Sir Eric 18

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sir Eric 18 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Sir Eric 18
La soirée a été calme si ce n'est qu'avant de rejoindre Dothée Sam m'a amené dans sa cabine et là j'ai du sucer pour la première fois sa queue noire au bout rose et me faire enfiler comme la lope que je devenais pour lui. Après seulement j'ai pu rejoindre Dothée qui elle m'a sucé avant de me donner sa chatte, soupirant d'aise.
-Ne t'inquiètes pas tu restes le mari que j'aime et dont j'ai rêvé. J'aurais aimé être comme toi, à la fois fille et garçon. On s'est endormi dans les bras l'un de l'autre. Je n'ai pas eu la sensation d'avoir dormi quand Steevy m'a donné une petite baffe.
-Il faut aller réveiller ton mec Hans! T'as le temps de laver ton cul après chier, je te suis dans la salle de bain. Là, montre tes fesses que je t'enfonce la poire dont je dois me servir Il l'a enfoncé sans trop de difficultés et l'a pressé envoyant de l'eau tiède dans les fesses. Garde ça un moment et va t'assoir pour te vider. Autant être propre. Moi je dois sucer la queue qui m'a enculée alors nettoie bien tes fesses.
J'ai tenu ce que j'ai pu et quand je me suis lâché je n'en finissais pas. Il a recommencé une fois. Là c'est mieux l'eau est claire. Ne mets que ton peignoir tu le garderas surement peu.
Après un bisou sur la joue de Dothée même pas réveillée je suis sorti en peignoir dans le couloir. La cabine 8 n'était pas loin mais je flippais avant d'arriver. et plutôt que de frapper j'ai appuyé sur la poignée, la porte s'est ouverte. Le rideau du hublot fermé j'ai refermé la porte et dans le peu de lumière je me suis approché du lit. j'ai senti de suite sa chaleur , il devait soit dormir nu soit être réveiller et attendre. J'ai pas attendu sachant son désir et j'ai pris son sexe raide en bouche.
Il n'a pas attendu plus pour me tenir par la nuque sur son sexe bien enfoncé.
-Tu pomperas après mais avant j'ai besoin de pisser alors avale et ne fais pas de saloperie en en laissant échapper sur les draps. C'est sorti doucement mais assez vite le flot s'est accéléré, j'avais du mal à avaler mais je n'ai rien laisser échapper. Tu vas devenir un vrai pro de lope. Maintenant suce, doucement, caresse mes couilles en même temps. Oui, comme ça. Le premier jus du matin est plus abondant que le soir. Stoppe arrête , assieds toi sur ma queue, dépêche.
C'est entré plus vite que la veille et en deux ou trois va et viens j'ai senti les contractions de sa bite en moi. Il m'a reculé la tête une fois retiré pour s'essuyer sur ma joue laissant une trace de jus.
-Aller va retrouver ta femme mais ne t'essuie pas avant. J'ai prévenu le commissaire du bord de nous garder la petite table du coin. On se verra ce midi au bar.
Je suis sorti dans le couloir en robe de chambre un groom m'a laissé le passage surpris de me voir sortir de cette chambre.
Je suis entré dans la mienne rapidement. Steevy me guettait sans doute et a eu un petit rire.
-Il a du aimer tu as encore des traces! Sam est sorti de sa cabine et a eu un sourire aussi.
-Par contre lave toi la bouche, t'as une haleine de pisse! Tu ferais fuir Dothée. J'ai filé me laver sous la douche . Ne ferme plus à clé. Une lope ne dot pas avoir d'intimité.
je me suis rincé , insistant sur mes lèvres et ma langue avant de me rincer avec un bain de bouche. En sortant Dothée était assise autour d'une petite table, buvant un café avec un pot à côté et une tasse. Nue elle était belle! je n'ai pas demandé qui avait apporté le café ayant croisé un groom dans le couloir. je me suis assis en face d'elle après la bise rituelle du matin.
-Alors le réveil de Hans, bien passé?
Oui chérie.
-Tu deviens célèbre le mousse qui a amené le café a demandé de tes nouvelles. Tom a du bavarder.
En tout cas le café est bon.
Sam m'a fixé: Tu veux une goutte de lait dedans?
Je l'ai regardé, une seule goutte?
-Mais non lopette t'as bien compris. Un peu plus qu'un nuage de bonne crème d'homme! Désolé Dothée mais ici il n'est qu'une lopette. Dehors je veux bien l'appeler monsieur.
-Cela ne me gêne pas Sam. Il est en effet une lope et nous l'éduqueront à chaque étape du voyage. Je pense qu'il aimerait le lait séparé du café, d'abord le lait puis le café.
