Sir Eric 53

- Par l'auteur HDS Conteur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Sir Eric 53 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sir Eric 53
Je commençais à fatiguer et je me suis dévêtu rapidement pour voir Kit nu. Ses fringues ont volé et j'ai enfin vu la bête nue. Humm, beaux abdos pas trop marqués, petits tétons sympas, Une bite encore emballée dans sa peau, une paire de couilles comme je les aime, pendantes Et un sourire lumineux quand il a vu que je matais bien. Walt lui, je le connaissais et de près. Son morceau se balançait devant lui, fier de lui , il pouvait l'animal.
On s'est rapproché et je me suis trouvé tête bêche contre kit à le sucer , lui en faisant autant jusqu'au moment ou Walt a décidé de le prendre. Tel que j'étais placé j'ai vu le gland passer dans la raie, La tête de Walt a disparue je suppose qu'il ouvrait Kit de la langue puis j'ai revu son gland devant moi. Bave bien dessus, il l'a déjà pris mais autant prendre son pied l'un et l'autre.
Quand Walt a disparu j'ai senti la crispation de Kit et son gémissement étouffé par ma queue. Je l'ai senti se relâcher, se détendre puis les "han" de Walt Qui propulsait la queue de Kit dans ma bouche. Il y a eu un moment de calme où Kit m'a fait mettre les fesses contre sa queue puis les "han" a repris , cette fois il poussait Kit dans mon anus qui l'a bien accueilli . Kit a commencé à couiner m'entrainant de même pour libérer la tension entre nous. Je ne suis pas sur mais je crois que Kit a joui, puis moi et Walt. Après un séjour à la salle de bain on s'est allongés et cette fois endormis.
Le lendemain , on est descendus déjeuner accueilli par Gwenn.
-Bien dormi les garçons? Kit, dépêche toi il faut aider Tom à faire sortir l'anglais de son trou et l'attacher dans la remorque.
Je garde Walt il a bossé pas mal et doit avoir besoin de repos.
Elle a eu un sourire avant de repartir vers les cuisines.
-Alors que penses tu de Kit? Bon cul et belle bite non?
Oui Il a du mérite d'accepter ta queue facilement.
-Mais non! Dans peu de temps avec l'entraînement tu la prendras aussi bien sinon mieux! J'ai demandé à Tom à ses temps perdus de fabriquer un godemichet de belle taille qui se rétrécit à un moment avant d'être arrêté par une base plus large. Il lui faut simplement du temps pour faire sécher les couches de vernis. Dans deux jours on pourra tenter et tu le garderas la journée.
La journée? Entière?
-Evidemment et tu aimerais ça crois moi. En fait, il en prépare deux, un autre plus épais, destiné à ton anglais. Lui ce ne sera pas par choix qu'il le gardera. On va voir comment ils l'ont installé?
Ok je suis curieux aussi. On a fait le tour des communs et d'une vielle tour où, attelé à une charrette était arrêté le cheval. Les bords n'étaient pas très haut et Tom et Kit avaient déjà attaché les poignets de John. Appuyé au fond de la charrette il ne pouvait pas voir ou il était. Ils ont ensuite attaché les chevilles de chaque coté des ridelles, écartant ainsi ses cuisses. Deux barres ont été placées, une sous ses genoux pour les relever et l'autre sur le ventre au dessus de sa bite ridicule d'angoisse.
Dans cette position ont voyait bien la fente et moins bien le trou caché par ses couilles déjà bien étirées. Ils les ont attachées tendues à la barre sous les genoux et cette fois on voyait son cul qui palpitait.
T'as la frousse bâtard?
-Pas mal oui! Vous êtes nombreux à me voir?
Suffisamment pour voir que t'es une vraie lope. Ton cul bouge. Ne t'inquiètes pas il sera rempli là où tu vas. Kit, va chercher des chevaux pour qu'on l'accompagne. Prépare toi un sac, car toi tu resteras pour le surveiller.
-Hé bien? Tu rêves? Tu t'imagines à sa place?
Walt souriait en me matant.
-Je ne peux pas le faire mais je suis sur que tu aimerais ça!
Je crois aussi mais peut être ailleurs. Dans un autre endroit.
