Le fantasme de fleur de délice

- Par l'auteur HDS Polichinel -
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le fantasme de fleur de délice Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le fantasme de fleur de délice
<p>Québec, Canada,

Voici le fantasme de fleur de délice, une fidèle lectrice. Si vous avez aussi des commentaires ou des demandes spéciales ne vous gênez pas. J’adore vous répondre.

Pour votre plus grand plaisir à tous, mais surtout pour toi fleur de délice, voici ton histoire:


Après une longue et dure journée de labeur je marche dans la ville. Je n’ai d’autre but que de me changer les idées. Oublier, le temps d’un moment, les tracas du bureau, un client insatisfait a fait une crise, j’ai dû renvoyer un employé qui volait l’entreprise (et comme c’est moi le patron, il me volait personnellement), un fournisseur important à fait faillite me laissant sans autre alternative. Vraiment c’était une mauvaise journée.

*
Depuis prêt d’une heure, elle court. Jamais, elle ne manque un entraînement. Le plaisir de sentir le sol sous ses pieds est indescriptible. Survolant l’espace à grandes foulées, elle se sent libre. Des années de jogging lui ont sculpté un corps superbe. Elle traverse le parc et accélère encore le rythme. De lourde goûtes coulent sur son front et de son visage, ses vêtements sont détrempés par la sueur. Son cœur pompe le sang à grande vitesse, elle savoure l’ivresse de l’effort qui l’envahie.

*

Je marche pour oublier, enfin je ne pense à rien. Tranquillement, le hasard de mes pas m’éloigne du centre ville. Il y a de moins de passants dans les rues. Seul avec moi-même je profite du silence environnant. Le temps est à l’orage. Je sens le vent souffler. Sa force me surprend, des débris de papier et autres saletés volent avec vitesse dans tous les sens. J’entends le tonnerre gronder au loin, le ciel s’obscurcie. Poussés par le vent de lourds nuages chargés de pluie avance vers moi.

*

Une première goutte vient toucher son visage, surprise elle lève les yeux au ciel. Prise dans sa course, elle n’avait pas remarqué que le ciel s’était couvert. La pluie commence à tomber sur ces épaules. Elle ne s’arrête pas pour autant, elle redouble l’effort. L’eau coulant sur sa tête et son cou la rafraîchie.

*

La pluie s’intensifie, il est temps que je me mette à l’abri. Des éclairs zèbrent le ciel à répétions. Le ciel est menaçant comme chargée de colère, il fonce vers moi, je sens la rafale de vent monter du sol et pousser les goûtes contre mon visage. Je suis au milieu d’un parc, si ça tombe, je n’ai pas d’endroit ou me cacher, je commence à chercher du regard un endroit au cas où le ciel me tomberait sur la tête.

*
Lorsque le déluge a commencé, elle a entamé un sprint pour se réfugier sous un abribus. In extremis, elle a atteint la cachette. Au moment où elle s’y cachait le ciel c’est déchaîné. Patiente elle attend que les flots se calment. Le déluge est loin de s’arrêter, si c’est possible, la pluie tombe encore plus fort. La vision est réduite à quelques mètres, elle ne distingue plus les immeubles ni les arbres dans le parc. Trempée de tête aux pieds, elle retire son chandail et entreprend de le torde.

*

Au centre de la tempête, j’aperçois un refuge un abribus en bordure du parc. Rien ne sert de courir je suis déjà trempé comme un canard. On pourrait croire que je viens de traverser la mer à la nage et tout habillé. Je ne suis pas seul à me mettre à couvert dans l’abribus, une jeune femme s’y trouve déjà.


Visiblement elle s’est fait surprendre elle aussi par l’orage. Ses cheveux sont collés à sa tête, l’eau ruisselle sur son visage. C’est alors que je remarque qu’elle ne porte pas de chandail. Trempé, son soutien-gorge ne cache rien de la beauté de sa poitrine. L’auréole est belle et bien proportionnée légèrement plus foncé sur une peau bronzé. La forme et la grosseur de ses seins me font rêver. L’instant d’une seconde j’imagine prendre ce doux mamelon au creux de ma bouche. Avec effort, je chasse ce fantasme de mon esprit et je réussi à décrocher mon regard de la perfection de ses seins.

Elle s’est sûrement aperçut que je portais une attention toute particulière aux courbes de son corps. Sans gêne elle me sourit, pour me saluer. Cette jeune femme doit être ma cadette de quelques années seulement, mi vingtaine maximum. Nous n’échangeons aucune parole.

Dehors, l’orage gronde, l’atmosphère est lourde et pesant. Seuls les éclaires nous illuminent de manière sporadique. Sous leurs lumières éphémères je découvre son corps ravissant. Ses courbes très féminines dégagent une sensualité forte. Ses cheveux sont noués en queue de cheval qu’elle porte haut sur la nuque.

