Sir Eric 5
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sir Eric 5
Du coup j'ai flippé toute l'après midi. Eddy rigolait je voyais son sourire dans l'amphi derrière moi. Le cours fini je suis allé le voir. Impossible ton truc je peux pas faire ça à ma future.
-Tu rigoles. T'as surtout la frousse que ton boy te voies te faire prendre et je suis sur qu'en gros vicieux tu vas aimer ça!
Il rigolait mais c'est bien ça qui me gênait et aussi m'excitait. Il a posé la main sur mon épaule.
-Aller viens on va chez toi.
Mon boy n'était pas rentré de son cours ce qui n'a pas empêché Eddy de me faire dessaper et de me mettre sous la douche.
-Lave bien tes fesses et même l'intérieur. Il a avait simplement ôté sa veste et assis sur le banc de la douche me regardait faire. Insiste bien dans ton trou. Ne me regarde pas si ça te gêne.
J'ai entendu la porte de la chambre s'ouvrir et me suis retourné aussitôt. Mon boy est entré dans la douche. La porte cachait Eddy.
-Euh pardon monsieur je ne savais pas que vous laviez aussi cet endroit en ce moment.
Eddy a repoussé la porte qui le cachait.
-Il se lave parce que je vais l'enfiler et il aime ça.
Non Eddy laisse le sortir il n'a pas besoin de voir.
-Ho que si , il a surement déjà vu de ses potes s'enfiler. Aller, dis le que tu aimes ma queue.
Il me mettait devant les faits et j'ai soupiré un oui, c'est vrai.
-Retourne toi en disant ça. montre ta queue.
Je bandais comme un fou , raide dingue, tête baissée.
-Vous êtes beau monsieur.
-Pour ça oui, il est bien monté et tant mieux pour sa future mais il est aussi une bonne suceuse. Aller sors de la douche et demande moi ma queue.
La honte qu'il me foutait! Bu et bandé, j'ai demandé sa bite.
-Alors à genoux et sors là toi même.
J'ai défait sa braguette et baissé son short, laissant échapper son membre Déjà raide , le gland dans le prépuce.
-Toi petit tu ne touche pas, tu regarde , c'est tout. Et toi mec tu suces bien , qu'elle glisse facilement dans tes fesses.
J'ai bien senti que depuis qu'il avait uriné il ne s'était pas lavé, mais bon j'ai serré les lèvre et appuyé sur la peau pour faire sortir le gland dans ma bouche.
-Salive bien mec autrement tu vas couiner quand je vais t'enculer.
Je ne faisais que ça pour faciliter sa pénétration.
-La, c'est bien, retourne toi et appuie tes mains sur le banc, tourne tes fesses de coté et écarte bien tes cuisses.
J'avais honte mais je voyais du coin de l'oeil mon boy qui avait sorti sa tige er se branlait doucement. Les yeux fixés sur la queue d'Eddy qui pointait entre mes fesses. Il n'a pas donné dans la douceur et m'a défoncé lentement mais bien au fond. Je n'ai pu retenir quelques gémissements ce qui a fait ricaner Eddy.
-Tu vois le mec que tu sers qu'il aime aussi se faire défoncer le cul?
Il n'a pas répondu, tout au plaisir du spectacle et de sa branlette. Près de jouir.
Eddy lui ne s'est pas retenu non plus, me retournant en se dégageant pour me gicler dans ma bouche qu'il a ouverte.
-Nettoie ma queue lopette, ton boy a tout compris. Il a remonté son pantalon et est sorti en rigolant.
Laisse moi un moment petit que je me lave.
Une fois sorti je suis allé sur la cuvette évacuer le sperme en poussant avant de m'essuyer.
J'ai remis un caleçon avant de sortir. Il attendait, rouge de ce qu'il avait vu.
-Je ne savais pas monsieur vous auriez du crier je ne serais pas entré.
Ne t'en fais pas c'est lui qui tenait à m'humilier devant toi.
Du coup vous n'avez pas joui vous?
