Sir Eric 20
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Sir Eric 20
Les marches étroites m'ont amené à une sorte de terrasse fermée des quatre côtés, une cour à l'étage en fait avec une porte fermée par un rideau crasseux soulevé par le vent. A l'intérieur, une paillasse en crin recouvert d'un tissus taché et une fenêtre face au lit , grillagée. Dans un coin un chiotte à la turque avec un pommeau de douche au dessus Un robinet contre le mur et un seau complétait le mobilier.
Le mec m'a mis un doigt dans les fesses en rigolant.
-Pas très large encore. Tu suces? Il avait soulevé sa tunique exhibant un beau braquemard circoncis. Montre moi. Il n'était pas sale mais sentant la pisse. Tu comprends pas le français? Il m'a chopé par la nuque me penchant en avant sur son gland, le promenant sur mes lèvres en appuyant. SUCE!
J'ai appris le premier mot de français avec lui. J'ai sucé, en bouche on sent moins, sauf un peu dans les poils. J'ai entendu des pas sur la terrasse. Le chiffon de la porte s'est ouvert. C'était le mec du bas. Lui, parlait anglais.
-Alors lopette d'anglais t'aimes la queue des arabes? J'espère que oui car je vais mettre une pancarte en bas, discrète, pour pas avoir les flics sur le dos. Le tarif sera élevé, les blancs vraiment blancs sont pas nombreux ici. J'ai pas compris mais il devait demander comment je suçais le mec a levé le pouce. Il a dit autre chose, le mec m'a envoyé en arrière sur la paillasse ou je suis tombé cuisses ouvertes .
-Mon vendeur me dis que t'es pas très ouvertJ'ai voulu dire que la queue de Tom était épaisse mais j'ai pas eu le temps, j'ai crié, le mec me prenait à sec.
-Le patron a rigolé. J'aime bien les mecs qui gueulent. Dans la bouche c'est pas pareil, mais là on voit que ça passe bien. C'est le premier et à sec, normal. Dans un moment tu seras graissé et bien. Ton cul s'ouvrira bien!
Si j'en étais pas sur j'ai compris que les deux salauds m'avaient laissés dans un petit bordel. Je n'allais pas en sortir indemne. Le mec s'est activé dans mon cul, labourant à grands coups et a joui tout en se retirant. Il a dit un truc en arabe et l'autre a ri.
-Maintenant il vient de me dire que t'es graissé comme il faut. T'inquiètes pas, la journée s'est calme, le soir ça s'active et y a du monde dans le souk. Autant d'étrangers que d'acheteurs du coin qui profitent en passant. J'ai dis à Abdu de descendre surveiller et de ne pas en faire monter plus de deux. Y en a qui n'aime que voir, d'autres ce sont les fesses ou la bouche. Moi je reste à surveiller la marchandise.
Abdu (c'était le nom de mon enculeur) était descendu et le patron aimait discuter alors il parlait. Un mec est monté, grand, black. Il a défait son pagne exhibant une large queue noire.
-Suce! Il m'a tenu la tête dessus allant doucement mais à fond dans ma bouche à chaque fois. J'étais près à cracher sa teub mais il continuait, palpant ma gorge pour sentir sa queue et d'un coup il m'a tenu plaqué dessus m'envoyant son jus moitié vers les poumons moitié vers l'estomac.
Quand il m'a lâché il a simplement dit bonne pute en partant , pendant que je toussais et crachais pour reprendre mon souffle.
-Je le vois souvent celui là et crois moi il a du être content pour dire ça.
Les trois et quatre suivants se sont servis ensemble de mon cul et de ma bouche sans un mot en français , le mec à coté me donnant la position à prendre. Je n'ai pas eu trop mal. Ensuite je ne sais plus, ils se sont succédés dans mes trous , à un ou deux. M'utilisant comme vide couilles. Quand je faisais mal une pipe je recevais une baffe. La nuit est tombée sans que je m'en aperçoive. Au matin il y a eu du remue ménage en bas et j'ai vu entrer Hans.