Je prends place à ses côtés sur l’unique banc de l’abribus. Un étrange sentiment m’habite, la proximité avec cette jeune beauté me trouble. Est-ce à cause de l’orage, est-ce le fait que personne ne peut nous voir, est-ce parce que mes yeux se régalent de son corps dégoulinant de pluie ; je l’ignore. Ma seule certitude je veux la posséder, ici, là, maintenant.

Je sens qu’elle vie elle aussi cette tension invisible qui nous unis. En silence, sous le bruit de la pluie qui s’abat sur le mince toit de métal, nous fleuretons du regard. Prisonniers de la tempête, nous sommes coupés du reste du monde. Et si nous nous abandonnons l’un à l’autre, qui le sera, qui nous jugera ? Personne bien évidement.

Je crois que c’est de cette sensation d’anonymat et de secret qui rend notre situation si unique, si intense, si érotique. Elle s’habitue à ma présence je m’accoutume à la sienne. C’est par un mélange subtil de non dit, de gestes et de regards que nous nous apprivoisons en silence. La tension entre nous monte d’un cran, elle devient chargée de sensualité et d’érotisme.

Le hasard nous a réunis dans situation unique, il faut en profiter.


Je me tourne vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Surprise elle se raidie. Je passe ma main derrière sa nuque, retire l’élastique qui retient ses cheveux. Une fois libérée, sa chevelure mouillée tombe au milieu de son dos. Mes doigts massent sa nuque. Fermant les yeux elle laisse mes mains faire leur œuvre. Mes caresses sont douces et profondes, mes mains apaisent ses tensions et retire toutes ses craintes.

Sa langue glisse sur la mienne. Debout au centre de l’abribus, nous échangeons un baiser tendre et fougueux en même temps. Nos corps mouillés par l’orage sont collés comme en fusion. Mes mains caressent tendrement son dos. Elles passent sous l’étoffe du soutien-gorge en défont l’agrafe et le retire. Ses seins chauds s’appuient sur mon torse. Je sens les mamelons s’ériger. D’une main, je caresse cette poitrine qui s’offre librement à moi.

J’ai embrassée tout le haut de son corps, ses seins, son ventre, ses bras. Elle se tordait dans tous les sens tellement mes lèvres étaient douces et expertes. Elle aurait voulu me caresser aussi, mais je lui interdisais l’accès à mon corps. Elle ne pouvait que subir... Tout son corps vibrait sous mes caresses, à nouveau, son cœur s’accélère et sa peau se couvre de sueur. Sa peau était en feux sous mes caresses. L’alternance de mes baisers, de mes mains qui effleurent à peine son épiderme, de quand j’enserre fermement sa poitrine entre mes doigts, un mélange fermeté de sensualité au quel aucune femme ne résiste. Elle laisse le plaisir la dominer et la contrôler.


Le temps d’un instant, je m’écarte de son corps en fusion, et me rassis sur le banc. Elle se surprend à attendre le retour de mes caresses sur son corps merveilleux. Mes mains sur ses épaules, je la tire à moi et l’embrasse de nouveau.
D’une pression ferme je la fais agenouiller devant moi. Sans hésitation, elle exécute ravie de cette demande silencieuse.



Ses mains parcours mon torse en éveille. Elle défait un à un les boutons de chemise. Ses doits passe sur ma peau, c’est la première fois que je lui accorde de me toucher. Un courant électrique nous traverse simultanément lorsqu’elle passe sa langue sur mon ventre.

D’une manière experte, elle entreprend de défaire la boucle de ma ceinture. Elle ouvre ma braguette et me caresse au travers de mon boxer. Mon membre dur est prêt à ses hommages. Elle libère enfin ma queue de son étreinte.

Pour commencer, elle glisse doucement le bout de la langue sur mon gland. À ce premier contact charnel, je laisse échapper un soupir de plaisir. Ce souffle de désir l’existe et l’encourage à poursuivre son œuvre. Délicatement, elle prend mon pieu et en tète le gland le quelques instants. Je sors de sa bouche bienveillante, et lui offre mon sexe en entier à lécher. Sa langue parcourt mon hampe de bas en haut sur sa pleine longueur. Et à chaque fois qu’elle atteint le sommet, de nouveau elle me reprend en bouche pour quelques secondes magiques. Par la douceur de ses caresses et la dextérité de sa bouche, je devine qu’elle adore sucer.

Une fois de plus, ses lèvres s’ouvrent sur mon gland. Cette fois elle descend jusqu’à la base de mon sexe, avalant ma queue au complet. Avec mon pieu planter dans la gorge, elle entreprend un lent et puissant va et vient. Mon sexe est captif de sa bouche. Elle rassemble toutes ses connaissances du plaisir masculin s’applique à me faire la plus formidable des fellations de toute sa vie. Elle prend plaisir à sentir mon membre palpiter sous sa langue experte. Une fois de plus mes mains trouvent sa nuque. Glissant mes doigts dans ses cheveux, je les agrippe fortement, bien que ma poigne soit solide, je ne lui aucun mal. La tirant par la crinière, je guide et contrôle le rythme avec le quel elle me suce. Ni trop vite ni trop lent. La perfection faite femme. Ses mains sont aussi complices de mon plaisir. Elle alterne entre ses mains et sa bouche, parfois elle avale mon pieu jusqu’à la garde remontant doucement pour enfin le libérer. Puis elle lui donne quelques coups rapides de poignet. Retour de sa bouche, ses lèvres descendent le long de mon hampe en tournoyant. L’ondulation divine vient de tout son corps. Je vous jure c’est l’extase !

