Sex in the hospital (1)
Récit érotique écrit par MilkyWay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sex in the hospital (1)
En tenue blanche, je marchais dans les couloirs de l'hôpital, un dossier à la main.
Je pus y lire le nom de Richard DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE. Un bourge, sûrement.
Mes commissures se relevèrent légèrement en pensant à l'idée du ridicule qui devait le combler quand il disait son nom de famille. Certes, c’est un nom comme les autres mais cela ne doit pas être facile à porter.
Tout-à-coup, une vague de mélancolie vint faire retomber mon mini sourire.
Je repensais à ce matin, où la directrice de l’hôpital m’a convoqué dans son bureau.
" - Écoutez, Chris. Le docteur Gray et moi-même avons pu constater que la chirurgie ne vous réussissait pas. Vomir et faire un malaise en pleine opération n’est pas un argument très pesant à votre dite passion de la médecine. Je vais vous affecter à un autre secteur. Vous serez sous les ordres du docteur Martinn qui est une de nos meilleures aides-soignantes. Rejoignez-là dans la chambre 1408. Elle doit être avec ce bon vieux Richard. D’ailleurs, ce sera son soixante-dix-huitième anniversaire dans pas longtemps, il faut que j’y pense. Qu’est-ce que vous fichez planter encore là, vous? Allez-y pendant que je règle la paperasse, et prenez le dossier en sortant".
Les autres médecins ont raison. La chef est une diablesse, une sadique. Je l’ai bien supplié, pourtant. "S’il vous plaît, tout mais pas les soins médicaux!". Apparemment, ça n’a pas marché du tout. C’est dommage. J’aimais bien porter la blouse, ça me faisais un habit classe genre scientifique fou. Laver de la peau ridée, ce n’est pas trop mon trip. J’aime mieux tenir autre chose dans ma main.
Bref, je me dirigeai, las, vers la chambre 1408 où je pus entrevoir la coupe au carré du docteur Martinn.
- Bonjour! Dis-je en toquant à la porte.
- Ah, bonjour Chris. Je t’attendais. Viens, aide-moi à mettre Richard dans la baignoire.
Attend… C’est lui, ça?! On dirait qu’il n’a même pas cinquante ans!
- Euh… OK.
Je pris les jambes de ce cher Richard dans mes bras tandis que le docteur Martinn tenait l’autre partie sous les bougonnements de ce dernier. Nous le portâmes ainsi jusqu’à la pièce à côté. Plusieurs objets enfonçaient ma peau ou tapaient contre mes os à cause des pas saccadés sous le poids des jambes. Enfin le vioc dans la baignoire, Martinn, à côté de moi, m’enseignait les rudiments de ce métier si… passionnant. Je n’écoutais rien, je n’étais pas intéressé. La chirurgie, c’est tout ce qui compte dans ma vie. Je pensais à l’opération de ce matin pendant que sa bouche remuait comme une marionnette.
- … T’as compris?
- …
- Oh? Chris? Tu nous fais quoi, là?
- Oui… j’ai compris.
- Vraiment?
- Vraiment.
- Bien. Met en pratique tout ce que je t’ai dit sur Richard, alors. Dit-elle en me tendant une éponge.
- Vas-y mon grand, n’aie pas peur. Ce n’est sûrement pas un fossile de soixante-dix-sept ans qui va te faire peur, hein? Dit ce dernier, d’une voix forcé, grave et grasse.
Je la prenais lentement, et commençais à frotter le torse ridé de monsieur DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE avec l’éponge imbibée d’eau libérant de la mousse de ses alvéoles jaunes.
Je m’attendais à une réflexion de l’aide-soignante mais rien, pas un mot.
- Tu te débrouilles bien. J’aurais juré que tu étais ailleurs quand je t’expliquais.
Je lui fis un sourire forcé.
De temps en temps, je trempais l’éponge dans l’eau et la serrais de mes doigts pour l’essorer.
Soudain, j’entendis une sonnerie.
- C’est mon bipper. Il faut que j’y aille, j’ai une urgence. Finis de le laver, sèche-le, habille-le, remet-le dans son lit, et appelle une infirmière pour qu’on lui remette sa dialyse.
Et puis quoi encore? Elle est gonflée celle-là, tiens!
- J’ai cru qu’elle n’allait jamais partir. On est mieux sans elle, hein mon grand?
- Certainement, monsieur.
- Oh, je t’en prie, appelle-moi Richard.
- Comme vous voudrez, Richard. Comment faites-vous pour rester aussi jeune?
- Du botox, petit. Du botox. Et des antioxydants. J’ai bien vu que pendant qu’elle expliquait tu n’écoutais rien du tout. Je pense que c’est l’instinct qui a pris le dessus, qu’est-ce que tu en dis?
