Sir Eric 3

- Par l'auteur HDS Conteur -
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sir Eric 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Sir Eric 3
Une fois là elle s'est roulée sur le ventre.
-Tu sais, ou tu devines très bien ce que j'ai en tête. J'ai voulu pardonne moi te mettre en situation d'évaluation . Un peu comme on juge le géniteur du troupeau. Rien ne t'effraye, fille ou garçon , autant que moi. Pour mon malheur je suis né fille et ne peut pas jeter mes cuisses à la face de n'importe qui. Toi si! Non ne m'interromps pas. Je voudrais être tout à toi, tu me plais, je pense te plaire mais il te faudra choisir une femme un jour.
Si tu me laisses des amantes que tu pourras partager je te serais fidèle avec les hommes du coté face. Toi? Je te laisse libre de tes amours , essaye seulement de ne pas faire trop de bâtards.
Holà! Attends un peu tu fais de beaux rêves mais je veux, si cela se fait, rester maître chez moi. Il faut moi aussi que j'évalue la marchandise. Ta mère est une bonne génitrice?
- Cinq frères et soeurs et je suis l'aînée.
Des biens?
- Ne fais pas celui qui ne s'est pas renseigné. 2500 acres à une vingtaine de kilomètre de chez toi et d'un seul tenant, moitié ruisseau et tourbières , moitié forêts, les deux propriétés se touchent d'un acre. Peu de paysans.
Tu oublies le village et le beau manoir au centre de la propriété.
-Tu vois que tu t'es renseigné.
Passons à la marchandise avant un accord au moins verbal. Je lui ai claqué les fesses sans qu'elle pousse un cri. Les écartant j'ai bien vu que je n'étais pas le premier à la sodomiser. Le black te prends le cul?
-La bouche aussi et j'aime ça.
Je l'embaucherais il me servira aussi. Comme ta lope de frère.
-Ho lui, je suis sur qu'il adorerais se transformer en fille s'il le pouvait.
J'ai déjà compris ça et pourquoi pas si il ne quitte pas ton domaine tant que père est vivant. Lui ne comprend pas ces choses là. Je sais qu'il suit un des procès d'Oscar Wilde avec une moue expressive. Si ta mère a eu autant d'enfants , où sont ils?
-Seule une soeur a vécue et elle est nonne . Si tu penses à l'héritage tout sera à nous faisant de nous la troisième fortune d'Ecosse.
Je ne pensais pas à ça mais bien sur c'est un beau cadeau dans la corbeille de mariage. Impossible de le faire intime.
-Ne va pas si vite bonhomme! Je veux essayer mon coté face mais avec une solide protection. Je pense être une bonne amante mais je veux le vérifier. Depuis qu'on parle, ton engin bave, c'est un bon signe?
Comme ton abricot qui s'entrouvre pour laisser passer ton humeur d'amante.
Après ce fut le silence, trop occupés l'un et l'autre pour parler, simplement des grognements fusaient, elle m'avait déjà sucé dans la première pièce. Je n'ai eu qu'à engager la langue dans son conduit et après juste ce préliminaire j'ai mis ce truc en caoutchouc qui venait d'être inventé, pas confortable pour l'homme mais sur pour la femme.
J'ai senti malgré tout l'hymen se déchirer et l'ai vu esquisser une grimace vite effacée par un sourire. Je découvrais moi aussi les plaisirs d'une femme et j'ai pu la pénétrer en insérant toute ma queue qui n'était pas petite et j'ai entamé une danse qui du slow est vite devenue frénétique. Loin du fox-trot.
J'ai du prendre mon pied mais elle en demandait encore et ce n'est qu'au troisième essai transformé qu'elle s'est relâchée, devenant poupée sous moi. Je me suis retiré doucement son sexe s'est refermé comme la fente d'une pêche, laissant juste un petit espace entre les lèvres.
Une fois ses sens repris elle m'a tendue les lèvres entrouvertes et on a mêlé nos salives et nos langues comme un contrat tacite.
-Je me doutais que ce serais bon mais à ce point!
Tu ne pourras plus t'en passer j'espère. Il va falloir parler à père, Je redoute de lui dire.
-Le mien sera content malgré sa tête de bulldog. Il te fera marcher .
Elle était rayonnante visiblement la plénitude de se sentir femme et libérée. Elle caressait mon corps partout de la tête aux pieds.