Ne t'en occupes pas s'il te plaît.
Mais si, ce sera mon rôle je suppose, de vous donner du plaisir alors laissez moi vous branler. Juste ça. Tu es trop vicieux pour ton âge, attends un peu et quand on sera chez moi on verra. Tu en es où? 16ans et combien?
-17 dans deux mois monsieur.
Tu as encore beaucoup de chose à apprendre avant de vraiment être sur de tes penchants. Je fais UNE exception , une seule. Je me suis allongé . Vas y, branle moi.
Il a attrapé mon sexe comme un noyé prend une branche tendue et doucement l'a décalotté. Crachant dans sa main il a caressé mon sexe en serrant, comme pour pomper de l'eau, palpant mes couilles. J'avais fermé les yeux mais pour sa jeunesse il était doué et je n'ai pu me retenir très longtemps crachant loin sur mon ventre.
Bon tu as vu et fait ce que tu voulais laisse moi maintenant, ramasse mes fringues sales et habille toi, on devine ce que tu viens de faire. J'ai bien vu son regard triste mais il a obéi. Une fois parti je me suis senti calme et détendu, ne pensant plus qu'à Dorothée. Je l'imaginais plus libre que moi ,cuisses ouvertes à la langue d'un de ses filles comme elle les appelait. J'étais fou de joie malgré ce qui venait de se passer. L'année allait se terminer bientôt et bye bye Eddy .
Pour ne pas déranger encore mon père je lui ai envoyé ce qu'on appelait un bleu: "père Dorothée prévenu attends votre visite". Il y a des fois où des mots écrits passent mieux que dits.
Il faut croire que ces deux là s'entendaient car j'ai eu la réponse deux jours plus tard: "Fiançailles possible à ton retour et le sien, lettre suit".
Mon boy dont j'avais su le prénom, Steve était tout à fait sérieux depuis mon histoire avec Eddy et je n'avais pas de problèmes avec lui. Des regards, certes, mais bon c'est humain. J'ai rappelé Dorothée mais elle était au courant et avait pensé à une de ses copines, pas farouche des fesses mais lesbiennes coté face n'acceptant que les hommages féminins. Tout à fait d'accord pour se marier avec un homosexuel, chacun faisant sa vie sexuelle de son coté.
Les deux mois suivant seraient durs mais avec le bonheur au bout.
Pour résumer la lettre de mon père qui ignorait la protection que j'avais utilisé avec Dorothée, Il m'informait avoir demandé par lettre envoyée le lendemain de la mienne au directeur de l'université de me libérer immédiatement, n'ayant pas de concours à la fin de l'année et rien que je n'ai besoin de savoir supplémentaire pour lui succéder.
J'ai aussitôt informe Dorothée mais elle avait aussi reçu une lettre équivalente, la concernant elle et non son frère présumé. Lui avait ses études à finir de façon à gagner sa vie.
Dothie demain je prends la route pour aller chez mon père je pense emmener mon boy avec moi pour m'aider lors des fatales crevaisons les routes sont encore en mauvais état malgré le procédé de sir Macadam. Lui ne peux plus payer ses études et continuera à me servir comme valet de chambre. Vous allez l'adorer. Je vous fait des bisous à l'endroit si sensible entre vos cuisses en attendant les réels.
Le lendemain j'étais convoqué par le directeur qui était au regret de se séparer de moi pour des motifs familiaux. J'étais libre de partir dès que je le voudrais. Je l'ai remercié et lui ai indiqué que j'emmenais avec moi le jeune Steve dont il devait savoir l'état impécunieux des parents.
-En effet, je savais et je préfère que cela se passe comme ça pour lui et pour ses parents. Il s'est levé de son bureau pour un check-hand appuyé. Je vous souhaite le meilleur sir.
Ouf ais je pensé à part moi en sortant. Il devait avoir fait prévenir Steve que j'ai trouvé dans ma chambre et qui s'est jeté dans mes bras.
-Sir je ne saurais jamais vous remercier, vous m'évitez les déboires d'un rejet public.