- Ça pourrait être une possibilité. Dis-je dos à lui, cherchant du shampooing dans l’armoire.
Quand je me retournais, surpris, je vis son sexe plaqué à proximité de son nombril, au repos bien sûr.
Il était de bonne taille. Malgré la vieillesse, la libido reste intacte. Ou du moins c’est le cas chez lui.
- Eh bien quoi, petit? Tu n’as jamais vu de pénis?
- Ce n’est pas dans mes centres d’intérêts, Richard. Dis-je en m’approchant de la baignoire.
- Ça pourrait très bien l’être…
Dit-il en saisissant mon paquet dans mon jean blanc.
- … Chris.
- Où voulez-vous en venir?
- Vois-tu, après le décès de ma femme – paix à son âme – j’ai longtemps cherché à rebâtir mon amour mais je compris qu’il était trop tard. Dit-il en tenant toujours dans sa main mon intimité. Alors je me suis rabattu sur… comment vous appelez ça, les jeunes… des plans culs homosexuels. Et je dois dire que tu es très à mon goût.
- Ce n’est peut-être pas réciproque. Dis-je en repliant son bras le long de son corps.
- Pourquoi, Chris? Admet-le, je ne suis pas si vieux que ça. Nous les hommes nous avons tous une part d’homosexualité en nous.
- Écoutez, Richard. C’est déjà assez pénible que ma chef m’ait collé ici alors n’en rajoutez pas s’il vous plaît. Dis-je encore une fois dos à lui.
- Rajouter quoi, Chris? Admet-le, tu aimes les hommes. Et tu aimes leur procurer du plaisir.
- Vous délirez complètement.
Tu sais pourquoi je suis dans cet hôpital? Il y a deux mois j’ai fait un grave AVC (Accident Vasculaire Cérébral). Encore heureux qu’il y avait mon fils pour appeler une ambulance. Et tu connais la meilleure? Dans une semaine je ne suis plus sur cette terre, alors tu n’as pas le droit de m’interdire ce moment que je convoite depuis que je suis ici. Je suis en manque, Chris. Ça arrive même aux catégories de personnes comme moi. Alors baisse ton putain de froc et laisse-moi te tailler la meilleure pipe de ta vie!
- Vous savez quoi? J’ai une meilleure idée. Je vais finir votre toilette, et vous remettre bien sagement dans votre lit.
Il ne répondit pas, d’un coup il déboutonna mon pantalon.
- C’est inutile, Richard. Dis-je pendant qu’il baissait mon caleçon.
Il prit mon sexe au repos en entier dans sa bouche et me suça aussi vite qu’il pouvait.
- Oh… continuez, vous faites ça comme un Dieu.
Quelques minutes après, mon sexe était bandé et coulissait dans sa bouche. Il faisait des gorges profondes, glisser sa langue le long de ma hampe…
En fin de compte, ce n’était pas une journée si pourrie.
- Prend-moi, Chris. Je veux revivre cette sensation.
- Mais… je peux endommager votre intestin ou même vous faire mourir, vous n’avez plus l’âge pour ça!
- Chris. Pensez que je ne suis plus là dans une semaine. Dit-il en relevant ses jambes.
J’enfilai mon chibre dans un préservatif trouvé dans l’armoire et me plaçai dans la baignoire, devant ses jambes écartées.
Je dirigeai mon sexe vers son trou, assez ridé, et fit pousser mon gland à l’intérieur.
Malgré ses quelques bruits de douleur, ma hampe réussit à entrer lentement en entier.
Je commençai par de doux va-et-vient, augmentant petit à petit la cadence.
Ils se firent de plus en plus rapides, de plus en plus sec et profond.
- Oh Chris... Oh Chris! Mmmm! C’est bon! OH! Gémissait-il.
Je le pilonnai à fond, faisant glisser son corps contre le fond de la baignoire à cause de l’eau.
Couché sur lui, j’y allais à fond, je ne me reconnaissais plus.
Dans un ultime renfoncement de mon sexe au plus profond de son boyau, je déversai tout ce que j’avais dans le préservatif.
- OOOOOOOOOOOOOOOOOOH! Firent lui et moi en même temps.
- C’était… génial mais… particulier. Dis-je en reprenant peu à peu ma respiration, toujours en lui.
- Reste comme ça pendant quelques secondes, c’est si bon!
Plus tard, je finis sa (longue) toilette, et le remis dans son lit.
Je n’aurais jamais cru que ce serais une expérience aussi incroyable, même avec des personnes dites âgées.
