Sir Eric 48 - histoire érotique

Pour ce soir je choisirais deux jeunes rasés. Je supposent que vous êtes tous recto verso?
-Ho oui my laird.
Bien, donc je veux un petit cul serré et une grosse bite. Je suis passé entre eux , soupesant, évaluant d'un doigt sur la raie et j'ai choisi. Lisa, à toi de choisir.
-J'en veux qu'un, fougueux. Dothée si tu le désires, je te le laisse.
-Non moi je prends celui qui est là, bien monté pour me faire jouir par les fesses, l'autre porte est réservée à mon mari.
Kim et Tim ont pris le même , l'un de ceux qui revenait de la cave.
Je ne savais pas ou était ma chambre aussi j'ai suivi le premier au premier étage où une fois la porte ouverte un immense lit était installé avec un balcon donnant sur le lac. Le mec devant moi s'est retourné sexe raide, prépuce un peu décollé montrait un bout de gland Il s'est collé à moi pour m'embrasser, sa langue fouillant ma bouche ses deux mains sur mes fesses les écartaient, offrant une bonne vue pour celui qui me suivait qui s'est accroupi pour lécher ma fente qui n'était plus un petit trou tellement elle avait servi.
Le mec qui m'embrassait m'a fait pencher un peu pour que je tête ses mamelons bien formés et durs. Derrière, la langue est venue sur le scrotum. Je bavais déjà depuis un moment. Il a passé les doigts sur mon gland avant d'étaler ma bave sur mon cul et se relever. J'ai senti le gland pousser sur mon trou qui s'est ouvert et il a commencé ses va et vient.
J'étais encore debout, tremblotant sur mes jambes. Le mec devant moi est descendu, sa langue passant sur moi jusqu'à mon sexe et m'a sucé, laissant mon corps remuer sous les coups de boutoir du mec dans mes fesses, caressant mes couilles et tirant un peu dessus pour que j'ai la bite droite.
Le mec qui suçait a fini par coucher sur le lit son buste, tenant écartées ses fesses. Toujours poussé par celui qui me ramonait le cul, je me suis planté, à mon grand plaisir dans le cul du mec sur le lit. Sans jouir, restant constamment à la limite , on a exploré toutes les positions où je me trouvais coincé entre eux, l'un ou l'autre me labourant et moi suçant ou léchant.
J'ai vite été dans un état incontrôlable et me suis lâché. Ils m'ont portés jusqu'à la baignoire ou j'ai eu droit à un lavage en règle de tout mes orifices et de mon sexe ramolli. Ils m'ont séché avant de me mener au lit et à force de caresses je me suis endormi entre eux. Je me réveillais parfois et je sentais aussitôt un main entre mes cuisses, caressante, serrant parfois mes couilles avant une sodomie consentante mais forcée jusqu'à ma propre éjaculation et une main qui caressait mes tétons pour me calmer et m'endormir. Tout se passait à la lumière de la lune.
Quand le soleil s'est levé j'étais comme toujours le matin en érection et me suis dirigé vers la salle de bain. Pissant dans les toilettes j'ai senti une main prendre ma bite pour en diriger le jet . J'entendais couler l'eau dans la baignoire et le mec derrière moi (c'était un mec à n'en pas douter avec ce que je sentais contre moi) me passer une cagoule qui se collait au visage ne laissant que ma bouche libre.
La baignoire n'était pas celle de mon souvenir et j'ai du descendre quelques marches avant de rentrer dans l'eau. C'était en fait un vrai bassin, je n'en touchait pas les bords mais debout j'avais la tête hors de l'eau. Le mec m'a guidé dans un coin ou , deux marches menaient à ce que j'ai senti être une cuvette où j'ai pu satisfaire mes besoins intestinaux.
Après les traitements de la soirée et de la nuit, j'ai vite tout évacué avant qu'un mécanisme se déclenche. Un haut parleur diffusait un classique que je connaissais. Cette fois j'ai senti les mains, combien, je ne sais pas me passer différents produits dans mes poils, tous et partout avant de me guider pour sortir et m'essuyer dans une serviette tiède. Sans un bruit ils ont du sortir et j'ai retiré la cagoule. Je me trouvais devant la fenêtre donnant sur le lac. Une fine bruine tombait.
Sur le lit un peignoir en éponge m'attendait aux armoiries du clan . Je l'ai passé me sentant merveilleusement détendu et suis descendu par un escalier plus étroit qui m'a mené dans un petit salon.
Gwen est apparue, petit sourire ambigu aux lèvres.
-Bien dormi my laird?
