Sexe et Histoire
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sexe et Histoire
Vers 1300 ans après le christ ma naissance fut fêtée à Montréal (actuellement Montréal d’Aude d’après mon traducteur) Je naissais de Peyre (Pierre) de Montréal et Fabrissa de Mazerolles. Près de ma mère se tenait Le Bonhomme qui veillait en cas de décès pour donner le consolamentum (Qui remplace chez les catholiques et le baptême et des derniers sacrements). Dès mon enfance ont m’a appris à saluer le plus bas possible les saints hommes.
Dieu existe bien, le Démon, celui qui a créé la terre et ce qui est vivant règne en maître. Ainsi le mariage religieux d’excite pas. Si les couples se forment, c’est sans bénédiction. Il ne m’était pas interdit de me faire du bien, chose que j’ai connue très tôt d’après ma nourrice. J’aimais me masturber sans crainte de me faire gronder. Vers 16 ans je me suis amusée une fois avec la fille d’un métayer. Elle me montrait comment elle se branlait, je lui montrais comment je faisais.
Elle se faisait du bien en caressant et le petit bouton et en mettant deux doigts dans le cul. J’étais tenté d’en faire autant. Devant elle j’essayais. Je sentais un plaisir différent qu’avec le petit bouton. Je crois qu’on dit le clitoris. Je démon nous poussait, nous avons décidé de nous caresser à deux souvent. Vers la fin, un mois avant mon union prévue nous nous sucions le vagin. Nous avions enfin des orgasmes rêvés et jamais accomplis.
Le jour de l’union je rencontrais pour la première fois Gaudia qui devait devenir le père de notre enfant. Pour moi, également j’entrais dans ce monde inconnu du sexe masculin.
Le premier soir, nous allions dans le même lit. Nous nous mettions nus comme tout le monde pour dormir, sauf que ce soir je me déshabillais tellement lentement qu’il commençait à gonfler de son sexe. Je savais quand même que les hommes bandent pour baiser leur compagne. Je ne pensais jamais qu’il bande autant, que sa queue soit si grosse. Elle allait me faire mal en entrant dans mon ventre.
Pour me rassurer, il m’a faite coucher au bord du lit. Sa tête est venue pour que j’écarte bien les jambes. C’était la première fois qu’un homme allait me toucher à cet endroit là. J’aimais bien la langue de mon amie. Là c’est sa langue qui venait en remplacement. Dès que je la sentais sur ma chatte, je sursautais. Il me faisait mouiller. J’avais bien envie qu’il continue, qu’il me passe sa langue rugueuse partout.
Gaudia avait mon âge et il en connaissait plus que moi. Je ne sais pas comment il a fait, je suis partie dans une grande jouissance. Ce devait être mon destin, j’avais tellement aimé que je me proposais pour lui en faire autant. Un peu étonné il m’a faite coucher comme il faut sur le lit, est venu à mes coté pour m’embrasser se la bouche, nos langues avaient l’air de se connaitre depuis toujours. C’était meilleur qu’avec mon initiatrice. Il m’a demandé de venir sur lui, à l’envers. Je connaissais déjà la position, pas le nom. Lui le savait.
- Fais-moi un 69. Suce moi la queue ;
- Suce moi aussi, j’adore.
Il venait pourtant de me le faire. Je venais sur lui à ma façon, je posais ma chatte sur sa bouche, jusqu’au moment où j’avais devant moi cette grosse bite. Je me demandais comment faire pour la prendre en entier dans la bouche. Je commençais par lécher à peine le bout. Je sentais une petite goutte de je ne sais quoi qui perlait. Avide de connaissance je la goutais. C’était un peu salé, agréable enfin. Mes lèvres avaient beau s’écarter, je n’arrivais pas à la mettre dans la bouche.
L’instinct féminin, sans doute me portait à le branler. Ma main le prenait en entier. Je faisais coulisser sa peau vers le bas, vers ses couilles. Je devais bien faire puisqu’il fermait les yeux. Je ne connaissais pas encore la fin quand d’un seul coup il a fait partir quelques jets d’un liquide blanc comme du lait. J’avais gouté sa gouttelette, je voulais gouter son jus. Ma langue cherchait sur tout son corps toute sa sécrétion. Là le gout était un peu plus fort. Je m’en, régalais.
