EVEIL ET MATURITE (11) - Chapitre 11 - Les vacances heureuses!

- Par l'auteur HDS Midou32 -
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : EVEIL ET MATURITE (11) - Chapitre 11 -  Les vacances heureuses! Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2006 dans la catégorie Plus on est
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EVEIL ET MATURITE (11) - Chapitre 11 - Les vacances heureuses!
<p>A part beaucoup de caresses et de baisers plus rien ne se passa ce jour là. Nos sensualités avaient toutes été bien nourries et étaient apaisées. On alla tous au lit et j'y retrouvai ma merveilleuse petite Clélia se frottant nue contre moi. Tantine, elle, avait pris Pierrot dans son lit et j'imaginais bien ce qu'ils devaient y faire serrés nus l'un contre l'autre.

En fait j'appris plus tard que lui comme moi, bien plantés dans les cons respectifs, fûmes contraints par ces vicieuses à raconter par le menu, et avec force détails les plus excitants, comment s'était déroulée notre première coucherie homosexuelle ensemble. Il parait que nous en fîmes l'un et l'autre un récit très excitant qui plût beaucoup aux femmes.

On dormi très tard le lendemain matin. Je me réveillai avec une bite énorme, et c'est elle qui, profondément enfuie dans le con de Clélia, la réveilla et la fit jouir avec amour.

On se leva alors, et après une toilette d'autant plus rapide qu'il n'y avait pas lieu de s'habiller, on retrouva Tantine entièrement nue dans la cuisine, préparant le petit déjeuner. Pierrot récupérait encore d'une nuit qu'elle nous dit avoir été chaude. En déjeunant on lui fit avouer que durant la nuit Pierrot avait joui dans sa bouche, sur ses seins, et plusieurs fois dans son con et dans son anus. Elle ajouta que c'était un merveilleux amant, très vicieux et infatigable malgré ses 18 ans.

Nous étions encore à table quand la porte s'ouvrit et Pierrot apparut tout rose et reposé... en maillot. Clélia prit un air sévère et lui dit :

- Je dois te rappeler nos règles secrètes Pierrot ?

Il rougit. Elle reprit :

- Enlèves ça tout de suite !

Il obtempéra et on se délecta tous trois de son joli corps nu.

- Je vais t'apprendre à les respecter ! Viens ici !

Pierrot avança nu et voulut s'asseoir à table.

- Non non ! Montes sur la table !

Il nous regarda très surpris et rougit encore. Clélia retira tout ce qui se trouvait au milieu de la table et ajouta :

- Couches toi là au milieu sur le dos !

Il obéit et Clélia saisit le pot de confiture, y plongea les doigts et étendit de la confiture sur toute sa verge. Puis elle en étala sur ses couilles, sur ses seins et sur ses lèvres.

- Maintenant nous allons tous prendre un bon dessert !

Elle se pencha nue sur Pierrot et lui lécha la verge.

- Eh bien vous autres ! Vous n'en voulez pas ? C'est exquis vous savez !

Assis en face de Clélia, je me penchai et léchai ses couilles. Tantine suça les deux tétons de Pierrot, puis lui lécha les lèvres. Nos mains couraient partout sur lui. Il gémissait de bien être, la bite grandissant dans la bouche de Clélia. Quand il fut tout raide elle lui dit de se mettre à quatre pattes sur la table. Elle lui écarta les fesses et enduisit son anus de confiture.

- A toi Pat! Ca c'est une partie de lui qu'il aime te donner !

Je me penchai, lui léchai l'anus, puis y poussai ma langue. Clélia et Tantine, les mains sous son ventre, lui caressaient tout le sexe.

- Tu as bien compris notre règlement maintenant ?

- Oui !

- On va voir ! Viens au salon !

Clélia le précéda et se jeta nue dans le divan, le cul bien au bord, et releva les cuisses.

- Viens me lécher partout !