Kit revenait avec trois chevaux, Tom assis sur la charrette la guiderait sachant mieux que moi où passer. On est parti Kit devant et nous deux derrière, matant le cul et les couilles de la chienne. Il ne voyait rien mais sa queue se dressait avec les secousses de la carriole. On a du mettre pas loin d'une heure pour arriver en haut du creux ou se nichait la chapelle. Tom est descendu. Kit l'a rejoint pour détacher John qui n'a du garder que la cagoule et le collier.
Passer par les sentiers recouverts d'ajoncs à cheval ou habillé comme Kit et Tom ça allait mais nu il n'a pas arrêté de couiner jusqu'à l'entrée dans le vestibule où là on lui a ôté la cagoule. Il faisait frais à l'intérieur une fois la porte du vestibule franchie.
Kit qui n'était jamais venu avait les yeux grands ouverts sur ce qu'il découvrait. On a commencé par mettre des attaches aux poignets de la lope et de le hisser sous une poutre. Ses chevilles ont eu le même traitement. Il n'avait plus la cagoule et frissonnait quand on a écarté ses chevilles au maximum. Il était comme un gymnaste mais nu.
Tom a pris les choses en main. Si on se mettait nu. Si il y a un lieu dédié à l'homme c'est ici. Il a eu vite fait de tout ôter, exhibant sa matraque comme Kit et Walt dan le même état moi idem fixant tout à tour les sexes des garçons choisis et bien choisis par moi. John regardait avec un air effaré les queues et je crois surtout les glands. Il est certains que ceux de Tom et Walt pointaient pas encore sortis entièrement de leur peau.
Eux fixaient plus le cul impossible à cacher par le bâtard. Il a suffit de descendre un peu les poignets pour que ses fesses soient à la hauteur et j'ai inauguré la séance en le prenant sans peine, ce con bavait de la queue et ça coulait jusqu'au cul. Bien au chaud je l'ai limé mais il n'a pas crié, pas encore. J'ai cédé la place à Kit qui a pénétré joyeusement ce trou qui n'était même pas encore refermé. Lui a pris le temps de jouir dans ses boyaux avant de se retirer. Walt est entré en scène en glissant son gland en force.
Avec le jus de Kit c'est entré mais il n'a pas pu retenir le cri à l'ouverture du trou . On s'est regardé Kit et moi, on connaissait l'effet produit. Il s'est fait labouré comme un champ qu'on retourne, la peau de l'anus ressortant , entrainé par le gland. Il gueulait comme une chienne . Je l'ai saisi par la queue molle et j'ai tiré sur son prépuce un maximum, mes doigts glissaient dans sa bave. Tout ce que j'ai obtenu c'est une petite raideur, pas une vraie érection.
Il se faisait labourer et une fois les attaches aux chevilles détendues, il s'est balancé d'avant en arrière à la cadence de Walt qui prenait son pied dans son cul.
Tom en dernier a détruit ce qui restait de solidité musculaire anale. Le bâtard ne sachant plus où il était, geignait comme un môme. Il était temps de s'occuper autrement. Deux des pinces servant pour les batteries de la vieille voiture et bien mordantes ont été fixées à ses tétons et du poids accroché dessous . Ses couilles humides de la bave qui avait coulé jusque là ont été liées en un genre de porte monnaie, bien serrées et on a là aussi ajouté du poids. Il geignait mais on voyait qu'il ne détestait pas, sa verge bougeait tentant de se dresser.
On bandait tous et la nature étant ce qu'elle est on a chacun cherché un trou. Tom qui ne s'était pas introduit en moi depuis le retour de mon voyage de noce a profité que je m'occupais des couilles de John pour pendant que j'étais penché, pousser son gland sur ma rondelle et me prendre . Je voyais sur le coté Walt collé à Kit , faisant des va et vient et la queue de Kit dressée.
Tom m'a dirigé en me baisant vers eux et quand le gland de Kit a été au contact de mes lèvres j'ai sucé.
(Merci à ceux qui m'ont suivi jusque là je pars quelques jours voir de belles choses légères et peu vêtues mais sans ordi. La suite viendra plus tard.)

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Texte coquin : Sir Eric 53
Histoire sexe : Une rose rouge
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