Sexe en camion
Récit érotique écrit par Ivan Ribeiro Lagos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2003 dans la catégorie Plus on est
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Sexe en camion
Au lit, le plaisir de ma femme passe avant tout et nos relations sexuelles sont avant tout : faire jouir Efi. Elle me fait sucer et lécher son clitoris et sa chatte parfois plusieurs heures. Mais Efi qui était très belle voulait plus. Visiblement elle prenait un malin plaisir à me cocufier. Après une bonne semaine de réflexion, nous avons décidé de tenter l'expérience. Nous adorons le sexe et tous ses excès. Tout n'est que jeu, surtout si je veux voir jusqu'où elle veut aller. Oh, bien sûr, il y a bien quelques ombres dans ce tableau idyllique, mais elle sont sans objet dans le contexte qui va suivre. Le lendemain matin ma femme n'eut aucun problème pour se lever malgré cette heure inhabituelle. Elle prit une douche rapide, se lava les cheveux, s'habilla en vitesse. La robe légère boutonnée jusqu´au milieu des cuisses, un décolleté en " V " accentuait encore le côté sexy de cette robe qui moulait bien sa poitrine et on pouvait facilement voir ses belles jambes. Les bas, le porte jarretelles, le slip absent, les talons aiguilles, elle était parfaitement prête à tout, elle se rendit au salon de plus en plus excitée. Son maquillage discret ne faisait que souligner ses traits, ses yeux brillaient d´une façon un peu spéciale.
- Voilà je suis prête ! Tu me trouves belle ?
Elle tourna sur elle-même pour me montrer son corps attirant. Elle est ravissante et très excitante, je ne pouvais expliquer pourquoi mais j´aime la voir s´habiller sexy et j´aime que les gens se retournent sur son passage.... Elle est aussi sensuelle qu' exhibitionniste, et moi aussi cérébral que voyeur et partageur.
- Parfait ! Tu es superbe ! Comme d'habitude tu étais la plus belle, les hommes se retournaient sur toi et les femmes soient t'enviaient ou te foudroyaient du regard, tu aimes jouer les provocatrices et moi j'aime te montrer et te faire désirer.
Nous sommes friands de ces échappées, tant pour le bonheur de nous retrouver que pour le plaisir de vivre nos fantasmes et jeux érotiques. Elle est une très belle femme blonde, ses yeux verts, limpides éclairaient son doux visage mais ce qui attirait le plus l'attention c'était sa chevelure qui est d'un blond châtain très chaud, ses cheveux épais et brillants encadraient, bien lisses son joli visage, glissaient sur son cou puis s'étalaient en vagues douces ondulant le long du dos pour se terminer en une ligne droite et fournie tout en bas de son dos cambré. Cette magnifique parure faisait la fierté de ma femme et retenait tous ses soins.
- N'oublie pas ta promesse de m´aider " dit elle en me souriant.. - Tu es ma femme et tu es suffisamment grande pour savoir ce qui te fais envie ou pas...
Excitée par ce qu´elle avait jamais osé faire, Efi avait soudain pris un air sadique, elle veut réaliser un fantasme de faire l´amour avec un camionneur.... Je ne sais pas si ce sont ses yeux qui disent ses envies ou bien si c´est son corps qui les dégage... Je ne sais quelles effluves. Je ne peux pas vous dire pourquoi mais c´est ainsi... je ne refuse jamais les réalisations de se rêves dès l´instant où l´on a envie de réaliser et ce quelque soit l´aspect du ou de la partenaire, peu importe, l´important c´est le coït. Ma femme Efi est nymphomane et c´est sans doute vrai ! Tout m´intéresse, j´essaye tout. De trouver des choses différentes. Ce matin elle était pourtant bien décidée de réaliser son désir son sourire me rassura,
" Tu sais que j'aime te regarder quand d'autre que moi te caressent ou te pénètrent, j'aime te voir te faire défoncer par de belles bittes bien membrées".