Formidablement bien Gwen. Tom a fort bien choisi. La nuit fut très bonne. Et Dothée?
-Elle a décidé de prendre son déjeuner dans la chambre. Jessica s'occupe d'elle.
Bien , ça sent très bon mais je ne connais pas la cuisinière.
-C'est normal monsieur elle est sourde et muette et a sa propre compagne.
Bah, vu l'odeur je pense qu'elle doivent bien cuisiner à deux!
-Thé ou café my laird?
Café le matin pour me réveiller complètement. Je pense que Tom est arrivé?
-Oui . Il vous attends pour vous montrer son oeuvre.
Je ne sais même pas son ancien métier!
-Il a commencé chez un orfèvre mais au village il était forgeron. Il est très doué de ses mains.
Bien je serais dans la cour après le café et m'être changé.
Je suppose qu'elle faisait tout car en plus du café j'ai eu sur un petit plateau un croissant, de la brioche , de la marmelade et un petit pot de lait à coté d'une grande tasse de café. J'étais chez moi et c'était le lieu que j'allais adorer. Après avoir déjeuné je suis monté me changer, j'ai trouvé tout rangé dans mon armoire et le bureau, par qui et quand? Je ne sais pas mais c'était bien fait. J'ai souri en voyant les sous vêtements que Dothée avait acheté pour moi.
Je suis descendu dans la cour, Tom était en grande discussion avec un gars d'une vingtaine d'année. Je me suis approché. En fait le jeune avait passé la nuit avec moi, quand je l'ai vu de face et me croyais uniquement actif.
-Je ne sais pas ou tu as pris ça mais t'es à coté mec! Il fait ce qu'il veut avec son corps et le tien, c'était convenu comme ça. Ho! Bonjour my laird en forme?
En plein et ne lui en veut pas il comprendra tout les plaisirs entre homme ou femme par la suite. D'ailleurs, vient avec nous, allons voir comment est installé John.
On est descendu par un escalier et suivi après un tournant une longue galerie voutée qui devait communiquer avec une vieille tour. Là on a eu deux sous sol et on a ouvert une porte en allumant la lumière. John était là, clignant des yeux ébloui par la lumière brutale. Il était nu avec un collier au cou en cuir qui ne lui permettait pas d'accéder à la porte mais à une table tendue par deux chaînes au mur avec une couverture posé dessus. Dans un coin une petite ouverture avec un tube en inox évasé lui permettait de se satisfaire.
Alors la chienne, bien dormi? T'as compris ce que t'étais pour nous? Un simple chien d'anglais. Ici t'es en Ecosse et donc t'es plus rien. Profites de ta petite liberté pour te branler car bientôt tu ne pourras plus le faire.
Rien que de nous voir il bandait et bavait. Il a eu un geste vers sa queue.
Oui vas y! Profites de ta chance, branle toi et ne baisse pas les yeux, regarde nous . Tu n'as plus pour longtemps la possibilité de le faire. Il a eu un moment d'hésitation puis a chopé sa queue , petite mais raide et a commencé à se branler, découvrant le gland à chaque mouvement. On voyait dans ses yeux de la honte mais aussi la fierté de devoir servir sexuellement. Un premier jet est parti assez loin, suivi de deux ou trois autres moins puissants.
Continue! Vide toi bien à fond. Il a eu un mouvement de dépit, sa bite avait ramollie assez vite. Tom qui est là est orfèvre et forgeron et va te faire une petite cage sur mesure pour ton oiseau. Avance vers le jeune là. Tend le cou , tu vas lui lécher le gland. Tu dois arriver juste en léchant le bout à le faire jouir sur ta tronche d'anglais. Je m'étais tourné vers le mec et lui avait coincé le kilt dans la ceinture. Arrange toi pour qu'il ne puisse que frôler le bout avec sa langue.
-Oui , ça commence à me plaire. Je l'ai décalotté et il s'est approché un peu. John tendait a langue , tirant sur le collier mais touchant à peine le bout.
Non, ne t'avance pas laisse le arriver à passer la langue sur le bout du gland. En forçant il a touché un peu mieux , juste sans aller sous le gland mais ça a provoqué une explosion de foutre qui lui a aspergé le visage.
Bien . Tom a pris les mesures et reviendra pour l'ajustage. On a refermé la porte et éteint.
Il commence à être à point, moins de gras mais tout autant de fesses. Avant chaque essayage il faudra le branler au gant de crin et lui attacher les mains dans le dos. On est remonté. Dothée était allongée sur une bergère à demi nue, son ventre tendu ,rebondi.