J’étais déçue de voir cette belle grosse que se dégonfler. J’ai du attendre un petit moment avant qu’en le caressant j’arrive à le faire bander. Il n’a pas attendu mon accord. Il est venu sur moi qui écartais les cuisses. Il tenait son mandrin dans une main pour bien me la mettre où il fallait.
J’ai senti mes chairs s’écarter doucement. C’était bon, sauf quand il a senti une résistance. Il a forcé pour entrer cette masse énorme. J’ai eu mal, je pensais que si tout l’amour se faisait ainsi je n’étais pas au bout de mes peines. Je la sentais aller plus loin. Il s’est arrêté là avant de faire des aller et venues. Je sentais enfin que c’était très bon, tellement bon que j’ai jouis avec lui autour.
Quand il est sorti j’avais encore envie. Il m’a retourné pour que mes fesses soient bien visibles. Il a donné un léger baiser sur chacune, puis une petite fessée. J’en mouillais encore plus.
- Je vais te la mettre au cul.
- Tu es trop gros pour ça.
- Ma bite t’a baisé, elle va t’enculer. Prends de ta mouille, mets la sur ton cul.
Je ne pouvais rien dire puisqu’il était mon « mari », qu’il avait tous les droits. J’acceptais qu’il me la mette à condition de changer de position. Je me mettais à quatre pattes, comme une chienne que je sens devenir.
Quand il est venu sur mon cul, je l’avais trop serré. En me détendant devant la chose inévitable, il entrait doucement. Tellement doucement qu’il me semblait ne pas être entré. Pourtant je sens monter un plaisir étranger à ma culture. Je sens monter une autre plaisir, différent et tellement bon. Je percevais bien sa grosseur quand je jouissais. Mon cul entourait sa queue. C’était tellement bon.
Sur le coup du plaisir je lui demandais de me faire une selle de cheval particulière d’où sortirai une bite en cuir que je pourrais me mettre soit dans le con soit dans le cul quand nous sortirions à cheval pour aller visiter sa famille à Bram à deux lieux de Montréal.
Il était très satisfait de nos baises de mes orgasmes qu’il arrivait à faire fabriquer ce que je demandais. Nous sommes partis à cheval dans les collines de la Malepère. Quand nous étions seuls dans la nature il a voulu me baiser, nue. J’étais déjà mouillée. J’ai pas accepté, je me suis précipitée sur lui pour qu’il sorte son arme. Il bandait aussi. Je suis monté sur le cheval juste devant lui. Je mettais mon cul à sa disposition. Il n’a pas hésité à me la mettre au cul comme si nous étions dans notre lit.
Les mouvements du trot de la bête suffisamment pour les aller et venues. C’est lui qui n’a pas résisté en me donnant sa semence. Je crois que c’est là qu’il m’a mise enceinte. Je ne savais pas, j’ai jouis juste après lui.
Je suis venue sur ma monture, une douce jument marron. Au début, je montais normalement, devant mon pubis battait la fausse queue. J’ai eu envie d’elle dans mon con. Je m’avance un peu pour être à portée. Je ne bouge plus, je laisse faire les mouvements simples de la jument. Je suis heureusement bloquée par les étriers, sinon je serais tombée je ne sais combien de fois.
Revenus au château, nous attendent des gens peu recommandable. Des disciples d’un nommé Dominique de Guzman. Ils chassent la fausse religion, la notre, d’après eux et le Pape. Je me retrouve dans ce qu’ils appellent le mur de Carcassona. (Je crois qu‘on dit de vos jours Carcassonne., alors que nous prononçons Carcasouno) c’est dur ce mur. Nous sommes entassées les une sur les autres. Il nous faut répondre de notre « hérésie ». Chez nous la liberté est une des meilleures choses que nous donne notre bon conte Raymond V de Tolosa (qui se prononce maintenant Toulouse). Les croisés menés par un franciman ont pris Béziers, brulés les habitants, pris et brulé ceux de Minerve. Avant que Roger, viconte de Trencavel, possesseur de Carcasona et d’Albi ne soit obligé de se rendre sur une trahison de ses damnés francimans.
