Ode à sa culotte

- Par l'auteur HDS Nedan -
Récit érotique écrit par Nedan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ode à sa culotte Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ode à sa culotte
A cette charmante demoiselle, qui, en classe, me fait découvrir un autre monde, de ses jambes qui se croisent et se décroisent. A intervalles réguliers, j’entraperçois la lisière de ses bas, qui disparaissent sous sa jupe, et là, l’objet de mon désir. Blanche, sa culotte, comme un flocon de neige perdu sous le noir de sa courte jupe. Son nom veut dire « négligence », mais je sais qu’entre nous deux, c’est un petit jeu qui s’est développé, à force de sourires et des regards qu’elle me lance.

A elle, qui est l’objet de tous mes fantasmes, que j’imagine étendue, vêtue uniquement de ses bas et sa culotte blanche. Ses mains caressant ses seins, s’amusant à faire dresser ses tétons, jusqu’à ce qu’ils soient durs de plaisir. Les jambes naturellement écartées, elle offre à son miroir la vue de la fine trace qui peu à peu se dessine sur le tissu de dentelles. Progressivement, ses mains trouvent leur chemin le long de son ventre et passent sur son nombril. Puis, elles glissent l’une après l’autre sous le sous-vêtement. De deux doigts, elle s’empare de son clitoris et le fait rouler, sans pouvoir retenir un gémissement de plaisir. Elle se sent couler comme une fontaine, haletante, et sa vulve ouverte réclame son majeur. Mais cela ne lui suffit pas, à ce moment. Elle a besoin de plus gros : deux doigts vont et viennent alors en cadence, tandis qu’elle se contorsionne de plaisir, sentant son corps comme foudroyé. A ce moment-là, elle se fiche d’être entendue, car il n’y a que sa jouissance qui compte, si bien qu’elle se relâche, et les jambes quasiment à l’équerre, hurle dans un orgasme terrassant. Elle retombe alors sur son lit, sans que ses doigts ne quittent l’humidité de sa chatte. Bientôt, elle recommence à masser son bouton de plaisir, qui en redemande encore. Et de concert, son sexe semble s’ouvrir davantage, alors que les yeux de ma belle tombe sur le vibromasseur, posé en toute innocence sur l’étagère.

Brusquement, je reviens à moi. Je suis son regard fusillant mon entrejambe, déformé par la bosse que ma rêverie a entraînée. Comme une délivrance, la sonnerie sonne la pause. J’ai peur de me lever, mais alors que tout le monde autour de nous est déjà debout et sort de la classe, les bas à résilles se rapprochent de moi en alternance, et bientôt une voix vient chuchoter à mon oreille de la suivre. Machinalement, je me lève, toute ma volonté s’étant concentrée dans ces bas qui m’envoûtent, et je la suis. Mes yeux dérivent sur la lisière de la petite jupette d’écolière qu’elle porte. Mon regard reste collé sur sa croupe, tandis que nous nous esquivons, là où nous pourrons voler quelques minutes d’intimité.

Enfermés dans les toilettes des filles, ma verge menace d’exploser alors que son chemisier est déjà à terre, découvrant une paire de seins semblant m’inviter. Emprisonnés sous la dentelle blanche, seuls les tétons pointent à l’air libre, larges comme un petit doigt. Mes lèvres viennent en gober un et s’appliquent à le mordiller avec passion, le rendant plus dur qu’il ne l’était déjà. La tête en arrière, la petite étudiante semble apprécier le traitement.

C’est elle qui prend alors le contrôle, en me repoussant contre le mur. Très vite, elle s’agenouille, et fait tomber mon pantalon à mes chevilles. Son sourire s’élargit sur toute sa figure, lorsqu’elle découvre le string que j’ai osé enfiler. Un minuscule string pour hommes, retenant à peine ma virilité dans une poche de coton. Ma belle me fait me retourner contre le mur, le temps d’admirer, je pense, mes fesses, découpées par une ficelle, en haut de laquelle trône un bout de triangle. Elle s’amuse alors à faire passer un doigt dans ma raie, délogeant et relogeant la ficelle, frottant timidement ma rondelle qui répond déjà à ces attouchements. De sa main libre, elle caresse ma verge tendue hors de sa poche.

Soudainement, je suis retourné à nouveau. Mon gland est brusquement happé dans la bouche de la demoiselle, qui s’applique à me prodiguer la plus belle des fellations. Je laisse échapper un râle de plaisir, tandis que ma main se pose sur sa tête et donne le rythme. Distraitement, ses mains malaxent mes fesses, jusqu’à ce que, sans surprise, un index pénètre ma raie et vienne se poser sur la rondelle. Tout en continuant de me sucer, elle prend possession de mon trou, et vient trouver ma prostate qu’elle s’applique à masser avec ferveur : je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Mais ce traitement s’arrête soudainement, lorsqu’elle se relève et remonte sa jupe : jamais encore je n’avais pu voir sa culotte de si près, souillée de cyprine. C’est alors qu’elle procède à la retirer, et j’observe en extase le bout de dentelles descendre le long de ses jambes.

