si tu t'imagines ma premiere sodomie
Récit érotique écrit par Garance [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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si tu t'imagines ma premiere sodomie
Ma vie, mon œuvre, mon cul, ma bite.
Moi pd ? Alors là, plutôt me faire enculer
C’est exactement ça. J’ai envie de me faire enculer alors que je en me sent absolument pas attiré (sans jeux de mots, jeux d’homos, lol) par les hommes.
Pourtant j’aimerais, une fois, faire une rencontre sans lendemain. Faire la connaissance d’un homme qui introduirait son sexe dans mon anus. Qu’enfin je sache ce que c’est qu’être nu entre les mains d’un homme et sentir son sexe à l’intérieur de moi dans cette bizarrerie jouissive.
J’aimerais qu’il soit de mon age, intelligent, cultivé, généreux, distingué et délicat. Si en plus il est riche, beau et sympa je suis preneur. Je ne veux pas d’une bête sauvage cuir et latex ni d’une tafiole vulgaire et perverse qui joue aux dames et encore moins d’un crétin sans humour.
J’imagine une relation toute en douceur et délicatesse. Une rencontre d’exception. Un havre de spiritualité et de complicité qu’un accord tacite exonère de tout commentaire, de toutes paroles superfétatoires, l’intelligence au premier plan.
Une rencontre devant une cheminée rougeoyante de bonnes braises. Quelques bonnes bûches en réserve pour alimenter le foyer toute la soirée. Une intimité suave et profonde ou tout glisse de soi-même.
… La main d’un homme sur ma peau. Qu’elle sensation ?est-ce plus ferme et plus directe ?… Je ne le saurais sans doute jamais.
Depuis que je suis gardien de phare j’y pense souvent dans la solitude des tempêtes d’équinoxes quand je retourne dans mon lit au petit matin.....
Je suis assis à coté d’un homme que je ne connaît pas. Un verre de whisky à la main nous apprivoisons l’instant en regardant le feux. L’Aphroaig nous trouble de sa tourbe et son iode allume mon palais de sensualités évanescentes. Chaque gorgées est un nouvel instant en suspend. Une présence volumineuse du présent. Sa main remonte ma cuisse et s’arête quand ses ongles frôles ma braguette. Elle poursuit sa course sous mon t-shirt. J’ai du mal à accepter et retrouve l’inspiration en replongeant le nez dans mon verre. Ses doigts font une pose un moment, j’essai de me détendre, mon cœur est à plein régime. Il pompe en rythme et le sang expulsé cogne mes carotides comme des coups de butoirs. Il libère mon érection de sa prison de toile. Je suis tout entier au creux de ses mains. Il me masturbe doucement entre son pouce et son index puis avale ma queue en une seule fois. Je soulève les fesses pour retirer mon jean. Libérer j’écarte les cuisses mais lui lève la tête pour me dire « encule moi » On dirait du Boudart.
Je retire sa chemise, son futal. Il est à poils dessous. Pourquoi est-ce que je le sert dans mes bras Il m’arrive un flots de sentiments inconnus qui me submergent. Je ne suis plus moi et sans un remord je lui attrape le gland pour le mettre dans ma bouche. Comment puis-je faire cela Mais me voilà pris au jeu c’est lui qui me donne la capote indispensable aux ébats sereins. Je lui malaxe les couilles comme pour moi-même tout en pompant sa tige jusqu’a l’explosion. Il est crémeux le bougre !
Puis pensant à Jean Genet, je le retourne et lui crache un gros glaviot sur l’anus avant de présenter mon gland devant la porte de la nuit. Alors c’est stargate et la porte des étoiles qui s’ouvre. Je disparais de façon partielle dans son corp. Il est debout devant la cheminée. J’ai une main sur son épaule de l’autre je contrôle les hanches. En fait ,je ne contrôle rien car la mécanique se met en marche en pilote automatique et je me met à lui baratter les fesses comme un diable, je ne sais plus rien que mon plaisir le plus primitif, lui bombarder le cul et jouir, jouir, jouir longtemps. J’éjacule en plusieurs soubresauts profond comme des lames de font. Un tsunami de sperme explose mon gland.
Je reste pantois un sacré moment debout derrière lui, accroché à ses épaules. Mes jambes ne me portes plus. Une fatigue générale s’installe. Il m’accompagne jusqu’au canapé, m’agenouille devant et me laisse m’étendre à plat ventre dessus. Sa main me fouille les fesses pour trouver l’entrée de mon intérieur. Il me fait lécher l’olisbo tout mignon préparer à l’avance et l’enfonce sans résistance dans mon cul. Il change de taille régulièrement car il possède toute la collection en albâtre qui lui vient de sa grand mère. Je me sent bientôt remplis par son doigte habile. Il me lèche l’anus et c’est là mon plaisir le plus grand. Je ne sais pas résister à cette onde envahissante de plaisir sans faille. Et je ne résiste pas quand il met son sexe dur au fond de mon abîme. En plusieurs étapes puis le mouvement se cadence vers la décadence. Je me sent femme durant une éternité. Je voudrais des bas de soie blancs et un tablier en dentelle. Il y a une femme qui dormais en moi et je ne le savais pas mais il me branle et je joui sans savoir la fin de l’histoire. Il termine l’aventure en crescendo, je le laisse faire en bon camarade, il le mérite, le polisson.