En même temps que ma queue s’enfonce à répétition dans sa bouche onctueuse, elle me caresses l’intérieur des cuisses, les couilles et me branle vigoureusement. J’en vibre de plaisir, de fines gouttelettes commencent à perler au centre de mon gland. Ses yeux son brillant d’excitation alors que je ressens des spasmes me parcourir le bas du dos, Elle reconnaît elle aussi les signes annonçant mon orgasme, et elle augmente la cadence. Mon sexe entre et sort rapidement de sa bouche. Elle me fait coulisser entre l’anneau ses lèvres, je résiste à la jouissance profitant au maximum de sa bouche. Ses yeux semblent implorés mon plaisir.

Je devine qu’elle aime par-dessus tout ressentir le plaisir d’un homme. Je ferme les yeux et la laisse satisfaire sa gourmandise. Comme une offrande à sa sensualité, à sa douceur, à sa beauté mais surtout à ses caresses divines. Je jouies. Pris de violents spasmes, je pousse mon bassin en avant et je déverse de longues coulées de sève au fond de sa gorge. Heureuse de m’avoir fait atteindre l’orgasme elle continue à sucer, avec plus d’ardeur. Dieu que c’est Bon ! Elle avale tout jusqu’à la dernière goûte de ma semence.

Je me relève, elle toujours, sur les genoux, occupée à astiquer mon sexe de sa langue. Je l’aide à se mettre debout. Mes mains reprennent l’exploitation de son corps. Envahi par une fièvre érotique, je glisse sous son vêtement de sport et sa culotte du même coup. Comme un étau, ma main s’est refermée sur son sexe trempé.

Mes doigts entrent rapidement en elle et la caresse à toute vitesse. Elle s’accroche à mes épaules et écarte largement les cuisses pour me laisser le champ libre. Ses yeux se ferme, elle soupire de plaisir alors que mon pouce chatouille son clito. Elle m’offrait son entrejambe, complètement abandonnée au plaisir.

De l’autre main, je descends son pantalon. Elle nue devant moi. À mon tout je m’agenouille à ses pieds. Le dos contre le mur de l’abribus, elle pousse son bassin avant m’offrant son sexe. Lorsque ma bouche s’est posée sur sa chatte, j’ai bien crue qu’elle allait mourir tant ses gémissements de plaisir était fort.

J’entre ma langue dans sa chatte tel un petit sexe, puis, m’attarde sur son clito lentement, terriblement lentement et légèrement. Je passe ma langue de haut en bas sur toute la longueur de sa chatte. Son sexe est si trempé, c’est délicieux. Le goût de sa chatte est légèrement salé par la suer de sa course. Je bois à la fontaine entre ses cuisses. Un torrent de cyprine emplie ma bouche. Je me saoul de sa liqueur intime. Ma langue ravage son sexe. La pointe de ma langue s’engouffre profondément entre ses lèvres. Puis j’introduis un doigt dans sa grotte de plaisir. Mon majeur s’approprie les parois de ses entrailles.


Un deuxième doigt en elle augmente encore son extase. Je continue de la manger autant qu’il m’était possible. Deux doigts s’enfonçant en elle a la font vibrer. Elle bouge légèrement écartant encore plus les jambes. Je glisse une main sur son cul. Et reviens tendrement par sa raie, au passage j’efflore à peine son anus avant de replonger dans la moiteur de sa fente. Cette subtile caresse tire un gémissement à ma victime.

Elle ne peut plus résister à tant de plaisir, son corps réclamait plus maintenant. D’un mouvement lent et sensuel, elle décolle son sexe de mon visage. Elle appuie les mains sur le petit banc, arque le dos et m’offre sa croupe. Elle magnifique. Je me positionne dernière elle. Avant de la prendre, je prends un moment pour apprécier les courbes superbes de son corps de femme. Dans cette position, je me régale de la chute de ses reins, juste avant les fesses. Son cul est tout aussi beau, rond ferme et rebondi.

Je pousse mon sexe dans le sien, mais sans aller au fond. Seul le gland est en elle. Je lui accorde le temps d’accueillir mon membre. Mes mains sont par tout sur sa peau. Je caresse ses seins, son ventre son dos, ses bras et ses jambes. Puis je donne un coup de rein si fort que ses bras plient sous l’impact. Me saisissant de sa croupe à deux mains, je la burine avec rage.

Mon sexe entre en elle comme une colonne de chaire. Ravageant ses entrailles, de mes coups de butoir, je la porte à jouissance. Alors qu’elle laisse échapper un long et puissant cri de plaisir. Comme un écho céleste à nos ébats, le ciel s’éclaire de milles feux. Les éclaires illuminent son corps en extase.


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