-Le salaud a osé te mettre dans un bordel, tu peux te lever?
Je crois oui mais comment es tu là?
-Plus tard, viens , descend. Il m'a aidé, j'avais mal un peu partout, lessivé et du mal a marcher. Arrivé en bas , Sam pas fier de lui m'a tendu une simple tunique .
-Je garde tes fringues y a tes papiers j'ai vérifié.
Des flics ne m'ont pas posés de questions mais on emmené le patron et le jeune qui tenait la boutique, s'excusant de leur comportement.
Encadré par Sam et Hans on a marché jusqu'à la passerelle ou Dothée attendait anxieuse. Une fois à bord un remorqueur nous a tiré jusqu'au moment ou le bateau a pu manoeuvrer. Le commissaire du bord mis au courant par Hans nous a mené discrètement à nos cabines.
-Ne vous inquiétez pas Tom a été retenu par la police et va passer un sale quart d'heure.
Une fois chez nous , Hans a aidé Sam pour me mettre dans la baignoire après m'avoir retiré la tunique. C'est avec une éponge douce qu'ils m'ont lavés délicatement comme un gamin. Ils m'ont expliqués comment ils m'avaient trouvé. Hans se promenait avec Dothée sur les remparts . Rejoins par Sam, seul qui leur a expliqué sans comprendre le grave de la situation ce qui s'était passé. Il ne connaissait que le nom du mec de la boutique et c'est la police qui a cherché. Il y avait plusieurs personnes portant le même prénom ce qui fait que ça a été long .
-Comment vas tu? Tu as mal au fesses?
Curieusement pas trop. Je suppose que la succession a habitué mes muscles à se dilater. Dans la tête par contre ce n'est pas génial.
-T'inquiètes on va te chouchouter . Il ne faut pas confondre une lope et une pute. On a prévu avec le commissaire que tes repas seraient amenés ici jusqu' à ce que tu te sentes bien. Aller lève toi, on te soutient et vient t'allonger sur le lit. Ils ont du apprécier t'as un joli corps. Bon on te laisse, Dothée va venir te voir tu es propre.
-Elle est entrée l'air catastrophé. Mon pauvre chéri ce qui n'était qu'un jeu a dérapé à cause de ce salaud de Tom. J'espère qu'il va servir à son tour, ça lui apprendra. Comment te sens tu? Elle était penchée sur moi, telle la mère que je n'avais que peu connu. La première ne m'avait pas laissé de souvenirs. Dès que tu seras remis vraiment on refera l'amour comme tu veux et "où" tu veux.
Merci Dothée je vais me reposer maintenant. A peine partie je me suis laissé aller et endormi d'un coup. Je n'ai même pas entendu qu'on était entré et avait posé un plateau repas sur une desserte. Qui? Je ne sais pas, j'étais nu mais bah, tant de mecs m'avait vu comme ça que je m'en fichais un peu. Je me suis assis pour manger, c'était bon et j'étais affamé. Je me suis allongé aussitôt après, demi rêvant sur ce qui s'était passé. Je rêvassais quand après un tout petit coup sur la porte elle s'est ouverte et un des grooms est entré .
-Ho pardon monsieur je venais voir si vous avez mangé et ramener le plateau. Ses yeux sans en avoir l'air me mataient et sans m'en rendre compte ma queue se dressait. Tom en parlait au carré mais je le croyais pas. Vous aimez les hommes?
J'ai eu un sourire. Mignon comme toi oui.
-Ce sera moi qui vous amènerais les repas jusqu'à la guérison. Le commissaire l'a décidé. Il a dit que moi j'étais doux.
Je crois que je vais être malade longtemps pour te voir souvent.
-Ho! Monsieur! Il a eu un sourire coquin avant de prendre le plateau et de se retirer.
Je me sentais mieux déjà et son regard avait eu un effet sur moi. Hélas je n'ai pas tenu longtemps raide et quand ils sont revenus de la salle à manger bavarder avec moi j'étais mou à leurs regards.