Pierrot tomba à genoux devant elle et se baissa. Sa langue se mit à lécher le con de ma Clélia et trouva vite le clitoris.

- Oh tu le fais bien !... Mais j'ai dit partout ! L'anus aussi !

Je me collai à genoux contre le dos de Pierrot et lui caressai la poitrine et le ventre, puis saisis sa bite raide. En le masturbant je frottais la mienne sur ses fesses nues.

- Oh vous êtes beaux mes vicieux ! Encules le Pat ! Fourres la lui dans le cul jusqu'aux couilles qu'on vous voie faire !

Je mouillai son cul de salive, présentai mon gland et poussai. Toute ma queue dressée glissa doucement en lui.

- Oh Pat! Il pousse sa langue dans mon anus ! Quel salaud ! C'est bon !... Pierrot ! Je ne t'ai encore jamais eu dans le cul ! Prends moi derrière avec lui en toi !

Je le laissai se relever et suivit son mouvement en avant, ma bite enfoncée en lui jusqu'aux couilles. Je pris sa belle queue raide et la dirigeai vers le rond de ma Clélia, la regardant s'y enfoncer doucement. Clélia gémit de bonheur et ajouta :

- Tu vois ! Te voilà accouplé au couple des fiancés ! C'est bon hein ? Au sein d'un couple ? On s'y amuse hein quand on est bi comme toi ! Accouplé au cul mâle et au cul femelle ! Tu aimes hein salaud ! Prends moi dans le con maintenant ! Comme ça ce sera complet pour toi !... Aaaahh oui !

Tantine était nue près de nous. Je me penchai vers elle et lui tâtai un moment les deux seins en possédant Pierrot. Elle glissa une main entre leurs ventres et caressa leurs deux sexes accouplés. Puis Tantine enfourcha le visage de Clélia et posa son con ouvert sur ses lèvres. Clélia, accouplée à Pierrot, se mit à la dévorer.

Je sentis Pierrot réagir vicieusement devant le baiser qu'elles se donnaient. Je me penchai à son oreille et lui dis :

- Tu vois ! Elles se gouinent ! C'est bon de voir ça hein ?
Regardes les ! Elles couchent ensemble et jouissent entre filles comme nous entre garçons !

Elles l'entendirent et Tantine devint affamée. Elle prit la bite de Pierrot et la sortit du con. Elle la prit toute entière dans sa bouche et s'en délecta. Puis elle l'abandonna et revint au con qu'elle se mit à dévorer. Clélia bougea, se tourna sur le divan et attira Tantine en soixante-neuf sur elle. Je continuais à défoncer le cul de Pierrot qui les regardait extasié. Puis je sortis doucement ma bite de son anus et lui dis :

- Viens toi dans mon cul maintenant ! Il faut que tu goûtes à tous les plaisirs de l'amour entre hommes en regardant ça !

Il sauta derrière moi et m'encula jusqu'aux couilles en continuant à regarder les filles ensemble.

- Regarde comme elles se boivent ! T'as beaucoup bu le jus du con de Tantine cette nuit ! Tu peux imaginer comme ça leur plaît de boire le jus de l'autre !

Elles, de temps à autre, sortaient la tête des cuisses de l'autre pour nous regarder accouplés. Ca les excitait encore plus à se gouiner devant nous.

Les deux femmes eurent un fol orgasme ensemble, probablement décuplé par le fait qu'elles se donnaient en spectacle à leurs deux amants enculés l'un dans l'autre. Puis elles se défirent et roulèrent nues sur le divan en nous regardant. Pierrot n'était pas loin de jouir dans mon cul et ma bite était aussi proche de gicler dans ma main. Clélia dit à Tantine :

- Les salauds ! Regarde comme ils s'enculent ! On fait les gouines près de deux homos !

Alors subitement Clélia rejeta Tantine et se redressa.

- Oh ne jouissez pas les garçons ! Venez ! Il nous faut des belles bites maintenant ! Vos bites raides, chaudes et vicieuses dans nos cons ! C'est bon entre femmes mais rien ne vaut une bite !