C´est en arrivant à la voiture que je me suis dit que sa robe était peut-être fendu un peu trop haut, et surtout un petit souffle d´air me fit prendre conscience, mais il était trop tard pour reculer. Elle avait pris son courage à deux mains au volant de sa Renault. Nous étions restée prés d´un quart d´heure cherchant le but favorable. Je commençais à avoir vraiment chaud, là-dedans. Efi abaissa sa vitre une fois de plus, laissant les tourbillons d'air jouer avec ses mèches blondes. Et elle avait raison : il faisait une chaleur étouffante.Un peu plus tard et après avoir quitté la ville, je fus heureux de voir notre « proie », nous surveillant attentivement dans son immense rétroviseur, nous nous dirigions sur le même chemin... Nous allions avoir un peu de temps devant nous. Sans que j'ai besoin de dire un mot à ma compagne, je posais une main sur sa jolie cuisse, remontais vers son ventre, entraînant la robe légère, et aussitôt elle ouvrit ses jambes, m´exposant sa jolie chatte rasée. Elle doublait lentement le camion, le cœur battant comme à chaque fois que je sais que mon épouse regardée souriant au camionneur, elle restait à la hauteur de son chauffeur quelques instants, elle continua de l´ exciter au maximum en se caressant et en me faisant lécher ses doigts trempées de mouille.Elle stoppait devant un café. Dans sa tenue plus que légère, petite robe blanche , courte et mal boutonnée, comme de coutume, sur ses superbes seins généreux Efi fit sensation dès son entrée, et les quelques routiers, perchés sur des tabourets le long du bar, suspendirent un instant leur conversation, les yeux rivés sur ma compagne. Ces hommes vont la trouver irrésistible, elle est vêtue si provocatrice qu'elle-même ne peut plus reculer. Elle est à la recherche de sensations fortes. Et, de la manière qu'elle est vêtue, il n'y aura aucun doute dans la tête de tous ces clients qui seront dans le bar. Nous nous installâmes à une table, à l´endroit réservé. J´ai remarqué quelques clients qui observaient discrètement les moindres gestes de ma femme... et ils en sont ravis ...Elle avait tout de suite remarqué le camionneur que nous avons choisi quand il est entré dans le café . Il est bronzé, un peu gros, mais assez beau ! Elle a croisée son regard et il lui souriait gentiment. Maintenant j´étais sûr qu´elle avait envie de cette aventure, et quelle avait envie de lui... elle se sentit immédiatement à l´aise; assise les jambes serrées l´une contre l´autre, avec la chaleur les gouttes de sueur perlant entre ses cuisses. Le camionneur vint s´asseoir en face d´elle pour la regarder... et machiavéliquement, je tournais le dos à l´homme, laissant à ma femme le privilège de lui faire face. Je pousse un peu la chaise pour qu´il puisse avoir une bonne vue d´elle. Je commandais deux cafés et Efi écarta légèrement les cuisses, d´ un oeil, elle observe sa réaction. L´homme a le regard fixé entre ses cuisses. Le détail qui attirait son attention, ou plutôt son excitation, était la chatte lisse de ma femme. Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute.Il ne dit rien, la pupille dilatée, les jambes s´écartent un peu plus, ce mouvement donne un champ plus large sur son sexe épilé et mouillé, la réaction ne se fait pas attendre... une énorme bosse se dessine dans le pantalon de l´inconnu qui met la main dans sa poche et commence à frictionner son érection le regard perdu dans la chair mouillé. Bref, il aime ce qu´il voit et adore notre jeu ... ou simplement de la provoc. Elle ne veut rien savoir de sa vie. Elle a seulement envie de ressentir un pénis lui pistonner la chatte. Je bandais bien fort déjà..." Quel spectacle ! Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l´un vers l´autre. Elle me dit:
- Mon chéri ! Il m´excite beaucoup, et j´aimerais...