J'attendais maintenant les heures de repas, sachant que eux partis le groom allait venir et d'y penser me faisait bander dès qu'ils partaient. Dans ma tête l'oubli était là.
Le mec m'a mis un doigt dans les fesses en rigolant.
-Pas très large encore. Tu suces? Il avait soulevé sa tunique exhibant un beau braquemard circoncis. Montre moi. Il n'était pas sale mais sentant la pisse. Tu comprends pas le français? Il m'a chopé par la nuque me penchant en avant sur son gland, le promenant sur mes lèvres en appuyant. SUCE!
J'ai appris le premier mot de français avec lui. J'ai sucé, en bouche on sent moins, sauf un peu dans les poils. J'ai entendu des pas sur la terrasse. Le chiffon de la porte s'est ouvert. C'était le mec du bas. Lui, parlait anglais.
-Alors lopette d'anglais t'aimes la queue des arabes? J'espère que oui car je vais mettre une pancarte en bas, discrète, pour pas avoir les flics sur le dos. Le tarif sera élevé, les blancs vraiment blancs sont pas nombreux ici. J'ai pas compris mais il devait demander comment je suçais le mec a levé le pouce. Il a dit autre chose, le mec m'a envoyé en arrière sur la paillasse ou je suis tombé cuisses ouvertes .
-Mon vendeur me dis que t'es pas très ouvertJ'ai voulu dire que la queue de Tom était épaisse mais j'ai pas eu le temps, j'ai crié, le mec me prenait à sec.
-Le patron a rigolé. J'aime bien les mecs qui gueulent. Dans la bouche c'est pas pareil, mais là on voit que ça passe bien. C'est le premier et à sec, normal. Dans un moment tu seras graissé et bien. Ton cul s'ouvrira bien!
Si j'en étais pas sur j'ai compris que les deux salauds m'avaient laissés dans un petit bordel. Je n'allais pas en sortir indemne. Le mec s'est activé dans mon cul, labourant à grands coups et a joui tout en se retirant. Il a dit un truc en arabe et l'autre a ri.
-Maintenant il vient de me dire que t'es graissé comme il faut. T'inquiètes pas, la journée s'est calme, le soir ça s'active et y a du monde dans le souk. Autant d'étrangers que d'acheteurs du coin qui profitent en passant. J'ai dis à Abdu de descendre surveiller et de ne pas en faire monter plus de deux. Y en a qui n'aime que voir, d'autres ce sont les fesses ou la bouche. Moi je reste à surveiller la marchandise.
Abdu (c'était le nom de mon enculeur) était descendu et le patron aimait discuter alors il parlait. Un mec est monté, grand, black. Il a défait son pagne exhibant une large queue noire.
-Suce! Il m'a tenu la tête dessus allant doucement mais à fond dans ma bouche à chaque fois. J'étais près à cracher sa teub mais il continuait, palpant ma gorge pour sentir sa queue et d'un coup il m'a tenu plaqué dessus m'envoyant son jus moitié vers les poumons moitié vers l'estomac.
Quand il m'a lâché il a simplement dit bonne pute en partant , pendant que je toussais et crachais pour reprendre mon souffle.
-Je le vois souvent celui là et crois moi il a du être content pour dire ça.
Les trois et quatre suivants se sont servis ensemble de mon cul et de ma bouche sans un mot en français , le mec à coté me donnant la position à prendre. Je n'ai pas eu trop mal. Ensuite je ne sais plus, ils se sont succédés dans mes trous , à un ou deux. M'utilisant comme vide couilles. Quand je faisais mal une pipe je recevais une baffe. La nuit est tombée sans que je m'en aperçoive. Au matin il y a eu du remue ménage en bas et j'ai vu entrer Hans.
-Le salaud a osé te mettre dans un bordel, tu peux te lever?
Je crois oui mais comment es tu là?