-Tu as entendu Dothée? Desserre les lèvres forme un petit trou que je vais forcer pour te doser de jus et tu boiras le café après. J'avais la honte mais en même temps j'étais super excité, sa queue a ouvert ma bouche et en quelques aller et retour j'ai eu ma dose contre le palais. Savoure ça en buvant le café à petite gorgée. Son sperme était un peu poivré sur la langue et allait pas si mal avec le café, le rendant plus corsé.
Speedy me tripotait les couilles, les trouvant pas trop mal mais il disait qu'attachées comme un sac, ça ferait ressortir le coté mâle docile, me laissant mes attributs mais plus séparés et plus durs pour jouir.
J'ai du avoir l'air effaré car ils ont tous ri même Dothée.
-Je crois que j'ai du ruban, un peu large mais bon ça les fera pendre et il sera amusant à voir quand il va marcher avec. En tirant la peau vers la bas les couilles seront juste entre les cuisses je pense. Même Dothée s'y mettait.
Ils m'ont fait allonger par terre, Dothée a mis ses genoux sur mes épaules me disant de lécher son clito pendant que Sam déplaçait mon sas, l'ajustant bien en tirant pour que les boules soient entre mes cuisses et Steevy lui a fait le noeud avec du ruban assez dur, utilisé pour les coiffures sophistiquées. Une fois relâché et relevé je sentais bien mon sac de couilles entre mes cuisses, me faisant bander à l'équerre.
Il faut avouer que c'était terriblement excitant et inconfortable de les sentir à cet endroit.
-Bon Tu vas t'habiller et on va se promener sur le pont. Steevy, habille moi, mets moi la robe très décolletée et rien dessous évidemment. Et toi! N'oublie pas de mettre le corset, Sam va le serrer.
Entre le corset et les couilles attachées je faisais vraiment lopette soumise. C'était si affolant que je bandais comme un fou, je bavais et j'ai eu du mal pour mettre ma queue raide dans le pantalon heureusement assez large à cet endroit pour que de coté on ne le remarque pas trop! Sam avait serré au maximum le corset j'avais du mal à respirer.
Dothée elle était à la limite de l'indécence, on voyait le début de ses seins ce qui n'arrangeait rien pour moi.
-Viens on va se promener sur le pont promenade.
Le passage dans le couloir a été dur mais l'air sur le pont m'a fait du bien et j'ai débandé doucement. On a fait le tour du pont promenade, saluant les personnes qui nous avaient vu à la table du commandant quand d'un coup je me suis trouvé face à Hans qui lui aussi faisait sa promenade, une lourde canne à la main.
-Comment va ma suceuse de bite?
Heureusement personne n'était à coté , j'ai vérifié d'un coup d'oeil.
Bien Hans merci.
-Le commandant m'a certifié que nous ferions du charbon ce soir et resterions à quai cette nuit. Tom qui connaît Tanger m'a de son coté dit qu'il avait quartier libre pendant l'escale et qu'il connaissait certains artisans très bons pour ta spécialité. J'ai posé la question du pourquoi Tanger plutôt que Trafalgar, La réponse est simple, Le charbon y est moins cher. Mais j'entends la cloche sonner, allons manger.
Le maître d'hôtel nous a dirigé vers la table ronde de coin, nous laissant la carte du menu avec une coupe de champagne.
-Tu sais ce que tu dois faire maintenant je pense.
Ouvrir la braguette?
-Oui et la ceinture de ton pantalon. Je veux avoir ton sexe sous mon pied.
Je me suis exécuté rapidement. Je rebandais mais au moins je ne tachais pas mon pantalon.
-Hé, mignon à sentir du pied tes couilles attachées! Facile à écraser en plus. Ne fais pas cette tête , tu adores ce qu'on te fait. Il lisait en même temps le menu et le plat principal l'a fait sourire. Tu vas manger de l'aile de raie au beurre, ça va te plaire.
On a mangé en même temps que je me faisais écraser les boules et caresser ma queue baveuse de sa chaussure. Esquissant un grognement quand il appuyait trop fort ce qui faisait sourire Dothée. A la fin du repas j'ai du remettre tout en place avant de me lever. Cette fois il ne voulait pas fumer et après un tour sur le pont on est rentrés dans notre cabine.
-Fous toi nu comme la lope que tu es. Non, garde le corset, il fait ressortir ton nouveau sexe. Cambré, tes fesses sont superbes. Je vais baiser ta femme qui en meurt d'envie et toi tu regardes sans te toucher, à genoux.

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Texte coquin : Sir Eric 18
Histoire sexe : Une rose rouge
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