- Oui Chérie ! Je sais
Le camionneur jetant un rapide coup d’œil autour de lui, se leva. Il partit en courant direction les toilettes pour finir de se masturber .Ce moment est fantastique. Elle me sourit et me fait discrètement un clin d´œil :
- Oui, ma chérie ! j´y vais si tu le veux
Alors, je le suivie jusqu´au toilettes. Mon épouse attendait avec un mélange d'impatience et d'appréhension ce qui allait suivre. Il était aux urinoirs... L'ambiance est assez sereine, jetant un rapide coup d’œil autour de lui, ouvra sa braguette et satisfait un besoin naturel. Je suis totalement captivé par le spectacle du long sexe de l'homme, je n'en a jamais vue d'aussi grosse, je reste là, mes yeux rivés sur cet homme qui urine en sifflotant, à la fois envoûté et effrayé par l'engin semi-dur. Une bonne bite bien longue terminé par un gland bien découvert, une merveille !Alors qu'il termine, l´homme s'en aperçoit ainsi que de mon trouble. A ma grande surprise il me demande : - Oh ! Excusez-moi ! Je m´appelle Philippe. Mais. ne me dites pas que c'est la première fois que vous voyez un sexe d'homme ?
- Non. enfin. Euh, non, enfin, je n'en ai jamais vu d'aussi grosse."
- Vous êtes homo ou bi ?
- Je suis hétéro, légèrement bi, en fait j'aime bien les bites !Le sexe de l´homme se dresse fièrement, à la verticale. Celui-ci rompt alors le silence et me demande: - Vous aimeriez la toucher ?
Ensuite il prend ma main et la pose dessus. Après plusieurs minutes de mes caresses, le sexe est tendu à l'extrême.
- C'est bon ! J'aime tes caresses. ta main est douce, n'arrête pas ! je veux baiser ta femme....elle est très belle !!!
- Je me délecte d´imaginer quand a un mec savoure la douceur de son con et la baise...
- Approche et ouvre la bouche ! dit -il
Sa bite est tellement grosse que seul le gland entre. Sa queue me déforme la bouche et j´arrondis mes lèvres autour de sa hampe en évitant bien le contact avec mes dents. Ma langue commence un ballet voluptueux autour de cette tige brûlante qui coulisse dans ma bouche. Son sexe est savoureux. Il libère un liquide salé que j´avale sans complexe, sa légère odeur me rend fou. Ma main s´empare de ses grosses couilles velues que je malaxe tendrement. Je m´étonne de sucer un sexe d´homme comme si je l´avais fait toute ma vie. Pendant ce temps; il manifeste son plaisir par des gémissements de plus en plus bruyants.
- Suce bien, et surtout n'arrête pas : je vais tout décharger dans ta bouche. J'adore les vicieux dans ton genre et après avec ta femme, tu auras une surprise !
- Veux-tu que nous jouions à trois ? Ce serait plus agréable non ?
- Quelle bonne idée ! C'est tellement plus excitant !!
Ma langue s'entortille autour de la hampe du camionneur. Je la suce du mieux que je peux et lorsque je la sens palpiter, je me redresse. Philippe est stupéfait, abasourdi. De retour près de ma femme, elle lui offrit son spectacle personnel et elle le voyait saliver de désir... Elle se voulait objet de plaisir pour l'homme. Objet... Plaisir... La seule idée de faire passer leurs envies avant les siennes devenait sa propre source de plaisir. Cela l'excitait.
- Il a envie de toi ma chérie !!
- Moi aussi j'ai envie.
- Super ! Je peux vous proposer quelque chose. Je vous propose de m’accompagner dans la cabine de mon camion .
Sa voix était chaude et suave.Nous quittons le café tous les trois. Nous marchons jusqu´au le camion. Elle s´approcha, le routier ouvrit la portière, elle mit la jambe sur le marchepied pour grimper les trois marches qui permettaient l´accès à la cabine. Son deuxième pied venait à peine de quitter le sol, qu´ une main se plaqua sous ses fesses et la propulsa vers les hauts, Efi se trouva dans la cabine. Effectivement celle-ci était vaste. Un rideau camouflait un grand lit derrière les sièges. Elle regarda Philippe tirer les rideaux de la cabine de son côté, j´en fis de même et la cabine se retrouva dans la pénombre. Elle enjamba la siège, Philippe la suivait, tandis que je faisais le tour. J´arrive en face par l´autre portière. Philippe s´installa confortablement sur le siège et saisit ma femme par les hanches.
- Viens ici ma Déesse...