-Plus tard, viens , descend. Il m'a aidé, j'avais mal un peu partout, lessivé et du mal a marcher. Arrivé en bas , Sam pas fier de lui m'a tendu une simple tunique .
-Je garde tes fringues y a tes papiers j'ai vérifié.
Des flics ne m'ont pas posés de questions mais on emmené le patron et le jeune qui tenait la boutique, s'excusant de leur comportement.
Encadré par Sam et Hans on a marché jusqu'à la passerelle ou Dothée attendait anxieuse. Une fois à bord un remorqueur nous a tiré jusqu'au moment ou le bateau a pu manoeuvrer. Le commissaire du bord mis au courant par Hans nous a mené discrètement à nos cabines.
-Ne vous inquiétez pas Tom a été retenu par la police et va passer un sale quart d'heure.
Une fois chez nous , Hans a aidé Sam pour me mettre dans la baignoire après m'avoir retiré la tunique. C'est avec une éponge douce qu'ils m'ont lavés délicatement comme un gamin. Ils m'ont expliqués comment ils m'avaient trouvé. Hans se promenait avec Dothée sur les remparts . Rejoins par Sam, seul qui leur a expliqué sans comprendre le grave de la situation ce qui s'était passé. Il ne connaissait que le nom du mec de la boutique et c'est la police qui a cherché. Il y avait plusieurs personnes portant le même prénom ce qui fait que ça a été long .
-Comment vas tu? Tu as mal au fesses?
Curieusement pas trop. Je suppose que la succession a habitué mes muscles à se dilater. Dans la tête par contre ce n'est pas génial.
-T'inquiètes on va te chouchouter . Il ne faut pas confondre une lope et une pute. On a prévu avec le commissaire que tes repas seraient amenés ici jusqu' à ce que tu te sentes bien. Aller lève toi, on te soutient et vient t'allonger sur le lit. Ils ont du apprécier t'as un joli corps. Bon on te laisse, Dothée va venir te voir tu es propre.
-Elle est entrée l'air catastrophé. Mon pauvre chéri ce qui n'était qu'un jeu a dérapé à cause de ce salaud de Tom. J'espère qu'il va servir à son tour, ça lui apprendra. Comment te sens tu? Elle était penchée sur moi, telle la mère que je n'avais que peu connu. La première ne m'avait pas laissé de souvenirs. Dès que tu seras remis vraiment on refera l'amour comme tu veux et "où" tu veux.
Merci Dothée je vais me reposer maintenant. A peine partie je me suis laissé aller et endormi d'un coup. Je n'ai même pas entendu qu'on était entré et avait posé un plateau repas sur une desserte. Qui? Je ne sais pas, j'étais nu mais bah, tant de mecs m'avait vu comme ça que je m'en fichais un peu. Je me suis assis pour manger, c'était bon et j'étais affamé. Je me suis allongé aussitôt après, demi rêvant sur ce qui s'était passé. Je rêvassais quand après un tout petit coup sur la porte elle s'est ouverte et un des grooms est entré .
-Ho pardon monsieur je venais voir si vous avez mangé et ramener le plateau. Ses yeux sans en avoir l'air me mataient et sans m'en rendre compte ma queue se dressait. Tom en parlait au carré mais je le croyais pas. Vous aimez les hommes?
J'ai eu un sourire. Mignon comme toi oui.
-Ce sera moi qui vous amènerais les repas jusqu'à la guérison. Le commissaire l'a décidé. Il a dit que moi j'étais doux.
Je crois que je vais être malade longtemps pour te voir souvent.
-Ho! Monsieur! Il a eu un sourire coquin avant de prendre le plateau et de se retirer.
Je me sentais mieux déjà et son regard avait eu un effet sur moi. Hélas je n'ai pas tenu longtemps raide et quand ils sont revenus de la salle à manger bavarder avec moi j'étais mou à leurs regards.
J'attendais maintenant les heures de repas, sachant que eux partis le groom allait venir et d'y penser me faisait bander dès qu'ils partaient. Dans ma tête l'oubli était là.
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