-Tu seras tout à moi quand je voudrais.
Hé hé, il faut parfois devoir attendre, c'est bon aussi.
-Avec moi tu n'attendras jamais sauf quelques jours par mois. Tu as une queue énorme!
Tu te trompes, il y a bien plus gros que moi et plus long.
-Je m'en fiche tu seras mon mari même si tu te sers d'autres corps ou que tu doives servir.
Tu sais que tu es une perle?
Elle a eu un éclat de rire.
-De celle qu'on enfile?
Ravissante idiote tu sais bien ce que je pense.
-En effet, ton truc reste dur après combien de temps?
Tout dépend de l'effet que l'on produit sur moi.
-Retournons voir les autres je veux qu'elles t'admirent dans cet état. Et je pense que je peux leur annoncer le futur?
Après le temps du deuil mon père sera ravi, donc tu peux.
On est retourné dans le salon ou ça sentait une odeur entêtante de cul, moi flamberge au vent, elle radieuse dans sa plénitude se femme comblée.
-J'ai une annonce à vous faire. Eric que voici m'accepte comme épouse si les parents ne s'y opposent pas. Nous pourrons continuer nos petits jeux sans conséquences et Eric aura accès à tout ce qu'il veux de moi. Un petit verre de punch pour fêter ça?
Si l'atmosphère était studieuse et très sexe elle est passée joyeuse en plus , les doigts comme les sexes exploraient les culs et les bouches ou les godes ont bien servi .Un buffet réapprovisionné par le petit black nous permettait de tenir et on avait souvent ou l'un ou l'autre les fesses occupées par un gode ou par la seule bite à part la mienne, celle du black.
En aparté je discutais de mes désirs profonds avec Dorothée lui avouant que j'aimais beaucoup le sado-masochisme sous la forme développée par le docteur Freud, plus sexuel que très douloureux. Elle même faisait ce genre de chose sans savoir qu'un docteur en disait du bien.
En souriant j'ai saisi le petit clitoris qui pointait et l'ai serré entre mes doigts. Elle a eu un instant de stupeur avant de sourire.
-C'est ce genre là que tu aimes?
Hé! Un simple exemple chérie, sur les hommes il y a plus de prise et plus grosses, très pendantes.
-Humm je ne pourrais pas vous satisfaire je n'ai pas de glandes qui pendent mais je suis sur que mon frère adore ça.
C'est une certitude je le sais pour l'avoir dressé. Mais pas chez moi, à l'université. Là bas ce ne sera pas pareil. Mais vous les filles avez d'autres point de châtiments.
-Humm un exemple?
Facile, j'ai pris un téton et l'ai pincé. Elle a grimacé puis souris.
-En effet ce peut être douloureux.
Je suis sur que vous aimeriez cela.
-Moi et les quelques coquines que je sélectionnerais pour me suivre dans le calvaire du mariage. Elle disait ça avec un franc sourire.
Faites en sorte qu'elles n'aient pas de prétentions et soit déjà déflorées ou mariées en blanc si nécessaire avec quelques coquins près à tout pour bien vivre. Disons trois couples si vous avez dans vos connaissances.
-Je marierais mon frère avec une lesbienne ce sera le premier couple. En deuxième je vais parler à Abdu j'ai vu l'intérêt que vous portiez à son membre et je lui trouverais une de son espèce ou bien une oie blanche intéressée. Enfin je trouverais soyez en sur.
Pendant qu'elle parlait je l'avais retournée et prenais son petit trou qui s'est ouvert comme une fleur.
-Ha mon ami. C'est bon aussi, de tous les cotés et je veux goûter aussi votre sperme.
La savoir ma future ne m'arrêtais pas et après avoir bien foré son anus je l'ai tourné vers moi. Elle me regardait bouche ouverte, les yeux brillants, recevant mon hommage. Je l'ai embrassé mêlant ma salive à mon foutre qu'elle avalait. Ma femme serait une salope et j'aimais ça.
Le temps passe vite quand on est occupé à l'amour et la nuit puis la journée du dimanche se terminait Il me fallait songer à rentrer et aussi à informer père. J'ai embrassé tendrement Dorothée avant de retrouver mes fringues, laissant son frangin se faire raccompagner. Personne ne m'attendait à ma chambre au bahut et je me suis précipité sous la douche, avant de m'allonger rêvant au futurs plaisirs.

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Texte coquin : Sir Eric 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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