- Il fait trop chaud ici ! Dite-t-elle
Elle est assise sur lui bien ouverte en lui faisant face. Le mec sent l’effluve de femme en désir, il dirige sa main vers la fente et entre ses doigts pour caresser le sexe. Il entre deux doigts et commence à titiller le clitoris qui s'est dressé. Il accélère les mouvements, ma femme a une respiration haletante, et très vite une onde la secoue, elle a eu un orgasme violent sous les doigts de ce garçon. Maintenant il ouvre sa braguette et ôta son énorme pénis dressé. Il saisit Efi d´une main à la nuque, et lui colla les lèvres sur la bouche. il l'embrasse sans aucune délicatesse, sa barbe de quelques jours irrite sa peau si sensible. Elle lui retourne son baiser, sa langue plonge dans sa bouche, lui suçant la sienne, il la serre de toutes ses forces contre son corps, elle ressent la verge en érection qui palpite contre ses fesses nues. Elle se sent si vivante pendant que chacun de ses nerfs réagit dans son corps au rythme fou de ses désirs. Elle reconnaît les sensations et les bruits dans sa chatte qui se contracte. Elle lève les yeux vers moi.
- Quelle merveille ! J'ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J'adore sucer des belles bites. Tiens ! Commence si tu veux ? Me dit-elle.
Ainsi que possible, j´engouffre encore une fois dans ma bouche sa bite très raide. J’entrepris de le sucer goulûment, le gland violacé, la bite si tendue et j'ai envie que cette petite bombe m'éclate au visage. Tandis qu´il descendit la robe sous les seins, il les embrassa et les malaxa avec ardeur, ses mains frotta rudement sur ses auréoles, les souffrances deviennent plaisirs. Maintenant la robe tiré bouchonnée autour de la taille. Ses fesses pétris par des mains avides de chair !Alors il souleva mon épouse et l´installa sur ses genoux, elle arque son bassin dans des mouvements obscènes de femme dévergondée pour que sa chatte puisse se frotter tout contre son pénis. Efi, dans de même mouvement avait prit sa bite à pleines mains et l´avait guidée entre les lèvres de sa fente et quand l´homme la reposa, sa queue écarta les parois au plus profond de son vagin, mais quand la verge la pénétra et vint buter bien au fond de son ventre, elle émit un cri rauque. Puis, tandis qu'il la besognait, elle gémit en cadences, entrecoupant ses cris de commentaires pour son amant ; elle le supplie pour qu'il enfonce son pénis en elle, pour qu'il la pistonne de son membre viril et qu'il la fourre et qu'il lui bourre la chatte comme la salope qu'elle est.
- Oui, mon grand ! cria-t-elle. Donne moi tout, cette fois ! je te veux tout au fond !
Elle savait ce qu'elle voulait vraiment, et l´homme le savait aussi...
- Oui, Oui, Oui, c'est bon ! C'est bon !! C'est si bon !! Vas-y !! Défonce-moi !! Ouvre-moi avec ta queue !!
- Amour, c'est bon !
- Il te baise bien ?
- Oh oui, il me bourre bien, j'en avais envie !!
Ses beaux seins à l´air frôle son visage en extase. Mon épouse exhala un grand soupir de satisfaction en sentant cet énorme engin la défoncer comme un gros vibro-masseur vivant lui arrachant des gémissement de plaisir. Son membre viril la pistonne à longs coups, en effet Philippe au bord d´orgasme avait accéléré ses mouvements et s´était mit à gémir. Cet étui brûlant qui se refermait sur sa verge accentua le plaisir de Philippe qui a son tour jouit balançant de grandes giclées de foutre chaud, jaillir au fond du con de mon épouse.
- Je jouis ! oooooh, tu me tues ! se mit-elle à crier.
Elle est chatouillée par des goûtes de sueurs qui coulent du front de son amant, elle poussa un soupir de satisfaction. Les cuisses toujours écartées elle sentait la queue débander lentement laissant la place à la semence pour s´écouler lentement sur ses cuisses.
- Je ne suis pas rassasiée et le désir continue de m'incendier.
- Viens me sucer mon amour ! Tu aime ça, tu nous a fait une démonstration tout à l´heure;
je commence à lécher ses jambes et puis sa chatte.Son corps était en sueur comme le mien. Sa chatte très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d´un rouge vif... Elle me fit donc lécher sa vulve... Je la lèche habilement pénétrant ma langue bien profond en elle. Elle bouge. Se tortille. Elle bouge tellement qu´elle m´écrase sans la vouloir.
