DROIT DE PASSAGE

- Par l'auteur HDS Emile -
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : DROIT DE PASSAGE Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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DROIT DE PASSAGE
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

Il n'existe aucune possibilité, au bout du sentier, de passer ailleurs que dans cet
agréable terrain boisé que deux panneaux rouges signalent comme privé. Rebrousser
chemin représente un effort que je ne suis plus en état de fournir. Mes jambes sont
lourdes, mon dos courbaturé, mes épaules et mes bras douloureux. La sueur coule sous
mes bras, entre mes seins et mes fesses. Mon dos est trempé sous mon sac. Mes
vêtements moulent mon anatomie et bougent avec mes muscles. Ils m'encombrent et j'ai
envie de m'en séparer et de laisser ma peau respirer. Au milieu du bois de chênes, un
étang me provoque et m'invite à la baignade. Je sens monter une sourde inquiétude. Je
ne devrais pas être là. Mais la tentation est trop forte. Je me dénude complétement et
m'engage doucement dans l'eau. Cet hiver, après la naissance de mon fils, ma taille a
épaissi et mes seins sont devenus plus lourds. Mes fesses se sont élargies et j'ai du
renouveler une partie de ma garde-robe. Mais j'aime toujours ce corps rondelet. Je me
trouve bien plus belle nue que vêtue, sauf lorsque ma vêture moule mes formes. Je
vérifie qu'aucune présence ne se manifeste. Je savoure ce moment d'exhibition sans
risques et m'allonge voluptueusement dans l'eau fraiche. Je m'ébats en poussant de
petits cris de plaisir puis rejoins la rive ou je m'allonge sur le dos, bras et jambes
écartés. Je contemple le ciel couvert de brume de chaleur à la cimes des arbres. Je me
retourne sur le ventre toujours aussi écartelée et m'endors à demi. Un petit air frais
me chatouille l'aine et les aisselles. Je suis bien et seule au monde...
Après un long moment, je suis réveillée par une curieuse sensation de douce et fraiche
caresse qui glisse de mes épaules vers mon dos. L'impression est si agréable que je ne
m'y oppose pas, mieux, que je la facilite sans me poser de question. Je sens une main
légère descendre au creux de mes reins puis me caresser les fesses. Je ressens une
telle émotion dans la manière de me toucher que je m'interdis d'ouvrir les yeux.
Lorsqu'un doigt se risque entre mes fesses, je plie mes jambes et soulève mon bassin.
Mon ventre décolle du sol et j'offre mon cul et ma vulve écartelés à la caresse. Une
deuxième main douce s'empare de mes grandes lèvres et glisse jusqu'au clitoris. Mon
bassin est secoué de spasmes tant cette prise de possession délicate m'enchante. De
légers râles sortent de ma bouche et mon cul est de plus en plus tendu vers le ciel.
Mon entrejambe se détrempe et j'essaie d'écarter mieux mes cuisses. Les deux mains
douces, regroupées à l'aine, m'y aident en tirant fortement sur mes jambes et mes
fesses. Je sens mon intimité largement exposée lorsqu'une main calleuse et massive se
positionne à mon entre-jambe et d’un doigt envahit mon sexe humide. Après quelques va
et vient qui me mettent en révolution, le doigt humide migre brutalement dans mon cul
et un autre vient le remplacer dans ma vulve. Mon cœur s’accélère sous la caresse
lorsqu'une deuxième main calleuse s'intéresse à mon clitoris et à mon bas ventre. Les
deux mains douces ont migré sur mes seins qu'elles emprisonnent et massent, puis en
excitent le mamelon du bout du doigt. Mon cul et mon vagin sont en transes à cause de
ce mouvement de va et vient vigoureux. Je contracte mes muscles vaginaux pour mieux
sentir son contact. Mes seins sont tendus à l’extrême. Je me sens envahie, possédée.
Les deux doigts pénétrants enserrent par moments mon périnée et mes orifices se
contractent brutalement. J'explose de plaisir et m'effondre dans un cri. Mes amants
(car ils sont bien deux) me retournent sur le dos, se branlent et couvrent mon ventre
et mes seins de leur foutre. Je suis leur objet et m'en sens terriblement satisfaite.
Quelques minutes plus tard, lorsque j’entrouvre les yeux, ils sont tous deux assis
prés de moi, au bord de l'eau, le pantalon sur les chevilles. Les mains calleuses
appartiennent à un quinquagénaire noueux aux jambes maigres et au visage simiesque,
vêtu d'un bleu de chauffe. Les mains douces prolongent un adolescent replet, au sexe
ridiculement petit et au visage marqué d'une cicatrice de bec de lièvre. Je ne
regrette pas d'avoir gardé l'œil fermé, car cela m'a permis de gouter leurs caresses
sans l'a-priori qu'aurait forcément induit la vue de leurs disgrâces physiques.
Lorsque, en remerciement, j'approche mes mains de leurs cuisses nues, ils me laissent
les caresser un peu et leurs queues se raidissent à demi. Ils s'appliquent à nouveau à
flatter mon corps et celui-ci se met à vibrer jusqu'à un mini orgasme. Puis ils se
lèvent et disparaissent dans la végétation. Après quelques ablutions dans l'étang,
j'enfile mon léger vêtement sur mon corps humide et m'en retourne, le corps et
