Sir Eric 51 - histoire érotique

Il est revenu de la cuisine ayant remis le kilt avec deux verres à demi remplis de whisky pur sans glace.
-Tu sais que t'as un beau corps? Bon, moins bien monté que moi mais j'ai entendu la gueulante qu'a poussé Dick et un de ces jours je te ferais gueuler comme ça dehors. Pas besoin qu'un mec reconnaisse ta voix ou te voie mais moi je t'entendrais et même , tu finiras par réclamer de la queue.
Il s'était assis sans façon sur la table et je m'étais assis normalement. Il a posé le pied entre mes cuisses. La pointe de sa chaussure touchant mes couilles.
-Ecarte plus les cuisses, pose bien ta paire de boules devant.
J'ignore ce qui fait que je suivais ses envies et j'ai plus largement ouvert, posant bien mes couilles sur la chaise. Il a eu un sourire.
-Tu aimes souffrir pour le plaisir? Il avait posé la chaussure sur mes couilles.
Déjà du le faire et sans aimer ça je réagis bien paraît il.
-Alors ne regarde pas ce que je fais , fixe mes yeux. Sa chaussure appuyé doucement de plus en plus fort mes boules sur la chaise. Je grimaçais , il le voyait bien. J'ai demandé à Tom de découper une chambre à air de vélo en petit bouts. J'en mettrais en place, ça tiendra tes boules séparées de ta queue. Comme il a découpé dans un vélo course elles ne sortiront que si tu le fais ou un autre. Il appuyait de plus en plus fort et j'ai du lui demander d'arrêter.
-Allons, tu sais ce que tu es pour moi, demande mieux que ça .
S'il vous plaît vous pouvez cesser de m'écraser les couilles?
-C'est mieux! Bon , je vais passer la première bande de caoutchouc. Il a retiré le pied et attrapé mon sac dans la main, tirant dessus. Toi tu tiens ta queue! Il a glissé une à une mes deux boules dans le tube formé. Je voyais ce qu'il faisait et une fois lâché mes couilles étaient à deux centimètres de la racine de ma bite. Goûte un peu la boisson de ton beau père.
J'étais habitué mais là il y avait un goût différent.
-Il a eu l'idée de construire son hangar où il entrepose les fûts pleins sur la côte et il ouvre des deux cotés pour faire passer l'air iodé les jours de grand vent. Il referme avant que le temps ne tourne et la saveur est différente non?
Je n'avais pas la tête à ça mais j'ai acquiescé.
-Bien lève toi et remets ton kilt, je n'ai pas eu le temps de me promener moi et je ne connais pas la moitié des terres de ta famille.
Il va falloir monter à cheval si tu veux aller un peu loin! Mon père a le comté à lui. Mais tu sais monter à cheval?
-Ce serais à toi de te poser la question avec les couilles comme ça!
En trot assis je dois pouvoir. On est sorti, je me sentais la démarche bizarre. En me voyant mon alezan m'a bien reconnu et a encensé joyeusement. Tom prévenu par mystère est sorti de son atelier pour seller les deux chevaux.
-C'est bon de vous revoir my laird. Le cheval aussi est content. Et vous? Content de Walt?
j'ai du rougir inconsciemment.
-Oui je vois qu'il vous satisfait . Nous avons hésité Gwen et moi et si il ne vous avait pas plu, nous nous en serions séparés. Il a un sacré caractère. Passez par la chapelle on a remis des choses en état. Là, le cheval est près , je vous aide? Il avait placé ses deux mains réunies pour que j'y place le genou et je me suis trouvé en selle esquissant une grimace. Walt de son coté avait harnaché un hongre plutôt paisible et m'attendais dessus.
-Cette chapelle est loin? je n'ai jamais eu le droit d'y aller. Pouvons nous pousser par là? Tom était reparti à son ouvrage et je la savais pas très loin alors j'ai dis ok . Au pas puis au petit trot j'ai pris les devants, une main amortissant mes couilles de la selle.
-Il n'y a que de la lande par ici, c'est désert. Donne moi ton kilt je vais le garder devant moi. Une fois dégrafé, je me suis trouvé nu sous la ceinture et excité en diable. Il l'a bien remarqué. Passons au pas pour parler un peu. Je vous ai vu arriver avec un mec attaché sur le capot. Un anglais?
Oui , tout à fait un de ses maudits anglais qui font la loi chez nous! Je comptais le dresser là où nous allons et étrenner les lieux avec lui.
-Pourquoi attendre, je te vois en bonne disposition ma belle pouliche! Presque aussi bien que moi sauf le gland ou je suis largement gagnant. Il a soulevé le devant du kilt mettant à l'air son sexe tendu lui aussi. C'est dingue mais j'ai toujours envie, et te voir protéger tes couilles m'a excité. On est encore loin?
Non derrière la colline. En montant la flèche s'est découverte puis le toit, refait de peu. Entourée de genêts piquants il fallait connaître le passage pour faire le tour de plus près. Je te préviens , je n'ai pas la clé.
-Crois tu que je te t'ai demandé de m'amener ici sans pouvoir l'ouvrir? Il a sorti une clé. C'est Tom qui me l'a prêté. Descend de cheval et voyons l'intérieur. Tu te mettras nu dans l'entrée.
Je bandais comme un fou, sachant ce qui m'attendait.