J’ai eu la chance d’être enceinte. J’ai été condamné à être brulée avec surci. Je suis retourné chez moi à Montréal, déjà pris par un franciman de Normandie, je crois, obligé de partir sous la pression de mes ancien congénères. C’était enfin de le temps de la reconquête. Bien avant Montségur.
Dieu existe bien, le Démon, celui qui a créé la terre et ce qui est vivant règne en maître. Ainsi le mariage religieux d’excite pas. Si les couples se forment, c’est sans bénédiction. Il ne m’était pas interdit de me faire du bien, chose que j’ai connue très tôt d’après ma nourrice. J’aimais me masturber sans crainte de me faire gronder. Vers 16 ans je me suis amusée une fois avec la fille d’un métayer. Elle me montrait comment elle se branlait, je lui montrais comment je faisais.
Elle se faisait du bien en caressant et le petit bouton et en mettant deux doigts dans le cul. J’étais tenté d’en faire autant. Devant elle j’essayais. Je sentais un plaisir différent qu’avec le petit bouton. Je crois qu’on dit le clitoris. Je démon nous poussait, nous avons décidé de nous caresser à deux souvent. Vers la fin, un mois avant mon union prévue nous nous sucions le vagin. Nous avions enfin des orgasmes rêvés et jamais accomplis.
Le jour de l’union je rencontrais pour la première fois Gaudia qui devait devenir le père de notre enfant. Pour moi, également j’entrais dans ce monde inconnu du sexe masculin.
Le premier soir, nous allions dans le même lit. Nous nous mettions nus comme tout le monde pour dormir, sauf que ce soir je me déshabillais tellement lentement qu’il commençait à gonfler de son sexe. Je savais quand même que les hommes bandent pour baiser leur compagne. Je ne pensais jamais qu’il bande autant, que sa queue soit si grosse. Elle allait me faire mal en entrant dans mon ventre.
Pour me rassurer, il m’a faite coucher au bord du lit. Sa tête est venue pour que j’écarte bien les jambes. C’était la première fois qu’un homme allait me toucher à cet endroit là. J’aimais bien la langue de mon amie. Là c’est sa langue qui venait en remplacement. Dès que je la sentais sur ma chatte, je sursautais. Il me faisait mouiller. J’avais bien envie qu’il continue, qu’il me passe sa langue rugueuse partout.
Gaudia avait mon âge et il en connaissait plus que moi. Je ne sais pas comment il a fait, je suis partie dans une grande jouissance. Ce devait être mon destin, j’avais tellement aimé que je me proposais pour lui en faire autant. Un peu étonné il m’a faite coucher comme il faut sur le lit, est venu à mes coté pour m’embrasser se la bouche, nos langues avaient l’air de se connaitre depuis toujours. C’était meilleur qu’avec mon initiatrice. Il m’a demandé de venir sur lui, à l’envers. Je connaissais déjà la position, pas le nom. Lui le savait.
- Fais-moi un 69. Suce moi la queue ;
- Suce moi aussi, j’adore.
Il venait pourtant de me le faire. Je venais sur lui à ma façon, je posais ma chatte sur sa bouche, jusqu’au moment où j’avais devant moi cette grosse bite. Je me demandais comment faire pour la prendre en entier dans la bouche. Je commençais par lécher à peine le bout. Je sentais une petite goutte de je ne sais quoi qui perlait. Avide de connaissance je la goutais. C’était un peu salé, agréable enfin. Mes lèvres avaient beau s’écarter, je n’arrivais pas à la mettre dans la bouche.
L’instinct féminin, sans doute me portait à le branler. Ma main le prenait en entier. Je faisais coulisser sa peau vers le bas, vers ses couilles. Je devais bien faire puisqu’il fermait les yeux. Je ne connaissais pas encore la fin quand d’un seul coup il a fait partir quelques jets d’un liquide blanc comme du lait. J’avais gouté sa gouttelette, je voulais gouter son jus. Ma langue cherchait sur tout son corps toute sa sécrétion. Là le gout était un peu plus fort. Je m’en, régalais.
J’étais déçue de voir cette belle grosse que se dégonfler. J’ai du attendre un petit moment avant qu’en le caressant j’arrive à le faire bander. Il n’a pas attendu mon accord. Il est venu sur moi qui écartais les cuisses. Il tenait son mandrin dans une main pour bien me la mettre où il fallait.