Avant de partir je lui dédicace le miroir de la salle de bain avec le diamant de la bague qui traînait dans la boîte à bijoux.
Chacun son tour.
Moi pd ? Alors là, plutôt me faire enculer
C’est exactement ça. J’ai envie de me faire enculer alors que je en me sent absolument pas attiré (sans jeux de mots, jeux d’homos, lol) par les hommes.
Pourtant j’aimerais, une fois, faire une rencontre sans lendemain. Faire la connaissance d’un homme qui introduirait son sexe dans mon anus. Qu’enfin je sache ce que c’est qu’être nu entre les mains d’un homme et sentir son sexe à l’intérieur de moi dans cette bizarrerie jouissive.
J’aimerais qu’il soit de mon age, intelligent, cultivé, généreux, distingué et délicat. Si en plus il est riche, beau et sympa je suis preneur. Je ne veux pas d’une bête sauvage cuir et latex ni d’une tafiole vulgaire et perverse qui joue aux dames et encore moins d’un crétin sans humour.
J’imagine une relation toute en douceur et délicatesse. Une rencontre d’exception. Un havre de spiritualité et de complicité qu’un accord tacite exonère de tout commentaire, de toutes paroles superfétatoires, l’intelligence au premier plan.
Une rencontre devant une cheminée rougeoyante de bonnes braises. Quelques bonnes bûches en réserve pour alimenter le foyer toute la soirée. Une intimité suave et profonde ou tout glisse de soi-même.
… La main d’un homme sur ma peau. Qu’elle sensation ?est-ce plus ferme et plus directe ?… Je ne le saurais sans doute jamais.
Depuis que je suis gardien de phare j’y pense souvent dans la solitude des tempêtes d’équinoxes quand je retourne dans mon lit au petit matin.....
Je suis assis à coté d’un homme que je ne connaît pas. Un verre de whisky à la main nous apprivoisons l’instant en regardant le feux. L’Aphroaig nous trouble de sa tourbe et son iode allume mon palais de sensualités évanescentes. Chaque gorgées est un nouvel instant en suspend. Une présence volumineuse du présent. Sa main remonte ma cuisse et s’arête quand ses ongles frôles ma braguette. Elle poursuit sa course sous mon t-shirt. J’ai du mal à accepter et retrouve l’inspiration en replongeant le nez dans mon verre. Ses doigts font une pose un moment, j’essai de me détendre, mon cœur est à plein régime. Il pompe en rythme et le sang expulsé cogne mes carotides comme des coups de butoirs. Il libère mon érection de sa prison de toile. Je suis tout entier au creux de ses mains. Il me masturbe doucement entre son pouce et son index puis avale ma queue en une seule fois. Je soulève les fesses pour retirer mon jean. Libérer j’écarte les cuisses mais lui lève la tête pour me dire « encule moi » On dirait du Boudart.
Je retire sa chemise, son futal. Il est à poils dessous. Pourquoi est-ce que je le sert dans mes bras Il m’arrive un flots de sentiments inconnus qui me submergent. Je ne suis plus moi et sans un remord je lui attrape le gland pour le mettre dans ma bouche. Comment puis-je faire cela Mais me voilà pris au jeu c’est lui qui me donne la capote indispensable aux ébats sereins. Je lui malaxe les couilles comme pour moi-même tout en pompant sa tige jusqu’a l’explosion. Il est crémeux le bougre !
Puis pensant à Jean Genet, je le retourne et lui crache un gros glaviot sur l’anus avant de présenter mon gland devant la porte de la nuit. Alors c’est stargate et la porte des étoiles qui s’ouvre. Je disparais de façon partielle dans son corp. Il est debout devant la cheminée. J’ai une main sur son épaule de l’autre je contrôle les hanches. En fait ,je ne contrôle rien car la mécanique se met en marche en pilote automatique et je me met à lui baratter les fesses comme un diable, je ne sais plus rien que mon plaisir le plus primitif, lui bombarder le cul et jouir, jouir, jouir longtemps. J’éjacule en plusieurs soubresauts profond comme des lames de font. Un tsunami de sperme explose mon gland.
Je reste pantois un sacré moment debout derrière lui, accroché à ses épaules. Mes jambes ne me portes plus. Une fatigue générale s’installe. Il m’accompagne jusqu’au canapé, m’agenouille devant et me laisse m’étendre à plat ventre dessus. Sa main me fouille les fesses pour trouver l’entrée de mon intérieur. Il me fait lécher l’olisbo tout mignon préparer à l’avance et l’enfonce sans résistance dans mon cul. Il change de taille régulièrement car il possède toute la collection en albâtre qui lui vient de sa grand mère. Je me sent bientôt remplis par son doigte habile. Il me lèche l’anus et c’est là mon plaisir le plus grand. Je ne sais pas résister à cette onde envahissante de plaisir sans faille. Et je ne résiste pas quand il met son sexe dur au fond de mon abîme. En plusieurs étapes puis le mouvement se cadence vers la décadence. Je me sent femme durant une éternité. Je voudrais des bas de soie blancs et un tablier en dentelle. Il y a une femme qui dormais en moi et je ne le savais pas mais il me branle et je joui sans savoir la fin de l’histoire. Il termine l’aventure en crescendo, je le laisse faire en bon camarade, il le mérite, le polisson.
Avant de partir je lui dédicace le miroir de la salle de bain avec le diamant de la bague qui traînait dans la boîte à bijoux.
Chacun son tour.
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