Sir Eric 56 - histoire érotique

Il allait être l'heure de dîner et je suis descendu avec lui. Une fois tous réunis, je l'ai présenté comme un camarade de collège plus jeune qui cherchait un travail stable. On a tous levé une pinte pour fêter son arrivée. Une fois à table, les femmes mangeant à part quand Dothée n'était pas là, les propos sont vite devenus grivois.
-Tu sais faire quoi?
- M'occuper des chevaux est ma spécialité et pour soulager Kit qui est occupé en ce moment je vais travailler aux écuries.
-Ta spécialité ce sont les juments ou les étalons?
-J'aime bien les deux, leur sexe m'est indifférent.
-Pareil pour les hommes et les femmes?
Il a eu un sourire vicieux.
-Je trouve plus amusant les hommes. Les voir pleurer de plaisir et de douleur m'intéresse beaucoup.
-T'es pas un peu vantard?
-A toi de juger. Il s'est levé un peu, ouvrant son pantalon, baissant son slip. Alors , je me vante?
Il y a eu un silence respectueux et stupéfait.
-T'arrives à pénétrer un cul avec ça?
-Ho oui. C'est aussi pour ça que le laird m'a engagé.
J'ai plongé la tête dans mon assiette d'émotion , rougissant comme une pucelle.
Tom a été le seul à réagir d'un rire gras.
-Allons vous savez bien que le laird est recto verso!
Ils ont tous approuvés, se tortillant sur leurs chaises.
-En plus je ne ferais pas de concours avec lui. Il est sans aucun doute mieux monté que moi. Ton prénom c'est quoi?
-Joe et si l'un de vous veut tenter sa chance je serais le plus souvent aux écuries ou avec le Laird.
Cette fois ce sont eux qui ont piqué le nez dans l'assiette. Les plats se sont succédés en silence. Je l'ai rompu volontairement.
J'ai dans l'idée de faire un genre de piscine derrière les arbres qui bordent le lac. Situé à l'endroit le plus large du lac, les baigneurs seront invisibles ou presque et le fond est sableux. Je ferais venir une entreprise pour la réaliser. Vous aimeriez?
Les sourires sont revenus.
-Oui en effet c'est une bonne idée qui profiteras à tous. Et à toutes aussi.
Bon je vous laisse aux travaux en cours Je vais faire visiter à Joe les écuries qui seront son domaine. Tout le monde s'est levé matant au passage la marque que faisait le sexe de Joe sur le pantalon.
-Ils sont mignons tes mecs. Tu les as tout baisés et ils t'ont baisés?
-Oui , tout sauf Tom qui lui ne fait qu'enculer.
-Humm, ça commence à sentir le cheval et le cuir. Le mélange m'a toujours excité, pas toi?
C'est assez sexuel en effet. Il a visité les stalles une à une, trouvant mes chevaux bien traités.
-J'ai demandé un mors à Tom et il m'a dit qu'il y en avait pour les poneys accrochés au mur. Montre moi.
Je prévoyais ce qui allait se passer et je suis allé au fond des écuries. Sur le mur là où était les petits mors-Entre dans la stalle vide, dessape toi totalement! Tu vas faire le poney et un poney n'a pas de vêtements.
Je me suis dévêtu, posant mes fringues sur la balustrade du box. Il m'a accroché le mors derrière la tête, le passant derrière mes molaires. Une fois le portillon fermé j'ai remarqué la cravache dans sa main. J'ai écarquillé les yeux poussant un cri qui n'a donné qu'un "hon" étouffé.
Il a souri.
Je sais que tu apprécies ma queue mais j'aime les chevaux dociles, obéissants. Il a fait siffler la cravache dans le vide me faisant reculer contre le mur.
-A quatre pattes comme un poney! Je vois que malgré la situation tu bandes!
A peine à quatre pattes j'ai reçu le premier coup sur les fesses! J'ai sursauté mais il a posé la botte sur mon dos.
-Ne remue pas, écartes plutôt les fesses montre ta chatte de jument.
Un autre coup est arrivé me faisant serrer les dents sut le mors. Ouvre toi mieux! sinon ce sera pire.
J'ai creusé un maximum les reins et poussé pour ouvrir mon trou.
-Là, c'est mieux. Le temps d'enduire ton cul et ma queue de la graisse pour inspecter les juments et tu vas avoir ma queue dans le cul. T'étais prévenu j'ai de gros besoins.