J’ai senti mes chairs s’écarter doucement. C’était bon, sauf quand il a senti une résistance. Il a forcé pour entrer cette masse énorme. J’ai eu mal, je pensais que si tout l’amour se faisait ainsi je n’étais pas au bout de mes peines. Je la sentais aller plus loin. Il s’est arrêté là avant de faire des aller et venues. Je sentais enfin que c’était très bon, tellement bon que j’ai jouis avec lui autour.
Quand il est sorti j’avais encore envie. Il m’a retourné pour que mes fesses soient bien visibles. Il a donné un léger baiser sur chacune, puis une petite fessée. J’en mouillais encore plus.
- Je vais te la mettre au cul.
- Tu es trop gros pour ça.
- Ma bite t’a baisé, elle va t’enculer. Prends de ta mouille, mets la sur ton cul.
Je ne pouvais rien dire puisqu’il était mon « mari », qu’il avait tous les droits. J’acceptais qu’il me la mette à condition de changer de position. Je me mettais à quatre pattes, comme une chienne que je sens devenir.
Quand il est venu sur mon cul, je l’avais trop serré. En me détendant devant la chose inévitable, il entrait doucement. Tellement doucement qu’il me semblait ne pas être entré. Pourtant je sens monter un plaisir étranger à ma culture. Je sens monter une autre plaisir, différent et tellement bon. Je percevais bien sa grosseur quand je jouissais. Mon cul entourait sa queue. C’était tellement bon.
Sur le coup du plaisir je lui demandais de me faire une selle de cheval particulière d’où sortirai une bite en cuir que je pourrais me mettre soit dans le con soit dans le cul quand nous sortirions à cheval pour aller visiter sa famille à Bram à deux lieux de Montréal.
Il était très satisfait de nos baises de mes orgasmes qu’il arrivait à faire fabriquer ce que je demandais. Nous sommes partis à cheval dans les collines de la Malepère. Quand nous étions seuls dans la nature il a voulu me baiser, nue. J’étais déjà mouillée. J’ai pas accepté, je me suis précipitée sur lui pour qu’il sorte son arme. Il bandait aussi. Je suis monté sur le cheval juste devant lui. Je mettais mon cul à sa disposition. Il n’a pas hésité à me la mettre au cul comme si nous étions dans notre lit.
Les mouvements du trot de la bête suffisamment pour les aller et venues. C’est lui qui n’a pas résisté en me donnant sa semence. Je crois que c’est là qu’il m’a mise enceinte. Je ne savais pas, j’ai jouis juste après lui.
Je suis venue sur ma monture, une douce jument marron. Au début, je montais normalement, devant mon pubis battait la fausse queue. J’ai eu envie d’elle dans mon con. Je m’avance un peu pour être à portée. Je ne bouge plus, je laisse faire les mouvements simples de la jument. Je suis heureusement bloquée par les étriers, sinon je serais tombée je ne sais combien de fois.
Revenus au château, nous attendent des gens peu recommandable. Des disciples d’un nommé Dominique de Guzman. Ils chassent la fausse religion, la notre, d’après eux et le Pape. Je me retrouve dans ce qu’ils appellent le mur de Carcassona. (Je crois qu‘on dit de vos jours Carcassonne., alors que nous prononçons Carcasouno) c’est dur ce mur. Nous sommes entassées les une sur les autres. Il nous faut répondre de notre « hérésie ». Chez nous la liberté est une des meilleures choses que nous donne notre bon conte Raymond V de Tolosa (qui se prononce maintenant Toulouse). Les croisés menés par un franciman ont pris Béziers, brulés les habitants, pris et brulé ceux de Minerve. Avant que Roger, viconte de Trencavel, possesseur de Carcasona et d’Albi ne soit obligé de se rendre sur une trahison de ses damnés francimans.
J’ai eu la chance d’être enceinte. J’ai été condamné à être brulée avec surci. Je suis retourné chez moi à Montréal, déjà pris par un franciman de Normandie, je crois, obligé de partir sous la pression de mes ancien congénères. C’était enfin de le temps de la reconquête. Bien avant Montségur.
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