Je pus y lire le nom de Richard DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE. Un bourge, sûrement.
Mes commissures se relevèrent légèrement en pensant à l'idée du ridicule qui devait le combler quand il disait son nom de famille. Certes, c’est un nom comme les autres mais cela ne doit pas être facile à porter.
Tout-à-coup, une vague de mélancolie vint faire retomber mon mini sourire.
Je repensais à ce matin, où la directrice de l’hôpital m’a convoqué dans son bureau.
" - Écoutez, Chris. Le docteur Gray et moi-même avons pu constater que la chirurgie ne vous réussissait pas. Vomir et faire un malaise en pleine opération n’est pas un argument très pesant à votre dite passion de la médecine. Je vais vous affecter à un autre secteur. Vous serez sous les ordres du docteur Martinn qui est une de nos meilleures aides-soignantes. Rejoignez-là dans la chambre 1408. Elle doit être avec ce bon vieux Richard. D’ailleurs, ce sera son soixante-dix-huitième anniversaire dans pas longtemps, il faut que j’y pense. Qu’est-ce que vous fichez planter encore là, vous? Allez-y pendant que je règle la paperasse, et prenez le dossier en sortant".
Les autres médecins ont raison. La chef est une diablesse, une sadique. Je l’ai bien supplié, pourtant. "S’il vous plaît, tout mais pas les soins médicaux!". Apparemment, ça n’a pas marché du tout. C’est dommage. J’aimais bien porter la blouse, ça me faisais un habit classe genre scientifique fou. Laver de la peau ridée, ce n’est pas trop mon trip. J’aime mieux tenir autre chose dans ma main.
Bref, je me dirigeai, las, vers la chambre 1408 où je pus entrevoir la coupe au carré du docteur Martinn.
- Bonjour! Dis-je en toquant à la porte.
- Ah, bonjour Chris. Je t’attendais. Viens, aide-moi à mettre Richard dans la baignoire.
Attend… C’est lui, ça?! On dirait qu’il n’a même pas cinquante ans!
- Euh… OK.
Je pris les jambes de ce cher Richard dans mes bras tandis que le docteur Martinn tenait l’autre partie sous les bougonnements de ce dernier. Nous le portâmes ainsi jusqu’à la pièce à côté. Plusieurs objets enfonçaient ma peau ou tapaient contre mes os à cause des pas saccadés sous le poids des jambes. Enfin le vioc dans la baignoire, Martinn, à côté de moi, m’enseignait les rudiments de ce métier si… passionnant. Je n’écoutais rien, je n’étais pas intéressé. La chirurgie, c’est tout ce qui compte dans ma vie. Je pensais à l’opération de ce matin pendant que sa bouche remuait comme une marionnette.
- … T’as compris?
- …
- Oh? Chris? Tu nous fais quoi, là?
- Oui… j’ai compris.
- Vraiment?
- Vraiment.
- Bien. Met en pratique tout ce que je t’ai dit sur Richard, alors. Dit-elle en me tendant une éponge.
- Vas-y mon grand, n’aie pas peur. Ce n’est sûrement pas un fossile de soixante-dix-sept ans qui va te faire peur, hein? Dit ce dernier, d’une voix forcé, grave et grasse.
Je la prenais lentement, et commençais à frotter le torse ridé de monsieur DU DOMAINE DE LA ROSE MONDAINE avec l’éponge imbibée d’eau libérant de la mousse de ses alvéoles jaunes.
Je m’attendais à une réflexion de l’aide-soignante mais rien, pas un mot.
- Tu te débrouilles bien. J’aurais juré que tu étais ailleurs quand je t’expliquais.
Je lui fis un sourire forcé.
De temps en temps, je trempais l’éponge dans l’eau et la serrais de mes doigts pour l’essorer.
Soudain, j’entendis une sonnerie.
- C’est mon bipper. Il faut que j’y aille, j’ai une urgence. Finis de le laver, sèche-le, habille-le, remet-le dans son lit, et appelle une infirmière pour qu’on lui remette sa dialyse.
Et puis quoi encore? Elle est gonflée celle-là, tiens!
- J’ai cru qu’elle n’allait jamais partir. On est mieux sans elle, hein mon grand?
- Certainement, monsieur.
- Oh, je t’en prie, appelle-moi Richard.
- Comme vous voudrez, Richard. Comment faites-vous pour rester aussi jeune?
- Du botox, petit. Du botox. Et des antioxydants. J’ai bien vu que pendant qu’elle expliquait tu n’écoutais rien du tout. Je pense que c’est l’instinct qui a pris le dessus, qu’est-ce que tu en dis?
