Sexe dans les vestiaires
Récit érotique écrit par Mysterious [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sexe dans les vestiaires
Bonjour, j'espere que cette histoire vous plaira. N'hésitez pas à m'envoyer vos remarques; surtout vous mesdames et mesdemoiselles!
Depuis plus de six mois je travaille pour une grosse boite industrielle, et ce soir la était férié, mais j’étais venu bosser quand même pour dépanner mon patron.
Je sors de ma zone de travail, et prends ma douche dans les vestiaires vides, hormis Corinne, la femme de ménage.
C’est une femme de la quarantaine, brune aux yeux bleus, des fesses galbées, un bon 95C, et qui dégage une aura sexuelle énorme.
La voyant seule, je décide de la saluer, et voyant qu’elle est encline à discuter, nous continuons la conversation.
Pendant plus d’une heure, nous parlons de tout et de rien, elle me raconte sa vie et je l’écoute faisant mine d’être intéressé, et puis elle dit une phrase qui fait tilt dans ma tête :
« Je ne sais pas vous mais moi je préfère les jeunes, ils sont plus endurant et plus performants ».
Est-il possible de faire quelque chose avec Corinne, il est vrai que depuis le temps que je matte son cul pendant qu’elle fait le ménage, je ne dirai pas non. Je joue du rentre dedans.
« Moi je préfère les femmes plus âgées, qui ont plus d’expérience et qui sont plus excitantes à mon gout, et je dois dire d’ailleurs que vous êtes très excitante ».
Je me retourne alors, prétextant aller me changer afin que nous partions ensemble, et j’entends alors qu’elle ferme la porte du vestiaire à clé (de l’intérieur).
Alors Corinne me saute dessus et m’embrasse. Elle met sa langue dans ma bouche et je lui rends son baiser, je commencer déjà à bander.
« Moi aussi je te trouve très excitante, et sa fait longtemps que je te matte quand tu sors de la douche, je voulais te voir ce soir, si tu savais combien de fois je me suis touchée en pensant à toi, ce soir sa va être ta fête ! »
Je commence à la plaquer contre le mur, et l’embrasse de partout, en commençant par sa bouche longuement, puis je commence à descendre sur ses seins.
J’ouvre sa bouse de travail pendant qu’elle dégrafe son soutif, sa poitrine est vraiment impressionnante : des seins bien fermes qui tiennent en place avec des petits tétons qui pointes. Je m’exécute alors a les lécher, a les mordiller et je sens qu’elle aime sa.
Alors que la pensais totalement mienne, Corinne me repousse et inverse nos positions, me voila a sa merci plaqué contre le mur. Elle met la main sur mon jean au dessus de mon paquet, ou ma bite était déjà passablement dure.
« Tu vois, me dis t’elle, c’est pour sa que je préfère les jeunes »
Corinne déboutonne mon pantalon et commence à mordiller ma bite par-dessus mon caleçon, puis le baissa et commença à me sucer. Jamais une femme ne m’avais sucé comme sa, et que c’était bon.
Elle faisait de grands va et viens, en prenant soins de me malaxer les boules en même temps, et en essayant parfois de prendre l’intégralité de ma queue en bouche.
Cela dura 5 minutes, je ne pouvais pas plus me retenir, et je pense que mes râles n’ont fait qu’à la décider de continuer.
« Enlèves toi, je vais gicler ! »
« Oh oui tu va balancer la sauce, mais vas y, tout dans ma bouche, je veux sentir ta semence, la déguster et la boite »
Il n’en fallut pas plus tout lâcher dans sa bouche, et il y en avait beaucoup, sa débordait par les coter de sa bouche. Pendant 5 minutes, je la regarde me nettoyer avec soin et envie ma queue, jusqu'à ce qu’elle est finie.