- Ca a bon goût mon chéri ? Aimes-tu lécher le sperme de mon amant ?
Quand je la lâche enfin, pas une goutte de sperme ne s'échappe de ma langue et son sexe est parfaitement nettoyé de toute trace de ce précieux liquide. Je n'en ai pas laissé échapper une seule goutte. Elle s'agrippe à ma nuque et m'embrasse encore, et nous restons là, nus et heureux. Voilà un des épisodes que j'adore parmi toutes les aventures vécues avec mon épouse Efi.. Mais il y en a beaucoup d'autres que je vous raconterai prochainement.
- Voilà je suis prête ! Tu me trouves belle ?
Elle tourna sur elle-même pour me montrer son corps attirant. Elle est ravissante et très excitante, je ne pouvais expliquer pourquoi mais j´aime la voir s´habiller sexy et j´aime que les gens se retournent sur son passage.... Elle est aussi sensuelle qu' exhibitionniste, et moi aussi cérébral que voyeur et partageur.
- Parfait ! Tu es superbe ! Comme d'habitude tu étais la plus belle, les hommes se retournaient sur toi et les femmes soient t'enviaient ou te foudroyaient du regard, tu aimes jouer les provocatrices et moi j'aime te montrer et te faire désirer.
Nous sommes friands de ces échappées, tant pour le bonheur de nous retrouver que pour le plaisir de vivre nos fantasmes et jeux érotiques. Elle est une très belle femme blonde, ses yeux verts, limpides éclairaient son doux visage mais ce qui attirait le plus l'attention c'était sa chevelure qui est d'un blond châtain très chaud, ses cheveux épais et brillants encadraient, bien lisses son joli visage, glissaient sur son cou puis s'étalaient en vagues douces ondulant le long du dos pour se terminer en une ligne droite et fournie tout en bas de son dos cambré. Cette magnifique parure faisait la fierté de ma femme et retenait tous ses soins.
- N'oublie pas ta promesse de m´aider " dit elle en me souriant.. - Tu es ma femme et tu es suffisamment grande pour savoir ce qui te fais envie ou pas...
Excitée par ce qu´elle avait jamais osé faire, Efi avait soudain pris un air sadique, elle veut réaliser un fantasme de faire l´amour avec un camionneur.... Je ne sais pas si ce sont ses yeux qui disent ses envies ou bien si c´est son corps qui les dégage... Je ne sais quelles effluves. Je ne peux pas vous dire pourquoi mais c´est ainsi... je ne refuse jamais les réalisations de se rêves dès l´instant où l´on a envie de réaliser et ce quelque soit l´aspect du ou de la partenaire, peu importe, l´important c´est le coït. Ma femme Efi est nymphomane et c´est sans doute vrai ! Tout m´intéresse, j´essaye tout. De trouver des choses différentes. Ce matin elle était pourtant bien décidée de réaliser son désir son sourire me rassura,
" Tu sais que j'aime te regarder quand d'autre que moi te caressent ou te pénètrent, j'aime te voir te faire défoncer par de belles bittes bien membrées".