Elle nous précéda dans la chambre de Tantine qui avait connu ses premiers amours lesbiens, et se jeta sur le lit. Elle s'y coucha sur le flan et invita Tantine à reprendre son soixante-neuf avec elle. On les regarda s'installer. Puis elle se tourna vers nous:

- Prenez nous maintenant tous les deux ! Pierrot dans mon con et toi mon amour dans celui de Tantine ! Ce sera plus excitant d'être infidèle tous les deux et de voir de tout près l'infidélité de l'autre !

On se coucha chacun derrière l'une d'elle et on les prit. C'était merveilleux de faire danser ma bite dans le con de Tantine, tout en regardant de tout près le beau sexe de Pierrot danser dans le ravissant con de ma Clélia dont Tantine léchait parfois le clitoris. Je sentis une langue douce sur mes couilles et levai la tête. C'était Pierrot ! Il me léchait les couilles pendant que Clélia dévorait le clitoris de Tantine. Je sortis ma bite et la leur donnai à sucer à deux. Puis je la rentrai dans le con de Tantine.

Alors je pris la bite de Pierrot et la sortis, pleine de bon jus, du con de Clélia pour la dévorer avec Tantine, avant de la lui remettre dans le con. Ma bite était à nouveau dans les deux bouches, avant de replonger dans le con. On couchait réellement à quatre ! C'était exquis ! Les deux sexes nus accouplés sous nos yeux nous excitaient follement.

Le plaisir nous saisit tous les quatre ensemble et fut immense. Nous étions à la fois témoins du plaisir des deux sexes accouplés sous nos yeux, et conscients de donner le même spectacle. Il nous laissa effondrés, les quatre corps nus formant une masse informe et unie par les sexes. Mais le plaisir avait été si rapide que les deux garçons restaient raides et les deux filles encore palpitantes de sensualité. Clélia dit :

- Tu es encore gros dans mon con Pierrot ! Et lui ! Regardes comme il est encore raide dans celui de Tantine ! Palpes le ! On change ? On repart pour une gerbe d'orgasmes à nous quatre ?

Je vis sa bite glisser trempée hors du con de Clélia. Je sortis la mienne. Je me glissai derrière Clélia et lui s'installa derrière Tantine. Je pris sa belle bite et la lui mis dans le con. La ronde recommença et fut plus folle encore que la précédente. Pierrot nous faisait maintenant des remarques ordurières sur ses deux maîtresses et sur son amant qui nous excitaient follement. L'orgasme nous submergea tous les quatre en même temps.

Puis on s'effondra, cette fois tous crevés de fatigue et de plaisir. On se délaça l'un de l'autre. Clélia dit à Pierrot :

- Tu as bien compris, maintenant qu'on a vraiment fait l'amour à quatre ?

- Oh oui J'ai compris ! Vous êtes trois jouisseurs et je suis votre mascotte qui doit vivre à poils comme vous et satisfaire tous vos vices !

- Parce que toi tu n'es ni jouisseur ni vicieux peut-être ?... Dis le ce que tu es !

- Je suis aussi jouisseur et vicieux que vous ! J'adore coucher avec mes deux maîtresses !

- Et c'est tout ?

Il rougit un peu et ajouta :

- J'adore coucher avec lui aussi !... devant vous deux !

Clélia se pencha vers lui et l'embrassa tendrement sur les lèvres. Elle lui dit en le caressant :

- Nous t'adorons aussi ! Tu es un merveilleux amant ! Et tous les trois nous adorons ta bisexualité ! On va beaucoup en profiter. Je te rappelle encore une fois nos règles: "Tous à poils, le corps et tout le cul offerts aux vices des trois autres, et les trois autres offerts à la satisfaction de tous tes vices.

- Oui! J'ai compris !