« J’aime ton jus, et tu as intérêt à m’en redonner ! »
« T’inquiètes pas pour cela, mais pour le moment c’est a ton tour »
J’insinuai ma main entre sa peau et son string noir en dentelle, et je commençais à lui titiller son bouton magique, tout en l’embrassant goulument. Quand Corine commença à émir des petits gémissements, je lui baissai son string, m’accroupis, lui fis mettre une de ses jambe sur mon épaule, et m’attela a lui faire un cuni qu’elle n’était pas prête d’oublier !
Corinne ondulait sous mes coups de langues, et au fil que mes doigts rentraient dans sa chatte, elle moulait abondamment, et j’avais le gout délicieux de sa crépine sur ma langue, et au bout d’un moment ses râles se transformèrent en cris :
« Oh oui, encore, encore, enfonces ta langues et tes doigt, OUI LA LA LA ! » et elle joui en criaient et en se cambrant.
Je la regardais, cette femme que j’avais tant désirée, entrain de reprendre ses esprits après l’avoir fait jouir, une vision de rêves.
Une fois revenue a elle-même, elle me regarda d’un air cochon et me dis :
« On continues »
« Oh que oui, ce n’est pas encore fini, et regarde je suis déjà prêt »
« Huuuuuuum en effet, je l’ai senti dure dans ma bouche, maintenant je la veux encore plus dure en moi, viens ici » dit elle en se dirigeant vers un banc.
Je vins vers elle, elle m’embrassa sur la bouche, dans le cou, et me fit m’allonger sur le banc. Corinne prit mon sexe fermement et s’empala a genou dessus, de sorte de ne voit que son dos.
Sa chatte était très serrée et trempée, mais cela ne l’empêchait pas de faire de grands va et viens.
La sensation était trop bonne, et elle semblait prendre son pied elle aussi. J’en profitais pour malaxer ses seins et la griffer doucement dans le dos, pour lui donner encore plus de sensation, son corps ondulais et fil des ses va et viens et de ses gémissements.
Je décidai de prendre les choses en main, je me retirai et la fit la mettre en levrette, et tout en faisant des grands va et viens dans sa chattes, et commençait à lui rentrer doucement un doigt dans son anus.
« Non, dis elle, pas ici »
« Tu ma chercher tu me trouve ! »
« Mais j’ai jamais fait dans le cul »
« Faut bien un début à tout » ai-je répondu en enfonçant en même temps ma queue et mon doigt a fond.
Corinne poussa un cri de douleur, mais j’ai compris qu’elle aimait sa et je continuai à la doigter le cul tout en la pénétrant avec ma queue, toujours plus fort et toujours .Voyant qu’elle en redemandait, je me suis retiré de sa chatte et j’ai commencé à essayer d’enfoncer ma bite dans son cul.
Malgré mon travail préliminaire, son cul était vraiment très séré, je m'arretai donc pour ne pas lui faire mal mais a mon grand étonnement elle me dit :
« Pourquoi tu t’arrête ? Continues je vais jouir ! »
Je continuais à enfoncer ma queue dans son cul, Corinne cria de plaisir, elle tremblait littéralement de plaisir, et ses râles me motivait encore plus a la défoncer.
Lorsqu’elle allait enfin atteindre le 7eme ciel, je lui titillais le clito pour qu’elle puisse vraiment prendre son pied, et a en juger par son cul qui s’est resserré, son cri de jouissance, et son corps qui ondulait.
Corinne ne pouvait plus bouger, je décidait donc de me retirer et de voir si elle en voulait encore, alors elle attrapa ma queue d’une main et la tira vers elle.
« Quel pied j’ai pris grâce à toi, maintenance c’est à ton tour »
Elle enfonça ma queue dans sa bouche, et à peine le contact de ses lèvres sur ma bite me fit exploser en elle, et je perdis un peu pied de ce qui se passait.
Quand je repris mes esprit, Corinne était déjà rhabillé, et me regardait debout, alors que jetait allongée sur le banc.
« C’était vraiment trop bon, sa faisait longtemps qu’on m’avait pas baisé comme cela ; voila mon numéro, si tu as envie de t’amuser encore un peu ».