C´est en arrivant à la voiture que je me suis dit que sa robe était peut-être fendu un peu trop haut, et surtout un petit souffle d´air me fit prendre conscience, mais il était trop tard pour reculer. Elle avait pris son courage à deux mains au volant de sa Renault. Nous étions restée prés d´un quart d´heure cherchant le but favorable. Je commençais à avoir vraiment chaud, là-dedans. Efi abaissa sa vitre une fois de plus, laissant les tourbillons d'air jouer avec ses mèches blondes. Et elle avait raison : il faisait une chaleur étouffante.Un peu plus tard et après avoir quitté la ville, je fus heureux de voir notre « proie », nous surveillant attentivement dans son immense rétroviseur, nous nous dirigions sur le même chemin... Nous allions avoir un peu de temps devant nous. Sans que j'ai besoin de dire un mot à ma compagne, je posais une main sur sa jolie cuisse, remontais vers son ventre, entraînant la robe légère, et aussitôt elle ouvrit ses jambes, m´exposant sa jolie chatte rasée. Elle doublait lentement le camion, le cœur battant comme à chaque fois que je sais que mon épouse regardée souriant au camionneur, elle restait à la hauteur de son chauffeur quelques instants, elle continua de l´ exciter au maximum en se caressant et en me faisant lécher ses doigts trempées de mouille.Elle stoppait devant un café. Dans sa tenue plus que légère, petite robe blanche , courte et mal boutonnée, comme de coutume, sur ses superbes seins généreux Efi fit sensation dès son entrée, et les quelques routiers, perchés sur des tabourets le long du bar, suspendirent un instant leur conversation, les yeux rivés sur ma compagne. Ces hommes vont la trouver irrésistible, elle est vêtue si provocatrice qu'elle-même ne peut plus reculer. Elle est à la recherche de sensations fortes. Et, de la manière qu'elle est vêtue, il n'y aura aucun doute dans la tête de tous ces clients qui seront dans le bar. Nous nous installâmes à une table, à l´endroit réservé. J´ai remarqué quelques clients qui observaient discrètement les moindres gestes de ma femme... et ils en sont ravis ...Elle avait tout de suite remarqué le camionneur que nous avons choisi quand il est entré dans le café . Il est bronzé, un peu gros, mais assez beau ! Elle a croisée son regard et il lui souriait gentiment. Maintenant j´étais sûr qu´elle avait envie de cette aventure, et quelle avait envie de lui... elle se sentit immédiatement à l´aise; assise les jambes serrées l´une contre l´autre, avec la chaleur les gouttes de sueur perlant entre ses cuisses. Le camionneur vint s´asseoir en face d´elle pour la regarder... et machiavéliquement, je tournais le dos à l´homme, laissant à ma femme le privilège de lui faire face. Je pousse un peu la chaise pour qu´il puisse avoir une bonne vue d´elle. Je commandais deux cafés et Efi écarta légèrement les cuisses, d´ un oeil, elle observe sa réaction. L´homme a le regard fixé entre ses cuisses. Le détail qui attirait son attention, ou plutôt son excitation, était la chatte lisse de ma femme. Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute.Il ne dit rien, la pupille dilatée, les jambes s´écartent un peu plus, ce mouvement donne un champ plus large sur son sexe épilé et mouillé, la réaction ne se fait pas attendre... une énorme bosse se dessine dans le pantalon de l´inconnu qui met la main dans sa poche et commence à frictionner son érection le regard perdu dans la chair mouillé. Bref, il aime ce qu´il voit et adore notre jeu ... ou simplement de la provoc. Elle ne veut rien savoir de sa vie. Elle a seulement envie de ressentir un pénis lui pistonner la chatte. Je bandais bien fort déjà..." Quel spectacle ! Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l´un vers l´autre. Elle me dit:
- Mon chéri ! Il m´excite beaucoup, et j´aimerais...
- Oui Chérie ! Je sais
Le camionneur jetant un rapide coup d’œil autour de lui, se leva. Il partit en courant direction les toilettes pour finir de se masturber .Ce moment est fantastique. Elle me sourit et me fait discrètement un clin d´œil :
- Oui, ma chérie ! j´y vais si tu le veux
Alors, je le suivie jusqu´au toilettes. Mon épouse attendait avec un mélange d'impatience et d'appréhension ce qui allait suivre. Il était aux urinoirs... L'ambiance est assez sereine, jetant un rapide coup d’œil autour de lui, ouvra sa braguette et satisfait un besoin naturel. Je suis totalement captivé par le spectacle du long sexe de l'homme, je n'en a jamais vue d'aussi grosse, je reste là, mes yeux rivés sur cet homme qui urine en sifflotant, à la fois envoûté et effrayé par l'engin semi-dur. Une bonne bite bien longue terminé par un gland bien découvert, une merveille !Alors qu'il termine, l´homme s'en aperçoit ainsi que de mon trouble. A ma grande surprise il me demande : - Oh ! Excusez-moi ! Je m´appelle Philippe. Mais. ne me dites pas que c'est la première fois que vous voyez un sexe d'homme ?
- Non. enfin. Euh, non, enfin, je n'en ai jamais vu d'aussi grosse."