- Ça pourrait être une possibilité. Dis-je dos à lui, cherchant du shampooing dans l’armoire.
Quand je me retournais, surpris, je vis son sexe plaqué à proximité de son nombril, au repos bien sûr.
Il était de bonne taille. Malgré la vieillesse, la libido reste intacte. Ou du moins c’est le cas chez lui.
- Eh bien quoi, petit? Tu n’as jamais vu de pénis?
- Ce n’est pas dans mes centres d’intérêts, Richard. Dis-je en m’approchant de la baignoire.
- Ça pourrait très bien l’être…
Dit-il en saisissant mon paquet dans mon jean blanc.
- … Chris.
- Où voulez-vous en venir?
- Vois-tu, après le décès de ma femme – paix à son âme – j’ai longtemps cherché à rebâtir mon amour mais je compris qu’il était trop tard. Dit-il en tenant toujours dans sa main mon intimité. Alors je me suis rabattu sur… comment vous appelez ça, les jeunes… des plans culs homosexuels. Et je dois dire que tu es très à mon goût.
- Ce n’est peut-être pas réciproque. Dis-je en repliant son bras le long de son corps.
- Pourquoi, Chris? Admet-le, je ne suis pas si vieux que ça. Nous les hommes nous avons tous une part d’homosexualité en nous.
- Écoutez, Richard. C’est déjà assez pénible que ma chef m’ait collé ici alors n’en rajoutez pas s’il vous plaît. Dis-je encore une fois dos à lui.
- Rajouter quoi, Chris? Admet-le, tu aimes les hommes. Et tu aimes leur procurer du plaisir.
- Vous délirez complètement.
Tu sais pourquoi je suis dans cet hôpital? Il y a deux mois j’ai fait un grave AVC (Accident Vasculaire Cérébral). Encore heureux qu’il y avait mon fils pour appeler une ambulance. Et tu connais la meilleure? Dans une semaine je ne suis plus sur cette terre, alors tu n’as pas le droit de m’interdire ce moment que je convoite depuis que je suis ici. Je suis en manque, Chris. Ça arrive même aux catégories de personnes comme moi. Alors baisse ton putain de froc et laisse-moi te tailler la meilleure pipe de ta vie!
- Vous savez quoi? J’ai une meilleure idée. Je vais finir votre toilette, et vous remettre bien sagement dans votre lit.
Il ne répondit pas, d’un coup il déboutonna mon pantalon.
- C’est inutile, Richard. Dis-je pendant qu’il baissait mon caleçon.
Il prit mon sexe au repos en entier dans sa bouche et me suça aussi vite qu’il pouvait.
- Oh… continuez, vous faites ça comme un Dieu.
Quelques minutes après, mon sexe était bandé et coulissait dans sa bouche. Il faisait des gorges profondes, glisser sa langue le long de ma hampe…
En fin de compte, ce n’était pas une journée si pourrie.
- Prend-moi, Chris. Je veux revivre cette sensation.
- Mais… je peux endommager votre intestin ou même vous faire mourir, vous n’avez plus l’âge pour ça!
- Chris. Pensez que je ne suis plus là dans une semaine. Dit-il en relevant ses jambes.
J’enfilai mon chibre dans un préservatif trouvé dans l’armoire et me plaçai dans la baignoire, devant ses jambes écartées.
Je dirigeai mon sexe vers son trou, assez ridé, et fit pousser mon gland à l’intérieur.
Malgré ses quelques bruits de douleur, ma hampe réussit à entrer lentement en entier.
Je commençai par de doux va-et-vient, augmentant petit à petit la cadence.
Ils se firent de plus en plus rapides, de plus en plus sec et profond.
- Oh Chris... Oh Chris! Mmmm! C’est bon! OH! Gémissait-il.
Je le pilonnai à fond, faisant glisser son corps contre le fond de la baignoire à cause de l’eau.
Couché sur lui, j’y allais à fond, je ne me reconnaissais plus.
Dans un ultime renfoncement de mon sexe au plus profond de son boyau, je déversai tout ce que j’avais dans le préservatif.
- OOOOOOOOOOOOOOOOOOH! Firent lui et moi en même temps.
- C’était… génial mais… particulier. Dis-je en reprenant peu à peu ma respiration, toujours en lui.
- Reste comme ça pendant quelques secondes, c’est si bon!
Plus tard, je finis sa (longue) toilette, et le remis dans son lit.
Je n’aurais jamais cru que ce serais une expérience aussi incroyable, même avec des personnes dites âgées.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Même à un âge dit "avancé", on a toujours très envie de baiser !
J'aurais bien aimé être à la place de Richard ...
J'aurais bien aimé être à la place de Richard ...