Et elle s’en alla, ondulant son cul parfait ce qui commençait à me faire déjà rebander. Oui c’est sur, j’allais la rappeler !
Depuis plus de six mois je travaille pour une grosse boite industrielle, et ce soir la était férié, mais j’étais venu bosser quand même pour dépanner mon patron.
Je sors de ma zone de travail, et prends ma douche dans les vestiaires vides, hormis Corinne, la femme de ménage.
C’est une femme de la quarantaine, brune aux yeux bleus, des fesses galbées, un bon 95C, et qui dégage une aura sexuelle énorme.
La voyant seule, je décide de la saluer, et voyant qu’elle est encline à discuter, nous continuons la conversation.
Pendant plus d’une heure, nous parlons de tout et de rien, elle me raconte sa vie et je l’écoute faisant mine d’être intéressé, et puis elle dit une phrase qui fait tilt dans ma tête :
« Je ne sais pas vous mais moi je préfère les jeunes, ils sont plus endurant et plus performants ».
Est-il possible de faire quelque chose avec Corinne, il est vrai que depuis le temps que je matte son cul pendant qu’elle fait le ménage, je ne dirai pas non. Je joue du rentre dedans.
« Moi je préfère les femmes plus âgées, qui ont plus d’expérience et qui sont plus excitantes à mon gout, et je dois dire d’ailleurs que vous êtes très excitante ».
Je me retourne alors, prétextant aller me changer afin que nous partions ensemble, et j’entends alors qu’elle ferme la porte du vestiaire à clé (de l’intérieur).
Alors Corinne me saute dessus et m’embrasse. Elle met sa langue dans ma bouche et je lui rends son baiser, je commencer déjà à bander.
« Moi aussi je te trouve très excitante, et sa fait longtemps que je te matte quand tu sors de la douche, je voulais te voir ce soir, si tu savais combien de fois je me suis touchée en pensant à toi, ce soir sa va être ta fête ! »
Je commence à la plaquer contre le mur, et l’embrasse de partout, en commençant par sa bouche longuement, puis je commence à descendre sur ses seins.
J’ouvre sa bouse de travail pendant qu’elle dégrafe son soutif, sa poitrine est vraiment impressionnante : des seins bien fermes qui tiennent en place avec des petits tétons qui pointes. Je m’exécute alors a les lécher, a les mordiller et je sens qu’elle aime sa.
Alors que la pensais totalement mienne, Corinne me repousse et inverse nos positions, me voila a sa merci plaqué contre le mur. Elle met la main sur mon jean au dessus de mon paquet, ou ma bite était déjà passablement dure.
« Tu vois, me dis t’elle, c’est pour sa que je préfère les jeunes »
Corinne déboutonne mon pantalon et commence à mordiller ma bite par-dessus mon caleçon, puis le baissa et commença à me sucer. Jamais une femme ne m’avais sucé comme sa, et que c’était bon.
Elle faisait de grands va et viens, en prenant soins de me malaxer les boules en même temps, et en essayant parfois de prendre l’intégralité de ma queue en bouche.
Cela dura 5 minutes, je ne pouvais pas plus me retenir, et je pense que mes râles n’ont fait qu’à la décider de continuer.
« Enlèves toi, je vais gicler ! »
« Oh oui tu va balancer la sauce, mais vas y, tout dans ma bouche, je veux sentir ta semence, la déguster et la boite »
Il n’en fallut pas plus tout lâcher dans sa bouche, et il y en avait beaucoup, sa débordait par les coter de sa bouche. Pendant 5 minutes, je la regarde me nettoyer avec soin et envie ma queue, jusqu'à ce qu’elle est finie.
« J’aime ton jus, et tu as intérêt à m’en redonner ! »
« T’inquiètes pas pour cela, mais pour le moment c’est a ton tour »
J’insinuai ma main entre sa peau et son string noir en dentelle, et je commençais à lui titiller son bouton magique, tout en l’embrassant goulument. Quand Corine commença à émir des petits gémissements, je lui baissai son string, m’accroupis, lui fis mettre une de ses jambe sur mon épaule, et m’attela a lui faire un cuni qu’elle n’était pas prête d’oublier !