Et bien si tu faisais mes malles et tes valises? Nous passons chez Dorothée et prenons la route ensuite.
-Tu rigoles. T'as surtout la frousse que ton boy te voies te faire prendre et je suis sur qu'en gros vicieux tu vas aimer ça!
Il rigolait mais c'est bien ça qui me gênait et aussi m'excitait. Il a posé la main sur mon épaule.
-Aller viens on va chez toi.
Mon boy n'était pas rentré de son cours ce qui n'a pas empêché Eddy de me faire dessaper et de me mettre sous la douche.
-Lave bien tes fesses et même l'intérieur. Il a avait simplement ôté sa veste et assis sur le banc de la douche me regardait faire. Insiste bien dans ton trou. Ne me regarde pas si ça te gêne.
J'ai entendu la porte de la chambre s'ouvrir et me suis retourné aussitôt. Mon boy est entré dans la douche. La porte cachait Eddy.
-Euh pardon monsieur je ne savais pas que vous laviez aussi cet endroit en ce moment.
Eddy a repoussé la porte qui le cachait.
-Il se lave parce que je vais l'enfiler et il aime ça.
Non Eddy laisse le sortir il n'a pas besoin de voir.
-Ho que si , il a surement déjà vu de ses potes s'enfiler. Aller, dis le que tu aimes ma queue.
Il me mettait devant les faits et j'ai soupiré un oui, c'est vrai.
-Retourne toi en disant ça. montre ta queue.
Je bandais comme un fou , raide dingue, tête baissée.
-Vous êtes beau monsieur.
-Pour ça oui, il est bien monté et tant mieux pour sa future mais il est aussi une bonne suceuse. Aller sors de la douche et demande moi ma queue.
La honte qu'il me foutait! Bu et bandé, j'ai demandé sa bite.
-Alors à genoux et sors là toi même.
J'ai défait sa braguette et baissé son short, laissant échapper son membre Déjà raide , le gland dans le prépuce.
-Toi petit tu ne touche pas, tu regarde , c'est tout. Et toi mec tu suces bien , qu'elle glisse facilement dans tes fesses.
J'ai bien senti que depuis qu'il avait uriné il ne s'était pas lavé, mais bon j'ai serré les lèvre et appuyé sur la peau pour faire sortir le gland dans ma bouche.
-Salive bien mec autrement tu vas couiner quand je vais t'enculer.
Je ne faisais que ça pour faciliter sa pénétration.
-La, c'est bien, retourne toi et appuie tes mains sur le banc, tourne tes fesses de coté et écarte bien tes cuisses.
J'avais honte mais je voyais du coin de l'oeil mon boy qui avait sorti sa tige er se branlait doucement. Les yeux fixés sur la queue d'Eddy qui pointait entre mes fesses. Il n'a pas donné dans la douceur et m'a défoncé lentement mais bien au fond. Je n'ai pu retenir quelques gémissements ce qui a fait ricaner Eddy.
-Tu vois le mec que tu sers qu'il aime aussi se faire défoncer le cul?
Il n'a pas répondu, tout au plaisir du spectacle et de sa branlette. Près de jouir.
Eddy lui ne s'est pas retenu non plus, me retournant en se dégageant pour me gicler dans ma bouche qu'il a ouverte.
-Nettoie ma queue lopette, ton boy a tout compris. Il a remonté son pantalon et est sorti en rigolant.
Laisse moi un moment petit que je me lave.
Une fois sorti je suis allé sur la cuvette évacuer le sperme en poussant avant de m'essuyer.
J'ai remis un caleçon avant de sortir. Il attendait, rouge de ce qu'il avait vu.
-Je ne savais pas monsieur vous auriez du crier je ne serais pas entré.
Ne t'en fais pas c'est lui qui tenait à m'humilier devant toi.
Du coup vous n'avez pas joui vous?
Ne t'en occupes pas s'il te plaît.