- Enlève ton string, me susurre-t-elle.
Je lui tends alors le petit bout de tissu, tandis qu’elle me confie sa culotte. Au contact, tout mon corps s’électrise. Lorsque je la vois enfiler mon sous-vêtement, je réalise qu’il est attendu la même chose de ma part. Mettre sa petite culotte ? Avec grand plaisir… L’humidité du tissu rend le contact avec mon sexe divin. J’ai sans doute l’air d’une tapette, mais c’est le dernier de mes soucis. Je me concentre plutôt sur la belle qui revient à la charge et qui empoigne ma verge à travers la dentelle. Les yeux plongés dans les miens, les mots crus fusent : « Jouis, allez viens dans ma culotte ». Chaque mot jumelé à ses doigts de fée me fait un peu plus partir vers le septième ciel. « Souille ma culotte avec ton sperme, vide-toi. » Ce n’était plus une masturbation : elle me trayait avec détermination, jusqu’à ce que finalement je n’en puisse plus. Je lâche, dans un soupir d’extase, quatre longs jets de foutre qui vont se mêler à la cyprine de ma belle.

En réalisant notre retard, nous nous rhabillons en hâte : tout comme la dentelle blanche dépassant de mon jeans, deux bons centimètres du string dépassent de sa jupe, à moitié dissimulés par la transparence de son chemisier. Nous nous pressons de retourner en classe, où, une fois assis, nous recommençons à rêver, chacun de notre côté. Mon sexe baigne alors dans le plus doux des liquides, si bien que je le sens reprendre de la vigueur, et se gorger de sang.

J’imagine ma belle étudiante, appuyée contre le mur de sa chambre, les seins frottant contre la paroi, alors que sa main fait s’activer contre sa vulve le vibromasseur qui ronronne comme un chat. Tout son corps semble parti dans une danse, qu’elle mène avec l’objet qu’elle a entre les cuisses, déjà tout lubrifié de sa cyprine. Aux premiers pas, elles ne fait que masser ses lèvres, formant des cercles, allant et venant de son clitoris à son petit trou. Dans l’empressement, elle écarte alors le tissu trempé de la culotte pour laisser la voie libre à la bite factice, et celle-ci s’engouffre dans la vulve béante de l’étudiante, qui procède à l’enfiler au plus profond de son corps. La seconde partie de la danse s’engage alors, et elle trouve son rythme en faisant aller et venir le vibro en elle. Le jouet et sa main sont alors recouverts de cyprine, qu’elle sent couler sur ses cuisses, descendre le long de ses jambes et former une flaque au sol. A ce moment-là, ses jambes ne peuvent plus la supporter, toute tremblante, si bien qu’elle tombe à genoux. Se sentant proche d’une ultime jouissance, la jolie étudiante aux cheveux d’ébène accélère la cadence. Ses gémissements s’intensifient, jusqu’au moment fatidique où c’est la tempête sous ses dentelles qui se gorgent davantage de jouissance féminine. Cette fois-ci, elle a hurlé son orgasme, devenue folle.