Corinne ondulait sous mes coups de langues, et au fil que mes doigts rentraient dans sa chatte, elle moulait abondamment, et j’avais le gout délicieux de sa crépine sur ma langue, et au bout d’un moment ses râles se transformèrent en cris :
« Oh oui, encore, encore, enfonces ta langues et tes doigt, OUI LA LA LA ! » et elle joui en criaient et en se cambrant.
Je la regardais, cette femme que j’avais tant désirée, entrain de reprendre ses esprits après l’avoir fait jouir, une vision de rêves.
Une fois revenue a elle-même, elle me regarda d’un air cochon et me dis :
« On continues »
« Oh que oui, ce n’est pas encore fini, et regarde je suis déjà prêt »
« Huuuuuuum en effet, je l’ai senti dure dans ma bouche, maintenant je la veux encore plus dure en moi, viens ici » dit elle en se dirigeant vers un banc.
Je vins vers elle, elle m’embrassa sur la bouche, dans le cou, et me fit m’allonger sur le banc. Corinne prit mon sexe fermement et s’empala a genou dessus, de sorte de ne voit que son dos.
Sa chatte était très serrée et trempée, mais cela ne l’empêchait pas de faire de grands va et viens.
La sensation était trop bonne, et elle semblait prendre son pied elle aussi. J’en profitais pour malaxer ses seins et la griffer doucement dans le dos, pour lui donner encore plus de sensation, son corps ondulais et fil des ses va et viens et de ses gémissements.
Je décidai de prendre les choses en main, je me retirai et la fit la mettre en levrette, et tout en faisant des grands va et viens dans sa chattes, et commençait à lui rentrer doucement un doigt dans son anus.
« Non, dis elle, pas ici »
« Tu ma chercher tu me trouve ! »
« Mais j’ai jamais fait dans le cul »
« Faut bien un début à tout » ai-je répondu en enfonçant en même temps ma queue et mon doigt a fond.
Corinne poussa un cri de douleur, mais j’ai compris qu’elle aimait sa et je continuai à la doigter le cul tout en la pénétrant avec ma queue, toujours plus fort et toujours .Voyant qu’elle en redemandait, je me suis retiré de sa chatte et j’ai commencé à essayer d’enfoncer ma bite dans son cul.
Malgré mon travail préliminaire, son cul était vraiment très séré, je m'arretai donc pour ne pas lui faire mal mais a mon grand étonnement elle me dit :
« Pourquoi tu t’arrête ? Continues je vais jouir ! »
Je continuais à enfoncer ma queue dans son cul, Corinne cria de plaisir, elle tremblait littéralement de plaisir, et ses râles me motivait encore plus a la défoncer.
Lorsqu’elle allait enfin atteindre le 7eme ciel, je lui titillais le clito pour qu’elle puisse vraiment prendre son pied, et a en juger par son cul qui s’est resserré, son cri de jouissance, et son corps qui ondulait.
Corinne ne pouvait plus bouger, je décidait donc de me retirer et de voir si elle en voulait encore, alors elle attrapa ma queue d’une main et la tira vers elle.
« Quel pied j’ai pris grâce à toi, maintenance c’est à ton tour »
Elle enfonça ma queue dans sa bouche, et à peine le contact de ses lèvres sur ma bite me fit exploser en elle, et je perdis un peu pied de ce qui se passait.
Quand je repris mes esprit, Corinne était déjà rhabillé, et me regardait debout, alors que jetait allongée sur le banc.
« C’était vraiment trop bon, sa faisait longtemps qu’on m’avait pas baisé comme cela ; voila mon numéro, si tu as envie de t’amuser encore un peu ».
Et elle s’en alla, ondulant son cul parfait ce qui commençait à me faire déjà rebander. Oui c’est sur, j’allais la rappeler !
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