Sir Eric 32 - histoire érotique

Le souper n'est pas notre principal repas aussi avons nous chipoté tandis qu'aux tables les gens mangeaient. Nous discutions de plus en plus librement tant le bruit des conversations montaient. Nos pieds se mêlaient laissant augurer des choses plaisantes. Le fils du lord nous a demandé de nous servir de son prénom , moins cérémonieux mais tellement moins aristocratique de John. Nous avons décliné les nôtres et en même temps que ma chaussure frottait sa cheville j'ai senti un autre pied contre la même cheville.
Tim et moi attaquions ensemble cette proie qui ne se retirait pas restant souriant et naturel . Il expliquait qu'il y avait des hommes d'une saleté apparente repoussante qui s'exhibaient nus, pas gêné le moins du monde tels de modernes Diogène. Adeptes d'un dieu inconnu de nos modernes et d'autres faisant voeux de rester debout sur une plate forme où ils ne pouvaient pas s'allonger, dormant debout.
Tout ceci sans être gêné le moins du monde par nos attaques de pieds.
-Mais comment faites vous vous même pour l'amour?
-Lequel ma chère Dothée? Il est souvent platonique ne pouvant savoir si le bel homme que je regarde est comme moi, adepte de l'amour entre homme? Les hommes sont bêtes , des fois un sourire paraît complice alors qu'il est méprisant . Je ne trouve pas de bonnes chaussures pour mon pied. Les européens se cachent hypocritement et quand je trouve il suffit bien souvent d'un contact buccal pour qu'ils repartent satisfaits. Je n'ai trouvé depuis que je suis en Inde qu'un seul allemand adepte de l'amour comme je le conçois.
Le repas se terminait et j'ai embarqué Dothée dans une valse lente le temps d'échanger son avis et le mien. Il s'est vite avéré que nos avis concordaient et que l'approche avait assez durée. Il allait falloir passer à d'autres choses plus concrètes. Je l'ai abandonné après la danse à John qui a demandé de lui pardonner ses pieds étant ankylosés mais qu'il allait faire de son mieux. Tim et moi restés à table étions d'accord, il nous fallait ce mec!
Après un temps raisonnable où Dothée a changé de cavaliers à chaque fois, on l'a invité à boire une coupe dans notre suite.
-Ho! Vous êtes les jeunes mariés dont tout le monde parle?
j'ai eu un petit rire.
Disons qu'ils parlent mais ne nous connaissent en rien, venez sans à priori , nous serions déçus sans vous.
-La vie donne tant de surprise que j'accepte, je viens avec vous.
La salle se dispersait et nous sommes montés à notre suite commandant au serveur une bouteille de leur meilleur champagne. Une fois celle-ci arrivée j'ai pris les choses en main. M'asseyant sur un canapé à coté de John j'ai posé la main sur son entrejambe, palpant l'organe qui a raidi aussitôt. Fermant les yeux il a cherché ma bouche et s'est collé à celles ci.
Sa main n'est pas restée inactive, ouvrant ma ceinture il a eu un petit "ho" étouffé en sentant de suite la peau humide de mon prépuce. Penché dessus il n'a pu voir Tim et Dothée se déshabiller et se caresser mutuellement. Je l'ai redressé pour qu'il profite de la vue.
-Vous n'allez pas me croire mais Dothée est la première femme nue que je vois. Plus que nue devrais je dire. Comme l'est Tim, imposant de virilité même sans poils.
-Alors il est temps de nous montrer nous même. Il a eu un sourire en voyant le corset.
-Adepte du docteur Freud?
J'en ai entendu parler en bien, sans plus. Et toi?
- J'aime vraiment me sentir sous l'emprise des hommes.
Déshabille toi. Entièrement, on te regarde, montre nous tout ce que tu caches.
Il a baissé la tête, ôtant sa veste rouge et le ceinturon. Il a ôté sa chemise et laissé glisser son pantalon, l'écartant au passage de sa queue gonflée, tendue, raide. Penché en avant il a défait ses souliers et ôté ses chaussettes. Il a relevé un peu les yeux, fixés sur ma poitrine.