Une minute plus tard nous faisions la sieste nus à quatre dans le grand lit de Tantine. On dormit comme des masses.

Je me réveillai sucé exquisément. J'ouvris les yeux. C'était Pierrot ! Il avait retiré nos draps. Nous étions tous trois offerts nus à ses regards et à ses caresses. Il lécha ma bite et alla sucer le con de Clélia qui s'éveilla à son tour. Puis il réveilla Tantine de même. Alors il se mit à caresser le con de Clélia d'une main et ma bite de l'autre. Il nous dit:

- Merci Clélia ! J'ai compris grâce à toi ! Je ne mettrai plus jamais de maillot ici ! Je vous ferai beaucoup jouir tous les trois ! J'adore vos corps et vos culs à tous ! Je serai aussi votre poupée nue et obéissante, toujours prête pour tous les cons, tous les seins, tous les anus... et toutes les bites chaudes ! Maintenant je connais tous vos sexes et tous vos trous... j'ai les couilles vides et le cul plein de sperme. Vous m'avez fait tout faire devant vous et avec vous ! Je suis votre pute ! Vous connaîtrez tout mon corps par coeur, du trou de balle à la pointe du sexe, en passant par la bouche ! Je connaîtrai par coeur les vôtres, vos vices et les préférences de chacun. Et vous vous serez tous à moi ! Je vais me servir beaucoup de vous trois pour jouir... et pour vivre tous mes vices ! Un des premiers sera que vous pissiez tous les trois ensemble sur moi, dans ma bouche, sur mon sexe, mes couilles et mon cul...

Mais d'abord Tantine, faisons honneur aux fiancés ! Regarde comme elle a le con gros et ouvert ! Et lui ! Regardes quelle bite il a dans ma main !... Pat montes sur ta Clélia et enconnes la bien profond!... C'est bon hein ?...

Bien ! Maintenant satisfais aussi tes vices homo et laisses toi enculer par moi !... Tu es gâté hein, accouplé à une femelle et à un mâle ? Ca te plaît ça, hein salaud ? Tu as le cul qui danse !... Mais ta petite femme est aussi pleine de vices divers et très bisexuelle ! Alors il faut aussi combler ses vices à elle !... Tantine, permets lui de boire ta jouissance encore mêlée du mélange de nos spermes ! Ca lui plaira bien de boire tout ce jus à ton nid féminin en se faisant sauter par son homme !... Ah ils sont bien comme ça ! Tous deux bisexuels et en plein accouplement avec les deux sexes ! Laisses moi te caresser les seins pendant que je l'encule Tantine ! Ca m'excite de te caresser les seins pendant que je couche avec un homme ! Et toi, vicieuse comme tu es, je suis certain que ça te plaira de te les faire sucer par un vicieux pendant que tu te donnes honteusement à une fille ! Qu'est ce qu'on est vicieux tous les deux pour faire jouir pleinement ce charmant petit couple bi !

Ils s'embrassaient à pleine bouche au dessus de nous pendant qu'ils enflammaient tous nos désirs. Nous étions fous l'un de l'autre de nous prendre en voyant l'autre aussi en pleine orgie homosexuelle, et pouvant en suivre la progression jouisseuse. Je couchais avec ma pute lesbienne, elle couchait avec son mâle homo !

Et toutes nos vacances se déroulèrent comme cela ! Pierrot resta toujours un partenaire empressé et généreux de notre communauté. Il passait ses nuits nu dans le lit de Tantine et nous laissait jouir et dormir seuls, mais dès le matin, Tantine dormant encore, il venait souvent se glisser dans notre lit, y cherchant une autre femme et l’apaisement de ses désirs homosexuels. La journée on vivait à poils à quatre pour les jeux et les accouplements les plus libres au salon, à la cuisine, sur la terrasse et dans nos lits.

Et c'est dans cette ambiance libre, tendre et bi que l'amour s'amplifia encore entre Clélia et moi pour nous conduire à ne plus jamais nous quitter.


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