- Vous êtes homo ou bi ?
- Je suis hétéro, légèrement bi, en fait j'aime bien les bites !Le sexe de l´homme se dresse fièrement, à la verticale. Celui-ci rompt alors le silence et me demande: - Vous aimeriez la toucher ?
Ensuite il prend ma main et la pose dessus. Après plusieurs minutes de mes caresses, le sexe est tendu à l'extrême.
- C'est bon ! J'aime tes caresses. ta main est douce, n'arrête pas ! je veux baiser ta femme....elle est très belle !!!
- Je me délecte d´imaginer quand a un mec savoure la douceur de son con et la baise...
- Approche et ouvre la bouche ! dit -il
Sa bite est tellement grosse que seul le gland entre. Sa queue me déforme la bouche et j´arrondis mes lèvres autour de sa hampe en évitant bien le contact avec mes dents. Ma langue commence un ballet voluptueux autour de cette tige brûlante qui coulisse dans ma bouche. Son sexe est savoureux. Il libère un liquide salé que j´avale sans complexe, sa légère odeur me rend fou. Ma main s´empare de ses grosses couilles velues que je malaxe tendrement. Je m´étonne de sucer un sexe d´homme comme si je l´avais fait toute ma vie. Pendant ce temps; il manifeste son plaisir par des gémissements de plus en plus bruyants.
- Suce bien, et surtout n'arrête pas : je vais tout décharger dans ta bouche. J'adore les vicieux dans ton genre et après avec ta femme, tu auras une surprise !
- Veux-tu que nous jouions à trois ? Ce serait plus agréable non ?
- Quelle bonne idée ! C'est tellement plus excitant !!
Ma langue s'entortille autour de la hampe du camionneur. Je la suce du mieux que je peux et lorsque je la sens palpiter, je me redresse. Philippe est stupéfait, abasourdi. De retour près de ma femme, elle lui offrit son spectacle personnel et elle le voyait saliver de désir... Elle se voulait objet de plaisir pour l'homme. Objet... Plaisir... La seule idée de faire passer leurs envies avant les siennes devenait sa propre source de plaisir. Cela l'excitait.
- Il a envie de toi ma chérie !!
- Moi aussi j'ai envie.
- Super ! Je peux vous proposer quelque chose. Je vous propose de m’accompagner dans la cabine de mon camion .
Sa voix était chaude et suave.Nous quittons le café tous les trois. Nous marchons jusqu´au le camion. Elle s´approcha, le routier ouvrit la portière, elle mit la jambe sur le marchepied pour grimper les trois marches qui permettaient l´accès à la cabine. Son deuxième pied venait à peine de quitter le sol, qu´ une main se plaqua sous ses fesses et la propulsa vers les hauts, Efi se trouva dans la cabine. Effectivement celle-ci était vaste. Un rideau camouflait un grand lit derrière les sièges. Elle regarda Philippe tirer les rideaux de la cabine de son côté, j´en fis de même et la cabine se retrouva dans la pénombre. Elle enjamba la siège, Philippe la suivait, tandis que je faisais le tour. J´arrive en face par l´autre portière. Philippe s´installa confortablement sur le siège et saisit ma femme par les hanches.
- Viens ici ma Déesse...
- Il fait trop chaud ici ! Dite-t-elle
Elle est assise sur lui bien ouverte en lui faisant face. Le mec sent l’effluve de femme en désir, il dirige sa main vers la fente et entre ses doigts pour caresser le sexe. Il entre deux doigts et commence à titiller le clitoris qui s'est dressé. Il accélère les mouvements, ma femme a une respiration haletante, et très vite une onde la secoue, elle a eu un orgasme violent sous les doigts de ce garçon. Maintenant il ouvre sa braguette et ôta son énorme pénis dressé. Il saisit Efi d´une main à la nuque, et lui colla les lèvres sur la bouche. il l'embrasse sans aucune délicatesse, sa barbe de quelques jours irrite sa peau si sensible. Elle lui retourne son baiser, sa langue plonge dans sa bouche, lui suçant la sienne, il la serre de toutes ses forces contre son corps, elle ressent la verge en érection qui palpite contre ses fesses nues. Elle se sent si vivante pendant que chacun de ses nerfs réagit dans son corps au rythme fou de ses désirs. Elle reconnaît les sensations et les bruits dans sa chatte qui se contracte. Elle lève les yeux vers moi.