-Tout , ça comprends les chaussures et tes bas.
Je frissonnais non par le froid mais du fait d'être nu devant lui encore vêtu. A la place de l'autel , un fauteuil mais à l'entrée un collier de cuir montant haut autour du cou.
-Ne bouges pas tu dois avoir l'insigne de ce que tu es ici. Il a passé le collier, serré je ne pouvais pas pencher la tête. Il a passé un mousqueton à l'anneau et l'a attaché à une chaîne en haut d'un poteau de bois. Tu n'as jamais été fouetté? Même petit?
Non, jamais.
-Alors tu vas comprendre vite. Il a saisi une badine accrochée au mur et a cinglé mes fesses.
Aïe. Va doucement!
-Silence je dresse une pouliche à ma façon.
J'avais mis les mains devant mes fesses mais il a redoublé.
-Retire les. Si tu as mal tu avances! J'ai fait deux pas mais il suivait et tapait mes fesses. Cours plus vite! Il s'était arrêté et me frappait à chaque tour. Il a donné un coup devant sur mes couilles . Stop!
Entre le dernier coup et mes fesses j'avais mal partout.
-Tu as mal ma lady. Oui , je vois de belles traces sur tes fesses. Il a détaché du poteau , me tirant vers une croix de St André, a demie couchée sur le sol. Allonges toi. Oui , les poignets à la hauteur de la corde. Passe les dedans.
Par derrière il a tiré la corde, retenant le premier poignet puis de même pour le deuxième. Il a placé mes chevilles de chaque coté de la croix et les a fixé de même.
-Tu as vraiment de très belles fesses et sous peu je pourrais te prendre sans effort . En attendant tu vas me sucer et baver sur mon gland. Je t'ai vu faire des mouvements de mâchoires tout à l'heure, tu vas pouvoir sucer comme il faut. J'ai toujours la badine pour te faire obéir en frappant au plus intime de tes fesses. Il a laissé tomber le kilt , son gland imposant gonflé, violacé de désir. Il s'est approche de moi entre les deux branches avant et se penchant un peu: Suce ma salope!
Comment le gland est passé? Peut être mes lèvres que j'avais léché ou ma mâchoire plus ouverte mais il est entré dans ma bouche.
-Tu progresses vite. Quelques va et vient vont te faire saliver. Il a poussé son gland pour toucher ma glotte et retour en arrière, plusieurs fois je ne pouvais rien faire sinon comme il disait saliver autour de sa queue. Penché sur moi, il a soulevé le sac de couilles et a laissé couler un mollard qu'il a étalé largement sur mon anus, le détendant malgré moi . Il a recommencé plusieurs fois , introduisant le doigt pour étaler sa salive à l'intérieur. Bien vite j'ai senti deux doigts glisser ensemble.
-Bien , ici tu vas pouvoir gueuler alors je vais changer de trou et crie tout ton saoul, je te pénétrerais de force, une sorte de viol consenti cat je sens que tu en as envie malgré la peur. Il a dégagé le gland puis regardant ou il allait il a forcé peu à peu mon anus à s'ouvrir.
J'ai tenté un refus en serrant les cuisses mais rien n'y a fait il entrait un peu plus. Les anneaux de mon cul ont cédés et d'une dernière poussée il est entré. J'ai gueulé de douleur et d'impuissance à résister mais il me fixait d'un petit air vicieux et narquois.
-Cette fois je vais t'utiliser comme une femelle , une chienne, ce que tu seras sous peu. Il s'est retiré sans prévenir, me faisant crier à m'en péter les cordes vocales mais aussitôt il est rentré dans mon cul. Je vois bien que tu aimes et ça s'entend. Sa main et passée sur le bout de mon gland, je ne pouvais pas voir mais elle a glissé et il me l'a présenté. Lèche ma main , remercie moi pour le plaisir que je te donne. J'ai léché espérant qu'il allait arrêter mais il a continué, à se dégager pour me reprendre plus profond encore.
Ma tête battait de chaque coté, j'étais fous de plaisir et de douleur.
-T'as un bon cul , presque une chatte alors je vais t'ensemencer pour la première fois. Restant en moi il a accéléré et j'ai senti sa hampe grossir un peu encore par à coups puis il s'est retiré. Passé devant moi, il m'a fait lécher son gland des glaires qui y étaient collées avec le foutre.
-Tu as non seulement crié mais chialé comme une femelle qui prend son pied. Je vais te dégager un poignet tu te branleras. Je ne pense pas que tu tiennes longtemps.
En effet devant ses yeux qui me fixaient j'ai joui loin sur moi.
-Bien tu as compris ce que tu étais et ce que je suis ?
En tout cas je l'ai senti oui! T'es un mec et moi ta femelle . Je palpais mon anus douloureux passant entre la croix et mes fesses. il se refermait doucement.
-Je pense que tu n'as plus besoin de ce cinéma pour te faire prendre même si c'est douloureux et souvent.
Je ne sais pas mais après je me sens bien. Il me détachait et je me suis relevé, nu, moins bandant mais finalement heureux en voyant la taille de sa queue. Et qui est au courant? Tom je présume , qui d'autre?
-Gwenn mais ce n'est pas son truc . Ton anglais te verras mais tu porteras pour l'occasion une cagoule en soie noire. Lui resteras là. Va te laver je crois qu'il y a de quoi dans une des chapelles.