Mais si, ce sera mon rôle je suppose, de vous donner du plaisir alors laissez moi vous branler. Juste ça. Tu es trop vicieux pour ton âge, attends un peu et quand on sera chez moi on verra. Tu en es où? 16ans et combien?
-17 dans deux mois monsieur.
Tu as encore beaucoup de chose à apprendre avant de vraiment être sur de tes penchants. Je fais UNE exception , une seule. Je me suis allongé . Vas y, branle moi.
Il a attrapé mon sexe comme un noyé prend une branche tendue et doucement l'a décalotté. Crachant dans sa main il a caressé mon sexe en serrant, comme pour pomper de l'eau, palpant mes couilles. J'avais fermé les yeux mais pour sa jeunesse il était doué et je n'ai pu me retenir très longtemps crachant loin sur mon ventre.
Bon tu as vu et fait ce que tu voulais laisse moi maintenant, ramasse mes fringues sales et habille toi, on devine ce que tu viens de faire. J'ai bien vu son regard triste mais il a obéi. Une fois parti je me suis senti calme et détendu, ne pensant plus qu'à Dorothée. Je l'imaginais plus libre que moi ,cuisses ouvertes à la langue d'un de ses filles comme elle les appelait. J'étais fou de joie malgré ce qui venait de se passer. L'année allait se terminer bientôt et bye bye Eddy .
Pour ne pas déranger encore mon père je lui ai envoyé ce qu'on appelait un bleu: "père Dorothée prévenu attends votre visite". Il y a des fois où des mots écrits passent mieux que dits.
Il faut croire que ces deux là s'entendaient car j'ai eu la réponse deux jours plus tard: "Fiançailles possible à ton retour et le sien, lettre suit".
Mon boy dont j'avais su le prénom, Steve était tout à fait sérieux depuis mon histoire avec Eddy et je n'avais pas de problèmes avec lui. Des regards, certes, mais bon c'est humain. J'ai rappelé Dorothée mais elle était au courant et avait pensé à une de ses copines, pas farouche des fesses mais lesbiennes coté face n'acceptant que les hommages féminins. Tout à fait d'accord pour se marier avec un homosexuel, chacun faisant sa vie sexuelle de son coté.
Les deux mois suivant seraient durs mais avec le bonheur au bout.
Pour résumer la lettre de mon père qui ignorait la protection que j'avais utilisé avec Dorothée, Il m'informait avoir demandé par lettre envoyée le lendemain de la mienne au directeur de l'université de me libérer immédiatement, n'ayant pas de concours à la fin de l'année et rien que je n'ai besoin de savoir supplémentaire pour lui succéder.
J'ai aussitôt informe Dorothée mais elle avait aussi reçu une lettre équivalente, la concernant elle et non son frère présumé. Lui avait ses études à finir de façon à gagner sa vie.
Dothie demain je prends la route pour aller chez mon père je pense emmener mon boy avec moi pour m'aider lors des fatales crevaisons les routes sont encore en mauvais état malgré le procédé de sir Macadam. Lui ne peux plus payer ses études et continuera à me servir comme valet de chambre. Vous allez l'adorer. Je vous fait des bisous à l'endroit si sensible entre vos cuisses en attendant les réels.
Le lendemain j'étais convoqué par le directeur qui était au regret de se séparer de moi pour des motifs familiaux. J'étais libre de partir dès que je le voudrais. Je l'ai remercié et lui ai indiqué que j'emmenais avec moi le jeune Steve dont il devait savoir l'état impécunieux des parents.
-En effet, je savais et je préfère que cela se passe comme ça pour lui et pour ses parents. Il s'est levé de son bureau pour un check-hand appuyé. Je vous souhaite le meilleur sir.
Ouf ais je pensé à part moi en sortant. Il devait avoir fait prévenir Steve que j'ai trouvé dans ma chambre et qui s'est jeté dans mes bras.
-Sir je ne saurais jamais vous remercier, vous m'évitez les déboires d'un rejet public.
Et bien si tu faisais mes malles et tes valises? Nous passons chez Dorothée et prenons la route ensuite.
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