Après le coup du matin et avec la graisse sa queue a glissé plus facilement entre mes fesses les tenant serrées sur son engin qui m'a labouré tranquillement. Je tremblais sur les genoux et passant les mains sous mon ventre il m'a relevé. Me soulevant par à coups il se plantait au fond de moi à chaque fois me faisant gémir à chaque fois. Il y a eu du bruit et la voix de Tom.
-Je me doutais qu'il apprécierait. Il a beau être notre maître la nature doit parler.
Il est entré dans la stalle, souriant de me voir bander et baver comme une femelle.
-Penche le en avant, même avec le mors il a encore la langue pour lécher.
Il a poussé ma tête sur le gland de Tom et je n'ai pu que tendre la langue pour la passer autour du gros gland déjà baveux. Chacun des coups de reins de Joe m'en éloignait mais je retombais en face et je donnais de petits coups de langue sur le bout. Enfin , dans un feulement sauvage Joe a joui au fond de moi. Tom lui a joui face à moi sur mon visage.
Je me suis aperçu une fois Joe retiré que j'avais giclé devant moi sans même m'en rendre compte.
-T'as apporté un kilt court pour lui?
-Bien sur j'ai vu avec Dothée qui m'a donné un de ses plus affolants.
Bon, toi garde le mors et enfile le kilt. Non, pas de slip. si mon jus coule sur tes cuisses, il doit se voir. Tom m'a dit que vous aviez un maso dans une chapelle? Il a ôté le mors.
Oui Joe pas très loin, isolée et introuvable. Ma voix était bizarre une fois ma mâchoire libre.
-Bien on ira voir dans quelques jours. Quel était ton cheval?
L'étalon tout au début des stalles.
-Bien je le monterais moi. Toi tu monteras cette jument aussi douce qu'une femme.
Fais attention il est encore sauvage.
-Bah j'aime bien forcer les animaux comme les hommes d'ailleurs. Bien , passe un gilet ouvert et on va aller voir Dothée. Je suis presque sur qu'elle se souvient de moi.
Je suis sorti , le kilt couvrait à peine le haut des cuisses et le gilet ouvert montrait mes pectoraux et mes tétons qui frottaient sur le feutre du gilet. Personne dans la cour et Tom était reparti au travail. Dans l'entrée j'ai croisé Gwen l'intendante qui m'a demandé si tout allait bien. Je lui ai souri entraînant avec moi Joe. Au premier Dothée dont la chambre était ouverte discutait avec une de ses femmes de chambre. Elle m'a jaugée d'un coup d'oeil puis son visage s'est éclairé.
-Du diable si ce n'est pas Joe! Entre, tu n'as jamais été timide. Que viens tu faire ici?
-Je n'ai pas changé Dothée, je vis de ci de, là abusant des filles et des garçons comme toujours et maintenant plus des hommes.
-Ce qui veux dire que mon homme est passé à la casserole, non?
J'étais stupéfait que Dothée ai reconnu ce mec puis je me suis souvenu des soirées dans sa villa louée où elle recevait homme et femme mais ne donnait jamais que ses fesses. Elle gardait ainsi sa virginité pour moi en fait.
-Dis donc si t'as encore grandi le reste a du suivre. Tu l'as fait pleurer?
-De dos je ne vois pas mais je pense que oui.
-Eric qu'es ce que c'est que cette tenue? Au moindre mouvement on voit pratiquement tes fesses. Elle a jeté un oeil vers Joe. C'est toi qui lui impose ça?
-Oui , entre autre. Je le crois assez réceptif à ma queue et légèrement subjugué.
-Oui je me doute. Montre là moi. Mais dis donc c'est plus une queue ça! C'est un vrai cierge. Ok occupe toi de lui et une fois que j'aurais enfanté on pourra jouer tout les trois. Et toi Eric, montre moi tes fesses, écarte les. Elle a palpé mon anus. T'es vraiment souple de là. Il t'as pris quand?
Il vient de le faire Dothée.
-Ha je le connais bien là, souvent raide et prêt à honorer fesses ou cons. Aller, je suis lasse et je pense à plus tard. Je suppose que tu vas le garder et qu'il va dormir avec toi.
Pour le moment je le garde oui, il va s'occuper des chevaux. Pour la nuit, rien n'est prévu encore. Joe a souri.
-Il n'ose pas le dire mais je suis sur qu'il sera ma petite chienne quand tu ne seras pas libre.
Ho Joe!
-Amusez vous les garçons je vais me reposer un peu. Ha j'allais oublier , Mon père veux être là le jour de la naissance. Soit discret.