-Voilà, je suis nu. Je me suis mis nu également. Mon gland décalotté par son début de pipe. sans poils, comme Tim.
Ta position quand nous serons ici sera à genoux je pense qu'elle te conviendra mieux, tu t'y sentiras plus à l'aise.
Il s'est laisse glissé à genoux la tête à hauteur de nos sexes.
-Comme cela Eric?
Plus d'Eric , si tu as lu Freund tu dois savoir comment m'appeler dans cette position.
-Oui pardon maître. Que de nouvelles sensations j'éprouve maître!
Tu n'as pas fini d'en éprouver. Penche toi en avant et montre ta cicatrice.
C'était visible car fait par un chirurgien militaire peu au fait des beautés masculines.
Montre maintenant ton autre sexe, ton cul si tu préfères. Il a appuyé les épaules sur le sol et a écarté les fesses à deux mains.
-Je suis puceau de là maître.
Tu ne le seras plus en repartant. Redresse toi. Suce nous l'un après l'autre et lèche aussi les couilles. Ne t'arrêtes pas après Tim, lèche aussi le sexe de Dothée que tu aimes ou pas il faut le faire. Un sous homme comme toi obéi.
Il bandait comme un fou, bavant sur le tapis. Ne te touche pas. Si tu en as envie demande nous!
-Ho oui maître j'ai envie. Il a sursauté quand la main de Tim est passé entre ses cuisses pour attraper ses couilles. J'ai vite compris qu'il avait tellement besoin de sexe que son esprit était loin de lui même, tout entier dans son sexe , cul et queue.
Tu connais la position assise des indiens? Les pieds bien à plat et les couilles touchant par terre. Il a aussitôt pris cette position. Du pied j'ai malmené un peu sa queue, l'écrasant peu à peu. Je crois qu'il est temps de te faire perdre ton pucelage. Avance à genoux vers le lit et repose le torse dessus, écarte bien les cuisses. Oui, comme ça. Je prenais tellement mon pied avec lui que je bavais aussi et que le gland a percé juste un peu entre les fesses.
D'une claque sévère sur une fesse je l'ai décontracté enfonçant le gland dans ce cul inexploré. Pour lui éviter les cris de plaisirs ou de douleurs, Tim à genoux devant lui se faisait sucer bien à fond. Dothée quand à elle serrait sa queue au point de la rendre presque noire en la trayant.
Je ne sais qui de Tim ou moi a joui le premier mais on s'est roulé une pelle et Dothée a desserré les doigts lui faisant répandre son jus sur le dessus de lit.
En nous retirant je lui ai dis de lécher son jus comme une fille de joie! Ce qu'il a fait sans hésiter.
On s'est assis un moment pour reprendre souffle. John lui est resté à genoux, pleurant mais de joie d'avoir enfin découvert l'amour physique et les joies que procure le don de soi. Tim le premier a repris des forces et la forme est venu se coller derrière les fesses de John. Cette fois, nul besoin de fesser son cul s'est ouvert , encore serré certes mais plus accessible. La belle bite de Tim a ramoné longtemps et Dothée a été forcé de se placer face à sa bouche .
Lèche ! Une lope obéi à tout sans état d'âme. Il a tendu le cou et a léché complètement enivré de sexe . Sans doute trop d'un seul coup. Il s'était barbouillé les lèvres et je lui ai dit de se tourner vers moi. Pas tes fesses! Ton visage. Là je lui ai roulé une pelle puis léché les lèvres.
Tu as réussi un excellent examen de passage et tu seras notre soumis quand nous serons seuls. Tu peux t'habiller et aller chercher tes affaires. La deuxième chambre de la suite est libre et tu y seras plus à l'aise. Avant, trinquons même si il est un peu chaud . A moins que tu ne sois pas d'accord.
- Il a eu un moment l'air égaré. Pas d'accord, moi? Mais c'est tout ce que je cherche depuis ma mise en demi solde comme pensionné. Je serais votre attentionné serviteur sexuel tant qu'il vous le plaira.
On a levé nos verres et bu le reste de champagne.