussette qui se mélange à ma salive couler dans ma gorge. Je doit être écarlate, j'ai l'impression que je vais exploser tellement je me sens compressé de partout.
- C'est mieux comme ça. Ça t'évitera d'parler pour rien dire... Approche !...Encore ! .... Encore je te dis !
Je me retrouve à 5 cm de son visage, je sens son haleine chargée d'odeurs de bière, de clope et certainement du manque d'hygiène. D'un seul coup il me crache au visage. Il recommence une dizaine de fois pour en mettre un peu partout. Je sens la salive dégouliner sur mes joues. J'en ai tellement dans l'œil droit que je vois complètement floue.
- T'as une gueule à crachat.
Il s'approche à nouveau de mon visage pour embrasser le bout de mon nez. Au début doucement puis progressivement il se met à sucer mon nez frénétiquement. Je sens son excitation monter. Il me plaque contre le mur et colle son corps contre le mien. J'ai du mal à respirer, sa salive entre par mon nez, je suffoque. Sentant que je m'étouffe il arrête. Il attrape dans le sac de la combinaison un masque a gaz qu'il me met sans ménagement. Il serre fortement les lanières. Puis il m'enfile un poncho Kaki qui nous sert en général d'imperméable. Il termine en fermant la capuche du poncho au dessus du masque à gaz.
Je me rend compte que je suis ligoté et bâillonne, prêt à sortir sans que personne puisse se rendre compte de ce qui m'arrive. Je ressens d'un seul coup un frisson mélangé de plaisir et de crainte.
- Tu vas marcher sagement derrière moi, je t'emmène à mon logement de fonction dans la caserne. C'est de l'autre coté du camp juste derrière le garage des chars. C'est un local de gardiennage. On va prendre ma voiture, ça t'évitera d'être ridicule en traversant le camp.
Nous sortons du bâtiment sans rencontrer personne. Arrivé au parking il me fait entrer par l'arrière dans une camionnette. Il me force à m'agenouiller et commence à m'attacher les jambes solidement. Pour terminer il me couche à plat ventre, me retire le masque à gaz et dit :
- Je suis certain que tu vas être très sage. Fais attention dans les virages de pas te fracasser...... (Avec un rire sournois...)
Il referme la porte. La camionnette démarre.
Je suis entrain de comprendre que J'entre dans un autre monde. C'est un peu ce que j'avais souhaité, sans me rendre compte que je ne pouvais ni maitriser ce qui m'arrivait, ni appuyer sur le bouton stop. Au fond de moi je me disais qu'il devrait rapidement me ramener pour que ma disparition reste discrète, mais je sentais qu'il pouvait aussi faire ce qu'il voulait car il avait tous les pouvoirs pour justifier mon absence.
C'est envahi par toute ces pensées que je me dirigeais, secoué à l'arrière du véhicule vers son logement.....

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