l'esprit envahi de sensations plaisantes.
Plusieurs jours passent sans que je n 'arrive à évacuer cette merveilleuse sensation
qui m'habite. Je finis par retourner sur les lieux de mon plaisir. Sous le panneau
propriété privée est maintenant collée une affichette : « franchissement soumis à un
droit de passage en nature ». Je ne doute pas un instant que cette formule m'est
destinée et je m'avance toute émoustillée. Je repère vite une cabane posée au bord de
l'étang et une imposante table de pique-nique qui la jouxte. Je m'y installe mais rien
ne se passe. Peu à peu, je suis envahie par le souvenir de ma première incursion.
Après un long temps d'attente, je me dévêts et m'allonge entièrement nue sur la table.
L'oppression me gagne et j'essaie de la soulager d'une caresse. Ma bouche, mes seins
mon sexe sont sollicités. Au bout d'un moment je fais basculer mon bassin, tire mes
jambes vers mes épaules et envahis mon cul et mon sexe de deux doigts mouillés
copieusement de salive. La sensation de la première expérience commence à se faire
sentir lorsqu'une main ferme se saisit de la mienne, sort mes doigts de leurs abris et
me tire au bord de la table. Une verge longue dure envahit mon vagin, des mains
calleuses saisissent mes seins et les malaxent. Lorsque le puissant va et vient
m'amène au bord de l 'orgasme, le phallus quitte mon sexe pour mon cul et le pénètre
avec une telle énergie que je ne puis que hurler de douleur et de plaisir. Je sens sa
liqueur séminale chaude s'éparpiller dans mes intestins tandis que ses mains calleuses
compriment mes seins comme un étau. Lorsque je reprends mes esprits, il est sorti de
mon cul et a, à nouveau, disparu.
Je reste plusieurs semaines sans fréquenter cet endroit faute d'occasion de le faire.
Au premier moment de loisir, je me rue au bord de l'étang uniquement vêtue d'un
minuscule short et d'un débardeur étriqué et de légères sandalettes. En chemin, ma
presque nudité m'excite. Je déboutonne ma ceinture et mon short n'est plus retenu que
par l'humidité de ma transpiration. A mon arrivée, je trouve le jeune éphèbe se
baignant nu. Lorsqu'il me voit, il se rue sur moi et m'arrache mes vêtements
brutalement au point que deux coutures cèdent. Il m'oblige à m'agenouiller et glisse
son court pénis entre mes lèvres. L'excitation est montée en chemin et je ne peine pas
à le faire jouir. Il m’explose dans la bouche et j'avale sa semence sans dégout malgré
son aigreur. Il me remercie d'un baiser et m’amène à la table ou il m'aide à me
coucher sur le dos. Il commence à exciter toutes les zones érogènes qu'il a perçues
lors du premier épisode. Mes seins, ma bouche, mon cul, mon clitoris sont stimulés.
Mon vagin s'emplit de mouille. Une fois encore il écartèle mes cuisses et commence à
besogner mon vagin. Récemment mère, j'ai la faculté de dilater largement celui-ci sous
la caresse. Il s'étonne de pouvoir introduire deux puis trois doigts. Il tente
d'enfoncer sa main et sent le muscle s'arrondir à chaque mouvement de va et vient. Il
ne cesse de s'enfoncer plus et sa main entre dans la cavité utérine. Je suis
totalement ouverte, mes bras et mes jambes essaient de s’éloigner plus, mon cul se
dilate, ma bouche béante laisse échapper des flots de salive. Je ressens son agression
tant comme une violence que comme un plaisir. Lorsqu'il accélère le mouvement je
connais de longs moments d'apnée euphorique. Mon cerveau ne semble plus fonctionner et
mon corps n'est plus qu'une marionnette envahie de son bras. Le gamin me domine au
point que je suis incapable de toute réaction. Il le sent, en profite, amplifie son
mouvement et, au bord de l'orgasme, je perds conscience secouée par de nombreux
spasmes.
Une telle performance mérite récompense et, par la suite, mon corps aura du mal à lui
refuser quoique ce soit. Il en profitera le bougre pour épater quelques copains de nos
exploits, m'exhiber en plusieurs lieux, prêter mes orifices à quelques acteurs
choisis. Mais je dois avouer que mon plaisir sera toujours au rendez-vous, même si
l'aspect physique de mes partenaires ne me paraît pas toujours engageant. A quelques
reprises aussi, je réveillerai la sexualité de mon amant quinquagénaire qui s'est
avéré être le père de famille. Dans leur maison je ne dois être vêtue d'autre chose
que d'une nuisette transparente qui met en valeur tous mes attributs. J'aime le regard
torve et plein d'envie qu'ils ne cessent de poser sur moi. Souvent, ils me prennent en
levrette au jardin ou me sodomisent pendant que j'aide à la vaisselle. Toutefois, les
privautés que je leur ai accordées semblent les inciter à aller toujours plus loin
pour martyriser mon corps. Au soir d'une malheureuse expérience sodomite à l'aide d'un
accessoire domestique, je me décide à les quitter. Pourtant, lorsque je pense à eux,
c'est toujours l'image de nos exhibitions près de l'étang qui me reviennent, et mes
sens sont en révolution.

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