Je n’en peux plus. Il faut que je me soulage. Ma queue crie son désir primaire de pouvoir répandre son jus. Je prétexte alors un malaise pour m’éclipser du cours, en lançant un regard entendu aux bas résilles, qui se proposent pour m’accompagner, « au cas où j’aurais besoin d’aide ». Elle se jette alors à mon bras, et nous filons vers ces toilettes quittées dix minutes plus tôt. Rien qu’aux regards qu’elle me lance, je devine qu’elle est tout autant excitée que moi, voire même davantage. D’une main experte, elle redéfait mon pantalon et dégage ma verge, qui tend la dentelle à son maximum. Après l’avoir dégagée, je la guide enfin entre les fesses de ma belle, qui, penchée en avant sur les toilettes, la jupe relevée, mon string, dégagé, n’attend que le moment où je vais m’enfoncer en elle. Je découvre ainsi de près sa chatte brillante de cyprine, comme si mon rêve rencontrait la réalité. Mes mains viennent alors se poser naturellement sur ses hanches, tandis que dans un râle de plaisir, je me plante en elle. Je vais lentement jusqu’à la garde, glissant dans ce mélange de chaleur et d’humidité. Puis, j’entame les vas-et-viens dans sa chatte, des vas-et-viens rythmés qui la font haleter comme un animal en chaleur. Je savoure pendant ce temps la sensation lorsqu’à chaque coup de reins, mon bas-ventre claque contre ses fesses. Je ne peux résister à l’envie d’y glisser un doigt. Son anus se distend difficilement, mais je parviens lentement à faire passer mon pouce, qui part explorer son intimité. De plus, je sens ma belle en activité, se satisfaisant en plus d’une main frottant son clitoris. Après quelques minutes, je passe les mains sous son ventre, et remonte pour m’emparer de sa poitrine battant au rythme de ma queue. Je relève ma belle étudiante par les seins et l’appuie contre la paroi des toilettes, sans quitter son intimité, et je recommence de plus belle. Cette fois-ci, je m’occupe moi-même de son bouton. L’effet conjugué de mes efforts fait partir la belle dans un orgasme tonitruant, qui me fait jouir en elle. Nous restons quelques instants sans bouger, puis je me retire d’elle, qui s’agenouille de concert pour venir gober ma verge et récolter le mélange de sperme et de cyprine qui la maculent. Elle fait tant et si bien que je ne débande pas et redeviens dur comme fer. Satisfaite de son travail, elle se relève et s’assied sur la cuvette, les jambes grandement écartées. Elle me laisse accès à son intimité, tendant la vulve vers l’avant, après avoir basculé sur l’arrière de son divin postérieur. Cette fois-ci, c’est à mon tour de m’agenouiller. Ma langue vient embrasser son mont de vénus, pour y décrire un serpent, serpentant lentement, descendant vers son bouton. Je me mets à sucer ce clitoris comme un véritable petit bonbon, jouant avec lui du bout de ma langue. Il me paraît sur le point d’exploser, tant il se dresse, tant l’envie de jouir de sa propriétaire est grande. Machinalement, mes doigts retrouvent le chemin de ses petites fesses rondes et viennent masser sa rondelle. L’idée passe par ma tête, et l’emporte : quittant le bouton turgescent, je vais goûter à ses lèvres, sans pénétrer plus profondément, et continue jusqu’à son trou. Ma langue, comme un petit sexe, cherche à aller en elle, et son anus, bien consentant, semble s’ouvrir de lui-même. Ma langue s’enfonce d’un centimètre ou deux, ressort et rerentre. Ma belle, quant à elle, s’empare de ma tête comme d’un sextoy et me force à la lécher de plus belle. J’alterne alors entre son bouton, ses fesses et sa chatte, jusqu’à ce que la mouille s’échappant de sa chatte vienne à s’y méprendre à un torrent de jouissance. A ce moment-là, je viens la prendre d’un coup sec, et, me penchant sur elle, nous partageons notre premier baiser au goût sucré, tandis que nos sexes bouillonnants concourent à faire jouir l’autre plus intensément. Une main dans ses cheveux, l’autre sur son sein, je garde mes yeux, ma bouche et ma queue, plongés en elle. Lorsque je sens arriver l’orgasme, je me retire d’elle à regret. C’est alors que ma belle empoigne ma queue, agenouillée sur le carrelage, et s’applique à me branler, à faire sortir tout ce qu’il me reste de sperme. Cette fois-ci, toute ma semence se répand sur son visage : le premier jet atteint son œil gauche, le deuxième sa joue. Le troisième termine dans sa bouche entrouverte, ce dont elle semble se régaler. Après s’être assurée que je sois vidé, ma jolie étudiante se relève et vient partager avec moi la dernière goutte de mon sperme. Nous nous essuyons avec sa petite culotte en dentelles, qu’elle me dit de remettre pour le restant de la journée, tandis qu’elle continue de garder mon string, qui lui donne des airs de salope. Alors que nous nous rhabillons, ce mot reste gravé dans ma tête « salope ». Nous rentrons alors chez, nous exténués après avoir séché la moitié du cours, le dernier de la journée.
Le soir, alors que nous nous endormons chez elle, emmêlés dans les bras de l’autre, ma belle me susurre :
- Je suis sûre que tu as adoré porter une culotte de femme.
Je suis bien obligé d’avouer qu’elle a raison. Alors, avec un petit sourire, elle se lève et se dirige vers son armoire, voulant s’amuser à me travestir pour son bon plaisir. Elle sort un minuscule shorty rose bordé de dentelles qu’elle me dit, ou plutôt m’ordonne d’enfiler. Je quitte alors mon boxer et repasse le sous-vêtement féminin. C’est là que, sans surprise de ma part, ma verge se met à gonfler d’excitation, ce que mon amie ne manque pas de remarquer. Si d’une part elle se moque de moi, sa main vient néanmoins empoigner ma colonne de chair, qui, dépassant du petit shorty, disparait entre ses lèvres…

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