- Quelle merveille ! J'ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J'adore sucer des belles bites. Tiens ! Commence si tu veux ? Me dit-elle.
Ainsi que possible, j´engouffre encore une fois dans ma bouche sa bite très raide. J’entrepris de le sucer goulûment, le gland violacé, la bite si tendue et j'ai envie que cette petite bombe m'éclate au visage. Tandis qu´il descendit la robe sous les seins, il les embrassa et les malaxa avec ardeur, ses mains frotta rudement sur ses auréoles, les souffrances deviennent plaisirs. Maintenant la robe tiré bouchonnée autour de la taille. Ses fesses pétris par des mains avides de chair !Alors il souleva mon épouse et l´installa sur ses genoux, elle arque son bassin dans des mouvements obscènes de femme dévergondée pour que sa chatte puisse se frotter tout contre son pénis. Efi, dans de même mouvement avait prit sa bite à pleines mains et l´avait guidée entre les lèvres de sa fente et quand l´homme la reposa, sa queue écarta les parois au plus profond de son vagin, mais quand la verge la pénétra et vint buter bien au fond de son ventre, elle émit un cri rauque. Puis, tandis qu'il la besognait, elle gémit en cadences, entrecoupant ses cris de commentaires pour son amant ; elle le supplie pour qu'il enfonce son pénis en elle, pour qu'il la pistonne de son membre viril et qu'il la fourre et qu'il lui bourre la chatte comme la salope qu'elle est.
- Oui, mon grand ! cria-t-elle. Donne moi tout, cette fois ! je te veux tout au fond !
Elle savait ce qu'elle voulait vraiment, et l´homme le savait aussi...
- Oui, Oui, Oui, c'est bon ! C'est bon !! C'est si bon !! Vas-y !! Défonce-moi !! Ouvre-moi avec ta queue !!
- Amour, c'est bon !
- Il te baise bien ?
- Oh oui, il me bourre bien, j'en avais envie !!
Ses beaux seins à l´air frôle son visage en extase. Mon épouse exhala un grand soupir de satisfaction en sentant cet énorme engin la défoncer comme un gros vibro-masseur vivant lui arrachant des gémissement de plaisir. Son membre viril la pistonne à longs coups, en effet Philippe au bord d´orgasme avait accéléré ses mouvements et s´était mit à gémir. Cet étui brûlant qui se refermait sur sa verge accentua le plaisir de Philippe qui a son tour jouit balançant de grandes giclées de foutre chaud, jaillir au fond du con de mon épouse.
- Je jouis ! oooooh, tu me tues ! se mit-elle à crier.
Elle est chatouillée par des goûtes de sueurs qui coulent du front de son amant, elle poussa un soupir de satisfaction. Les cuisses toujours écartées elle sentait la queue débander lentement laissant la place à la semence pour s´écouler lentement sur ses cuisses.
- Je ne suis pas rassasiée et le désir continue de m'incendier.
- Viens me sucer mon amour ! Tu aime ça, tu nous a fait une démonstration tout à l´heure;
je commence à lécher ses jambes et puis sa chatte.Son corps était en sueur comme le mien. Sa chatte très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d´un rouge vif... Elle me fit donc lécher sa vulve... Je la lèche habilement pénétrant ma langue bien profond en elle. Elle bouge. Se tortille. Elle bouge tellement qu´elle m´écrase sans la vouloir.
- Ca a bon goût mon chéri ? Aimes-tu lécher le sperme de mon amant ?
Quand je la lâche enfin, pas une goutte de sperme ne s'échappe de ma langue et son sexe est parfaitement nettoyé de toute trace de ce précieux liquide. Je n'en ai pas laissé échapper une seule goutte. Elle s'agrippe à ma nuque et m'embrasse encore, et nous restons là, nus et heureux. Voilà un des épisodes que j'adore parmi toutes les aventures vécues avec mon épouse Efi.. Mais il y en a beaucoup d'autres que je vous raconterai prochainement.
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